Archive pour le Tag 'éliminé'

Foot coupes d’Europe : Lens éliminé, l’hécatombe commence

Foot coupes d’Europe : Lens éliminé, l’hécatombe commence

Les Lensois après avoir battu le Panathinaïkos à Bollaert-Delelis la semaine dernière (2-1), se sont inclinés jeudi à Athènes en barrage retour (2-0). Will Still et ses joueurs auront de quoi ruminer, eux qui ont gâché une multitude d’occasions dont un penalty.

Les Lensois t ont aussi manqué de chance. Reste que la liste des clubs français éliminés des différentes coupes d’Europe risque de s’allonger compte tenu de la situation financière difficile de clubs qui comme d’habitude ont dû se délester souvent de leurs meilleurs éléments.

 

Législatives : Fabien Roussel, patron du Parti communiste, éliminé dès le premier tour

 

législatives : Fabien Roussel, patron du Parti communiste, éliminé dès le premier tour

Député depuis 2017, le secrétaire national du Parti communiste français, Fabien Roussel, a annoncé son élimination, dimanche 30 juin, à l’issue du premier tour des élections législatives se disant « battu mais pas abattu ».

Il a été largement battu par le candidat du Rassemblement national Guillaume Florquin élu dès le premier tour, dans la 20e circonscription du Nord avec 50,3 %. Le communiste a rassemblé 31,19 % des voix.
« Beaucoup d’entre vous vont être déçus et par les résultats nationaux et aussi les résultats dans cette circonscription où, comme dans beaucoup de circonscriptions de notre département, le candidat du Rassemblement national l’emporte dès le premier tour en réalisant 50,3 % des voix », a déclaré M. Roussel.

 

« L’intelligence artificielle va générer plus d’emplois qu’elle n’en élimine »

« L’intelligence artificielle va générer plus d’emplois qu’elle n’en élimine »

Par
Georges Nahon, Ancien directeur du centre d’innovation d’Orange à San Franciscodans Le Monde

Un article qui mérite la lecture mais dont il faut sans doute relativiser les conclusions. En effet, l’intelligence artificielle n’en est qu’à ses débuts et à terme personne ne peut savoir quelles seront les conséquences notamment quantitatives sur l’emploi car la révolution reste encore à venir. NDLR

L’exceptionnelle accélération des progrès de l’intelligence artificielle (IA) et la rapidité fulgurante de son adoption par des millions de gens en un temps record, grâce notamment à ChatGPT et au lancement de GPT-4, une nouvelle version sortie à la mi-mars avec des améliorations considérables, amènent de nombreux observateurs à poser à nouveau une brûlante question : est-ce que l’IA remplacera, déplacera ou créera de nouveaux emplois ?

Au début 2023, la vague d’environ 200 000 licenciements qui a touché le secteur de la technologie aux Etats-Unis, notamment dans la Silicon Valley, a été attribuée à la crise économique et géopolitique mondiale, et au surrecrutement intervenu pendant et juste après la pandémie du Covid-19. L’IA était donc hors de cause.

Mais, d’ici à 2025, estime le Forum économique mondial, l’IA remplacera quelque 85 millions d’emplois, tandis que 97 millions de nouveaux emplois seraient créés sur la même période grâce à l’IA. Selon le cabinet de conseil PwC, l’IA sera responsable d’une augmentation de 14 % du produit intérieur brut de l’Amérique du Nord d’ici à 2030.

Sam Altman, président d’OpenAI, l’entreprise qui a développé ChatGPT, s’inquiète de la rapidité avec laquelle certains emplois seraient remplacés dans un proche avenir. Une nouvelle étude d’OpenAI publiée en mars estime que ChatGPT et les futurs outils « génératifs » qui en dérivent pourraient avoir un impact sur la moitié des tâches accomplies par environ 19 % des travailleurs aux Etats-Unis. Et 80 % verraient au moins 10 % de leurs tâches affectées par ChatGPT.

De nouvelles compétences
Rappelons toutefois que l’utilisation d’outils logiciels comme Excel a rendu le travail des comptables plus efficace, leur permettant de se concentrer sur des tâches plus complexes qui nécessitent leur expertise spécifique. Excel n’a pas réduit le besoin de comptables, mais a amélioré leur efficience. Et le nombre de comptables a augmenté aux Etats-Unis.

