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Alstom Réunion à l’Elysée

Alstom Réunion à l’Elysée

Période pré électorale oblige, le président de la république s’occupe de tout. Ce matin il présidera une réunion interministérielle comprenant plusieurs ministres et secrétaires d’État François  La réunion, prévue à 08h30, se déroulera en présence du Premier ministre, Manuel Valls, et des ministres et secrétaires d’Etat concernés par le dossier : Michel Sapin (Economie), Christophe Sirugue (Industrie), Alain Vidalies (Transports), a-t-on précisé de même source, confirmant une information du Journal du Dimanche. On notera curieusement l’absence de Ségolène Royal pourtant en charge notamment des transports et de l’environnement. Une absence un peu récurrente quand il s’agit de dossiers chauds. Pourtant il s’agit bien d’une problématique économique, industrielle mais aussi environnementale. Encore faudrait-il articuler ces trois dimensions. Encore faudrait-il une cohérence à la politique des transports dont la réflexion s’est arrêtée en 1982. Il va faire quoi François Hollande ? Gagner du temps évidemment en décalant dans le temps la fermeture de Belfort. Le temps de la campagne électorale. Évidemment les politiques tapent sur la direction d’Alstom en n’oubliant que la situation du corrupteur ferroviaire et le fruit d’une politique des transports. Dimanche, Manuel Valls s’est dit convaincu de pouvoir « sauver » Alstom à condition que les dirigeants du groupe « jouent pleinement leur rôle ».Alstom a annoncé cette semaine le transfert d’ici fin 2018 de la production de trains et du bureau d’études de son site historique de Belfort vers celui de Reichshoffen, en Alsace, pour tenir compte de la baisse des commandes en France. « La méthode employée par Alstom est inacceptable », a commenté le Premier ministre au « Grand Rendez-Vous » Europe 1-Les Echos-iTELE. « Tous les jours, avec le président de la République et les ministres, nous nous battons pour qu’Alstom gagne des marchés, au plan international comme au plan européen », a-t-il souligné. L’Etat est actionnaire d’Alstom à hauteur de 20%. « Nous savions les faiblesses qui existaient sur le site de Belfort », a précisé Manuel Valls. « Nous avons déjà sauvé Alstom et nous pouvons sauver Alstom à condition que les dirigeants jouent pleinement leur rôle », a-t-il ajouté. L’ancien ministre de l’Economie Pierre Moscovici, aujourd’hui commissaire européen aux Affaires économiques et financières, a déclaré sur France 3 que l’Etat français devait chercher des appuis. « On ne peut pas laisser Alstom partir comme ça de Belfort. (…) Avec 20%, l’Etat ne peut pas à lui seul empêcher cette fermeture », a dit l’ancien député socialiste du Doubs. Mais Moscovici ne connaît pas grand-chose à la politique des transports (pas davantage d’ailleurs sur le reste si l’on se fie à son bilan lorsqu’il était ministre de l’économie).

(Avec Reuters)

Claude Guéant encore mis en examen pour les sondages de l’Elysée

Claude Guéant encore mis en examen pour les sondages de l’Elysée

C’est la troisième fois que Guéant est mis en examen. Cette fois il s’agit de l’affaire des sondages de l’Élysée. Claude Guéant a déjà été condamné à propos des primes qu’il a indument encaissées au ministère de l’intérieur, il est aussi mis en examen sur les conditions de financement de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007. Bref ce ne sont pas moins de 20 à 30 personnes proches de Nicolas Sarkozy qui sont maintenant impliqués dans 7 différentes affaires en cours, Nicolas Sarkozy faisant lui-même l’objet de 2 mises en examen. Claude Guéant a donc été mis en examen pour complicité de favoritisme dans l’affaire des sondages de l’Elysée, a-t-on appris auprès du Parquet national financier (PNF). L’ancien secrétaire général de l’Elysée sous la présidence de Nicolas Sarkozy a été entendu pendant environ quatre heures dans la matinée par un juge d’instruction au Pôle financier de Paris.  En juillet, Le Monde affirmait qu’une note retrouvée par les enquêteurs prouvait qu’un contrat était passé entre les mains du secrétaire général de l’Elysée. Début février, Emmanuelle Mignon, qui fut directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy à l’Elysée de mai 2007 à juillet 2008, a été mise en examen pour favoritisme dans ce dossier. Ces derniers mois, l’enquête a abouti à la mise en examen notamment de Patrick Buisson, dont la société Publifact est au coeur de l’enquête, et de Pierre Giacometti, lui aussi conseiller de Nicolas Sarkozy durant son mandat. L’information judiciaire pour favoritisme, détournement de fonds publics – dont détournement ou destruction d’archives publiques – vise des sondages et des prestations de communication commandés par la présidence de 2007 à 2012.  L’affaire, qui s’est ouverte en 2009 avec la remise d’un rapport de la Cour des comptes consacré à la gestion du budget de l’Elysée, a pris un tour judiciaire l’année suivante à la suite du dépôt d’une plainte de l’association Anticor. Selon le plaignant, une bonne partie des sondages commandés sans appel d’offres par la société Publifact, entre 2007 et 2009, n’avaient pas d’intérêt public lié à la fonction présidentielle. Sur la période 2010-2012, Anticor estime que certains sondages réalisés, après appels d’offres, ne relevaient pas non plus de la fonction présidentielle. Sont également visés par leur plainte des contrats de prestations en communication passés entre 2007 et 2012 entre l’Elysée et les sociétés de Pierre Giacometti et de Patrick Buisson, soupçonnés d’avoir bénéficié de favoritisme. Claude Guéant a été condamné en novembre dernier à deux ans de prison avec sursis dans l’affaire des primes en liquide perçues lorsqu’il était conseiller de Nicolas Sarkozy de 2002 à 2004 au ministère de l’Intérieur. L’ancien secrétaire général de l’Elysée, qui a décidé de faire appel, s’est également vu infliger une amende de 75.000 euros et une interdiction d’exercer dans la fonction publique pendant cinq ans.

