Archive pour le Tag 'électorales'

Biden élu mais menacé de destruction des machines électorales

Biden élu mais menacé de destruction des machines électorales

Indiscutablement Biden a été élu mais jusqu’au dernier moment le résultat a été incertain. Il aurait même pu basculer si les républicains extrémistes de Trump  avaient réussi à mettre en œuvre leur projet de destruction des machines électorales. Ce qui vraisemblablement aurait fait basculer le scrutin en faveur de Donald Trump.

Un mois après la défaite de Donald Trump à la présidentielle de 2020, un projet de décret de la Maison Blanche ordonnait au plus haut responsable militaire du pays de saisir des machines électorales à travers les États-Unis, selon des documents révélés vendredi 21 janvier par le média Politico. Le document explosif, publié par les Archives nationales, met en lumière les mesures extrêmes que l’ancien président républicain était prêt à prendre pour s’accrocher au pouvoir.

Ces documents ont été remis à la commission de la Chambre des représentants chargée d’enquêter sur l’assaut du Capitole, après que la Cour suprême a rejeté l’appel de Donald Trump visant à bloquer leur divulgation. Cette commission, composée principalement d’élus démocrates, cherche à établir la responsabilité de Donald Trump et de son entourage dans l’assaut du siège du Congrès, le 6 janvier 2021.

Politique-Réforme des retraites : reportée aux calendes électorales ( Macron)

Politique-Réforme des retraites : reportée aux calendes électorales ( Macron)

 

Le grand projet réformateur ne sera pas mis en œuvre lors de ce mandat présidentiel. Motif : « les conditions ne sont pas remplies ».

 

Une explication un peu courte pour justifier l’immobilisme d’un président qui navigue dans le en même temps pour finalement renoncer. En cause sans doute , d’abord la méthode puisque le gouvernement a cru pouvoir s’affranchir de l’association des partenaires sociaux. Pour un peu , il aurait  convoqué une pseudo convention citoyenne d’une trentaine de poilus pour légitimer une réforme mal ficelée.

C’est en effet le second aspect de la question. Cette réforme  à points est particulièrement mal construite. Elle est surtout constituée de slogans mais la méthodologie paraît particulièrement floue. Par contre évidemment l’alignement des régimes spéciaux sur le régime général sur le principe obtient le soutien d’une grande partie de l’opinion publique. Reste cependant là aussi en préciser les modalités et les champs d’application car il y aura de nombreuses exemptions dont certaines plus ou moins justifiées.  En outre se posera le problème de l’étalement dans le temps de la mise en œuvre d’une réforme relativement complexe et qui ne produira des effets financiers significatifs que dans 30 ou 40 ans.

La mesure la plus emblématique sera sans doute de repousser assez rapidement l’âge de départ en retraite de deux ans soit vers 64 ans …. pour l’instant. Cela en raison de l’évolution démographique et de l’équilibre des caisses de retraite.

Emmanuel Macron a en effet déclaré «dès 2022 il faudra, pour préserver les pensions de nos retraités et la solidarité entre nos générations, prendre des décisions claires» suivant «des principes simples». Il faudra, a-t-il énuméré, «travailler plus longtemps en repoussant l’âge légal, aller vers un système plus juste en supprimant les régimes spéciaux, en harmonisant les règles entre public et privé et en faisant en sorte qu’au terme d’une carrière complète, aucune pension ne puisse être inférieure à 1000 euros».

Il a enfin évoqué la possibilité de «partir en retraite progressivement, d’accumuler des droits plus rapidement pour celles et ceux qui le souhaitent» et «d’encourager le travail au-delà de l’âge légal aussi pour celles et ceux qui en ont envie».

Réforme des retraites : reportée aux calendes électorales ( Macron)

Réforme des retraites : reportée aux calendes électorales ( Macron)

 

Le grand projet réformateur ne sera pas mis en œuvre de ce mandat présidentiel. Motif : « les conditions ne sont pas remplies ».