Lire aussi la tribune : Article réservé à nos abonnés « ChatGPT nous invite à un regain d’intelligence dans tous les domaines, dont l’enseignement »
En réalité, l’adoption généralisée de l’IA exigera de nouvelles compétences techniques et non techniques. L’IA générative a un impact visible dans les domaines créatifs tels que la musique, l’art et l’écriture. Ce qui crée de nouveaux rôles, tels que ceux de spécialiste du contenu généré par l’IA, conservateur d’art IA et producteur de musique IA. Un autre domaine exigeant de nouvelles compétences est celui des services commerciaux, notamment avec les chatbots [robot conversationnel en ligne] et les assistants virtuels alimentés par l’IA.

L’IA générative change aussi la nature des emplois existants. Par exemple, les comptables peuvent maintenant utiliser des systèmes alimentés par l’IA pour automatiser de nombreuses tâches, libérant ainsi du temps pour d’autres tâches plus stratégiques. De même, les médecins peuvent utiliser des systèmes alimentés par l’IA pour analyser les données des patients et identifier les risques potentiels pour la santé. L’impact est aussi très significatif dans le monde du droit.

France 5G: Huawei éliminé d’ici 2028

France 5G: Huawei éliminé d ici 2028

D’une certaine manière,  Paris rejoint les États-Unis et la Grande-Bretagne pour interdire l’accès au marché 5g  du chinois Huawei . En effet les autorisations accordées aux Chinois seront très provisoires et limitées à quelques années avec un maximum de huit ans. Huawei va donc se trouver exclu d’ici 2028 au plus tard mais sans doute beaucoup plus tôt. On voit mal des opérateurs de télécom s’engager techniquement seulement quelques années avec un fournisseur d’une technologie relativement complexe. Dans les faits Huawei pourrait être éjecté rapidement du marché français comme il le sera du marché britannique et du marché américain..

Les Etats-Unis soupçonnent Huawei d’utiliser ses équipements à des fins d’espionnage – ce que le groupe et Pékin démentent – et pressent leurs alliés d’interdire le fabricant.

Dans un entretien au quotidien Les Echos, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) a fait savoir au début du mois qu’elle allait accorder des autorisations aux opérateurs télécoms pour utiliser des équipements 5G, y compris ceux fabriqués par Huawei, pour des durées pouvant aller jusqu’à huit ans.

Mais à la différence des concurrents Ericsson ou Nokia, une grande partie des autorisations accordées à ce stade pour du matériel Huawei ont été limitées à trois ou cinq ans et les pouvoirs publics ont informé les opérateurs télécoms que ces autorisations ne seraient pas reconductibles, selon trois sources au fait du dossier.

Cette non-reconduction des autorisations pour les équipements Huawei a été évoquée lors de discussions informelles et n’a pas fait l’objet de documentation écrite mais elle a été clairement exprimée comme étant la position du gouvernement français, ont dit ces sources.

Les limitations auront pour conséquence dans les faits une sortie progressive de Huawei des réseaux 5G en France à l’horizon 2028 en raison de la brièveté des autorisations accordées, ont dit les sources qui ont requis l’anonymat au vu du caractère sensible des discussions.

Des opérateurs pourraient dans certains cas obtenir des autorisations sous huit ans pour du matériel Huawei et pourraient décider alors d’avoir recours à l’équipementier. Mais même dans ce scénario, ils seraient contraints au final de le démanteler.

“L’autorisation sous trois ans c’est une blague”, a déclaré l’une des sources, ajoutant qu’aucun opérateur télécoms ne prendrait le risque d’investir dans un nouvel équipement qui met au moins huit ans à être amorti.

Une sortie de Huawei serait pénalisante en particulier pour Bouygues Telecom (Bouygues) et SFR (Altice Europe), les deux opérateurs qui utilisent déjà Huawei dans leurs réseaux.