1 milliard pour former 500 000 chômeurs : ou les calculs de coin de table de l’Élysée

1 milliard pour former 500 000 chômeurs : ou les calculs de coin de table de l’Élysée

 

On peut légitimement s’interroger pour savoir comment le gouvernement évalue le coût de formation de 500 000 chômeurs supplémentaires à 1 milliard seulement. Bien qu’il soit difficile d’appréhender le coût exact d’une formation eu égard au croisement des financements le coup de l’ordre de 400 000 chômeurs représente déjà 4 à 5 milliards en 2015. Autant dire qu’il faudra de l’ordre  de 10 milliards pour former 500 000 chômeurs supplémentaires. À moins de se résoudre à des formations gadget express uniquement pour désengorger les statistiques de la catégorie A de pôle emploi. Si l’on s’en tient aux informations des Échos la formation des 500 000 chômeurs supplémentaires coûterait de 1 milliard d’euros dont la moitié serait financée par les fonds de formation professionnelle et la moitié par l’État. Or cette somme paraît complètement dérisoire à moins de se résoudre à parquer les chômeurs dans des formations gadget de courte durée. Pour former réellement un chômeur et lui permettre de déboucher sur un emploi il faut évidemment compter plusieurs semaines et même plusieurs mois le plus souvent ;  dès lors  cette enveloppe d’un milliard paraît complètement anecdotique. Il faudrait compter au moins 10 fois plus si l’on veut réellement faciliter une formation qualifiante pour ces chômeurs La formation de 500.000 chômeurs supplémentaires annoncée par François Hollande lors de ses vœux jeudi 31 décembre devrait coûter « près d’un milliard d’euros » et être financée « pour moitié par l’Etat et pour le reste par les fonds de la formation professionnelle », selon le quotidien Les Echos. Lors de son intervention télévisée, le chef de l’Etat avait annoncé le lancement d’un « plan massif de formation des demandeurs d’emploi », avec « 500.000 personnes de plus (qui) seront accompagnées vers les métiers de demain ». Mais il n’avait donné aucune précision sur le financement et les secteurs concernés. Selon Les Echos dans leur édition à paraître lundi 4 janvier, « le dispositif devrait coûter près d’un milliard d’euros, financé pour moitié par l’Etat et pour le reste par les fonds de la formation professionnelle ». Le secrétaire d’Etat aux Relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen, a indiqué dimanche que le gouvernement allait « mobiliser les moyens très généraux de la formation professionnelle, de l’Éducation nationale«. « Nous allons d’abord en discuter avec les régions«  a-t-il ajouté à l’occasion du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI.  La dernière réforme de la formation professionnelle remonte à 2014, avec en particulier la mise en place du compte personnel de formation (CPF) au 1er janvier 2015. Les demandeurs d’emploi sont les principaux utilisateurs du CPF, selon les données obtenues en décembre auprès du ministère du Travail. Le CPF a remplacé le Droit individuel à la formation (DIF), qui bénéficiait essentiellement aux salariés. Il est plafonné à 150 heures, soit une formation sur une quinzaine de jours autant dire pas grand-chose en tout cas bien insuffisant pour requalifier des chômeurs la plupart de chômeurs.

