Archive pour le Tag 'Elon'

Elon Musk ou le docteur Folamour !

Elon Musk ou le docteur Folamour !

Comme le personnage de Stanley Kubrick, Elon Musk se présente en sauveur de l’humanité, en homme providentiel à la veille de la grande extinction, analyse le professeur de littérature Bruno Chaouat dans une tribune au « Monde ».

 

Le geste d’Elon Musk lors de la cérémonie d’investiture du président américain Donald Trump, le 20 janvier, à Washington, a été largement commenté, dénoncé par les uns comme un clin d’œil aux franges extrémistes, voire suprémacistes, défendu par les autres comme un geste maladroit. Salut nazi, maladresse ou élan charismatique vers la foule ? Certains ont prétendu qu’accuser Musk de faire des appels du pied aux néonazis était discriminatoire, car Musk serait un autiste qui souffre d’impulsions incontrôlées et de déficit d’attention, bref, un génie farfelu dont on est censé pardonner les excentricités.

Mon interprétation se démarque de ces commentaires. Je ne vois pas dans le geste de Musk une évocation intentionnelle du salut hitlérien. Mais si Musk n’avait pas l’intention de faire un salut nazi, le salut nazi l’a pourtant trouvé, un peu comme un tic vous trouve.

Puisqu’il est désormais trop tard pour faire machine arrière, le Docteur Folamour/Peter Sellers, conseiller scientifique du gouvernement américain à l’accent allemand grotesque, propose sa solution : obsédé d’eugénisme, il conseille de préserver les meilleurs spécimens de l’espèce dans des abris atomiques. L’humanité, au cours de quelques siècles d’hibernation, pourra ainsi se régénérer …

Elon Musk, ministre de ‘ l’efficacité natale’

Elon Musk, ministre de ‘ l’efficacité natale’

 

Le génial cinglé qui marche de temps en temps à la cocaïne est officiellement ministre de l’efficacité gouvernementale. Mais il est également efficace au plan natal avec treize enfants plus un dont  il est le père et qu’il ne reconnaît pas en plus avec une influenceuse très connue.

Ashley St. Clair,, l’influenceuse conservatrice de 26 ans a affirmé le 14 février dernier, sur ses réseaux sociaux, être la mère du dernier – et treizième – enfant du patron de X et Tesla, une révélation qui a déclenché un tollé médiatique. Jusqu’ici, Musk n’a ni confirmé ni commenté l’affaire, laissant planer le doute sur la véracité de ses déclarations. Mais ces messages, relayés par le Daily Mail , apportent un nouvel éclairage sur leur relation.

En effet, plusieurs échanges remonteraient au jour de la naissance du bébé, il y a environ cinq mois : «Tout va bien ?», demande Musk par message. «Il est parfait», répond-elle. Le patron de Tesla enchaîne alors : «J’ai hâte de vous voir tous les deux ce week-end», lit-on notamment.

Elon Musk et Tesla en difficulté

Elon Musk et Tesla  en difficulté

Elon Musk, le milliardaire fou qui veut changer le monde entier et même coloniser Mars devrait s’occuper un peu plus de sa marque  Tesla fabricant d’automobiles électriques en difficulté. La firme d’Elon Musk a écoulé moins de voitures électriques l’an passé et sa marge opérationnelle a fondu au dernier trimestre. Mais Wall Street lui conserve sa confiance, et parie sur ses robots-taxis.

Le chiffre d’affaires de 77 milliards de dollars tiré de son activité automobile a reculé de 6 % en 2024 par rapport à 2023. Et c’est grâce à sa branche dédiée à la production au stockage d’énergie et aux services que le groupe Tesla affiche une croissance de 1 % de ses ventes, à 97,69 milliards de dollars. La production de voitures électriques dans les giga-usines installées aux États-Unis, en Chine et en Allemagne a reculé de 4 %. Et pour la première fois, les livraisons annuelles ont baissé passant de 1,808 million à 1,789 million d’unités en 2024. La firme avait prévu une hausse des volumes…

 

 

 

 

Rachat du réseau TikTok par Elon Musk ?

