Archive pour le Tag 'Electricité'

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Electricité: Pédale douce sur le renouvelable

Electricité: Pédale douce sur le renouvelable

Adieu la projection des chiffres officiels de production énergétique. La limitation du nucléaire a bien entendu disparu également comme celle du renouvelable.

Il n’y a plus de chiffres l’avant-projet de loi « souveraineté énergétique » ? Alors que ce texte, qui devra être présenté en Conseil des ministres « fin janvier-début février » Ne restent donc, dans la dernière version, que les volets régulation des prix, protection des consommateurs et régime des barrages hydroélectriques. On a connu une époque où le nucléaire était visé avec l’ambition d’en limiter la production ( Hollande et Macron). Une erreur stratégique et énergétique centrale qui a affecté la compétitivité du pays. Le ridicule allant jusqu’à la fermeture de la centrale de Fessenheim. Aujourd’hui on réaffirme au contraire la primauté du nucléaire avec le renforcement et la prolongation du parc existant, au moins 14 centrales EPR nouvelles voire d’autres.

Ainsi un projet de loi relatif à la souveraineté énergétique acte ce changement stratégique fondamental. Si effectivement on fixe des objectifs quantitatifs au nucléaire par contre, c’est la pédale douce sur les derniers les énergies renouvelables certes utiles mais forcément anecdotiques et intermittentes.

Le texte mentionne bien le rôle des énergies renouvelables pour la sécurité d’approvisionnement du pays sans pour autant assigner d’objectifs précis à leur déploiement… contrairement au nucléaire.

L’objectif politique et bien entendu de recueillir le soutien de la droite et notamment du parti des « Républicains ».

Dans une interview accordée dimanche 7 janvier , la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a présenté les grandes lignes d’un avant projet de loi visant à assurer la souveraineté énergétique de la France à l’horizon 2035. Le texte fait la part belle à l’atome civil en lui assignant plusieurs objectifs précis. Il est ainsi question de « maintenir une puissance installée d’au moins 63 GW et une disponibilité d’au moins 66 %, avec l’objectif d’atteindre une disponibilité de 75 % à partir de 2030, assurant un socle de sécurité d’approvisionnement jusqu’en 2035 ».

Tarifs réglementés de Electricité: Pas de baisse … mais des hausses

Tarifs réglementés de Electricité: Pas de baisse … mais des hausses


Alors que les prix sur le marché mondial ne cessent de diminuer, les utilisateurs finaux ne verront pas la couleur de cette tendance baissière. Au contraire les prix de l’électricité pour les usagers augmenteront en moyenne de l’ordre de 10 %. Une hausse qui s’explique par la hausse de la fiscalité notamment des assises.

Selon le régulateur de l’énergie, le tarif réglementé de l’électricité devrait baisser au 1 er février compte tenu de la chute des cours de l’électricité. Le gouvernement risque toutefois d’engager une nouvelle hausse de 10 % afin de rétablir les taxes.

Grâce au retour de plus en plus de réacteurs d’EDF sur le réseau , au bon niveau des stocks de gaz et des réserves d’eau dans les barrages mais aussi au maintien des efforts de sobriété chez les ménages comme chez les entreprises, les prix de l’électricité sur les marchés de gros ont chuté de plus de 30 % ces six derniers mois.

Désormais, le contrat d’électricité à terme pour 2025 se négocie autour de 83 euros le mégawattheure (MWh) en France. C’est plus de deux fois mois qu’il y a un an, lorsqu’il se négociait autour des 170 euros le MWh. C’est aussi moins qu’en Allemagne, où les prix oscillent encore autour de 88 euros.