 

Chômage :  » plainte contre l’Elysée » (Larrouturou)

Chômage :  » plainte contre l’Elysée » (Larrouturou)

INTERVIEW

Pourquoi déposez-vous plainte contre l’Elysée?
Parce que notre pays va vers le chaos avec près de 6 millions de chômeurs (5,73 millions de chômeurs en France en septembre 2015), avec une croissance qui retombe à zéro (l’acquis de croissance est à 0,9% du PIB sur les trois premiers trimestres de 2015, Ndlr) et un Front national en embuscade. On est dans un pays inflammable où les gens en ont ras-le-bol de l’inertie et des mensonges du politique. Et il se trouve que depuis trois ans, seul ou avec Stéphane Hessel, avec Michel Rocard, je suis allé quinze fois à l’Elysée, quinze fois à Matignon… J’ai rencontré Jean-Pierre Jouyet, Emmanuel Macron, François Hollande, Jean-Marc Ayrault et leurs conseillers à de multiples reprises… A chaque fois on nous expliquait que nos solutions étaient concrètes, sans jamais donner suite. A côté, il y a une étude de l’Inserm qui montre que le chômage fait chaque année entre 10.000 et 20.000 morts.

 

Si votre plainte est jugée irrecevable, irez-vous jusqu’à la Cour européenne des droits de l’Homme?
Tout à fait. Notre objectif, c’est de proposer un sursaut. Tout le monde est tétanisé, tout le monde accepte l’idée que 2017 sera un second tour entre Les Républicains et le FN. Nous, on pense qu’il n’est pas trop tard pour agir. Le plan d’urgence que propose Nouvelle Donne c’est 5 mesures qu’on peut mettre en place en 3 mois et qui changeraient complètement le climat du pays.

 

Vous sortez au même moment un nouveau livre (Non-assistance à peuple en danger). Est-ce que cette plainte n’est pas surtout un coup de communication?
Non, le livre est l’argumentaire. Le but du livre est de montrer les solutions et ne vous inquiétez pas mes livres se vendent très bien même lorsque je ne fais pas de procès. Non, ce n’est pas un coup de com’. Honnêtement, la situation est trop grave. 

Récemment l’Insee a pourtant mis en avant des résultats positifs pour le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) mis en place par le gouvernement…
C’est insuffisant. C’est totalement insuffisant. Est-ce qu’il y a des retombées sur l’emploi? François Hollande avait dit qu’il fallait changer l’Europe et ça fait vingt ans que le PS nous dit qu’il faut un traité de l’Europe social! Or, aujourd’hui, si la France a un problème de compétitivité, c’est à cause d’un dumping fiscal et social au niveau européen. En Allemagne, les réformes Hartz ont fait baisser les salaires en 2004. Est-ce que le but c’est de s’aligner sur l’Allemagne? Mais à la fin il n’y aura plus personne pour consommer! La compétitivité, c’est comme le cholestérol, il y a la bonne et la mauvaise. «C’est un scandale. La gauche avait tous les leviers quand elle est arrivée au pouvoir.» 

Vous vous sentez trahi par la politique de François Hollande?
Oui et je pense qu’on est des millions. Ce n’est pas un problème personnel, c’est un effondrement intellectuel. Dernièrement, un proche de François Hollande me disait : « Avec Jospin, on a eu le Front national au deuxième tour, avec François Hollande, ça risque d’être pire ». C’est un scandale. La gauche avait tous les leviers quand elle est arrivée au pouvoir. Le Sénat, l’Assemblée, les régions… Après la crise économique de 2008, tout le monde a dit que c’était une crise du capitalisme, Joseph Stiglitz, Paul Krugman… Tout le travail avait été fait intellectuellement. Quand François Hollande est arrivé en 2012, le pays était mûr pour avoir un vrai débat sur la justice sociale.

Mais les caisses de l’Etat étaient vides… 
Vous savez, celle qui a été nommée à Solférino pour lutter contre les paradis fiscaux c’est Valérie Rabault qui était avant chez BNP Paribas. Quand tous les partis politiques sont unanimes pour dire qu’il y a 50 milliards qui manquent dans les caisses de l’Etat à cause des paradis fiscaux, est-ce qu’on se donne vraiment les moyens de lutter contre? Barack Obama a fait passer la loi Fatca, ça a provoqué la colère des banquiers mais il l’a fait. Aujourd’hui, la situation au niveau des marchés financiers est pire qu’en 2008. La séparation des banques d’activité et de dépôt doit être centrale. Si il y a un tsunami financier sur les marchés on va le prendre en pleine tête.