 

Selon Bloomberg, le milliardaire Elon Musk serait en discussion pour acheter aussi le réseau chinois TikTok. Elon Musk  qui a largement soutenu Trump  pour son élection en dépensant des centaines des millions et en utilisant le réseau X dont il est propriétaire. Elon Musk, fondateur de Tesla et de SpaceX, avait créé la surprise en affichant sa volonté de racheter Twitter début 2022. Après des mois de rebondissements et d’attaques sur la plateforme, il avait fini par l’acquérir pour 44 milliards de dollars. L’homme le plus riche du monde l’a ensuite rebaptisée X et s’en est largement servi pour soutenir Donald Trump, en plus de ses larges contributions financières au républicain. Maintenant il envisage le rachat de TikTok qui en principe doit être interdit aux États-Unis tant que ce réseau reste la propriété chinoise.

Les États-Unis ont adopté l’année dernière une loi qui oblige le géant chinois du divertissement ByteDance à vendre TikTok d’ici le 19 janvier 2025, sous peine d’interdiction dans le pays où l’application compte 170 millions d’utilisateurs. L’affaire est montée jusqu’à la Cour suprême américaine, qui a entendu les arguments des deux parties vendredi: Washington dit vouloir prévenir les risques d’espionnage et de manipulation par Pékin, tandis que le réseau social et des associations accusent la loi d’étouffer la liberté d’expression. Une nette majorité des juges se sont montrés disposés à autoriser l’interdiction.

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Donald Trump, qui sera de nouveau président des États-Unis dans une semaine, avait tenté d’interdire TikTok à la fin de son premier mandat, en 2020, aussi au nom de la sécurité nationale. Il est depuis revenu sur ses positions, assurant avoir un «faible» pour l’application et son audience jeune. Outre les voitures électriques et les fusées, Elon Musk a cofondé d’autres entreprises, dont xAI, la plus récente, spécialisée dans l’intelligence artificielle (IA) générative, qui nécessite des montagnes de données fraîches : les réseaux sociaux sont idéals pour alimenter les modèles d’IA. L’entrepreneur a aussi gagné des responsabilités politiques.

Elon Musk : » tout pour sa gueule »

Elon Musk : » tout pour sa gueule »

Steve Bannon, ex-conseiller de Donald Trump estime que la philosophie principale du milliardaire est de ne penser qu’à son propre intérêt financier. « Son manque de compréhension des vrais problèmes et, très franchement, son soutien à lui-même, le seul objectif étant de devenir un milliardaire », a tancé l’ancien bras droit du nouveau président élu.

La plupart des milliardaires de la Silicon Valley ont retourné leur veste et se sont mis dans le camp de Trump surtout pour en tirer profit. Notons qu’Elon Musk n’est pas à une contradiction près,  lui qui se dit en capacité de nettoyer les dépenses de l’État fédéral alors que ses différentes entreprises ont passé environ 300 contrats avec le même état fédéral. Ce qui ne gêne pas le libertarien Musk. Les conflits d’intérêts qu’il dénonce par ailleurs ne semblent  pas le concerner. Notons par exemple sa position très sélective sur l’immigration qu’il soutient quand elle lui profite. En outre l’intéressé se pique maintenant de devenir un leader idéologique en soutenant dans le monde les régimes réactionnaires. Sans parler de son obsession de démolir l’union européenne dont il voudrait bien faire sauter le système de régulation.

«C’est un homme vraiment diabolique, un très mauvais gars. J’ai fait de mon mieux pour le faire tomber. Avant, parce qu’il avait investi de l’argent, j’étais prêt à le tolérer, je ne suis plus prêt à le tolérer», ajoute Steve Bannon .

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Tenir tête à Elon Musk et aux milliardaires réacs

Tenir tête à Elon Musk et aux milliardaires réacs 

 

Désemparés par l’offensive idéologique des patrons de X et de Meta, les Européens craignent de froisser Donald Trump, le président élu américain. Ils ont tort. La fermeté s’impose estime un Edito du « Monde ».