Électricité : Bruno Le Maire confirme indirectement la hausse de 10 %

Électricité : Bruno Le Maire confirme indirectement la hausse de 10 %

On sait que le ministre de l’économie n’a jamais été favorable à une diminution des tarifs réglementés de l’électricité. D’ailleurs il refuse tout concept de gel alors que les prix de marché mondiaux sont nettement à la baisse. Indirectement il confirme que la hausse sera de l’ordre de 10 %.En réalité, la baisse les prix à la production se traduira en France pa de la fiscalité par les assises . À noter aussi que Bruno Lemaire a récupéré dans son portefeuille ministériel non seulement l’économie en général mais la gestion du nucléaire et qu’il a besoin évidemment de sommes considérables pour financer en particulier le programme des nouvelles centrales EPR voire SMR. Il faut sans doute prévoir que le ministre de l’économie mettra la pédale sur le développement des énergies renouvelables intermittentes

«Nous allons discuter avec le premier ministre et le président de la République du chiffre définitif qui sera retenu, mais je répète ce que j’ai toujours dit, c’est que je tiens parole il n’y aura pas d’augmentation du prix de l’électricité de plus de 10% dans les jours qui viennent», a déclaré le ministre de l’Économie lors d’un déplacement à la centrale nucléaire de Gravelines (Nord).

Le tarif réglementé de l’électricité, dont bénéficient la majorité des foyers, est revu deux fois par an, le 1er février et le 1er août. Et, vendredi, l’association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir avait demandé au gouvernement un «gel» de ce tarif réglementé de l’électricité, alors que les prix sur le marché de gros ont connu une nette détente ces derniers mois après la flambée historique de 2022.

Prix Electricité: Pas de baisse … mais des hausses

Prix Electricité: Pas de baisse … mais des hausses


Alors que les prix sur le marché mondial ne cessent de diminuer, les utilisateurs finaux ne verront pas la couleur de cette tendance baissière. Au contraire les prix de l’électricité pour les usagers augmenteront en moyenne de l’ordre de 10 %. Une hausse qui s’explique par la hausse de la fiscalité notamment des assises.

Selon le régulateur de l’énergie, le tarif réglementé de l’électricité devrait baisser au 1 er février compte tenu de la chute des cours de l’électricité. Le gouvernement risque toutefois d’engager une nouvelle hausse de 10 % afin de rétablir les taxes.

Grâce au retour de plus en plus de réacteurs d’EDF sur le réseau , au bon niveau des stocks de gaz et des réserves d’eau dans les barrages mais aussi au maintien des efforts de sobriété chez les ménages comme chez les entreprises, les prix de l’électricité sur les marchés de gros ont chuté de plus de 30 % ces six derniers mois.

Désormais, le contrat d’électricité à terme pour 2025 se négocie autour de 83 euros le mégawattheure (MWh) en France. C’est plus de deux fois mois qu’il y a un an, lorsqu’il se négociait autour des 170 euros le MWh. C’est aussi moins qu’en Allemagne, où les prix oscillent encore autour de 88 euros.

Prix Electricité: Pas de baisse … mais des hausses

Prix Electricité: Pas de baisse … mais des hausses


Alors que les prix sur le marché mondial ne cessent de diminuer, les utilisateurs finaux ne verront pas la couleur de cette tendance baissière. Au contraire les prix de l’électricité pour les usagers augmenteront en moyenne de l’ordre de 10 %. Une hausse qui s’explique par la hausse de la fiscalité notamment des assises.

Selon le régulateur de l’énergie, le tarif réglementé de l’électricité devrait baisser au 1 er février compte tenu de la chute des cours de l’électricité. Le gouvernement risque toutefois d’engager une nouvelle hausse de 10 % afin de rétablir les taxes.

Grâce au retour de plus en plus de réacteurs d’EDF sur le réseau , au bon niveau des stocks de gaz et des réserves d’eau dans les barrages mais aussi au maintien des efforts de sobriété chez les ménages comme chez les entreprises, les prix de l’électricité sur les marchés de gros ont chuté de plus de 30 % ces six derniers mois.

Désormais, le contrat d’électricité à terme pour 2025 se négocie autour de 83 euros le mégawattheure (MWh) en France. C’est plus de deux fois mois qu’il y a un an, lorsqu’il se négociait autour des 170 euros le MWh. C’est aussi moins qu’en Allemagne, où les prix oscillent encore autour de 88 euros.

Electricité: Pas de baisse … mais des hausses

Electricité: Pas de baisse … mais des hausses


Alors que les prix sur le marché mondial ne cessent de diminuer, les utilisateurs finaux ne verront pas la couleur de cette tendance baissière. Au contraire les prix de l’électricité pour les usagers augmenteront en moyenne de l’ordre de 10 %. Une hausse qui s’explique par la hausse de la fiscalité notamment des assises.

