Archive pour le Tag 'élus'

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Une loi pour le retour à l’emploi des élus locaux !

Une loi pour le retour à l’emploi des   élus locaux !

Une loi pour que les élus locaux retrouvent un emploi ( 600 000 en France record du monde )  ! Pourquoi pas,  mais les élus qui viennent de voter cette loi pour eux mêmes ont-ils  pensé aux millions de chômeurs qui eux lorsqu’ils  sont virés  d’uen boite ne bénéficient d’aucun mécanisme spécifique pour se recaser ? Vraiment curieux ces lois votées  par des élus au bénéfice seulement des élus. De toute manière les cas sont très marginaux d’autant plus qu’environ 60% des élus sosnt des fonctionnaires ou équivalents. Qu’ils votent donc les impôts et qu’ils  en bénéficient dune manière ou d’uen autre. La priorité n’est pas de reclasser quelques élus mais d’interdire les fonctions électives aux fonctionnaires ( sauf s’ils abandonnent   leur statuts). Enfin en limitant le durée du mandat à une dizaine d’années , on facilitera les reclassements car au bout de 20 ou 30 ans de mandats  les élus deviennent non recyclables. Enfin pourquoi des élus à plein temps et rémunérés, ce doit être tâche bénévole. Ce qui évitera d’inonder le pays de lois, de fiscalités et de projets inutiles.  Des milliers et des milliers de responsables consacrent plusieurs  heures par jour à leur  associations sans aucune rémunération et parfois de leur  poche. On ne veut pas que les élus aient plus qu’un citoyen classique mais on est dans le paradoxe où ils ont moins de choses », explique sans honte  Philippe Doucet, le rapporteur de la loi.  Les élus locaux toucheront désormais des indemnités de fin de mandat pendant un an contre six mois aujourd’hui. Ils pourront valider leurs acquis et ainsi obtenir un diplôme de gestion ou d’urbanisme. Ils bénéficieront également d’un droit à la formation. Toutes ces mesures sont censées pousser les salariés du privé à se lancer en politique, alors que la majorité des élus locaux est constituée de retraités et de fonctionnaires.  La loi garantira une place au chaud au salarié qui se lance. Une entreprise privée sera obligée de réintégrer l’élu à la fin de son mandat, dans les communes de 10.000 habitants et plus. Les parlementaires, qui ne sont pas concernés par cet ensemble de mesures, espèrent renouveler et féminiser la classe politique.

 

Montant retraite Hollande ou le scandale des fonctionnaires élus politiques

Montant Retraite Hollande ou le scandale des fonctionnaires élus politiques

Pourquoi  –t-il autant d’élus anciens fonctionnaires, tout simplement parce qu’ils conservent pendant leur mandat les avantages de leur statut notamment la retraite ( en plus de celle d’élus) comme Hollande qui va toucher une retraite de 31 000 euros par mois (  15 000 d’après l’Elysée). En outre les fonctionnaires sont assurés de retrouver leur emploi en cas d’échec à une élection. Du coup les plus hautes institutions sons composées essentiellement de fonctionnaires. Fonctionnaires  qui n’ont  qu’une connaissance assez ésotérique de l’entreprise et des réalités socio-économiques  et pour qui réglementation et fiscalité sont l’alpha et l’oméga de la politique. La sociologie politique  est ainsi complètement faussée, elle n’est pas représentative de la France et la démocratie est confisquée par une caste. Plus grave, cela sécrète une culture de la bureaucratie qui étouffe l’économie et tue l’emploi. Certes on ne peut empêcher les fonctionnaires de faire de la politique mais sous condition qu’il renonce totalement à leur statut. Ce que n’a pas faiat Hollande et les autres. Pour se lancer dans la politique il faut du temps et des moyens ce que n’ont pas les français issus du privé. Cette situation aboutit à un Etat  surdimensionné car entre politiques  et fonctionnaires on se renvoie l’ascenseur et tout réforme de l’Etat devient impossible. D’où une fiscalité qui étouffe entreprise et ménages, le tout au non du service public qui  amalgame les concepts de  service public, entreprises publiques et statut. 57 % de la richesse nationale sont  ainsi consacrés aux dépenses publiques, aucun Etat ne peut être compétitif dans ces conditions, sans parler de la bureaucratie que cela génère. Le changement n’est pas pour demain car ces fonctionnaires sont présents dans tous les partis. Raymond Barre à son époque avait bien tenté de lancer une reforme pour remédier à cette situation mais il avait été vite « recadré ;  depuis, plus rien…