 

Une subite offensive venue de l’ouest a pris de court les Européens, plus habitués à devoir surveiller leur front oriental. A l’approche de l’arrivée du président élu Donald Trump à la Maison Blanche le 20 janvier, le Vieux Continent, son establishment politique et sa vision des réseaux sociaux sont la cible d’une volée d’attaques et de menaces émanant tantôt du président élu lui-même, tantôt de ses affidés dans le secteur de la haute technologie.

Le plus virulent est sans conteste Elon Musk, champion industriel et propriétaire du réseau social X, ex-Twitter, qu’il a acquis pour 44 milliards de dollars (44 milliards d’euros), sur lequel il attaque les gouvernements britannique et allemand. Mettant à profit la puissance de ses algorithmes, il bombarde le premier ministre travailliste Keir Starmer d’accusations fallacieuses sur la protection qu’il aurait accordée à des gangs pédophiles immigrés, et réclame sa démission.

Les dirigeants européens ont ensuite affronté un autre type d’agression, à vocation territoriale, lorsque Donald Trump a réitéré ses velléités de conquérir le Groenland, territoire sous souveraineté danoise. Puis c’est le patron de Meta, Mark Zuckerberg, qui contrôle Facebook et Instagram, qui a attaqué ce qu’il qualifie de « censure institutionnalisée » par les « lois européennes » pour limiter la liberté d’expression.

Désemparés, les dirigeants européens tardent à réagir collectivement. Ils s’attendaient à subir une cascade de droits de douane de la part de la future administration Trump, mais c’est à un feu roulant idéologique qu’ils sont soumis. Le communiqué finalement publié jeudi soir – sur X ! – par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président du Conseil européen, Antonio Costa, dit bien tout leur embarras : « Les Etats-Unis sont l’un de nos plus proches partenaires et nous nous engageons à renforcer le lien transatlantique », précisent-ils, tout en rappelant les « valeurs démocratiques fondamentales » européennes.

Il faut distinguer la relation avec le futur président de la puissance qui assure la sécurité de ses alliés européens et la réponse à apporter aux PDG des réseaux sociaux, aussi proches soient-ils dudit président. Donald Trump n’est pas Vladimir Poutine et, comme le montre son changement de pied sur la perspective d’un règlement de la guerre en Ukraine, qu’il voit maintenant en mois plutôt qu’en heures, il n’est pas sourd au principe de réalité. Mais, dans les deux cas, la fermeté s’impose. D’abord, rappeler le principe de souveraineté territoriale est le minimum de solidarité qu’il convient de manifester au Danemark, membre de l’Union européenne (UE).
Ensuite, renvoyer Elon Musk et Mark Zuckerberg dans leurs filets est une façon de signaler à Donald Trump que la chasse n’est pas ouverte en Europe. Oui, l’offensive d’Elon Musk est politique, comme l’a d’ailleurs noté le président Emmanuel Macron, et elle interfère dans nos processus électoraux. Oui, l’UE s’est dotée d’outils réglementaires qui permettent de concilier, sur son territoire souverain, compte tenu de son histoire et de sa culture, liberté d’expression et valeurs démocratiques. Il faut s’en servir, sans faiblir.

Elon Musk – Encore sous cocaïne- ne veut pas de démocratie sur Mars

Elon Musk - Encore sous cocaïne- ne veut pas de démocratie sur Mars

 

Comme si le monde ne connaissait pas suffisamment de problèmes, le milliardaire génial mais fou ne cesse d’intervenir avec des idées les plus farfelues notamment en soutenant des parties d’opposition d’extrême droite. Cette fois il affirme que dans sa vision lointaine quand la planète Mars sera colonisée, on pourra se passer de la démocratie représentative avec la démocratie directe. Exactement ce que préconise et mettent  en œuvre tous les dictateurs au monde.

Compte tenu des positions de plus en plus iconoclastes de Musk, il est vraisemblable qu’il y aura un jour affrontement avec le président américain.

Elon Musk devrait pourtant se montrer prudent car officiellement le mélange politique et business est rarement compatible. Faut-il aussi rappeler que le milliardaire vit largement aux frais des subventions reçues des États-Unis et grâce à la politique protectionniste américaine.

