Archive pour le Tag 'électoraux ?'

Politique -Venezuela : surprise ! Les faux résultats électoraux confirmés

Politique -Venezuela : surprise ! Les faux résultats électoraux confirmés

 Le Tribunal supérieur de justice (TSJ) a validé la victoire de Maduro alors que ces derniers n’a guère obtenu plus de 40 % de suffrages. Il ne fallait sans doute pas s’attendre à un autre verdict de cette instance bidon ( qu’on utilise de la même manière dans nombre d’autres pays illibéraux). Conséquence:  les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine ne reconnaissent pas la victoire de Maduro

La Cour « certifie ( sans rire ) de manière non contestable le matériel électoral et valide les résultats de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, émis par le Conseil national électoral (CNE), où le citoyen Nicolas Maduro Moros a été élu président de la République bolivarienne du Venezuela pour la période constitutionnelle 2025-2031 », a affirmé sa présidente Caryslia Rodriguez.

Pour mémoire, l’annonce de la réélection du président vénézuélien pour un troisième mandat a provoqué des manifestations spontanées, qui ont été brutalement réprimées. Elles ont jusqu’ici fait 27 morts, 192 blessés et 2.400 arrestations, selon les autorités.

Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le CNE, qui n’a cependant pas fourni les procès-verbaux des bureaux de vote, se disant victime d’un piratage informatique. Une telle attaque est jugée peu crédible par l’opposition et de nombreux observateurs, qui y voient une manœuvre du pouvoir pour éviter de divulguer le décompte exact des votes.

Mais selon l’opposition, qui a rendu publics les procès-verbaux obtenus grâce à ses scrutateurs, son candidat Edmundo Gonzalez Urrutia a remporté le scrutin avec plus de 60% des voix.

Venezuela : surprise ! Les faux résultats électoraux confirmés

Venezuela : surprise ! Les faux résultats électoraux confirmés

 Le Tribunal supérieur de justice (TSJ) a validé la victoire de Maduro alors que ces derniers n’a guère obtenu plus de 40 % de suffrages. Il ne fallait sans doute pas s’attendre à un autre verdict de cette instance bidon ( qu’on utilise de la même manière dans nombre d’autres pays illibéraux))

La Cour « certifie ( sans rire ) de manière non contestable le matériel électoral et valide les résultats de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, émis par le Conseil national électoral (CNE), où le citoyen Nicolas Maduro Moros a été élu président de la République bolivarienne du Venezuela pour la période constitutionnelle 2025-2031 », a affirmé sa présidente Caryslia Rodriguez.

Pour mémoire, l’annonce de la réélection du président vénézuélien pour un troisième mandat a provoqué des manifestations spontanées, qui ont été brutalement réprimées. Elles ont jusqu’ici fait 27 morts, 192 blessés et 2.400 arrestations, selon les autorités.

Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le CNE, qui n’a cependant pas fourni les procès-verbaux des bureaux de vote, se disant victime d’un piratage informatique. Une telle attaque est jugée peu crédible par l’opposition et de nombreux observateurs, qui y voient une manœuvre du pouvoir pour éviter de divulguer le décompte exact des votes.

Mais selon l’opposition, qui a rendu publics les procès-verbaux obtenus grâce à ses scrutateurs, son candidat Edmundo Gonzalez Urrutia a remporté le scrutin avec plus de 60% des voix.

Des programmes électoraux qui ne changent pas grand-chose

Des programmes électoraux qui ne changent pas grand-chose

Les partis ont des identités et des priorités distinctes mais doivent répondre aux problèmes du moment et aux propositions de leurs concurrents. Par Emiliano Grossman, Sciences Po et Isabelle Guinaudeau, Sciences Po Bordeaux.