 

Une explication un peu courte pour justifier l’immobilisme d’un président qui navigue dans le en même temps pour finalement renoncer. En cause sans doute , d’abord la méthode puisque le gouvernement a cru pouvoir s’affranchir de l’association des partenaires sociaux. Pour un peu , il aurait  convoqué une pseudo convention citoyenne d’une trentaine de poilus pour légitimer une réforme mal ficelée.

C’est en effet le second aspect de la question. Cette réforme  à points est particulièrement mal construite. Elle est surtout constituée de slogans mais la méthodologie paraît particulièrement floue. Par contre évidemment l’alignement des régimes spéciaux sur le régime général sur le principe obtient le soutien d’une grande partie de l’opinion publique. Reste cependant là aussi en préciser les modalités et les champs d’application car il y aura de nombreuses exemptions dont certaines plus ou moins justifiées.  En outre se posera le problème de l’étalement dans le temps de la mise en œuvre d’une réforme relativement complexe et qui ne produira des effets financiers significatifs que dans 30 ou 40 ans.

La mesure la plus emblématique sera sans doute de repousser assez rapidement l’âge de départ en retraite de deux ans soit vers 64 ans …. pour l’instant. Cela en raison de l’évolution démographique et de l’équilibre des caisses de retraite.

Emmanuel Macron a en effet déclaré «dès 2022 il faudra, pour préserver les pensions de nos retraités et la solidarité entre nos générations, prendre des décisions claires» suivant «des principes simples». Il faudra, a-t-il énuméré, «travailler plus longtemps en repoussant l’âge légal, aller vers un système plus juste en supprimant les régimes spéciaux, en harmonisant les règles entre public et privé et en faisant en sorte qu’au terme d’une carrière complète, aucune pension ne puisse être inférieure à 1000 euros».

Il a enfin évoqué la possibilité de «partir en retraite progressivement, d’accumuler des droits plus rapidement pour celles et ceux qui le souhaitent» et «d’encourager le travail au-delà de l’âge légal aussi pour celles et ceux qui en ont envie».

2022:un budget de dépenses électorales

2022: un budget de dépenses électorales

 

Un papier du Monde constate que le gouvernement pour des motifs électoraux ne regarde plus à la dépense. Témoin le budget de 2022. (Extrait)

 

Le projet de budget pour 2022, présenté mercredi 22 septembre, innove en faisant l’impasse sur le coût réel des nouvelles dépenses. Les près de 12 milliards d’euros d’augmentation affichés ne comprennent ni le revenu d’engagement en faveur des jeunes ni la première tranche du plan d’investissements destiné à préparer la France de 2030. Ces mesures ne seront annoncées que dans quelques semaines. Elles représentent un surcoût de près de 50 % par rapport au montant annoncé.

Si cette cuisine budgétaire a agacé le Haut Conseil des finances publiques, qui se refuse à se prononcer sur le réalisme des prévisions de déficit pour 2022, elle est surtout le signe qu’en cette fin de quinquennat l’exécutif ne regarde plus à la dépense. Le contexte s’y prête. D’abord, une campagne présidentielle a toujours tendance à désinhiber la majorité sortante en matière d’équilibre des finances publiques. Emmanuel Macron ne fait pas exception.

 

Certaines défenses étaient sans doute indispensables pour soutenir l’économie mais l’annonce régulière d’engagements financiers correspond davantage aujourd’hui à des annonces électorales

Soutenir massivement l’économie qui menaçait de s’effondrer ne souffre d’aucune contestation. En revanche, beaucoup de dépenses pérennes annoncées en sortie de crise pandémique ne sont pas directement liées à celle-ci. L’opportunisme budgétaire dont a fait preuve le gouvernement l’a conduit à augmenter les dépenses ordinaires de 54 milliards d’euros en l’espace de deux ans. Le rythme de progression en Allemagne a été beaucoup moins rapide, creusant un peu plus l’écart entre les deux économies.


Ségur de la santé, revalorisation des salaires des enseignants, aides aux plus précaires, Beauvau de la sécurité, revitalisation de Marseille… prises une à une, ces mesures répondent à des besoins légitimes. Mais, faute de contreparties en termes d’économies sur d’autres postes, elles sont financées par la dette. C’est aujourd’hui le cas pour la moitié des dépenses publiques.

