Archive pour le Tag 'Elysée :'

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Enquête sur la disparition des sondages de l’Elysée sous Sarkozy

Enquête sur la disparition des sondages de l’Elysée sous Sarkozy

Et une affaire en plus pour Sarkozy, en fait une affaire déjà connue mais qui se complique car les sondages en cause ont disparu ! Cette enquête, ouverte à la suite d’une plainte avec constitution de partie civile, vise des sondages d’opinion commandés par l’Elysée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, pour un total de 9,4 millions d’euros. Le plaignant, l’association anti-corruption Anticor, estime que la plupart des sondages n’avaient pas d’intérêt public, et souligne que les bénéficiaires essentiels des commandes étaient des sociétés dirigées par deux conseillers et amis de Nicolas Sarkozy, Pierre Giacometti (2,5 millions d’euros) et Patrick Buisson (trois millions d’euros). En mars dernier, la présidence de François Hollande avait révélé ne pouvoir remettre la main sur une partie des sondages commandés par l’équipe précédente sur les deux dernières années de quinquennat.   »Toutes les études achetées par la présidence de la République entre janvier 2010 et mai 2012 ont littéralement disparu », écrit mercredi Mediapart, qui précise que ces sondages sont dotés du statut d’archives publiques. Le détournement, la soustraction ou la destruction d’archives publiques par une personne qui les détient en raison de ses fonctions est puni de trois ans de prison et 45.000 euros d’amende, de même que le fait de les avoir « laissé détruire ».

Affaire Morelle and Co : Les cireurs de pompes de l’Elysée

Affaire Morelle and Co : Les cireurs de pompes de l’Elysée

 

Morelle accusé de conflits d’intérêt a été viré sans ménagement par Hollande. Du coup Morelle a traité Hollande de salaud ; Il a raison d’ê ter vexé Morelle, c’est lui l’ auteur du célèbre discours du Bourget de Hollande sur la morale républicaine, l’ennemi c’est la finances etc. Le monarque républicain est ingrat. Cerise sur le Gâteau, Morelle est auusi accusé d’avoir eu recours à un cireur de chaussures pour entretenir sa trentaine de paires de chaussures de luxe. Vraiment pas de quoi fouetter un chat ; les conseiller de l’Elysée ou des cabinets ministériels ont pour objet social essentiel le cirage de pompes de leurs ministres ou de Hollande. De leur dire qu’ils sont grands, beaux, géniaux. Une sorte de cour républicaine où les plus flatteurs espèrent de leur maître en récompense une petite place dans une grande entreprise ou une grande société publique  (dernier exemple aujourd’hui l’ancien directeur du trésor, ancien conseiller politique lui-auusi vient d’être nommé directeur financier chez Orange, bonjour les dégâts sur la gestion de l’opérateur télécom. ! ) . Morelle n’a rien fait de plus que les autres, il a flatté. (Avec en plus peut –être une petit business au noir quand il était haut fonctionnaire). Les conseillers ne sont pas là pour faire œuvre de créativité ou montrer une quelconque compétence, ils sont là pour conforter leur patrons dans leurs pires délires. Dernier en date :  le gel des pensions alors que des millions de pensionnés touchent moins de 1000 euros (en moyenne 1250 euros environ). la suppresion de l’APL auusi. Hier c’était l’ennemi, c’était  la finance maintenant c’est le français moyen très moyen même et même en dessous de la moyenne. Aucun de ces conseillers n’osera dire à Hollande et aux ministres que c’est économiquement et socialement dément, injuste, contreproductif pour la consommation, la croissance et l’emploi. C’est tout juste si le nouveau «  machin » le haut conseil aux finances publiques  aborde le sujet avec timidité. Bah oui il se pourrait que la fameux plan de 50 milliards (toujours très fumeux sauf pour les couches moyennes et populaires) risque de plomber une peu plus l’activité. De toute manière les petits marquis cireurs de pompes n’ont pas d’Etat d’âme, d’ailleurs ils n’y connaissent rien. Elevés au lait de l’administration, ils ignorent tout des réalités économiques et sociales et sont prêts à soutenir n’importe quelle idée délirante de leurs maîtres. Résulat nos dirigeants sont dans le cirage !