 

Les programmes des partis et des candidats utile pendant la campagne électorale ensuite une fois gouvernement les les élus doivent surtout tenir compte de la conjoncture et des réalités qui définissent sans doute les trois quarts au moins des décisions réelles. Pas étonnant que près de 70 % des électeurs n’attendent pas grand-chose de cette élection présidentielle. NDLR

 

 

Les campagnes électorales contribuent-elles à façonner les politiques publiques comme elles sont supposées le faire en démocratie ? Ou bien devient-il de plus en plus difficile pour les représentants d’incarner de véritables alternatives et, une fois au gouvernement, de marquer leur différence ?

Cette question concerne notamment la façon dont les problèmes innombrables qui se posent en permanence sont hiérarchisés : la priorité est-elle à l’adoption de mesures pour le pouvoir d’achat, à la lutte contre le changement climatique ou à l’égalité femmes-hommes ? Les campagnes jouent-elles un rôle dans ce processus de hiérarchisation ? Dans un ouvrage récent, nous questionnons la thèse du déclin des mandats en nous appuyant sur des données originales recueillies par le Comparative Agendas Project (CAP).

Notre étude portant sur cinq pays d’Europe occidentale depuis les années 1980, révèle que les priorités électorales sont un facteur majeur d’influence des agendas politiques. Pour autant, les programmes présentés se ressemblent souvent plus que ce que leurs auteurs aimeraient admettre. Et ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle pour la démocratie.

D’où viennent les thèmes de campagne ? La littérature existante en science politique offre deux visions opposées. Les théories de compétition sur enjeux (voir notre chapitre dans Analyses electorales) prédisent des priorités très contrastées d’un parti à l’autre, correspondant à des identités et des profils très marqués. Ainsi un parti de gauche est censé mettre en avant des questions de justice sociale ou d’éducation, alors qu’on s’attend à ce qu’un parti droite parle davantage d’insécurité ou de discipline budgétaire.

D’autre part, les visions plus stratégiques des programmes, dont notamment l’ouvrage classique d’Anthony Downs sur la « théorie économique de la démocratie » (publié en 1957, et en 2013 en français), mettent l’accent sur les incitations des partis à converger vers les priorités les plus prometteuses. Pour gagner une élection, les principaux partis devront convaincre l’électeur médian, celui qui fera pencher la balance en leur faveur. La compétition a donc lieu au centre et quel que soit le vainqueur, les politiques correspondront aux préférences de l’électeur médian.

Nous avançons un argument intermédiaire selon lequel les partis sont comme des serpents dans un tunnel : ils ont des identités et des priorités distinctes (la composante du « serpent » dans notre modèle), mais doivent répondre aux problèmes du moment et aux propositions de leurs concurrents, ce qui se traduit par un chevauchement ou un recoupement transpartisane considérable (le « tunnel »).

Alors que la littérature a tendance à se concentrer le plus souvent sur des questions très spécifiques (principalement la protection de l’environnement et l’immigration) qui donnent lieu à des niveaux de priorité contrastés, les données recueillies par les équipes projet agendas comparés (CAP) permettent, elles, de couvrir l’ensemble des enjeux électoraux. Les priorités inscrites au programme des partis reflètent-elles plutôt leurs priorités passées, suivant l’idée que chacun resterait sur ses thèmes de prédilection (stabilité) ou répondent-elles aux priorités de leurs concurrents (chevauchement) comme l’implique l’idée de tunnel d’attention ? Nos analyses révèlent que des tunnels d’attention existent sur presque tous les sujets. Le chevauchement domine tandis que la stabilité est faible sur la plupart des sujets.

 

Par Emiliano Grossman, Associate Professor en Science politique, Sciences Po et Isabelle Guinaudeau, Chargée de recherches CNRS, Sciences Po Bordeaux.

La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.

Régionales : faillite totale de l’État pour l’envoi des plis électoraux

Régionales : faillite totale de l’État pour l’envoi des plis électoraux

 

Dans de nombreuses régions les électeurs potentiels ont dû se passer de l’information officielle concernant les élections régionales et départementales. En cause, le fait que la distribution habituellement assurée par la Poste a cette foie été sous-traitée à un exploitant incapable de remplir sa mission.