Interrogé sur l’éventuel système de gouvernement, le fondateur de Space X affirme que les humains qui arriveront sur la planète et qui la coloniseront «choisiront eux-mêmes leur mode de fonctionnement politique». Il se permet d’émettre une «recommandation» : « Je préconise la démocratie directe plutôt que la démocratie représentative», a-t-il écrit dans son post.

Pour que des êtres humains posent pied sur la planète, Elon Musk estime le délai à environ quatre ans «pour les vaisseaux avec équipage». Une promesse sans doute faite sous influence de la cocaïne ! En fait 4ans, 40 ans ou plus vraisemblablement jamais !

États-Unis : Elon Musk président virtuel ?

États-Unis : Elon Musk président virtuel ?

 

Le président élu des États-Unis pourrait s’agacer de l’omniprésence de son soutien, le milliardaire Elon Musk qui intervient déjà sur à peu près tous les sujets aux États-Unis bien sûr, sur les questions financières mais aussi en soutien de tous les mouvements d’extrême droite notamment en Europe. De quoi quand même agacer Donald Trump qui a tenu à dire que le milliardaire génial mais un peu fou ne pouvait pas être président des États-Unis en raison de sa nationalité puisque né en Afrique du Sud. Un premier pan  sur le bec qui sera sans doute suivi d’autres tellement l’omniprésence du milliardaire est envahissante; un milliardaire qui soutient une idéologie très réactionnaire; au  besoin activée par la cocaïne; D’après ses propres déclarations !

«Il ne va pas devenir président, ça je peux vous le dire», a déclaré Donald Trump, en meeting à Phoenix dans l’Arizona. «Je suis tranquille, vous savez pourquoi?», a-t-il demandé à la foule. «Il ne peut pas l’être, il n’est pas né dans ce pays», a poursuivi le républicain à propos du patron de Tesla et SpaceX, né en Afrique du Sud et naturalisé américain en 2002. L’article II de la Constitution des États-Unis prévoit en effet que seules les personnes nées avec la nationalité américaine peuvent se présenter à l’élection présidentielle.
À lire aussi États-Unis : un sénateur républicain suggère de nommer Elon Musk président de la chambre des représentants

«J’aime être accompagné de gens intelligents», a développé Donald Trump, assurant qu’Elon Musk n’était pas en train de «récupérer la présidence». Donald Trump répond là aux critiques, venus notamment du camp démocrate, qui ont dépeint l’homme le plus riche du monde en «président Musk» ces derniers jours, tant il occupe l’espace politique auprès du président élu.

 

Elon Musk veut bloquer OpenAI à son profit

Elon Musk veut bloquer  OpenAI à son profit

Elon Musk traîne une fois de plus OpenAI en justice. En outre, il pourrait utiliser son nouveau statut de membre du gouvernement pour bloquer « Open AI » à son profit. Son nouvel objectif : empêcher l’entreprise d’opérer son changement de statut en entreprise à but lucratif, essentiel à sa survie financière. Le milliardaire, qui veut la peau de la start-up depuis le lancement de ChatGPT en 2022, n’a jamais été aussi influent. 

Comme une peine ne vient pas seule pour OpenAI, la pépite de l’IA se trouve à un tournant de son histoire. Elle a le lourd défi de prouver à ses investisseurs qu’elle peut devenir plus qu’une entreprise de recherche qui brûle les liquidités à vitesse grand V. Or, Elon Musk semble bien décidé à tout pour lui mettre des bâtons dans les roues, et faire de sa propre entreprise, xAI, l’incontournable de l’intelligence artificielle.

La plainte déposée en Californie accuse de pratiques anticoncurrentielles OpenAI, mais aussi toute une liste de personnalités et entités qui y sont liées : son président et cofondateur Greg Brockman ; le CEO et cofondateur Sam Altman ; son principal investisseur et partenaire d’affaires Microsoft ; l’ancien membre du conseil d’administration Reid Hoffman, un des plus grands investisseurs de la Silicon Valley ; ou encore un des vice-présidents de Microsoft, Dee Templeton, qui siégeait également au board de la start-up.

