Archive pour le Tag 'éliminée'

Sylvie Goulard éliminée de l’UE : Une humiliation pour Macron …et la France

Sylvie Goulard éliminée de l’UE : Une humiliation pour Macron …et la France

 

Enorme claque pour Macron et la France après le rejet de la  candidature de Goulard. En cause évidemment, le dossier trouble de l’intéressée notamment sur l’utilisation frauduleux de financement européen mais aussi un vrai règlement de compte vis-à-vis de Macron dont nombre de pays ne supporte plus l’arrogance. La candidature de Goulard a clairement été descendue par son propre camp et aussi par présidente allemande de la commission Von der Leyen.

La présidence française a pris acte sans délai de cette décision tout en déplorant que sa candidate, dont la désignation avait suscité d’emblée des réserves dans les rangs diplomatiques, ait “fait l’objet d’un jeu politique”.

Les conservateurs du Parti populaire européen (PPE), la première force politique du Parlement européen, avaient fait savoir dès la mi-journée qu’ils s’opposeraient à sa nomination au poste de commissaire au Marché intérieur, à l’industrie, au numérique, à la défense et à l’espace.

Emmanuel Macron a dit ne pas comprendre l’issue de la procédure, blâmant “ressentiment” et “petitesse” parmi les eurodéputés, et a mis en cause à demi-mot la présidente élue de la Commission européenne, l’Allemande Ursula Von Der Leyen, qu’il assure avoir mise en garde.

“J’ai proposé trois noms à la présidente Von der Leyen, qui m’a dit : ‘Moi je veux travailler avec Sylvie Goulard, je la connais, je sais ce qu’elle vaut’”, a rapporté le président lors d’une conférence de presse à l’issue de la conférence du Fonds mondial contre le sida, la tuberculose et le paludisme, à Lyon.

“J’ai dit à la présidente Von der Leyen : ‘Attention! Sylvie Goulard est une femme d’une grande probité (…) (mais) il y a des polémiques, je connais les gens qui peuvent créer des polémiques”, a poursuivi Emmanuel Macron.

“Ursula Von Der Leyen m’a dit ‘Je vais appeler les présidents des groupes parlementaires pour leurs demander. (…) Puis elle m’a rappelé et dit: ‘C’est bon, ça leur va, Mme Goulard.’”

La présidente a précisé dans un communiqué avoir rencontré les présidents des groupes PPE, S&D (Alliance progressiste des socialistes et démocrates) et Renew Europe, ainsi que le président du Parlement, “pour discuter de la situation”.

“Une procédure légale en cours dont vous estimez qu’elle ne vous permet pas d’occuper une fonction ministérielle dans votre pays ne peut vous permettre d’exercer une éminente responsabilité en Europe. C’est l’arrogante transgression de cette évidence qui a fait chuter S.Goulard”, a réagi sur Twitter l’eurodéputé Arnaud Danjean (PPE-Les Républicains).

La nouvelle Commission européenne doit entrer en fonction le 1er novembre. La tâche se complique pour sa présidente qui devait déjà composer avec le rejet des candidatures de la Roumaine Rovana Plumb et du Hongrois Laszlo Trocsanyi, invalidées en septembre pour des conflits d’intérêts présumés.

Sylvie Goulard s’était de nouveau heurtée jeudi matin à la défiance d’une partie des eurodéputés lors d’une ultime audition voulue par les élus après un premier oral, le 2 octobre, qui n’était pas parvenu à lever le scepticisme sur deux “affaires”.

L’ancienne députée européenne (2009-2017) est sous le coup de deux enquêtes – une de la justice française et une de l’Office européen de lutte anti-fraude (Olaf) – pour l’affaire des emplois présumés fictifs des eurodéputés MoDem, qui l’avait contrainte à démissionner du gouvernement français en juin 2017, après un mois d’exercice.

Les réserves des députés, qui évoquaient un possible conflit d’intérêts, concernaient en outre son travail de “consultante”, entre 2013. Bref, le résultat d’un mauvais choix de la part de la France et de nombreuses erreurs politiques de Macron.