 

Une carence d’État qui a pu peser sur une élection locale vis-à-vis de laquelle nombre d’électeurs ne comprenne pas grand-chose quant aux compétences respectives des départements et des régions. Pas plus qu’ils ne connaissent d’ailleurs leur représentant  dans la circonscription où ils votent.

 

On se demande pour quelle raison avoir retiré cette mission à la Poste qui sans doute est l’administration la plus compétente compte tenue du maillage de son réseau de distribution. Sans doute pour quelques sous à la demande d’un énarque qui a voulu faire du zèle lors du dépouillement d’un appel d’offres ?

 

Pour cette simple raison, le vote mériterait d’être annulé car les électeurs ne sont pas à égalité devant l’information surtout lorsqu’il s’agit d’une échéance ou pas un électeur sur 10 n’est en capacité d’indiquer de façon même approximative les responsabilités respectives du département et de la région.

 

De ce point de vue les élections locales sont proches de la caricature aussi bien dans leur déroulement quantique qu’en ce qui concerne la participation par rapport aux inscrits et encore pire par rapport à la totalité du corps électoral potentiel incluant les non-inscrits. Le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a été auditionné cette semaine par la commission des Lois du Sénat au sujet des dysfonctionnements constatés au 1er tour et il le sera de nouveau mardi par la commission des Lois de l’Assemblée nationale.

Encore un comité d’experts économiques …..ou électoraux à l’Élysée

Encore un comité d’experts économiques …..ou électoraux  à l’Élysée

On se souvient que Jean Pisani-Ferry  avait été la tâte pensante de Macron pour son programme électoral. Ensuite, il a été mis sur la touche par  Macron lui-même.  Il ne manque pas en France de comités, d’institutions, de conseils chargés d’éclairer la politique socio- économique du gouvernement. Mais comme pour le Coronavirus, il semble bien que pouvoir ait  choisit le parapluie des experts pour faire avaler d’éventuelles mesures qu’il  ne veut pas assumer. Pour conférer une grande crédibilité à un nouveau comité d’économie placée auprès de l’Élysée, on a choisi deux grands économistes français, le Prix Nobel 2014 Jean Tirole, et l’ancien chef économiste du FMI Olivier Blanchard, ce cénacle va devoir se mettre rapidement au travail. Il rendra un rapport à la fin de l’année et quelques travaux intermédiaires entre-temps. Ses préconisations «alimenteront l’action publique sur ces sujets», selon l’Élysée.

 

Alors que Bruno Le Maire sollicite de son côté à Bercy un groupe d’économistes pour réfléchir aux modalités de la relance suite à l’effondrement de l’activité, l’instauration de cette commission parallèle peut surprendre. «C’est une idée du président qui remonte au G7 de Biarritz, en août dernier, précise-t-on à l’Élysée. Même si l’objectif est de réfléchir sur le long terme à ces thématiques fondamentales, les travaux prendront bien sûr en compte le contexte de crise. Ils ont vocation à éclairer la décision publique à partir de l’automne prochain

Ce cénacle rappelle ainsi la commission Stiglitz, lancée en grande pompe par Nicolas Sarkozy en 2008, mais dont les travaux n’avaient connu qu’une faible postérité.

En plus des deux rapporteurs, la commission compte 24 autres économistes académiques européens et américains. Tous ont été choisis par Jean Tirole et Olivier Blanchard, précise l’Élysée. Parmi ces experts figurent quelques stars américaines comme Lawrence Summers ou Paul Krugman, mais aussi de nombreux Français tels Christian Gollier, Stefanie Stantcheva, Philippe Aghion, Laurence Boone, Daniel Cohen, Emmanuel Farhi, Thomas Philippon ou encore Jean Pisani-Ferry. La commission sera aussi l’occasion pour l’Élysée de tenter d’inciter ceux qui enseignent à l’étranger de revenir sur le territoire. Notons que Jean Pisani ferry avait été choisi comme conseiller privilégié de Macron pour les questions économiques lors de sa campagne mais il a rapidement été mis au rancart.