Dans le détail, la plainte de 36 pages accuse tout ce beau monde de décourager les investisseurs qui voudraient soutenir des rivaux d’OpenAI comme xAI, et d’user du partenariat avec Microsoft pour accéder à des informations sensibles sur les concurrents. Les avocats estiment par exemple que le choix de Stripe comme plateforme de paiement d’OpenAI nourrit l’intérêt financier de Sam Altman, qui détient encore des parts dans l’entreprise. Les avocats de Musk n’envisagent donc qu’un « seul remède approprié » face à la situation qu’ils dénoncent : empêcher OpenAI de faire son changement de statut. Pour ce faire, Ils demandent même une interdiction administrative en amont du procès.

L’homme d’affaires Sud-africain ne se trompe pas de cible. Le changement de statut est au centre du récent virage d’OpenAI, plus que jamais piloté par Sam Altman. L’entreprise brûlerait 5 milliards de dollars par an, selon le très bien renseigné The Information, ce qui la pousse à chercher de nouveaux canaux de commercialisation pour ses IA.

D’autant qu’en parallèle, le coût d’entraînement des nouvelles générations de modèles ne fait que grimper. Dans ces conditions, elle ne peut se permettre d’avoir à sa tête un conseil d’administration lié à la structure à but non lucratif, sans objectifs financiers.

 

Ce n’est qu’un épisode de plus dans la croisade d’Elon Musk contre OpenAI. Le milliardaire, visiblement remonté par le succès de la start-up, a tour à tour critiqué son manque d’ouverture ; la progression de ses IA qu’il jugeait trop rapide ; le soi-disant positionnement politique de ChatGPT, qu’il qualifie de « trop woke » [comprendre trop à gauche ou trop progressiste, ndlr] ; ou encore ses liens avec Microsoft.

Le milliardaire a quitté la start-up en 2018, après avoir tenté d’en prendre le contrôle. Il souhaitait un rapprochement avec une de ses autres entreprises, Tesla. Il affirmait que c’était la seule voie possible pour concurrencer Google, numéro 1 de la recherche en IA à l’époque, et partait pour lier la parole aux actes. Au final, il n’a lancé son projet concurrent que cinq ans plus tard, adossé au réseau social X et non à l’entreprise d’automobile électrique.

 

EU- Elon Musk ministre de l’«efficacité gouvernementale» !!!

EU- Elon Musk ministre de  l’«efficacité gouvernementale» !!!

Renvoi d’ascenseur aux États-Unis avec la nomination d’Elon  Musk à la tête d’un ministère intitulé pompeusement ministère de l’efficacité gouvernementale. Mais sans doute pour contrôler l’activisme du milliardaire on lui colle un colocataire du nouveau ministère l’homme d’affaires républicain Vivek Ramaswamy.  Objectif : démonter la bureaucratie gouvernementale et couper dépense et réglementations inutiles.
C’est évidemment une récompense de Trump à Musk alors que ce dernier milliardaire a investi environ 100 millions dans la campagne du républicain. De toute manière qu’il pourra largement récupérer grâce à la politique de Trump ( taxation des voitures étrangères, financement des activités spatiales, financement des autres technologies).En même temps c’est aussi un cadeau empoisonné puisque Trump lui a collé un colocataire du portefeuille dans les pattes. Histoire sans doute de modérer l’excitation provoquée notamment par la cocaïne que consomme Elon Musk. Par ailleurs, l’efficacité d’un gouvernement incombe à son animateur à savoir aux États-Unis: le président. Des affrontements sont prévisibles car l’un et l’autre font rarement dans la dentelle

«J’ai hâte qu’Elon et Vivek fassent des changements dans la bureaucratie fédérale, avec une vision en matière d’efficacité et, en même temps, pour améliorer la vie des tous les Américains», a vanté Donald Trump. «Il est important que nous apurions le gâchis et la fraude de masse dans les dépenses gouvernementales de 6.500 milliards de dollars. Ils vont travailler ensemble pour libérer notre économie et rendre le gouvernement des États-Unis responsable devant “NOUS LE PEUPLE”», a encore proclamé Donald Trump, toujours dans la nuance ! . Il a donné à Musk et Ramaswamy jusqu’au 4 juillet 2026 pour que la première puissance mondiale se dote d’un «plus petit gouvernement»?