 

 

 

 

 

2017 : la gauche éliminée au premier tour dans tous les cas

2017 : la gauche éliminée au premier tour dans tous les cas

Curieusement la gauche prend soudainement conscience qu’elle sera éliminée dés le premier tour des présidentielles de 2017. Et du coup des conséquences sur les législatives qui suivront. En effet le parti socialiste risque de perdre les deux tiers de ses députés c’est-à-dire passer de 250 représentants à moins de 100, 80 tout au plus. Le Front National pouvant même espérer dépasser les socialistes avec une centaine de députés. Autant dire que l’existence même de la gauche classique est cause d’autant plus que ce camp est très divisé entre des leaders très à gauche comme Mélenchon, Arnaud Montebourg et Macron lui plutôt du centre de droit tandis que Valls tente de se situer sur une ligne sociale démocrate. Quant au parti périphérique, radicaux de gauche, écolos ou communistes ils sont engagés dans la voie de l’extinction depuis déjà un bon moment. De ce fait la question du rassemblement se pose mais sans doute un peu tard car dans toutes les hypothèses aucun leader n’est en  capacité de représenter la gauche au second tour. Selon le dernier sondage BVA-Salesforce publié vendredi et en fonction des configurations, à ce stade, ni François Hollande (entre 9 % et 13 % d’intentions de vote), ni Jean-Luc Mélenchon (entre 12,5 % et 14 %), ni Emmanuel Macron (entre 11 % et 14 %), ni Arnaud Montebourg (entre 9 % et 10 %) ne parviendrait à se qualifier pour le second tour, tous restant loin derrière Marine Le Pen, Alain Juppé ou Nicolas Sarkozy

EELV-Duflot éliminée : la défaite du gauchisme

EELV-Duflot éliminée : la défaite du gauchisme

 

 

Finalement,  on aurait sans doute peu parlé du résultat de la primaire si Cécile Duflot n’avait pas été éliminée. Des primaires très confidentiels puisqu’ils ont porté sur environ 12  000 votants (quand on pourra compter sur des millions de votants pour les primaires respectives de la droite et du BS) mais l’élimination de Cécile Duflot caractérise peut-être une volonté de recentrage du micro parti qui est devenu écologie les Verts. Un parti qui peut tout au plus espérer 3 % en 2017 en raison de sa dérive gauchiste. Du fait de la marginalisation des organisations d’extrême gauche,  nombre de gauchistes avaient rejoint Europe écologie les Verts imprimant une ligne au détriment de la problématique environnementale. Une dérive déjà critiquable mais également confuse car Cécile Duflot et d’autres n’ont pas résisté pour accepter un portefeuille ministériel. Leur démission a encore ajouté à la confusion dans la mesure où Cécile Duflot s’est montrée après sa démission en totale contradiction avec un gouvernement dans lequel elle avait participé. Une confusion supplémentaire s’est installée lorsqu’Emmanuelle Cosse, très proche de Cécile Duflot, a accepté un poste ministériel avec Jean-Vincent Placé et Barbara Pompili. Ce qui démontre à l’évidence que la pureté originelle des écolos relativisée face à l’attraction d’un Marocain. Au-delà se pose surtout une question fondamentale de ligne politique. En réalité,  les écolos ne servent plus à grand-chose car la problématique a heureusement été appropriée par la plupart des grandes organisations politiques même s’il reste encore du chemin à parcourir entre les orientations théoriques et la pratique. Sur la seule problématique environnementale il n’est donc même pas certain qu’il demeure une place pour un parti comme celui des écolos qui peut-être n’auraient jamais dû se transformer en organisation politique. Reste que c’est une défaite personnelle humiliante pour celle qui pensait pouvoir contester le représentant du parti socialiste en 2017. Cécile Duflot pourra désormais faire une carrière dans l’anonymat, et c’est tant mieux car le gauchisme a toujours été mortel pour la gauche et surtout pour ceux qu’elle entend représenter. Cécile Duflot, donnée favorite aux primaires d’Europe Ecologie-Les Verts, a été éliminée dès le premier tour, les députés européens Yannick Jadot et Michèle Rivasi s’étant qualifiés pour le second, a-t-on appris mercredi d’un responsable du parti. Yannick Jadot est arrivé en tête du scrutin avec 35,61% des voix, devant Michèle Rivasi (30,16%). L’ex-ministre du Logement Cécile Duflot n’occupe que la troisième position, avec 24,41%, devant l’eurodéputée Karima Delli (9,82%).Yannick Jadot, ancien de Greenpeace et proche des milieux associatifs, vise la brèche politique ouverte par le renoncement de Nicolas Hulot et fédère une bonne partie des mécontents d’EELV, hostiles à Cécile Duflot.