Selon le régulateur de l’énergie, le tarif réglementé de l’électricité devrait baisser au 1 er février compte tenu de la chute des cours de l’électricité. Le gouvernement risque toutefois d’engager une nouvelle hausse de 10 % afin de rétablir les taxes.

Grâce au retour de plus en plus de réacteurs d’EDF sur le réseau , au bon niveau des stocks de gaz et des réserves d’eau dans les barrages mais aussi au maintien des efforts de sobriété chez les ménages comme chez les entreprises, les prix de l’électricité sur les marchés de gros ont chuté de plus de 30 % ces six derniers mois.

Désormais, le contrat d’électricité à terme pour 2025 se négocie autour de 83 euros le mégawattheure (MWh) en France. C’est plus de deux fois mois qu’il y a un an, lorsqu’il se négociait autour des 170 euros le MWh. C’est aussi moins qu’en Allemagne, où les prix oscillent encore autour de 88 euros.

Électricité record d’exportations par la France

Électricité: record d’exportations par la France

Le parc nucléaire davantage disponible maintenant après le plan de réhabilitation (le Grand carénage et différent incidents) répond largement aux besoins nationaux de sorte que la France atteint maintenant des records d’exportation en matière d’électricité. L’autre facteur explicatif serait la météo relativement douce mais c’est aussi le cas dans les pays qui importent.

La France a exporté un volume record d’électricité vers ses voisins vendredi, a-t-on appris mardi auprès du gestionnaire du réseau électrique RTE, notamment en raison de moindres besoins nationaux et d’une meilleure disponibilité du parc nucléaire. Ce montant record des capacités d’exportations «réservées» par les marchés, vendredi à 16H00, a atteint quelque 18.680 mégawatts (MW), contre 17.415 MW, lors du précédent record établi le 22 février 2019, a indiqué RTE, confirmant une information du quotidien Les Echos.

Cette électricité a été exportée vers le Royaume-Uni (3 GW), l’Allemagne et le Bénélux (5,4 GW), la Suisse (3,2 GW), l’Italie (4,4 GW) et l’Espagne (2,6 GW), a détaillé RTE. «Il y a un besoin en ce moment qui est un peu plus faible en consommation en France, puisqu’on est dans une période de vacances», a souligné RTE pour expliquer cette pointe d’exportation record.

Coût de Electricité : une facture de 500 milliards et des hausses de tarifs et de taxes

Coût de Electricité : une facture de 500 milliards et des hausses de tarifs et de taxes

Il est clair que tarifs d’électricité ne sont pas près de diminuer. Les besoins d’EDF pour la production sont de 250 à 300 milliards, les besoins de RTE pour le transport sont de 100 milliards et les besoins d’ENEDIS pour la distribution de 100 milliards également. Total environ 500 milliards.Il y a d’abord les énormes besoins d’EDF pour produire notamment en modernisant des centrales actuelles et en construisant les EPR. EDF qui traîne une dette de plus de 60 milliards, qui doit notamment moderniser les centrales actuelles (notamment le grand carénage, assurer le cout de l’enfouissement des déchets), financer les nouvelles centrales EPR 2, investir aussi dans les autres renouvelables. Mais il y a également les besoins de financement pour le développement du réseau et la modernisation de sa distribution. 100 milliards pour le réseau RTE et encore 100 milliards pour la distribution ENEDIS . Des sommes à ajouter au besoin d’EDF de l’ordre d’ici une quinzaine d’années de 250 à 300 milliards.

Interrogé ce jeudi 7 décembre à l’occasion du Forum Zéro Carbone, organisé par La Tribune, France Urbaine et la ville de Paris, à l’Hôtel de ville de Paris, sur un possible montant d’investissements proche de 100 milliards d’euros, le dirigeant a confirmé qu’il s’agissait du bon « ordre de grandeur ».

« Vous avez raison c’est de cet ordre de grandeur-là d’ici à 2040, voire 2045 pour le transport d’électricité. C’est du même ordre de grandeur pour la distribution [dont le réseau est géré par Enedis, ndlr]. Donc vous voyez que ce sont des volumes de milliards avec plusieurs zéros », a répondu le président de RTE.