Sondages de l’Elysée : encore un copain de Sarkozy mis en examen

Sondages de l’Elysée : encore un copain de Sarkozy mis en examen

Des centaines et des centaines de sondages commandé par Sarkozy sondage commandé par Sarkozy pendant qu’il était président de la république ; sondage dont beaucoup n’avaient strictement rien à voir avec la fonction présidentielle. Exemple des sondages concernant l’image de Carla Bruni (peut-être pour aider à la promotion d’une carrière de chanteuse très laborieuse !). Sondages en outre attribués à des copains notamment à buisson mais aussi à Pierre Giacometti, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, qui vient d’être mis en examen pour recel de favoritisme dans l’affaire dite des « sondages de l’Elysée », a-t-on appris mardi de source judiciaire. Une information judiciaire pour favoritisme, détournement de fonds publics (dont détournement ou destruction d’archives publiques) vise des sondages et des prestations de communication commandés par l’Elysée sous Nicolas Sarkozy, de 2007 à 2012. L’ancien patron d’Ipsos a facturé pour 2,56 millions d’euros de prestations de communication entre 2007 et 2012, selon l’association Anticor, à l’origine de l’enquête, ouverte à la suite de sa plainte avec constitution de partie civile. En juillet dernier, Patrick Buisson, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, avait été mis en examen dans ce dossier pour recel de favoritisme, détournement de fonds publics par un particulier et abus de biens sociaux. Six personnes, dont l’ancien ministre Claude Guéant et l’ex-secrétaire général de la présidence Xavier Musca, avaient par ailleurs été placées en garde à vue. Anticor estime qu’une bonne partie des sondages commandés sans appel d’offres par la société de Patrick Buisson Publifact, entre 2007 et 2009, n’avaient pas d’intérêt public lié à la fonction présidentielle. Sur la période 2010-2012, Anticor estime que certains sondages réalisés, après appels d’offres, ne relevaient pas non plus de la fonction présidentielle. Sont également visés par leur plainte des contrats de prestations en communication passés entre 2007 et 2012 entre l’Elysée et les sociétés de Pierre Giacometti et de Patrick Buisson, tous deux conseillers et amis de Nicolas Sarkozy, soupçonnés d’avoir bénéficié de favoritisme.

Les 300 sondages de Sarkozy à l’Elysée : mise en examen

Les 300 sondages de Sarkozy à l’Elysée : mise en examen

Il est vraisemblable que Sarkozy sera une nouvelle fois épargné  par cette affaire de sondages pendant qu’il était président dans la république. Pas moins de 300 dont les conditions d’attribution et de financement suscite le doute de la justice. Patrick buisson, L’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy est mis en examen pour recel de favoritisme, détournement de fonds publics par un particulier et abus de bien sociaux, dans l’enquête des sondages de l’Elysée, selon une source judiciaire. Pierre Giacometti, consultant de l’ex-président, est toujours entendu par les enquêteurs. Patrick Buisson, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, a été mis en examen mercredi pour recel de favoritisme, détournement de fonds publics par un particulier et abus de biens sociaux dans l’enquête dite « des sondages de l’Elysée« , a-t-on appris de source judiciaire.  Il a été entendu dans la matinée par la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) avec Pierre Giacometti, toujours consultant ès opinion de l’ancien président. Ce dernier se trouve toujours à la BRDE.  »L’audition de mon client a été très rapide, il s’exprimera plus tard sur le fond du dossier, mais il reste parfaitement serein », annonce l’avocat de Patrick Buisson, Me Gilles-William Goldnadel. Début juin, Claude Guéant et Xavier Musca, anciens secrétaires généraux de l’Elysée, mais aussi Emmanuelle Mignon, ex-directrice de cabinet avaient notamment été placés en garde à vue dans le cadre de cette affaire. Nicolas Sarkozy ne devrait pas être lui-même inquiété puisqu’il est protégé par son immunité présidentielle puisqu’il était alors chef de l’Etat. A l’origine de cette enquête, un signalement de la Cour des comptes qui en 2009, dans son rapport sur l’exécution du budget de la présidence de la République, s’était étonnée de sa pratique en matière de sondages. Le député socialiste René Dosière avait dénoncé une « ivresse sondagière » et l’association Anticor avait porté plainte. L’association avait recensé 300 sondages pour un montant de plus de neuf millions d’euros. Selon l’association, bon nombre de ses sondages étaient partisans et auraient dû être financés par le parti, l’UMP. Une information judiciaire a été ouverte pour favoritisme et détournement de fonds publics à la suite d’une plainte avec constitution de partie civile de l’association Anticor, qui lutte contre la corruption. Elle estime qu’une bonne partie des sondages commandés par la société de Patrick Buisson Publifact, entre 2007 et 2009, n’avaient pas d’intérêt public lié à la fonction présidentielle. Sur la période 2010-2012, Anticor considère que certains sondages réalisés après appels d’offres ne relevaient pas non plus de la fonction présidentielle.

Dépenses : « seulement » 100 millions pour l’Elysée !

Dépenses : seulement 100 millions pour l’Elysée !