Elon Musk, le plus fan de Musk menace le réseau X (ex Twitter)

Elon Musk, le plus fan de Musk menace le réseau X (ex Twitter)

 

Il est de plus en plus clair que l’engagement du milliardaire fou menace de plus en plus le réseau Twitter, déjà boycotté par nombre de publicitaires, par ses actions mensongères voire d’intoxication. La question d’un boycott plus général pourrait se poser surtout après les interrogations de l’union européenne et les interdictions prononcées par exemple par le Brésil. C’est sans doute par conviction idéologique que s’engage à ce point Musk dans la politique et peut-être aussi par consommation un peu excessive de cocaïne !

 

Renvoi d’ascenseur : Trump promet un poste de ministre à Elon Musk !

Renvoi d’ascenseur : Trump promet un poste de ministre à Elon Musk !

En voilà deux qui au moins ne font pas dans la dentelle. Ainsi après avoir obtenu une interview interminable  sur le réseau Twitter, Trump promet un poste de ministre à son propriétaire à savoir Elon Musk. Rappelons que Trump avait été exclu de Twitter pour propos injurieux et mensongers avant que Elon Musk ne rachète le réseau.

Le mois dernier, le propriétaire de X et Tesla a publiquement soutenu Donald Trump dans la course à la présidence des États-Unis. Il a également interviewé l’homme politique sur X, en direct début août. Lors de l’entretien – qui a d’ailleurs été victime d’une cyberattaque «massive» -, les deux hommes ont évoqué le changement climatique, la question migratoire, mais aussi le conflit ukrainien. Dans la foulée, Donald Trump est revenu sur X, quatre ans après son éviction de Twitter.

Selon le Wall Street Journal,  les deux hommes se sont rencontrés en mars et se parlent depuis régulièrement au téléphone. «Je respecte beaucoup Elon Musk, et il me respecte», a déclaré Donald Trump lors d’une conférence de presse. «Comme moi, il pense que ce pays a de gros problèmes et est en grand danger.»

 

Elon Musk , Le milliardaire fou, justifie sa consommation de drogue

Elon Musk , Le milliardaire fou, justifie sa consommation de drogue

Elon est ce milliardaire fou qui veut notamment déplacer la population de la terre vers Mars, qui soutient Trump et veut détruire le pouvoir des Etats; il a avoué qu’il prenait de la drogue et le justifie considérant que c’est utile pour les investisseurs de son groupe. Le milliardaire a reconnu sa  consommation de kétamine, déclarant en prendre «une petite dose une fois toutes les deux semaines à peu près», ajoutant qu’elle lui était prescrite pour «sortir d’un état d’esprit négatif».

La kétamine est un psychotrope utilisé comme produit anesthésique injectable. Elle est aussi employée comme analgésique, sédatif, et en médecine vétérinaire. Aux États-Unis, elle est commercialisée depuis mars 2019 comme antidépresseur sous le nom de « Spravato », en spray nasal.

La kétamine accroît la fréquence cardiaque et la tension artérielle, ce qui se traduit par un risque accru d’AVC ou de crise cardiaque. Un usage fréquent de cette drogue peut avoir des répercussions sur la vessie, se manifestant par une fréquente envie d’uriner et la présence de sang dans les urines.

La kétamine est une drogue caractérisée par la dissociation. Cela signifie qu’elle produit un sentiment de détachement (ou de dissociation) de l’esprit et du corps. Son fonctionnement consiste à faire en sorte que le cerveau ne reçoit plus les messages nerveux de douleur.

Vendredi, Elon Musk avait écrit sur X que les Américains doivent voter pour les républicains en novembre, sans quoi «l’Amérique est condamnée»«Imaginez que la situation empire encore pendant quatre ans», a-t-il lancé en faisant référence à l’immigration illégale, l’un des thèmes de campagne lancinants du tribun républicain.