Brésil: Lula trop populaire éliminé comme candidat à la présidence de la république

Brésil: Lula trop populaire éliminé comme candidat à la présidence de la république

 

L’Amérique du sud n’en finit pas de solder se comptes avec son passé réactionnaire et même fasciste. Pour preuve, Lula, empêché de se présenter à l’élection présidentielle tout simplement parce qu’il devance à hauteur de 40% son principal adversaire de droite qui n’obtient pas la moitié (19% des intentions de votes). La méthode est connue. L’Espagne elle même longtemps nourricière du fascisme d’Amérique du sud a bien emprisonné et condamner les leaders catalans pour les empêcher de se présenter aux élections de la région. Certes Lula n’est pas un saint, mais se prédécesseurs non plus. Sul fallait emprisonner tous les chefs d’Etats qui ont mis les doigts dans le pot de confiture, on manquerait de candidat dans le monde entier. La question est politique, économique aussi.  Lula, de loin l’homme politique le plus populaire du Brésil, a été condamné en appel à 12 ans d’emprisonnement pour corruption et est incarcéré depuis avril. Son parti, le Parti des travailleurs (PT), l’avait tout de même présenté comme candidat pour la présidentielle à la mi-août, estimant que Lula était innocent. Cependant une loi, baptisée “Ficha Limpa” (casier vierge), exclut du scrutin présidentiel les candidats ayant été condamnés en appel pour corruption. La décision du Tribunal supérieur électoral devrait mettre fin à un feuilleton qui a fait planer une grande incertitude sur le scrutin d’octobre. Cependant les avocats de Lula avaient auparavant annoncé qu’ils pourraient faire appel de la décision devant la Cour suprême. Les juges ont ignoré la recommandation de la commission des droits de l’homme de l’Onu, selon laquelle le gouvernement devait autoriser Lula à exercer ses droits politiques tant que ses appels devant les tribunaux n’ont pas été étudiés, a ajouté le PT.

Fillon de plus en plus bas, éliminé avec 17,5% (IFOP)

Fillon  de plus en plus bas, éliminé avec 17,5% (IFOP)

 

François Fillon plonge encore d’après le  sondage quotidien de l’IFOP-Fiducial et serait éliminé dès le premier tour de la présidentielle, avec 17,5%, si le scrutin devait avoir lieu ce dimanche. Toujours devancé par Emmanuel Macron (21%) et Marine Le Pen (26%), le vainqueur de la primaire de la droite perd un demi-point par rapport à la précédente étude réalisée pour Paris Match, iTELE et Sud Radio. Les intentions de vote en faveur de l’ex-Premier ministre n’ont cessé de fléchir depuis le début de la controverse déclenchée fin janvier par les révélations du Canard enchaîné sur les emplois potentiellement fictifs dont aurait bénéficié son épouse et deux de ses enfants. Derrière le trio de tête, suivent Benoît Hamon (15%), Jean-Luc-Mélenchon (10,5%), François Bayrou (5,5%), lequel entretient le suspense sur ses intentions, et une série de candidats à moins de 5%. Dans l’hypothèse d’un second tour Macron-Le Pen, la seule testée par l’Ifop, l’ancien ministre de l’Economie l’emporterait avec 63% contre 37% à la présidente du Front national. Cette enquête a été menée en ligne du 6 au 9 février auprès d’un échantillon de 1,407 personnes inscrites sur les listes électorales.

Fillon éliminé nettement en tête au premier tour au profit de Macron

 

Fillon éliminé nettement en tête au premier tour au profit de Macron

 

Fillon à 17 %, Macron à 22 % et Marine Le Pen à 25 % selon un sondage Elabe pour BFMTV et L’Express diffusé mercredi. François Fillon (Les Républicains) est à la troisième place (17% à 18%), devant le socialiste Benoît Hamon (15% à 15,5%) et le candidat de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon (12% à 13%). Ces résultats sont calculés avec une candidature de François Bayrou pour le premier chiffre et sans pour le second chiffre. Le centriste recueille 5% des intentions de vote. Par rapport à un sondage équivalent réalisé par Elabe à la fin de la semaine dernière, dans l’hypothèse où François Bayrou n’est pas candidat, Marine Le Pen perd un point, Emmanuel Macron et François Fillon gagnent 0,5 point, Benoît Hamon gagne un point et Jean-Luc Mélenchon en perd un. Dans l’hypothèse où François Bayrou est candidat, Marine Le Pen perd un point par rapport à la fin de la semaine dernière, Emmanuel Macron et François Fillon sont stables, Benoît Hamon gagne un point et Jean-Luc Mélenchon en perd un. Au second tour, Emmanuel Macron (En marche !) battrait Marine Le Pen (Front national) avec 63% des voix contre 37%. François Fillon la battrait avec 56% contre 44%.Le sondage a été réalisé les 7 et 8 février, soit après la conférence de presse de François Fillon, auprès d’un échantillon de 961 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1.050 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage 2017 : nouvelle baisse de Fillon éliminé au premier tour