 

 

C’est l’austérité partout même à l’Elysée. Seulement 100 millions de dépenses cette année. Tout  cela avec un président qui mange trois fois plus que son prédécesseur ! 100 millions uen misère pour uen monarchie royale qui compte seulement un millier de collaborateurs et autres courtisans. En fait on a notamment réduit les frais de personnel (tu parles,  la plupart sosnt détachés d’organismes de l’Etat et payés par ces derniers, non par l’Elysée).  Pour quoi faire ? Pour doubler Matignon ? Pour faire double emploi avec les ministères et pour dupliquer les administrations centrales et même  locales. Et au bout l’armée mexicaine de 5 millins de fonctionnaires.   « De fait les produits retracés dans le compte de résultat se sont établis à 103,23 millions d’euros et les charges calculées à 100,04 millions d’euros, dégageant un résultat positif de 3,19 millions d’euros. Le reversement au Trésor de 1,66 million d’euros a ramené la dotation disponible en 2014 de 101,66 à 100 millions d’euros », précise la Cour (un mot qui convient), qui contrôlait pour la septième année le budget de l’Elysée. Si la Cour s’est félicitée de la poursuite de la maîtrise des dépenses « notamment pour ce qui concerne les charges courantes et de maintenance, le parc automobile et les déplacements », elle continue à souhaiter l’instauration « d’un cadre juridique approprié pour la gestion budgétaire et comptable » et « le développement de procédures de contrôle interne performantes ». Des économies ont été réalisées sur les principaux postes de dépenses, selon la Cour. En 2014, les charges de la présidence se sont donc établies à 100 millions d’euros, en retrait de 1,3% par rapport à l’exercice précédent. Les produits (103,2 millions d’euros) sont également inférieurs à ceux de 2013 (-1,6%). La diminution des charges concerne tous les postes d’exploitation (achats, charges externes, impôts, salaires), sauf les dotations aux amortissements et provisions, relève la Cour. Dans le détail, s’agissant de la rémunération des personnels, le montant des dépenses (68,2% du total) a diminué de 1,6% en 2014 par rapport à l’année précédente, énumère la Cour pour qui, cependant, le « recours très excessif, au regard du droit en vigueur, aux heures supplémentaires n’est pas encore réglé ». Les dépenses de fonctionnement et d’investissement du secteur communication ont été de 1,14 million d’euros contre 1,20 million en 2013 (-5%).

 

« Marine Le Pen à l’Elysée ? Scandaleux ! ( Jean-Marie Le Pen)

« Marine  Le Pen à l’Elysée ?  Scandaleux ! ( Jean-Marie Le Pen)

 

Le fondateur du FN  a dit mardi ne pas souhaiter une victoire de sa fille Marine Le Pen à l’élection présidentielle de 2017, estimant au lendemain de sa suspension du Front national qu’il serait « scandaleux » de la voir à l’Elysée. Le bureau exécutif du FN a suspendu le président d’honneur du parti à titre conservatoire, en attendant que ses militants se prononcent sur une suppression de ce titre, après qu’il eut réitéré ses propos sur les chambres à gaz nazies durant la Seconde Guerre mondiale, « détail » de l’histoire selon lui. Invité à dire mardi sur Europe 1 s’il souhaitait voir sa fille remporter la présidentielle de 2017, Jean-Marie Le Pen a répondu : « Pour l’instant, non ». « Si de tels principes moraux devaient présider à l’Etat français, ce serait scandaleux », a ajouté l’ancien président du FN, qui crie à la trahison et a dit lundi soir « répudier » sa fille après une « félonie ». « L’adversaire vous combat de face, là il vous combat de dos », a-t-il ajouté. Sept des huit membres présents lundi au bureau exécutif du FN se sont prononcés en faveur de la suspension de Jean-Marie Le Pen, après l’adoption par un bureau politique, instance plus large, d’une motion dénonçant ses propos. Mardi, plusieurs membres de l’instance disciplinaire ont vu dans la réaction de Jean-Marie Le Pen un argument supplémentaire en faveur de leur décision. « La démocratie interne a parfaitement fonctionné au Front national et la décision est parfaitement claire », a dit sur BFM TV Wallerand de Saint-Just. « Je suis d’autant plus conforté dans cette décision quand je constate le caractère indigne des déclarations qu’il a faites après le bureau exécutif. » Florian Philippot, vice-président du FN et accusé à mots à peine couverts par Jean-Marie Le Pen d’avoir été à la manœuvre, a jugé que Marine Le Pen avait agi « en femme d’Etat » et affirmé que la refonte des statuts à venir ferait du FN une « machine de guerre » en vue de 2017. Selon un sondage Odoxa pour Le Parisien publié mardi, Marine Le Pen serait en tête au premier tour de la présidentielle avec 29% des voix, devant Nicolas Sarkozy (28%) et François Hollande (18%) si le scrutin avait lieu cette semaine.