Le président de RTE a ajouté que ces chiffres seraient « à confirmer » au printemps 2024, lors de la présentation du SDDR. Les prévisions du gestionnaire s’appuieront sur les données de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) mise en consultation par le gouvernement fin novembre.

Electricité : une facture de 500 milliards et des hausses de tarifs et de taxes

Electricité : une facture de 500 milliards et des hausses de tarifs et de taxes

Il est clair que tarifs d’électricité ne sont pas près de diminuer. Les besoins d’EDF pour la production sont de 250 à 300 milliards, les besoins de RTE pour le transport sont de 100 milliards et les besoins d’ENEDIS pour la distribution de 100 milliards également. Total environ 500 milliards.Il y a d’abord les énormes besoins d’EDF pour produire notamment en modernisant des centrales actuelles et en construisant les EPR. EDF qui traîne une dette de plus de 60 milliards, qui doit notamment moderniser les centrales actuelles (notamment le grand carénage, assurer le cout de l’enfouissement des déchets), financer les nouvelles centrales EPR 2, investir aussi dans les autres renouvelables. Mais il y a également les besoins de financement pour le développement du réseau et la modernisation de sa distribution. 100 milliards pour le réseau RTE et encore 100 milliards pour la distribution ENEDIS . Des sommes à ajouter au besoin d’EDF de l’ordre d’ici une quinzaine d’années de 250 à 300 milliards.

Interrogé ce jeudi 7 décembre à l’occasion du Forum Zéro Carbone, organisé par La Tribune, France Urbaine et la ville de Paris, à l’Hôtel de ville de Paris, sur un possible montant d’investissements proche de 100 milliards d’euros, le dirigeant a confirmé qu’il s’agissait du bon « ordre de grandeur ».

« Vous avez raison c’est de cet ordre de grandeur-là d’ici à 2040, voire 2045 pour le transport d’électricité. C’est du même ordre de grandeur pour la distribution [dont le réseau est géré par Enedis, ndlr]. Donc vous voyez que ce sont des volumes de milliards avec plusieurs zéros », a répondu le président de RTE.

Le président de RTE a ajouté que ces chiffres seraient « à confirmer » au printemps 2024, lors de la présentation du SDDR. Les prévisions du gestionnaire s’appuieront sur les données de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) mise en consultation par le gouvernement fin novembre.

Électricité : une facture de 500 milliards !

Électricité : une facture de 500 milliards

Il est clair que tarifs d’électricité ne sont pas près de diminuer. Les besoins d’EDF pour la production sont de 250 à 300 milliards, les besoins de RTE pour le transport sont de 100 milliards et les besoins d’ENEDIS pour la distribution de 100 milliards également. Total environ 500 milliards.

il y a d’abord les énormes besoins d’EDF pour produire notamment en modernisant des centrales actuelles et en construisant les EPR. EDF qui traîne une dette de plus de 60 milliards, qui doit notamment moderniser les centrales actuelles (notamment le grand carénage, assurer le cout de l’enfouissement des déchets), financer les nouvelles centrales EPR 2, investir aussi dans les autres renouvelables. Mais il y a également les besoins de financement pour le développement du réseau et la modernisation de sa distribution. 100 milliards pour le réseau RTE et encore 100 milliards pour la distribution ENEDIS . Des sommes à ajouter au besoin d’EDF de l’ordre d’ici une quinzaine d’années de 250 à 300 milliards.

Interrogé ce jeudi 7 décembre à l’occasion du Forum Zéro Carbone, organisé par La Tribune, France Urbaine et la ville de Paris, à l’Hôtel de ville de Paris, sur un possible montant d’investissements proche de 100 milliards d’euros, le dirigeant a confirmé qu’il s’agissait du bon « ordre de grandeur ».

« Vous avez raison c’est de cet ordre de grandeur-là d’ici à 2040, voire 2045 pour le transport d’électricité. C’est du même ordre de grandeur pour la distribution [dont le réseau est géré par Enedis, ndlr]. Donc vous voyez que ce sont des volumes de milliards avec plusieurs zéros », a répondu le président de RTE.