 

(Avec Reuters)

Sondage 2017 : Hollande éliminée par Macron

Sondage 2017 : Hollande éliminée par Macron

 

D’après un sondage TNS Sofres-OnePoint pour Le Figaro et LCI publié mardi 6 septembre 2016, François Hollande serait éliminé dans tous les cas de figure au premier tour de la présidentielle, tandis qu’Alain Juppé ou Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen seraient eux qualifiés pour le second tour.  Ce sondage teste neuf hypothèses différentes de candidats à gauche et à droite avec à chaque fois Nathalie Arthaud (LO), Philippe Poutou (NPA), Jean-Luc Mélenchon, Cécile Duflot (EELV), Nicolas Dupont-Aignan (DLF), Jacques Cheminade et Marine Le Pen (FN). François Hollande oscille entre 11 points au premier tour (dans l’hypothèse Emmanuel Macron, François Bayrou et Nicolas Sarkozy candidats face à lui ou dans l’hypothèse Emmanuel Macron et Alain Juppé) et 15 points s’il est opposé à Nicolas Sarkozy comme candidat supplémentaire, outre les sept testés dans toutes les hypothèses. Quel que soit le candidat à gauche, François Hollande est battu au premier tour, même si dans les six hypothèses testées avec l’ancien ministre de l’Économie Emmanuel Macron, celui-ci obtiendrait plus de suffrages que le chef de l’État, de 15 à 20% selon les cas. L’ancien ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg obtient lui de 5 à 7% selon les hypothèses. Jean-Luc Mélenchon obtient quant à lui de 10 à 13% des intentions de vote, Nicolas Dupont-Aignan de 3 à 7%, Cécile Duflot de 2 à 4,5%. Philippe Poutou ne dépasse pas les 2,5%, Nathalie Arthaud 2% et Jacques Cheminade 1%.  Dans toutes les hypothèses testées, ce sont les candidats Les Républicains (Alain Juppé ou Nicolas Sarkozy) et Marine Le Pen pour le Front national qui se qualifieraient pour le second tour. Le maire de Bordeaux réaliserait son meilleur score (33%, -2) face à Marine Le Pen (29%) et François Hollande (14%). C’est la seule hypothèse parmi les neufs où Marine Le Pen ne serait pas en tête au premier tour. Dans la même configuration mais avec Nicolas Sarkozy vainqueur de la primaire plutôt que Alain Juppé, le premier obtiendrait 27% des voix contre 29% pour la dirigeante d’extrême droite. Celle-ci oscille entre 26 et 29% des voix selon les hypothèses.  Pour les sympathisants de gauche, c’est Jean-Luc Mélenchon (23%) qui serait « le meilleur candidat de gauche pour la présidentielle de 2017″, devant François Hollande (20%), Emmanuel Macron (18%), Manuel Valls (9%) et Arnaud Montebourg (8%). M. Hollande (33%) devance Emmanuel Macron (26%) chez les seuls sympathisants PS.

Sondage présidentielles 2017 : Hollande nettement éliminée dès le premier tour

Sondage présidentielles 2017 : Hollande nettement éliminée dès le premier tour

Sauf événement imprévisible, Hollande sera battu très nettement au premier tour des élections présidentielles. Son score prévisible entre 16 et 18 pour cent correspond d’ailleurs au plafond de verre de sa popularité qui stagne à environ 20 %. Sa seule chance éventuelle serait d’avoir à affronter Nicolas Sarkozy dont le résultat sera hypothéqué par la présence d’un François Bayrou qui monte dans les sondages pour approcher les 15 %. Il faudrait encore que ni Mélenchon, ni Cécile Duflot ne se présentent  pour éviter l’éparpillement des voix à gauche. Et même dans ces cas de figure Hollande aurait du mal à se qualifier face à Nicolas Sarkozy. Dans l’hypothèse d’une candidature de Juppé le score de François Hollande serait au moins aussi catastrophique que celui qu’avait obtenu Lionel Jospin. La prochaine élection présidentielle pourrait donc s’apparenter à un chemin de croix pour François Hollande. Un sondage IFOP-Fiducial publié mardi pour Paris Match révèle à quel point le chef de l’État est dans une très mauvaise posture à 14 mois du premier tour. Face à Alain Juppé ou Nicolas Sarkozy, le socialiste ne pourrait pas accéder au second tour. Dans le cas d’une candidature des Républicains portée par Alain Juppé, ce dernier arriverait en tête du premier tour avec 30% des voix (35% si François Bayrou n’est pas candidat, comme il l’a laissé entendre dans pareille situation). Il devancerait Marine Le Pen (27 à 28%). François Hollande serait relégué à la troisième place avec 16 à 18% des voix. Si Nicolas Sarkozy est de nouveau le candidat de la droite, il pourrait obtenir 21% des suffrages. Devancé par la présidente du Front national (25%). François Hollande est alors crédité de 18%. Avec 15%, François Bayrou serait en embuscade. L’avenir pourrait s’éclaircir pour François Hollande si François Fillon gagnait la primaire de la droite et du centre. Marine Le Pen serait encore en tête lors du premier tour avec 28% des voix mais une incertitude apparaît pour savoir qui irait l’affronter au second tour. Le socialiste comme le républicain sont crédités de 18% des votes. Avec 14,5%, François Bayrou reste assez haut.