Elon Musk : Des implants cérébraux pour lutter contre l’intelligence artificielle

Elon Musk : Des implants cérébraux pour lutter contre l’intelligence artificielle

Elon Musk sans doute un ingénieur brillant et un grand homme d’affaires mais on peut s’inquiéter de sa proposition d’implanter des implants soi-disant pour lutter contre l’intelligence artificielle. Par ailleurs ses fondements idéologiques proche de Trump ne manquent pas d’interroger sans parler de ses folies d’envoyer du monde sur Mars pour fuir la terres polluées !

Elon Musk a annoncé lundi 29 janvier que la start-up Neuralink, dont il est cofondateur, a posé dimanche son premier implant cérébral sur un patient, une opération qui a déjà été réalisée à plusieurs reprises par d’autres sociétés et chercheurs. Située à Fremont (Californie), dans la banlieue de San Francisco, Neuralink avait obtenu en mai le feu vert de l’Agence américaine de régulation des médicaments et appareils médicaux, la FDA. Son implant, de la taille d’une pièce de monnaie, a déjà été placé dans le cerveau d’un macaque, qui a réussi à jouer au jeu vidéo «Pong» sans manette ni clavier. «Les premiers résultats montrent une activité neuronale prometteuse», a écrit Elon Musk sur X (ex-Twitter), au sujet de l’implant sur un patient.

Fondé en 2016, Neuralink est loin d’être la première à installer un implant cérébral, aussi appelé interface cerveau-machine (ICM), sur un humain. En septembre, l’entreprise néerlandaise Onward avait annoncé qu’elle testait le couplage d’un implant cérébral à un autre stimulant la moelle épinière, dans le but de permettre à un patient tétraplégique de retrouver de la mobilité. Dès 2019, des chercheurs de l’institut grenoblois Clinatec avaient présenté un implant permettant, une fois posé, à une personne tétraplégique d’animer un exosquelette et de remuer les bras ou de se déplacer.

Elon Musk ambitionne aussi de proposer son implant à tous, afin de permettre de mieux communiquer avec les ordinateurs et de contenir, selon lui, le «risque pour notre civilisation» que fait peser l’intelligence artificielle.

Elon Musk insulte les annonceurs qui fuient Twitter ( réseau X)

Elon Musk insulte les Annonceurs qui fuient Twitter ( réseau X)

Depuis son arrivée sur l’ancien réseau Twitter, Elon le nouveau patron Elon Musk n’a cessé de multiplier des les erreurs stratégiques d’abord en dégradant la qualité du réseau avec le licenciement de près de la moitié du personnel ensuite en abaissant encore le niveau en autorisant les expressions extrémistes à fin de faire du buzz. Exemple son soutien implicite aux antisémites. Et maintenant en insultant les nombreuses sociétés qui fuient un réseau qui porte atteinte à leur image de marque. C’est évidemment des rentrées financières en moins pour l’ancien réseau Twitter déjà en difficulté. Et pour toute stratégie le provocateur propriétaire de Twitter insulte les annonceurs .

«Allez vous faire foutre. Est-ce que c’est clair?» a-t-il lancé mercredi 29 novembre en n direction des annonceurs qui fuient de réseau. Immédiatement après cette phrase, le bouillonnant milliardaire a fait mine de saluer le directeur général de Disney («Salut Bob!») Bob Iger, dont le groupe fait partie des entreprises concernées et qui avait été interviewé plus tôt lors du même événement à New York. «J’espère qu’ils vont arrêter» d’acheter des espaces promotionnels sur le réseau social, a-t-il clamé. «Ne faites pas de publicité», leur a-t-il lancé.

Plusieurs grandes entreprises américaines, notamment Apple, le câblo-opérateur Comcast ou Disney, ont suspendu la diffusion de leurs publicités sur X .

Les revenus tirés des annonceurs avaient déjà fondu de 54% entre septembre 2022 et août 2023.

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