Elysée : après Cahuzac, Morelle viré

Elysée : après Cahuzac, Morelle viré

Dans un communiqué à l’AFP, celui qui venait récemment de prendre du galon en étant nommé directeur de la communication de l’Elysée, a fait part de sa décision « de mettre fin à ses fonctions de conseiller à la présidence de la République », démentant toutefois les accusations de conflit d’intérêts et assurant n’avoir commis « aucune faute ».  Le conseiller élyséen affirme avoir pris cette décision à la fois pour « être entièrement libre de répondre (aux) attaques » le visant et « ne pas gêner l’action du président de la République ».  Depuis Clermont-Ferrand, où il visitait un site Michelin, François Hollande a déclaré que son collaborateur avait pris « la seule décision qui convenait ». « Ce qu’il a fait avant » d’être nommé à l’Elysée en 2012, « il a à en répondre, ça revient à lui et à lui seul, c’est ce qu’il a compris en présentant sa démission, que j’ai acceptée immédiatement », a dit le chef de l’Etat.  Selon l’entourage du chef de l’Etat, le départ d’Aquilino Morelle a été décidé dès jeudi soir. La situation devenant « très difficile », il lui a été proposé soit de démissionner lui-même, soit d’être démis de ses fonctions.  Vendredi aux aurores, avant son départ pour Clermont-Ferrand, François Hollande a eu une réunion avec sa directrice de cabinet Sylvie Hubac et son nouveau secrétaire général Jean-Pierre Jouyet pour les derniers calages. Selon l’entourage du président, M. Morelle a dès ce moment-là acté sa décision de démissionner.  Manuel Valls a ensuite reçu Aquilino Morelle, dont il est très proche, et lui a conseillé de démissionner pour « répondre librement aux questions de la presse ».  Jeudi, dans une enquête au vitriol, le site d’information Médiapart avait accusé le conseiller élyséen d’avoir touché en 2007 12.500 euros d’un laboratoire danois, Lundbeck, alors qu’il était en poste à l’Igas (Inspection générale des Affaires sociales).  Des accusations corroborées vendredi matin par cet organisme qui a assuré ne pas avoir délivré d’autorisation à Aquilino Morelle pour travailler dans l’industrie pharmaceutique.  Par ailleurs, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique a indiqué qu’elle entamait « une étude plus approfondie des déclarations d’intérêts et de patrimoine » du conseiller élyséen.

Transparence : Nouvelle affaire Cahuzac à Elysée ?

Transparence : Nouvelle affaire Cahuzac à Elysée ?

Hollande est transparente, c’est évident (sur le plan politique) mais pas forcément ses copains énarques conseillers à l’Elysée. Accusé jeudi par Mediapart d’avoir « travaillé en cachette pour des laboratoires pharmaceutiques » quand il était inspecteur général des affaires sociales, Aquilino Morelle, proche conseiller de François Hollande, s’est défendu hier de tout « conflit d’intérêt ». Il assure qu’il a « respecté toutes les règles et toutes les procédures ». En juin 2011, sur France Info, il avait insisté sur l’importance de la transparence dans ce domaine. « Que chacun soit au clair avec lui-même et avec les autres. Il n’y a pas d’interdiction d’avoir un rapport avec l’industrie pharmaceutique pour un médecin (…) En revanche, ce qui est obligatoire, c’est de rendre public cela (…) Ce que l’on souhaite, c’est que ces contacts soient publics. Quand vous publiez vos relations, vous êtes transparent. Chacun pourra regarder si les décisions que vous prenez sont conformes à ces déclarations et s’il n’y a pas quelque chose qui peut poser un problème en termes de perte d’indépendance. C’est juste ça, et pourtant c’est énorme. Certaines de ces règles de transparence ont été posées en 1993 (…) Mais c’est difficile de faire des révolutions qui sont d’ordre culturel. Il faut apprendre aux gens – et ce n’est pas dans la culture française – à objectiver les rapports : ‘j’ai un rapport avec l’industrie pharmaceutique. Ce n’est pas un problème en soi mais il faut que tout le monde le sache’ (…) Des experts qui sont juges et parties, ce n’est plus possible. Il faut en finir avec ça » avait assuré Aquilino Morelle sur France Info en 2011.

Elysée : nouvelle affaire d’un copain énarque de Hollande

Elysée : nouvelle affaire d’un copain énarque de Hollande

Le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a déclaré qu’Aquilino Morelle, le conseiller de François Hollande, ne pourrait pas rester à l’Elysée si les accusations de Mediapart sur un conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique se révélaient fondées. « Si ce qui se dit est vérifié, je ne vois pas comment il peut rester. Mais si ce n’est pas vrai, il faut qu’il s’explique, il faut une grande explication pour que l’on puisse y voir clair. Il faut qu’il le fasse vite et qu’il s’explique, qu’on puisse le juger sur pièces », a déclaré Jean-Christophe Cambadélis ce vendredi 18 avril sur i-Télé.  Le site d’information Mediapart a publié un long article accusant le conseiller politique du président d’avoir « travaillé en cachette pour des laboratoires pharmaceutiques » quand il était inspecteur général des affaires sociales, et épinglant son train de vie à l’Elysée.  Aquilino Morelle, auteur du discours du Bourget de François Hollande lors de la campagne présidentielle de 2012, s’est défendu de tout « conflit d’intérêts », sur sa page Facebook. Rappelant qu’il est « docteur en médecine, ancien interne des hôpitaux de Paris et ancien élève de l’ENA » mais aussi « inspecteur général des affaires sociales », Aquilino Morelle assure avoir « respecté toutes les règles et toutes les procédures, en particulier le passage devant la Commission de déontologie » de la fonction publique d’Etat. Cette affaire entache-t-elle la présidence voulue exemplaire de François Hollande ? « Elle est exemplaire dans la manière dont fonctionne le président de la République, je peux le confirmer », a assuré ce vendredi Jean-Christophe Cambadélis.  »Aquilino Morelle va s’expliquer rapidement et à partir de là, le président prendra des décisions, ce n’est pas à moi de les annoncer à sa place », a également déclaré le nouveau patron du PS.