Sondage 2017 : nouvelle baisse de Fillon éliminé au premier tour

 

Un  sondage montre  la nette dégradation de Fillon et surtout confirme qu’il serait éliminé dés le premier tour. L’enquête IFOP-Fiducial pour Paris Match, Sudradio et iTELE réalisée après les révélations du Canard enchaîné, Marine Le Pen (Front national) et Emmanuel Macron (En marche !) vireraient en tête, avec respectivement 25% et 20,5% des voix. L’institut mesure pour ces deux candidats une progression d’un demi-point par rapport à un sondage similaire publié jeudi ainsi qu’un nouveau recul de 1,5 point pour François Fillon, qui ne cesse de perdre du terrain depuis le début de la controverse sur de présumés emplois fictifs de son épouse.  Crédité de 16,5%, le socialiste Benoît Hamon figure en quatrième position, devant Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise), à 10%, et une kyrielle de candidats à moins de 5% -François Bayrou, Nicolas Dupont-Aignan, Yannick Jadot, Philippe Poutou, Nathalie Arthaud et Jacques Cheminade. Dans la seule hypothèse testée en vue du second tour, Emmanuel Macron l’emporterait avec 63% des suffrages, contre 37% à Marine Le Pen.

Sondage : déconfiture de Fillon éliminé par Macron au premier tour des présidentielles

Sondage : déconfiture de Fillon éliminé par Macron au premier tour des présidentielles

 

Comme nous l’indiquions ce matin, il se confirme que Fillon risque de connaître la déconfiture au premier tour. Un sondage Elabe d’aujourd’hui mercredi lui attribue seulement 20%, Macron serait à 23% et Le Pen à 27%.Au second tour Macron obtiendrait 65% pour 35% pour Marine Le Pen. Dans tous les cas de figures, la candidature de Fillon est plombée.  Le choix est désormais clair : c’est soit le renoncement, soit une défaite sanglante au premier tour des présidentielles. Le système de défense de l’intéressé ne tient évidemment pas, il est même d’une insignifiance qui désarçonne. En outre chaque jour, s’ajoutent de nouvelles accusations. La semaine dernière la presse avait révélé que Fillon avait rémunéré son époux à hauteur de 500 000 € comme pseudo assistante parlementaire. Hier on a appris qu’en réalité cette rémunération était de 900 000 €. De plus on a aussi appris que Fillon avait détourné du Sénat des sommes normalement allouées aux assistants parlementaires pour une somme de l’ordre de 25 000 €. Il a aussi rémunéré ses enfants pour une somme de 84 000 € en justifiant qu’ils étaient avocats alors  qu’ils n’étaient qu’étudiants. Dernier avatar de cette affaire la découverte de sa société de conseil « 2 F ». Enfin la rémunération d’un emploi fictif dans le journal d’un milliardaire : la revue des deux mondes où Penelope Fillon n’a jamais mis les pieds. Autant d’éléments injustifiables surtout pour celui qui avait pris la posture de l’homme honnête et de la rigueur. L’embarras est tel chez les  républicains que peu de grosses pointures osent prendre sa défense. Dans la coulisse, on évoque désormais clairement renoncement. Certes la procédure juridique pouvant le condamner pour les différents motifs évoqués n’est pas prête d’aboutir. Le temps juridique n’est pas le temps médiatique ou le temps politique. Ceci étant, les dégâts sont déjà faits dans l’opinion publique et un sondage vient de démontrer que 75 % des Français ne croient pas aux explications de Fillon. Du coup, sa popularité va encore continuer de se rétrécir comme peau de chagrin et  les républicains risquent  de prendre uen calque aux législatives.