 

Monarchie républicaine : Julie Gayet s’installe à l’Elysée

Monarchie républicaine : Julie Gayet s’installe à l’Elysée

Dans une  république monarchique il est normal que la courtisane installe ses quartiers près du roi. Ce que vient de faire Julie Gayet d’après l’hebdomadaire VSD. Le rondouillard petit monarque Normal 1er a même offert des vacances à toute la famille Gayet à la Lanterne, autre résidence royale.  Le petit monarque impopulaire ne doute de rien surtout pas  de lui-même, , il ne craint pas même le ridicule. A quand un statut officiel de la favorite ? Après avis du conseil constitutionnel évidement. D’après VSD Julie Gayet  »  rejoint le Président tous les soirs et ne s’en cache plus. Mais elle tient à garder son indépendance ».  Toutefois, dans les colonnes de VSD, pas de grande révélation. Hormis le fait que, selon des sources « savamment distillées », « Julie Gayet trouve ses marques à l’Élysée », « qu’on l’y croise presque quotidiennement » et « qu’elle n’y entre plus clandestinement ». Ainsi que de nouveaux meubles seraient entrés au palais présidentiel. « Tout ce la a un parfum de vérité », commente le magazine, argumentant qu’on y « trouve tous les ingrédients du hollandisme », à savoir : un « mélange de transgression et de prudence », un « goût pour l’aventure » et « la peur de la faute lourde ».  VSD rappelle également les photos publiées mi-avril par Voici montrant la supposée compagne de François Hollande et sa famille à La Lanterne, à l’occasion du week-end de Pâques.

 

Le fils de Trierweiler dans les cuisines de l’Elysée

Le fils de  Trierweiler dans les cuisines de lElysée

Même quand les maitresses sont répudiées  leur progéniture bénéficie d’une  charge dans la république monarchique. Les bâtards sont plus choyés que les pièces rapportées comme le fils de Trierweiler qui devra se contenter d’une place dans les cuisines de l’Elysée. Selon Closer, Léonard, le dernier fils de l’ancienne première Dame Valérie Trierweiler et étudiant à l’école de gastronomie Ferrandi, retrouverait les chemins de l’Elysée pour trois mois, dans le cadre d’un stage aux cuisines présidentielles. Malgré les relations tendues entre le président de la République et la mère du nouveau stagiaire depuis la parution de Merci pour ce moment, le jeune homme, qui a partagé la vie de François Hollande pendant neuf ans, et le chef de l’Etat seraient restés très proches. Valeurs actuelles confiait par ailleurs en octobre dernier que le jeune garçon avait continué à vivre au sein de l’Elysée pendant huit mois après le départ de sa mère. L’adolescent a été choisi pour intégrer l’équipe du chef Guillaume Gomez, composée d’une vingtaine de personnes. Petit nouveau dans la brigade, il a au moins l’avantage de connaitre les goûts de son président.

 

100 femmes chez Hollande à l’Élysée : gourmand !

100 femmes chez  Hollande à l’Élysée : gourmand !

Cette fois ce n’est pus de la gourmandise,  c’est de la gloutonnerie. Pour aller aux Philippines, il s’était déjà fait accompagner par deux charmantes actrices ( il n’y avait que deux laces sur le scooter) mais là c’est 100 femmes qui vont visiter Hollande. Ou alors il s’est converti à L’islam radical. Pas la peine que Valls se décarcasse pur repeindre les cages d’escalier des HLM pour lutter contre les fondamentalistes. Encore un plan contre l’apartheid qui foire. François Hollande reçoit dimanche matin des femmes venues de toute la France. Dont Justine qui se confie au JDD.  Un récit poignant, extrait :

Elles ne sont jamais entrées dans un lieu de pouvoir mais elles seront dimanche matin à l’Élysée pour dialoguer avec François Hollande, en ce dimanche 8 mars. Justine Ly est l’une de ces 100 femmes. « Pour moi, c’est grandiose. Venir à l’Élysée, c’est un privilège », avoue de sa voix rieuse cette conductrice de machines de 34 ans. Petite, elle ne savait pas ce qu’elle voulait faire. Elle grandissait dans « une famille modeste », avec ses huit frères et sœurs. Elle voyait son père partir tous les jours à « la manufacture Michelin », comme elle l’appelle, et comme tout le monde ou presque la surnomme à Clermont-Ferrand. « Je trouvais que mon papa était souvent fatigué, que c’était dur pour lui », se souvient cette maman d’une petite fille de 5 ans, née pendant qu’elle cherchait encore sa voie. Mais un jour, elle l’a trouvée. Et la jeune femme est entrée à son tour chez Michelin, où deux de ses frères travaillent aussi. Un CDD d’abord et maintenant un CDI. « Ma responsabilité? Faire de bons pneus. Je conduisais de petites machines, je viens de commencer une formation pour m’occuper de plus grosses machines industrielles », raconte avec enthousiasme celle qui travaille en trois-huit comme de si nombreux ouvriers. « Quand je travaille la nuit, mon compagnon garde ma fille. Travailler en trois-huit, ça me facilite la gestion de ma vie personnelle, je peux emmener ma fille à l’école ou passer l’après-midi avec elle. » Elles ne sont que 60 femmes sur les 700 salariés du site. Ce qu’elle a envie de dire au Président? « Que le travail aujourd’hui en usine, c’est possible pour une femme, si l’entreprise s’en donne les moyens. »

 

Hulot reçu à l’Élysée

 