Le président de RTE a ajouté que ces chiffres seraient « à confirmer » au printemps 2024, lors de la présentation du SDDR. Les prévisions du gestionnaire s’appuieront sur les données de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) mise en consultation par le gouvernement fin novembre.

Électricité : une facture de 200 milliards pour moderniser la distribution

Électricité : une facture de 200 milliards pour moderniser la distribution

Il est clair que tarifs d’électricité ne sont pas près de diminuer, il y a d’abord les énormes besoins d’EDF pour produire notamment en modernisant des centrales actuelles et en construisant les EPR. Mais il y a également les besoins de financement pour le développement du réseau et la modernisation de sa distribution. 100 milliards pour le réseau RTE et encore 100 milliards pour la distribution ENEDIS . Des sommes à ajouter au besoin d’EDF de l’ordre d’ici une quinzaine d’années de 200 milliards.

Les investissements dédiés au développement du réseau pourraient avoisiner les 100 milliards d’euros d’ici à 2040-2045. Des investissements du même ordre de grandeur sont attendus pour le réseau de distribution.

Interrogé ce jeudi 7 décembre à l’occasion du Forum Zéro Carbone, organisé par La Tribune, France Urbaine et la ville de Paris, à l’Hôtel de ville de Paris, sur un possible montant d’investissements proche de 100 milliards d’euros, le dirigeant a confirmé qu’il s’agissait du bon « ordre de grandeur ».

« Vous avez raison c’est de cet ordre de grandeur-là d’ici à 2040, voire 2045 pour le transport d’électricité. C’est du même ordre de grandeur pour la distribution [dont le réseau est géré par Enedis, ndlr]. Donc vous voyez que ce sont des volumes de milliards avec plusieurs zéros », a répondu le président de RTE.

Le président de RTE a ajouté que ces chiffres seraient « à confirmer » au printemps 2024, lors de la présentation du SDDR. Les prévisions du gestionnaire s’appuieront sur les données de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) mise en consultation par le gouvernement fin novembre.

Électricité : une hausse des prix qui ne veut pas dire son montant

Électricité : une hausse des prix qui ne veut pas dire son montant

Maintenant que l’État et EDF ont contractualisé à nouveau leur rapport, il se confirme évidemment que les hausses d’électricité vont concerner les entreprises mais aussi les particuliers. Il y a déjà des mois et des semaines que les pouvoirs publics tournent autour du pot pour tenter de limiter les effets de l’annonce de la hausse tarifaire est de clamer que cette hausse pourrait être de l’art de 10 % mais pas davantage. La vérité connue depuis longtemps par tous les spécialistes ,c’est que le prix de l’électricité devra doubler en 10 ans au moins . Il s’agit évidemment de trouver des ressources pour amortir la dette de 40 milliards mais aussi de trouver les 200 milliards pour moderniser le parc actuel, gérer les déchets et surtout financer d’abord six EPR puis ensuite huit. Et l’objectif d’un prix de 70 € le méga watts heure fixé à terme par le gouvernement et EDF sera largement dépassé. En tout cas pour le 1er janvier 2024 les tarifs vont augmenter de 10 %.

La ministre de la transition énergétique tente en vain de rassurer à propos de la facture électrique.

« Aujourd’hui, demain, il n’y aura plus des envolées des prix telles qu’on les a connues en 2022 grâce à notre action au niveau européen et grâce à notre action au niveau français », a fait valoir la responsable en référence à deux accords clé conclus cet automne.

Compte tenu de certaines réformes relatives à la régulation européenne du marché de la société on ne devrait plus connaître les hausses vertigineuses passées mais le prix de l’électricité va continuer d’augmenter. En cause une insuffisance de l’offre alors que la consommation augmente partout notamment du fait du chauffage et des voitures électriques.

Sans modifier structurellement le fonctionnement du marché de gros, la réforme proposée par la Commission européenne entend développer les contrats d’achats d’électricité de long terme à un prix décidé d’avance (PPA) pour lisser l’impact de la volatilité des cours du gaz sur les factures.