Valls mieux placé à gauche mais éliminé pour 2017 selon un sondage

Valls mieux placé à gauche mais éliminé  pour 2017 selon un sondage

 

Un curieux sondage de Doxa pour France info qui montrerait que Manuel Valls serait le meilleur candidat pour la gauche mais par contre qu’il ne pourrait pas se qualifier pour le second tour et même qu’il pourrait se retrouver derrière Macron. Ce dernier est moins populaire chez les électeurs de gauche mais davantage soutenu que Valls dans l’ensemble de la population. Finalement une majorité de Français pense que Valls ferait un bon président mais peu voteront pour lui, il recueillerait sans doute moins de 15 %.- Pas d’engouement massif, mais un candidat qui tire son épingle du jeu. Dans un sondage Odoxa révélé par France info vendredi 21 octobre, plus de la moitié des interrogés estiment que le Premier ministre Manuel Valls ferait un bon président, même si aucune personnalité de gauche ne sort véritablement du lot. Ce sondage, réalisé les 19 et 20 octobre auprès de 1003 personnes âgées de plus de 18 ans, révèle que 83% des sondés estiment que François Hollande ne ferait pas un bon président s’il se présentait de nouveau en 2017. 54% des sondés, interrogés sur François Hollande, Emmanuel Macron, Manuel Valls, Arnaud Montebourg, Benoît Hamon, ou encore Jean-Luc Mélenchon, estiment en revanche que le Premier ministre ferait un bon président. Ce chiffre grimpe à 72% chez les sympathisants du Parti socialiste, alors que seuls 36% estiment que François Hollande ferait un bon second mandat. « C’est malgré tout un peu insuffisant (pour Manuel Valls), explique à France Info Gaël Sliman, le président de l’institut de sondage Odoxa. Si Manuel Valls remportait la primaire socialiste, ça ne lui donnerait même pas une position confortable à l’élection présidentielle. » Le Premier ministre pourrait se retrouver face à Emmanuel Macron, que 56% des sondés perçoivent comme un meilleur adversaire face au Front national (contre 39% pour Manuel Valls). À gauche, si Manuel Valls décidait de se présenter à l’élection présidentielle, il serait au coude à coude avec Arnaud Montebourg, révèle encore le sondage.

2017 :Hollande largement éliminé dés le premier tour

2017 :Hollande  largement  éliminé dés le premier tour

Selon une enquête Ipsos-Sopra Steria, François Hollande est éliminé des le premier tour est très largement dans pratiquement tous les cas de figure en plafonnant autour de 15 % des suffrages. Dans l’hypothèse d’une candidature d’Alain Juppé à la présidentielle – s’il gagne la primaire de droite de la fin 2016 – , le chef de l’État ne recueillerait que 14 % (- 4 points par rapport à la précédente enquête similaire de janvier 2016) d’intentions de vote, contre 31 % pour le maire de Bordeaux (stable), 26 % (+ 1) pour Marine Le Pen, 10 % (+ 1,5 %) pour Jean-Luc Mélenchon, et 8 % (stable) pour François Bayrou. En l’absence de candidature Bayrou -  ce qui semble plus crédible si Alain Juppé est candidat-, Alain Juppé est crédité de 36 % et François Hollande de 15 %.  En revanche, si Nicolas Sarkozy était le candidat de la droite, François Hollande recueillerait 16 % (- 4) des voix, contre 27 % (+ 1) à Marine Le Pen, 21 % (stable) à Nicolas Sarkozy, 13 % (stable) à François Bayrou, et 11 % (+ 1) à Jean-Luc Mélenchon. Nicolas Dupont-Aignan est crédité de 5 % à 6 % d’intentions de vote, Cécile Duflot de 3 %, Nathalie Arthaud et Philippe Poutou de 1,5 %. S’agissant de la primaire de droite, avec 26 % d’intentions de vote des personnes certaines de participer à la primaire à droite, Nicolas Sarkozy perd 6 points en deux mois sur Alain Juppé, toujours largement en tête malgré un léger recul, à 42 % (- 2). L’ancien chef de l’État conserve toutefois une légère avance auprès des proches des Républicains (LR), avec 39 % d’intentions de vote, contre 35 % à Alain Juppé. Bruno Le Maire, qui a annoncé sa candidature fin février, progresse pour sa part de 6 points, avec 17 % d’intentions de vote et vient se mêler à la bataille. Il creuse désormais l’écart avec François Fillon (8 %, – 1) et les autres candidats à la primaire, crédités de 1 % à 2,5 %. À gauche, Martine Aubry (19 %) et Emmanuel Macron (18 %) sont considérées comme les personnalités qui incarnent le mieux la gauche, devant Jean-Luc Mélenchon (16 %) et Manuel Valls (13 %). Mais c’est Manuel Valls (30 %) qui est considéré comme le candidat de gauche « le plus à même de se qualifier au second tour de l’élection présidentielle », devant Emmanuel Macron (25 %) et Martine Aubry (16 %).