 

Retraite Hollande ou le scandale des fonctionnaires élus politiques

Retraite Hollande ou le scandale des fonctionnaires élus politiques

Pourquoi y –t-il autant d’élus anciens fonctionnaires, tout simplement parce qu’ils conservent pendant leur mandat les avantages de leur statut notamment la retraite ( en plus de celle d’élus) comme Hollande qui va toucher une retraite de 31 000 euros par mois(  21000 d’après l’Elysée). En outre les fonctionnaires sont assurés de retrouver leur emploi en cas d’échec à une élection. Du coup les plus hautes institutions sons composées essentiellement de fonctionnaires. Fonctionnaires  qui n’ont  qu’une connaissance assez ésotérique de l’entreprise et des réalités socio-économiques  et pour qui réglementation et fiscalité sont l’alpha et l’oméga de la politique. La sociologie politique  est ainsi complètement faussée, elle n’est pas représentative de la France et la démocratie est confisquée par une caste. Plus grave, cela sécrète une culture de la bureaucratie qui étouffe l’économie et tue l’emploi. Certes on ne peut empêcher les fonctionnaires de faire de la politique mais sous condition qu’il renonce totalement à leur statut. Ce que n’a pas faiat Hollande et les autres. Pour se lancer dans la politique il faut du temps et des moyens ce que n’ont pas les français issus du privé. Cette situation aboutit à un Etat  surdimensionné car entre politiques  et fonctionnaires on se renvoie l’ascenseur et tout réforme de l’Etat devient impossible. D’où une fiscalité qui étouffe entreprise et ménages, le tout au non du service public qui  amalgame les concepts de  service public, entreprises publiques et statut. 57 % de la richesse nationale sont  ainsi consacrés aux dépenses publiques, aucun Etat ne peut être compétitif dans ces conditions, sans parler de la bureaucratie que cela génère. Le changement n’est pas pour demain car ces fonctionnaires sont présents dans tous les partis. Raymond Barre à son époque avait bien tenté de lancer une reforme pour remédier à cette situation mais il avait été vite « recadré ;  depuis, plus rien…

Retraite Hollande à 31 000 euros mensuels ou le scandale des fonctionnaires élus politiques

Retraite Hollande à 31 000 euros mensuels ou le   scandale des fonctionnaires élus politiques

 

Pourquoi y –t-il autant d’élus anciens fonctionnaires, tout simplement parce qu’ils conservent pendant leur mandat les avantages de leur statut notamment la retraite (en plus de celle d’élus) comme Hollande qui va toucher une retraite de 31 000 euros par mois. En outre les fonctionnaires sont assurés de retrouver leur emploi en cas d’échec à une élection. Du coup les plus hautes institutions sons composées essentiellement de fonctionnaires. Fonctionnaires  qui n’ont  qu’une connaissance assez ésotérique de l’entreprise et des réalités socio-économiques  et pour qui réglementation et fiscalité sont l’alpha et l’oméga de la politique. La sociologie politique  est ainsi complètement faussée, elle n’est pas représentative de la France et la démocratie est confisquée par une caste. Plus grave, cela sécrète une culture de la bureaucratie qui étouffe l’économie et tue l’emploi. Certes on ne peut empêcher les fonctionnaires de faire de la politique mais sous condition qu’il renonce totalement à leur statut. Ce que n’a pas faiat Hollande et les autres. Pour se lancer dans la politique il faut du temps et des moyens ce que n’ont pas les français issus du privé. Cette situation aboutit à un Etat  surdimensionné car entre politiques  et fonctionnaires on se renvoie l’ascenseur et toute réforme de l’Etat devient impossible. D’où une fiscalité qui étouffe entreprise et ménages, le tout au non du service public qui  amalgame les concepts de  service public, entreprises publiques et statut. 57 % de la richesse nationale sont  ainsi consacrés aux dépenses publiques, aucun Etat ne peut être compétitif dans ces conditions, sans parler de la bureaucratie que cela génère. Le changement n’est pas pour demain car ces fonctionnaires sont présents dans tous les partis. Raymond Barre à son époque avait bien tenté de lancer une reforme pour remédier à cette situation mais il avait été vite « recadré ;  depuis, plus rien…

Le scandale des fonctionnaires élus politiques

Le scandale des fonctionnaires élus politiques

 