 

Ingérences dans l’élection américaine : la Russie a tenté de pirater les systèmes électoraux

Ingérences dans l’élection américaine : la Russie a tenté de pirater les systèmes électoraux

Les hackers russes « ont exécuté des opérations de cyber-espionnage contre une entreprise américaine en août 2016, manifestement pour obtenir des renseignements sur des solutions de logiciels et de matériel informatique liés aux élections », écrit la NSA.  »Les acteurs ont probablement utilisé les données obtenues grâce à cette opération pour (…) lancer une campagne de hameçonnage sur les registres électoraux visant les organisations gouvernementales locales », ajoute la NSA citée par The Intercept. Le rapport de l’agence de renseignements montre par ailleurs que les pirates « ont obtenu et conservé l’accès à des éléments de plusieurs conseils électoraux ». Des pirates informatiques du renseignement militaire russe ont donc tenté à plusieurs reprises de s’introduire dans les systèmes électoraux américains avant la présidentielle de 2016, affirme lundi le média en ligne The Intercept, sur la foi d’un document top secret de la NSA. Les piratages décrits par la NSA sont étroitement liés à l’agence de renseignement militaire russe GRU, selon The Intercept. Le document ne précise toutefois pas si les piratages ont eu un quelconque effet sur l’élection dont Donald Trump est sorti vainqueur. Les agences américaines de renseignement ont publiquement dit que les piratages russes pendant la campagne américaine n’avaient pas eu d’effet direct sur le résultat du scrutin, dénonçant surtout une campagne d’influence au détriment de la démocrate Hillary Clinton, pilotée par le président russe Vladimir Poutine. Celui-ci conteste catégoriquement ces accusations, affirmant que les piratages peuvent venir de « n’importe où ». Cette révélation intervient à quelques jours d’une audition très attendue et potentiellement explosive de l’ancien chef du FBI, James Comey, au Congrès sur les ramifications de l’ingérence russe présumée dans la présidentielle.

Baisse des impôts ou cadeaux électoraux ?

Baisse  des impôts ou cadeaux électoraux ?

 

Il est clair que si le gouvernement insiste autant sur la baisse des impôts, c’est évidemment dans un but électoral. Une baisse des impôts toujours bonne  à prendre pour les intéressés compte tenu de la crise. Pour autant il est fallacieux de parler de baisse des impôts puisqu’il ne s’agit que d’une petite partie de la fiscalité. Globalement les prélèvements obligatoires ne diminuent pas bien au contraire et représente environ 47 % de la richesse nationale, soit très grossièrement près de 1000 milliards alors que l’impôt sur le revenu ne représente que environ 75 milliards. La réduction prévue pour l’impôt sur le revenu en 2016 doit atteindre 2 milliards à comparer évidemment auprès de 1000 milliards d’impôts globaux de toute nature vraie (impôts, taxes, prélèvements etc.). La baisse envisagée va donc redonner un peu de pouvoir d’achat aux contribuables concernés (8 millions sur 17 qui paient l’impôt sur le revenu) Trois millions de foyers qui n’ont pas bénéficié de la baisse de l’impôt sur le revenu cette année profiteront de celle promise par François Hollande pour 2016, a annoncé jeudi le ministère des Finances.   »Avec cette nouvelle mesure, de l’ordre d’un million de foyers fiscaux sortiront de l’impôt ou resteront non-imposables », ajoute le ministère dans un communiqué.  Parmi les bénéficiaires, la plupart des célibataires devraient voir leur impôt sur le revenu baisser de 200 à 300 euros et les couples de 300 à 500 euros, précise le ministère. « Comme en 2015, l’impôt sur le revenu n’augmentera pour personne à situation personnelle et revenus inchangés », poursuit-il.

 




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