Législatives partielles : le PS éliminé dans deux élections

Législatives partielles : le PS éliminé dans deux élections 

Le parti socialiste a été éliminé des le premier tour dans 2 des 3  législatives partielles de ce week-end .Les candidats Les Républicains de la 10e circonscription du Nord et de la 2e de l’Aisne sont arrivés en tête dimanche soir du premier tour d’élections législatives partielles, et affronteront un candidat frontiste au second, le PS étant éliminé. Dans le Nord, Vincent Ledoux, maire de Roncq et vice-président de la Métropole Européenne de Lille, a obtenu 46,84% des suffrages. Il se trouve en ballottage face à la candidate frontiste (25,22%) Virginie Rosez, lors d’un scrutin où la participation n’a atteint que 21,7%. Le candidat socialiste Alain Mezrag se place en troisième position avec 11,24% des voix. Viennent ensuite les candidats EELV (5,90%), PCF (5,10%), LO (2,96%), DVD (1,49%) et MRC (1,24%).  Dans la 2e circonscription de l’Aisne, où les électeurs doivent élire le successeur à Xavier Bertrand qui a démissionné de son mandat pour se consacrer à la région Nord-Pas-de-Calais/Picardie après son élection, Julien Dive (LR) est arrivé en tête avec 36,28% des suffrages. M. Dive, 31 ans, ancien responsable des Jeunes populaires et maire d’Itancourt depuis 2014, devance la frontiste Sylvie Saillard (28,79%) et la socialiste Anne Ferreira (15,69%). Un candidat sans étiquette, Eric Norel (5,79%), arrive en 4e position, devançant deux candidats communistes, Gérard Brunel (3,80%) et Corinne Becourt (3,48%), puis ceux d’EELV (3,33%), LO (2,21%) et Belaïdi Lograda, sans étiquette (0,63%).
La participation à ce scrutin a été de 33,97%, selon la préfecture.

Sondage Présidentielle 2017 premier tour : Hollande éliminé dans tous les cas et Marine Le Pen à 29%

Sondage Présidentielle 2017 premier tour : Hollande éliminé dans tous les cas et Marine Le Pen à 29%

Dans tous les cas Hollande serait éliminé, avec une marge encore plus importante si le candidat de la droite est Juppé. Alain Juppé devancerait en effet  largement François Hollande au premier tour de l’élection présidentielle et serait au coude-à-coude avec Marine Le Pen, si le scrutin avait lieu dimanche, selon un sondage IFOP-Fiducial publié vendredi. Dans l’hypothèse d’une candidature de Nicolas Sarkozy pour Les Républicains (LR), celui-ci ne devancerait l’actuel chef de l’Etat que de deux points, 23% contre 21%, loin derrière Marine Le Pen, à 28%. François Bayrou recueillerait 12% des intentions de vote, Jean-Luc Mélenchon 8%, Nicolas Dupont-Aignan 3,5% et Cécile Duflot 2%, selon cette enquête pour Sud Radio et Lyon capitale. Si Alain Juppé était le candidat LR, il obtiendrait 27% des suffrages au premier tour, deux points derrière la présidente du Front national (29%), mais loin devant François Hollande, crédité de 19% d’intentions de vote. Dans ce cas de figure, si François Bayrou était également candidat, il recueillerait 9% des voix, Jean-Luc Mélenchon 8%, Nicolas Dupont-Aignan 3% et Cécile Duflot 2%. Si François Bayrou n’était pas candidat, Alain Juppé arriverait cette fois en tête avec 31,5% des intentions de votes, devant Marine Le Pen (29%), et loin devant François Hollande à 20,5%. Jean-Luc Mélenchon serait à 9%, Nicolas Dupont-Aignan à 4% et Cécile Duflot à 3%. Dans tous les cas de figure, Nathalie Arthaud (LO) et Philippe Poutou (NPA) oscillent entre 1% et 2%.