Pourquoi y –t-il autant d’élus anciens fonctionnaires, tout simplement parce qu’ils conservent pendant leur mandat les avantages de leur statut notamment la retraite ( en plus de celle d’élus) comme Hollande qui va toucher une retraite de 31 000 euros par mois. En outre les fonctionnaires sont assurés de retrouver leur emploi en cas d’échec à une élection. Du coup les plus hautes institutions sons composées essentiellement de fonctionnaires. Fonctionnaires  qui n’ont  qu’une connaissance assez ésotérique de l’entreprise et des réalités socio-économiques  et pour qui réglementation et fiscalité sont l’alpha et l’oméga de la politique. La sociologie politique  est ainsi complètement faussée, elle n’est pas représentative de la France et la démocratie est confisquée par une caste. Plus grave, cela sécrète une culture de la bureaucratie qui étouffe l’économie et tue l’emploi. Certes on ne peut empêcher les fonctionnaires de faire de la politique mais sous condition qu’il renonce totalement à leur statut. Ce que n’a pas faiat Hollande et les autres. Pour se lancer dans la politique il faut du temps et des moyens ce que n’ont pas les français issus du privé. Cette situation aboutit à un Etat  surdimensionné car entre politiques  et fonctionnaires on se renvoie l’ascenseur et tout réforme de l’Etat devient impossible. D’où une fiscalité qui étouffe entreprise et ménages, le tout au non du service public qui  amalgame les concepts de  service public, entreprises publiques et statut. 57 % de la richesse nationale sont  ainsi consacrés aux dépenses publiques, aucun Etat ne peut être compétitif dans ces conditions, sans parler de la bureaucratie que cela génère. Le changement n’est pas pour demain car ces fonctionnaires sont présents dans tous les partis. Raymond Barre à son époque avait bien tenté de lancer une reforme pour remédier à cette situation mais il avait été vite « recadré ;  depuis, plus rien…

Corruption éoliennes ; les élus locaux dans le vent !

Corruption éoliennes ; les élus locaux dans le vent !

 

Au plan national , tout le monde (ou presque)  se sucre d’une manière ou d’une autre (la plus sophistiquée consistant à transformer sa fonction en métier à vie avec tous les avantages y afférant) ;  du coup,  les élus locaux s’y mettent aussi avec notamment des prise d’intérêt illégaux lors des implantations d’éoliennes. Le Service central de prévention de la corruption (SCPC), dans un rapport cité vendredi 4 juillet par ‘Le Figaro’, attire l’attention des pouvoirs publics sur la multiplication des « prises illégales d’intérêts » d’élus locaux impliqués dans le développement de la filière éolienne. Les éoliennes ont une fâcheuse tendance à faire tourner la tête des élus locaux. C’est le diagnostic effectué par le Service central de prévention de la corruption (SCPC), qui met en garde les pouvoirs publics contre la multiplication des « prises illégales d’intérêts », dans un rapport cité par Le Figaro de ce vendredi 4 juillet. Le SCPC, qui dépend du ministère de la Justice, évoque un « phénomène d’ampleur » dans son rapport d’activité 2013. « Le développement de l’activité éolienne semble s’accompagner de nombreux cas de prise illégale d’intérêts impliquant des élus locaux », y est-il écrit. Selon le rapport, les élus visés sont attirés par « les revenus substantiels tirés de l’implantation d’éoliennes sur des terrains leur appartenant et par un régime fiscal favorable ».  Le SCPC met également en avant la pression exercée par les opérateurs éoliens sur les élus à travers des « chartes morales d’étroite collaboration ».  Le service se dit « destinataire d’un nombre croissant de procédures engagées » portant sur des « dérives graves entraînant des recours devant les juridictions administratives » et des « plaintes déposées auprès de plusieurs parquets ». Il juge « impératif d’empêcher et de sanctionner toute confusion entre l’intérêt public, que doivent servir les élus dans le cadre de leur mandat, et l’intérêt personnel qu’ils peuvent retirer d’une opération ». Il réclame un audit afin d’évaluer le risque d’ »atteintes à la probité beaucoup plus graves, comme celui de la corruption ».