 

La cuisine de l’Elysée  » c’est dégueulasse », (Nicole Bricq, ministre du Commerce extérieur)

La cuisine de l’Elysée  » c’est dégueulasse »,  (Nicole Bricq,  ministre du Commerce extérieur)

En apparence l’appréciation de la ministre du commerce extérieur visait le repas de gala  à l’Elysée avec le président de la Chine. Il se pourrait qu’elle ait auusi fait allusion à la cuisine politique qui se prépare pour le changement de gouvernement. La précédente cuisine qui avait abouti au gouvernement Ayrault (à la sauce apparatchiks) n’aura en tout cas pas laissé un souvenir culinaire impérissable. Celle en cours sent déjà le brûlé. Invitée du dîner d’Etat offert mercredi soir en l’honneur du président chinois Xi Jinping, Nicole Bricq avait jugé la cuisine « dégueulasse ». La ministre a par la suite présenté « personnellement » ses excuses au chef cuisinier de l’Elysée.  Dans une vidéo diffusée par BFMTV sur son site internet, on entend distinctement Nicole Bricq déclarer dans un éclat de rire sur le perron de Matignon, s’adressant à l’épouse du Premier ministre : « A l’Elysée c’était pas du tout… Non, c’était dégueulasse. Il faut le dire, il faut le dire. »  Au menu du dîner : foie gras truffé, volaille landaise rôtie et viennoise de champignons, moelleux de pommes de terre forestières, nuance de chocolat et caramel et glace, le tout arrosé de vins fins.   »La ministre a appelé le chef cuisinier de l’Elysée, Guillaume Gomez, ce (vendredi) matin pour s’excuser personnellement », a indiqué la présidence française. « La directrice de cabinet du président de la République s’est rendue dans la matinée dans les cuisines de l’Elysée pour rappeler toute la confiance du président envers le chef et ses équipes. »

 

Affaire Tapie : arbitrage de Bercy ou de l’Elysée ?

Affaire Tapie : arbitrage de Bercy ou de l’Elysée ?

L’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant a affirmé vendredi que le ministère des Finances – et non l’Elysée – avait choisi une procédure d’arbitrage au lieu de la voie judiciaire pour trouver un règlement de l’affaire Tapie-Crédit-Lyonnais-Adidas. Le responsable UMP, très proche de Nicolas Sarkozy, était interrogé par RTL sur les perquisitions dont ses locaux ont fait l’objet cette semaine, montrant que les enquêteurs s’intéressent au rôle que l’ancien président aurait pu avoir dans le choix d’un tribunal arbitral. « L’Elysée était au courant » et « a trouvé que c’était une bonne mesure, mais c’est le ministère des Finances qui a décidé de recourir à cette procédure », a déclaré Claude Guéant. Trois juges d’instruction enquêtent sur la décision prise fin 2007 par l’ancienne ministre de l’Economie, Christine Lagarde, de recourir à un arbitrage pour solder le contentieux opposant depuis 1993 Bernard Tapie au Crédit lyonnais sur la vente d’Adidas. A l’époque, Claude Guéant était secrétaire général de l’Elysée. Il est aujourd’hui avocat au Barreau de Paris.

 

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Sondages Elysée : l’ex-conseiller de Sarkosy Patrick Buisson condamné

Sondages Elysée : l’ex-conseiller de Sarkosy  Patrick Buisson condamné

Alors qu’une nouvelle plainte vise Nicolas Sarkozy dans l’affaire des sondages de l’Elysée, la cour d’appel de Paris a débouté mercredi l’un de ses anciens conseillers. Patrick Buisson, le patron de Publifact, à qui la présidence de la République a commandé des enquêtes d’opinion entre 2007 et 2012, poursuivait en diffamation l’universitaire Alain Garrigou et le journal «Libération».  Le 6 novembre 2009, dans le cadre de cette controverse, le quotidien avait publié une interview de l’agrégé d’histoire titrée «Les sondeurs violent tous les principes déontologiques qu’ils défendent». Le chercheur y déclarait que Buisson était «soit (…) un escroc, soit (…) un petit soldat qui constitue un trésor de guerre pour payer des sondages durant la prochaine campagne électorale sans que ce soit visible dans les comptes de campagne du futur candidat Sarkozy». En première instance, la 17e chambre civile du tribunal de grande instance de Paris avait estimé que ces propos étaient bien «diffamatoires», mais elle avait octroyé à Alain Garrigou le bénéfice de la bonne foi. Pour le tribunal, les propos attaqués n’avaient «pas excédé les limites de la liberté d’opinion volontairement polémique». La cour a ainsi confirmé ce jugement rendu le 16 février 2011, et a condamné M. Buisson à verser 3 588 euros à M. Garrigou et 5 000 euros à «Libération» pour les frais de justice.

 

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