Présidentielles 2017 -sondage : Hollande éliminé au premier tour

Présidentielles 2017 -sondage : Hollande éliminé au premier tour

Si Juppé est candidat, il est vraisemblable que François Hollande sera éliminé dès le premier tour. En effet près d’un quart des électeurs qui  avaient voté pour Hollande en 2012 serait prêt à se prononcer en faveur de Juppé en 2017. À l’inverse les électeurs de Hollande seront très peu nombreux à voter Sarkozy en cas de candidature de ce dernier en 2017. D’où sans doute le souhait Hollande d’être confronté à Sarkozy et non à Juppé. Hollande sait par ailleurs   qu’au second tour il sortirait vainqueur d’une confrontation-avec Marine Le Pen. En dépit de toutes les casseroles que traîne Sarkozy il est vraisemblable que le pouvoir fera tout pour que la justice ne le disqualifie pas pour 2017. Certes les affaires risquent d’émerger de plus en plus mais sans condamnation définitive. Hollande pourra utiliser ces casseroles et le bilan finalement décevant  de l’ancien président de la république pour le discréditer. C’est ce qu’on peut tirer d’un sondage IFOP pour RTL du 27 juillet. Un sondage  donnait, au début du mois, Manuel Valls comme candidat favori de la gauche pour les élections, devançant de quelques points Dominique Strauss-Kahn.  La personnalité politique qui a la cote en ce moment dans les sondages, c’est Alain Juppé, avec 28% des voix. Encore une fois, le maire Les Républicains de Bordeaux semble convaincre les citoyens. Selon ce sondage, il partirait favori en 2017. Au premier tour, il devancerait Marine Le Pen d’un point, tandis que Nicolas Sarkozy arriverait, lui, quatre points derrière la présidente du Front national. Aujourd’hui, selon cette enquête, 14% des électeurs de Nicolas Sarkozy en 2012 se déclarent prêts à voter pour Marine Le Pen. Quelle que soit la situation, François Hollande n’arriverait donc pas à franchir les portes du second tour.  Car Alain Juppé plait aussi aux électeurs de François Hollande, qui sont 22% à déclarer qu’ils voteront pour lui en 2017, contrairement à Nicolas Sarkozy, qui en tant que candidat des Républicains, ne récolteraient que 4% des voix de gauche. Alain Juppé serait donc en position d’affaiblir le Front national et de piquer des voix à la gauche. De quoi passer l’été serein et d’aborder la rentrée confiant.

 

Mondial foot 2014 : L’Uruguay « mordante » élimine l’Italie

Mondial foot 2014 : L’Uruguay « mordante »  élimine l’Italie

 

Une équipe très mordante l’Uruguay avec Suarez qui une nouvelle fois a réellement mordu un adversaire. La Fifa a ouvert des procédures disciplinaires contre l’attaquant de l’Uruguay, Luis Suarez, qui a mordu le défenseur italien Giorgio Chiellini, a indiqué dans la nuit de ce mardi à mercredi l’instance du foot mondial. Selon les textes en vigueur dans le règlement Fifa, le joueur de Liverpool, récidiviste en la matière, risque une lourde sanction qui pourrait le priver de la suite du Mondial 2014 au Brésil avec l’Uruguay, qualifié ce mardi pour les 8e de finale. Alors que la Celeste était techniquement éliminée à ce moment du match (0-0), Luis Suarez a une nouvelle fois été l’auteur d’un très vilain geste.  Luis Suarez est malheureusement coutumier du fait. Suspendu douze matches en début de saison, le meilleur buteur de Premier League avait très clairement mordu le bras du défenseur de Chelsea Branislav Ivanovic. Dommage Suez est l’un des meilleurs jouer du monde  mais sans dote aussi l’un des plus détestables .

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