 

Réforme territoriale : ça grogne chez les élus

Réforme territoriale : ça grogne chez les élus

 

Vals s’est attaqué au fromage du lobby des élus avec la réforme territoriale. D’où la colère des oligarques. Manuel Valls reçoit donc ce mardi 22 avril une délégation des départements et des régions. En cause, la grogne des élus face à la réforme territoriale voulue par le gouvernement. La suppression des conseils départementaux pose notamment problème. Selon Jean Arthuis, président UDI de la Mayenne, toucher à ces institutions ne serait pas profitable : « Les deux tiers du budget de fonctionnement vont dans l’aide sociale. Je vois mal comment on peut l’abandonner ». Les régions sont, elles aussi, quelque peu réticentes. « Les régions françaises sont celles qui dépensent le moins par habitant de toute l’Europe. Les régions représentent moins de 1% de la fonction publique territoriale », commente Alain Rousset, président PS de la région Aquitaine. Alors que certaines régions sont prêtes à fusionner - c’est le cas de la Bourgogne et la Franche-Comté -, la plupart des conseils régionaux réclament un transfert de compétences de l’Etat vers eux afin d’éviter des doublons.

 

Transparence patrimoine des élus : un débat opaque et douloureux pour les parlementaires

Transparence patrimoine des élus : un débat opaque et douloureux pour les parlementaires

 

Faute de pouvoir accoucher d’un texte sur la transparence des patrimoines à laquelle sont opposés nombre de parlementaires, on reverra la question en septembre. Dans une ambiance surchauffée mardi, les députés de l’opposition ont, quelques minutes avant le vote en nouvelle lecture du texte sur la transparence, scandé à tue-tête dans l’hémicycle « Cahuzac, Cahuzac, Cahuzac! », quasiment au moment même où l’ancien ministre du Budget Jérôme Cahuzac était entendu par la commission d’enquête, dans un autre bâtiment de l’Assemblée.  Ce projet adopté par les députés comprend la consultation en préfecture du patrimoine des parlementaires, avec une amende en cas de divulgation. Selon une source gouvernementale, il sera voté définitivement le 10 ou 11 septembre lors de la session extraordinaire du Parlement. Il repassera auparavant au Sénat où il a connu un parcours chaotique.  Fait notable comme en première lecture: les radicaux de gauche ont voté contre.  Mais, le Sénat donne du fil à retordre et complique le planning du gouvernement aussi sur les textes contre la fraude fiscale, qui fait également partie du « paquet » moralisation conçu comme une réponse à l’affaire Cahuzac.  Il a en effet été annoncé mardi que ces textes, qui créent notamment une infraction de fraude fiscale en bande organisée et un procureur financier à compétence nationale, ont été repoussés en septembre. Là aussi, députés et sénateurs ne sont pas parvenus à se mettre d’accord.  La nouvelle lecture par l’Assemblée et le Sénat, comme la lecture définitive par les députés, interviendra en septembre, a-t-on précisé dans l’entourage du ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies.  Pour le rapporteur de ces textes, le député PS Yann Galut, « après l’échec de la CMP, il était extrêmement compliqué de faire passer les textes avant la fin de la session extraordinaire de juillet en respectant le rythme de travail parlementaire, vu l’importance des divergences avec nos collègues du Sénat, qu’on ne peut balayer ».  Outre le désaccord sur le procureur financier, les désaccords ont porté sur la possibilité pour les associations anti-corruption de se porter partie civile, sur le recours à des techniques spéciales d’enquête ainsi que sur la possibilité pour l’administration fiscale de s’appuyer sur des documents d’origine illicite, au sujet de laquelle « les positions étaient trop éloignées entre les deux assemblées pour envisager de trouver un accord », a-t-il précisé en CMP, selon une source parlementaire.  Sur la transparence, les députés ont rétabli le texte de l’Assemblée, issu d’un compromis entre le gouvernement et la majorité: patrimoine consultable en préfecture mais non publiable, contrairement à ce que voulait François Hollande, le président de la République.  Seule notable différence: la suppression de la peine de un an de prison en cas de divulgation de la déclaration de patrimoine (45.000 euros d’amende seulement). Les députés ont aussi repris la mesure de la sénatrice Laurence Rossignol (PS) sur la transparence de la réserve parlementaire.  Au vu du parcours parlementaire chaotique du projet de loi, le coprésident du groupe écologiste François de Rugy a ironisé mardi: « décidément l’accouchement de la transparence en politique est long et, pour certains, douloureux ». Guy Geoffroy (UMP) a moqué les péripéties parlementaires du texte, « fruit d’arrangements jusqu’à la dernière minute entre la majorité de l’Assemblée nationale et ce qui reste des majorités disparates au Sénat ».

 

 

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