La protection des consommateurs serait renforcée, si l’on en croit l’exécutif, notamment pour les clients vulnérables. L’accord des Vingt-Sept rend aussi obligatoire, après une période transitoire de trois ans, le recours à des « contrats pour la différence » (CFD) à prix garanti par l’État pour tout soutien public à des investissements dans de nouvelles centrales de production d’électricité décarbonée (renouvelables et nucléaire). Le texte permet également de recourir facultativement à ces contrats pour tous les investissements destinés aux centrales nucléaires existantes, un point cher à Paris qui veut prolonger ses réacteurs vieillissants.

La cible sera d’atteindre un prix de l’électricité nucléaire à 70 euros le MWh.

Par ailleurs, en France, EDF et le gouvernement ont trouvé le 14 novembre un accord censé fixer le prix de référence de l’électricité nucléaire vendue par l’opérateur historique à 70 euros le MWh à partir de 2026. Dans cette nouvelle régulation, les éventuels revenus supplémentaires engrangés par EDF en cas de hausses de prix sur les marchés seront en partie reversés pour partie aux consommateurs, « afin d’éviter une explosion des prix similaire à celle de 2022 », a résumé la ministre de la Transition énergétique.

Néanmoins, l’accord ne grave pas dans le marbre un tarif de l’électricité nucléaire autour de 70 euros le MWh, comme nous l’expliquions dans un précédent article. Ce chiffre correspond uniquement aux prévisions d’EDF des cours du marché entre 2026 et 2040, indépendamment de toute intervention étatique.

« Les 70 euros en moyenne renvoient aux résultats de nos anticipations sur le long terme, là où les prix peuvent se former sur 15 ans dès 2026, en tenant compte de l’ensemble des modèles économiques qu’on a sur la formation des prix de l’électricité », avait ainsi rectifié Luc Rémont, le PDG d’EDF, mardi 14 novembre.

« Il s’agit d’une cible commerciale, et pas d’un prix régulé comme les 42 euros de l’ARENH (…). Cependant, bien malin celui qui peut dire quel sera le cours sur les bourses d’échange, ne serait-ce que dans trois ans », commente Jacques Percebois. Par ailleurs, nombre de spécialistes affirment qu’un tel système, s’il avait été mis en œuvre en 2022, n’aurait pas non plus permis de juguler la hausse des factures.

elle jeudi avoir reçu l’accord de la Commission européenne pour la prolongation en 2024 des aides à certaines entreprises prisonnières de contrats énergétiques très coûteux. « Avec le bouclier tarifaire pour la plupart des TPE, avec l’amortisseur électricité et les aides guichet, nous avons mis en place des mesures exceptionnelles pour accompagner les entreprises », a rappelé la cheffe du gouvernement, arguant qu’« aujourd’hui, les prix du gaz et de l’électricité ont baissé, mais certains restent prisonniers de contrats conclus quand les prix étaient particulièrement élevés. »

Prix électricité : la folie européenne continue

Prix électricité : la folie européenne continue

Alors que la France demande à pouvoir décider elle-même de la régulation des prix de l’électricité, l’Europe s’y oppose toujours. En cause, évidemment l’obstruction de certains pays qui ne souhaitent pas que la France bénéficie de son avantage compétitif pour l’économie liée à la production nucléaire.

En effet, tandis que le gouvernement tricolore se bat pour pouvoir réguler le parc nucléaire d’EDF après 2025, via l’accès à des contrats à prix fixes garantis par l’Etat (CfD), le texte rédigé par la présidence espagnole (à la tête du Conseil jusque fin décembre) et dévoilé ce mercredi supprime purement et simplement cette possibilité. Or, c’est bien cette version qui sera présentée aux ambassadeurs des Vingt-Sept le 13 octobre, puis aux ministres de l’Énergie réunis à Luxembourg le 17 octobre.

Concrètement, pour éviter tout avantage comparatif à la France sur les autres pays du Vieux continent, seuls les nouveaux réacteurs, construits trois ans après l’entrée en vigueur de la réforme du marché de l’électricité, auront accès aux prix garantis par les CfD si ils demandent un soutien public. En d’autres termes, rien dans cette ébauche n’autorise l’Etat à administrer les tarifs issus du parc historique d’EDF.