Rugby– coupe du monde : l’ Angleterre éliminée, humiliée et triste

Rugby– coupe du monde : l’ Angleterre éliminée, humiliée et triste

 

C’est un fait historique l’Angleterre ne participera pas pour la première fois aux quarts de finale de la cour du monde qu’elle organise. Il faut dire que l’Angleterre a montré face à l’Australie un jeu aussi tristounet que celui de l’équipe de France depuis le début de l’épreuve. Des les approximations, des erreurs de défense, des fautes et un manque cruel d’imagination. Bref un jeu où l’équipe ne se sent pas véritablement concernée et qui manque de vitesse. Le contraire de ce qu’a montré la modeste mais séduisante équipe du Japon. Les Anglais  se sont donc inclinés 13 à 33 face à l’Australie dans leur mythique stade de Twickenham à Londres. Le XV de la Rose est donc éliminé de sa propre Coupe du monde de rugby. C’est la première fois qu’un pays organisateur ne participe pas aux phases finales. Les Australiens et les Gallois sont les premiers qualifiés pour les quarts de finale.  Humiliés, étrillés et surtout éliminés. Les Anglais ont été battus samedi soir, 13 à 33, par des Australiens survoltés et très efficaces. Les Wallabies n’ont laissé aucune chance au XV de la Rose, qui est donc sorti de sa propre Coupe du monde avant même les quarts de finale. Une première dans l’histoire du rugby. Un comble pour le pays qui a vu naître le rugby.  Tout le match, les Australiens ont mené au score, inscrivant trois essais. A lui seul l’ouvreur Bernard Foley, a inscris 28 points sur 33, avec deux essais en première mi-temps et 100% de réussite sur ses coups de pieds. C’est l’illustration d’un match très bien maîtrisé par la ligne arrière des Wallabies, bien aidée par Pocock, Hooper et un Matt Giteau des grands soirs, hauteur du troisième essais à la 79ème minute dans un stade déjà déserté par les supporters anglais.

Carlotti, la ministre éliminée à Marseille

Carlotti, la ministre  éliminée à Marseille

Arrivée troisième malgré son statut de favorite à la primaire socialiste en vue des municipales à Marseille, Marie-Arlette Carlotti devrait-elle quitter le gouvernement? C’est du moins ce que s’est demandée la sénatrice PS de Marseille Samia Ghali, arrivée en tête. « Si j’étais à sa place, peut-être que je rendrais mon poste de ministre », a déclaré Samia Ghali sur i-Télé. Avant de se demander si Marie-Arlette Carlotti n’avait pas été sanctionnée en raison « de son travail de ministre». La ministre chargée des Personnes handicapées avait vivement dénoncé dimanche 13 octobre « un fonctionnement à plein régime du clientélisme » à propos de sa rivale socialiste lors du premier tour de la primaire de dimanche. « Personne n’avait vu jusqu’à présent ce système fonctionner avec une telle puissance, un tel sentiment d’impunité, à la vue de tous, avec des dizaines de minibus qui sillonnent la ville, des échanges d’argent, toute une organisation que j’ai envie de qualifier de paramilitaire », avait-elle asséné. »Oui, il a fallu s’organiser pour aller voter car les transports dans certains quartiers sont inaccessibles », s’était défendue l’intéressée. Arrivé deuxième, le député Patrick Mennucci, qui a reçu dimanche soir le soutien de Marie-Arlette Carlotti pour le second tour, a qualifié d’ »absurdes » les propos de Samia Ghali. « Mme Carlotti est ministre, il n’appartient certainement pas à Samia Ghali de décider si elle doit le rester ou pas ».




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