Il y a eu l’année de la reprise, celle de l’inversion du chômage et pour masquer ces échec il aura en 2015 l’année de l’environnement ; Pour le faire savoir Hollande reçoit Nicols Hulot. Il ne paraissait pourtant pas utile de faire « fuiter » cette rencontre puisque Holt est l’envoyé spécial de Hollande pour la planète. En fait encore un coup de com. D’autant qu’il n’y a aura pas de coups tordus de la part de Hulot qui a mis beaucoup d’eau dans son vin depuis sa nomination.  François Hollande l’a promis lors de ses vœux du 31 décembre, 2015 sera une année placée sous le signe de l’écologie avec la conférence sur le climat qui se tiendra à Paris au mois de décembre. Et, tout un symbole, la première personne que le président de la République reçoit à l’Elysée cette année est Nicolas Hulot, qui devrait être l’un des personnages clés de ce grand rendez-vous. Depuis deux ans, Nicolas Hulot est l’envoyé spécial du président pour la protection de la planète. Une mission qui l’a emmené dans de nombreux pays : le Qatar, la Chine ou encore les Etats-Unis. Il s’agit de mobiliser la communauté internationale sur la crise écologique. Un travail de longue haleine et de l’ombre. Reste à savoir s’il sera payant ou non. En attendant, le président consulte à tout va. Depuis plusieurs mois, avec Ségolène Royal, ils ont reçu plusieurs anciens ministres de l’Environnement y compris à droite. Le numéro 2 de l’UMP Nathalie Kosciusko-Morizet, Corinne Lepage, ancienne ministre de Jacques Chirac mais aussi Jean-Louis Borloo, l’ancien président de l’UDI. « La conférence pour le climat c’est un enjeu qui n’est pas partisan, qui n’est pas uniquement français. C’est beaucoup plus large que ça« , explique Corinne Lepage qui a donc été reçue par le chef de l’État. « Cette conférence est très importante pour l’image de la France mais aussi pour l’économie. Il faut entrer dans le train de la nouvelle économie, là il y a de l’activité, de l’emploi, de la création de valeur et de richesse« , détaille sur France Info l’ancienne ministre de l’Écologie. Hollande complétement discrédité à l’intérieur cherche à se refaire une santé électorale au plan international ; certes les questions environnementales sont importantes mais elles ne sauraient masquer encore pendant toute une année les échecs sur le plan socio-économique. Or sans articulation avec les problématiques socio-économiques rien de significatif n’avancer sur le terrain environnemental.  En clair,  François Hollande est à la recherche d’une reconquête électorale  l sur le thème de l’écologie Surtout que lors de ses vœux, il a affiché un objectif très ambitieux : faire signer aux grands dirigeants du monde une déclaration sur les droits de l’humanité pour préserver la planète.

Jeu de chaises musicales énarchiques à l’Elysée

Jeu de chaises musicales énarchiques  à l’Elysée

 

Ça bouge à l’Elysée, non pas vraiment une révolution culturelle, on reste entre bourgeois. Des copains énarques qui remplacent d’autres copains énarques de Hollande ;Sylvie Hubac quittera ses fonctions à la fin de l’année et sera remplacée par le directeur de cabinet de Bernard Cazeneuve, Thierry Lataste. Philippe Léglise-Costa quitte, par ailleurs, ses fonctions de conseiller pour l’Europe. « Mme Constance RIVIERE, maître des requêtes au Conseil d’Etat, conseillère au cabinet du Président de la République, sera nommée directrice adjointe« , précise par ailleurs le communiqué de l’Elysée. Selon des informations de BFM TV, Sylvie Hubac, issue de la même promotion à l’ENA que François Hollande – la fameuse « promotion Voltaire » – va réintégrer le Conseil d’Etat, grand corps de l’Etat dont elle est issue. Sylvie Hubac occupait le poste de directrice de cabinet depuis l’élection de François Hollande, en mai 2012, et aurait convenu avec le président qu’elle quitterait ce poste à mi-mandat. Une source proche confiait ainsi aux « Echos » en novembre qu’elle « n’avait jamais envisagé de faire le quinquennat ».  Sylvie Hubac, compagne de Philippe Crouzet, le PDG de Vallourec, avait été pointée du doigt par l’ancienne ministre de l’Ecologie Delphine Batho lors de son éviction du gouvernement. Le conjoint de Sylvie Hubac avait en effet annoncé le limogeage de la ministre des semaines à l’avance devant des actionnaires de l’entreprise de forages pétroliers et gaziers. Dès lors, pour Delphine Batho, le doute n’était plus permis  : «Que le patron de Vallourec dise que je suis un désastre parce que je fais rempart au gaz de schiste et que je veux réduire la part du nucléaire, c’est une chose, qu’il annonce ma mise à l’écart à l’avance, c’en est une autre. De quelle informations disposait-il pour être si sûr de lui?», avait-elle déclaré lors d’une conférence de presse. Par ailleurs, Philippe Léglise-Costa quitte ses fonctions de conseiller pour l’Europe de François Hollande afin de se concentrer sur la réorganisation du suivi des dossiers communautaires en tant que secrétaire général aux Affaires Européennes. Nommé à ce poste le 9 avril dernier, il cumulait jusqu’ici les deux fonctions. Le président français lui a demandé « de conduire une réorganisation du suivi des affaires européennes afin de renforcer la cohérence de l’action du gouvernement dans ce domaine, les échanges avec les institutions européennes, ainsi que les liens avec tous les acteurs concernés », peut-on lire dans un communiqué publié vendredi par l’Elysée.