A priori, ceux-ci devraient donc se voir soumis au prix (aujourd’hui exorbitants) du marché, au détriment des consommateurs français, professionnels comme particuliers.

Il ne s’agit donc pas d’une bataille technologique ou écologique mais d’une lutte économique visant à pénaliser la France en raison de son avantage de compétitivité nucléaire sur l’électricité.

Pour preuve déclarations ciel de l’Allemagne: « Ce que je crains, ce n’est pas qu’ [elle] possède des centrales nucléaires. Ce que je crains, c’est que l’exploitant des centrales nucléaires puisse proposer des prix bon marché, inférieurs à la valeur du marché », avait d’ailleurs clarifié le vice-chancelier allemand à l’Économie, Robert Habeck, lors d’un événement à Rostock, dans le nord du pays, en septembre.

Fin septembre, Emmanuel Macron avait même promis aux Français d’annoncer une reprise du « contrôle du prix de notre électricité » dès le mois d’octobre.

D’après un rapport de la Commission de la régulation de l’énergie , la France compte sur des coûts de production autour de 60 euros le MWh. Or, le gouvernement entend obliger EDF à vendre à un tarif proche de ses coûts de production, alors que les cours de marché flirtent autour de 150 euros le MWh pour 2025.

Électricité : vers une limitation forcée de la consommation ?

Électricité : vers une limitation forcée de la consommation ?


Un projet de décret consulté par La Tribune: celui-ci prévoit de mener un test grandeur nature, consistant à limiter la demande d’électricité de quelque 200.000 Français équipés d’un compteur Linky.Une menace qui pourrait bien contribuer à tuer la perspective de développement des pompes à chaleur !

Concrètement, les ménages en question devront se contenter d’un « seuil de puissance minimal permettant de faire fonctionner les équipements courants peu énergivores », sur une période courant de la date de publication du décret jusqu’au 31 mars 2024. L’expérimentation pourrait avoir lieu un jour ouvré « entre 6h30 et 13h30 et entre 17h30 et 20h30 », pendant une durée maximale de 4 heures, sans aucun recours ni indemnisation possible de la part de l’Etat.

De quoi déclencher l’ire de plusieurs parties prenantes. « Le texte a été préparé sans associer les représentants des consommateurs et les fournisseurs. [...] Nous nous inquiétons des impacts qu’il pourrait avoir, notamment sur les logements avec des pompes à chaleur (PAC) », note-t-on à l’Anode, l’association professionnelle des fournisseurs alternatifs d’électricité et de gaz. « Si vous vous chauffez avec une PAC, celle-ci risque de tirer trop fort et donc de faire sauter le courant chez vous ! », abonde un fournisseur d’énergie ayant requis l’anonymat, dénonçant des méthodes « un peu soviétiques ».

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Tarifs Électricité : nouvelle hausse début 2024 ?

Tarifs Électricité : nouvelle hausse début 2024 ?

EDF voudrait bien procéder à une nouvelle hausse des tarifs de l’électricité pour les particuliers d’au moins 10 % au 1er janvier. Pour l’instant le gouvernement tergiverse et déclare que cette hausse ne dépassera pas les 10 %. Autant dire qu’il approuve ce chiffre. Par ailleurs la fourniture d’électricité aux industriels faits encore l’objet d’âpres discussions.En février 2023, le tarif réglementaire de l’électricité est donc passé de 0,174 euro par kilowattheure à 0,2062 euro par kilowattheure. La facture des ménages était alors réduite de 43 % par rapport à son tarif réel sans aide. Les calculs du CRE prévoyaient, en dehors de toute compensation, une hausse théorique de 99 %.

Au cœur de l’été 2023, le gouvernement a annoncé alléger son aide aux ménages, passant sa compensation tarifaire de 43 à 37 %. Pour les Français, la facture d’électricité a donc augmenté de 10 %. Cette hausse continue a été justifiée par la nécessité de « lourds investissements » à réaliser par Enedis et RTE pour « accélérer la transition écologique en France et le développement des énergies renouvelables », ainsi que « la modernisation du réseau électrique ». Cela représente une hausse de « 160 euros par an en moyenne », selon le gouvernement.

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