 

«Jouyet, un bon secrétaire général de l’Elysée»….. comme Hollande, un bon président !

«Jouyet,  un bon secrétaire général de l’Elysée»….. comme Hollande, un bon président !

 

C’est Hollande, un expert,  qui le dit, Jouyet c’est un bon ! Enfin presque, un copain en tout cas François Hollande a attendu 8  jours pour soutenir son ami. Un ami de quarante ans qui pourrait bien connaître le sort d’autres si les afires médiatiques ne se calment pas. Ce ne sont pas les états d’âme qui étoufferont t Hollande. . Interrogé, à l’issue du G20 de Brisbane (Australie) sur les versions contradictoires livrées par Jean-Pierre Jouyet pour tenter de se sortir de l’affaire Fillon-Jouyet, et son maintien en poste au secrétariat général de l’Elysée malgré ce «mensonge», François Hollande a défendu son collaborateur, proche ami depuis quarante ans.  «Le secrétaire général de l’Elysée n’est pas présent ici au G20, parce que ce n’était pas sa place. Votre question n’a donc pas sa place ici» a d’abord expliqué le président de République avant de poursuivre : «Jean-Pierre Jouyet est le secrétaire général de l’Elysée et c’est un bon secrétaire général de l’Elysée». Concis, clair et net.   Jusqu’ici, la défense politique des socialistes autour de Jouyet s’était limitée à la matinée de mercredi. A l’issue du conseil des ministres, Ségolène Royal, amie elle-aussi de Jouyet, avait assuré que le secrétaire général avait «bien sûr» le soutien de tous à l’Elysée, ce qu’avait appuyé quelques minutes plus tard le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll. Surtout, pour montrer sa confiance à Jouyet, Manuel Valls s’était longuement attardé avec lui sous l’oeil des caméras massées dans la cour de la présidence. Les deux hommes étaient tout sourire  et visiblement d’humeur légère.

Affaire Jouyet-Fillon : l’Elysée s’enfonce dans la contradiction

Affaire Jouyet-Fillon : l’Elysée s’enfonce dans la contradiction

 

Dans cette affaire on ne prouvera rien et Jouyet a complètement dérapé. Le troisième homme présent au cours du déjeuner Fillon- Jouyet affirme que jamais la question d’influencer la justice pour les affaires de Sarkozy n’a été évoquée. Tout repose donc sur les affirmations de Jouyet (les témoignages des journalistes apporteront rien de plus)°. Jouyet l’apprenti sorcier qui joue depuis longtemps déjà au grand stratège politique (il avait par exemple déjà annoncé la nomination d’Ayrault avant sa publication officielle ou encore déclaré que la BPI n’avait pas pour rôle de sauver les canards boiteux !).Pourtant Jouyet de fait pas partie du PS, il navigue même habillement entre la droite et la gauche. Il n’avait donc aucun mandat pour évoquer cette question. A moins qu’il ne s’agisse d’une nouvelle erreur de com.  De Hollande qui évidemment ne cesse de se préoccuper des suites judicaires de Sarkozy.  Le troisième homme du déjeuner entre Jean-Pierre Jouyet, l’actuel secrétaire général de l’Elysée, et l’ancien premier ministre François Fillon sort donc de son silence dans une interview accordée au Figaro daté de mercredi. Antoine Gosset-Grainville, qui a travaillé avec les deux hommes, prend résolument le parti de François Fillon.  Ancien directeur-adjoint du cabinet de François Fillon pendant trois ans à Matignon, puis bras droit de Jean-Pierre Jouyet à la Caisse des Dépôts, Antoine Gosset-Grainville est sorti de son silence ce mardi. Dans une interview au Figaro, il apporte sa version des faits au sujet du fameux déjeuner lors duquel l’ancien Premier ministre aurait demandé l’intervention de l’Elysée dans les affaires de l’UMP.  Il est d’abord catégorique sur l’initiative de ce déjeuner : « La secrétaire de Jouyet a pris contact avec la mienne » et à aucun moment, ajoute-t-il, François Fillon n’a sollicité la moindre intervention de la part de Jean-Pierre Jouyet sur un quelconque sujet politique. Selon Antoine Gosset-Grainville, ce déjeuner n’a pas porté sur des questions de politique nationale et encore moins sur les affaires de l’UMP. Il le répète plusieurs fois au cours de l’interview. 

 

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