D’une certaine manière le gouvernement engage la soutenabilité  financière.

La croissance, qui devrait ralentir dès 2023 pour retrouver son rythme d’avant-crise, ne sera pas suffisante pour assurer la soutenabilité de notre dette, pas plus qu’une hausse de la fiscalité. La faiblesse des taux d’intérêt peut en donner l’illusion. Mais faire reposer la souveraineté du pays uniquement sur cet aléa relève d’un pari très risqué.

La campagne présidentielle ne favorise guère, hélas, la prise de conscience. Les candidats déclarés, de gauche comme de droite, se livrent à une surenchère de promesses, comme s’ils se sentaient délivrés des contraintes du pacte de stabilité européen, qui ne sera renégocié qu’au lendemain de l’élection française.

La rigueur de retour après avril 2022

La question de l’efficacité de la dépense publique, pourtant soulevée depuis des années par la Cour des comptes, est en revanche totalement occultée. Cela promet au président qui sera élu en avril 2022 des lendemains qui déchantent.

États -Unis : des fausses «urnes électorales» du parti républicain

États -Unis : des fausses «urnes électorales» du parti républicain

 

Pour fausser les élections en tout cas créer un climat de confusion,  le parti républicain a installé en Californie des fausses urnes en faisant croire qu’elles sont officielles. Une initiative supplémentaire du parti de TRUMP pour créer le trouble. Le président américain actuel avait fortement critiqué le vote par correspondance qui de son point de vue pouvait complètement modifier le résultat des élections. En installant aux urnes,  le parti républicain prend à revers le parti démocrate.

En fait,  la possibilité d’installer des urnes pour recueillir les bulletins de vote est prévue dans certains Etats et le différend porte surtout sur le caractère officiel ou non des urnes. Or le parti républicain fait croire que les urnes du parti républicain sont bien officielles. «Les partis politiques et les équipes de campagne peuvent s’investir pour augmenter la participation, mais ils ne peuvent pas enfreindre la loi de l’État», a réagi le secrétaire d’État de Californie, le démocrate Alex Padilla. «Les boîtes à lettres en question, non officielles et non autorisées, enfreignent la loi et mettent en danger la sécurité des bulletins de vote», souligne-t-il dans un communiqué, estimant que «les électeurs doivent pouvoir déposer leur bulletin de vote en toute transparence et confiance».

Le procureur de Californie, Xavier Becerra, a averti que les militants à l’origine de ces «urnes» s’exposaient à des poursuites criminelles s’ils refusaient de les retirer. «Nous espérons que le message a été clairement entendu par quiconque sollicite ou interfère avec le vote des citoyens», a-t-il insisté, disant avoir reçu «des informations troublantes» sur les réticences des républicains à stopper leur initiative.

Promesses électorales aux municipales: déplacer les villes à la campagne ?

Promesses électorales aux municipales:  déplacer les villes à la  campagne ?

Les programmes municipaux des grandes villes sont pleins de promesses de plantation massive d’arbres. On  envisage même de créer de véritables forêts ou encore de faire pousser des légumes sur  les balcons. Bref,  une sorte de déménagement des villes à la campagne. De quoi évacuer la problématique de l’urbanisme démentiel et de l’aménagement du territoire (qui ressemble de plus en plus un désert autour des villes).

La France est l’un des rares pays européens à disposer d’espace or le phénomène de concentration urbaine est aussi important qu’ailleurs. De l’ordre de 75 % de la population est concentrée dans ces villes inhumaines et coûteuses. Coûteuses pour la collectivité car il faut y installer des services publics, coûteuse pour les résidents contraints d’acheter la totalité des produits et services qui leur sont nécessaires. C’est la marchandisation généralisée chère à la plupart des économistes qui vantent ainsi cette croissance urbaine endogène. En fait,  un espace où tout se vend et tout s’achète. La solution serait de mettre les villes à la campagne avait suggéré l’humoriste Alphonse Allais !

D’après Jean-Christophe Brisard, auteur du livre Irrespirable, le scandale de la qualité de l’air en France la qualité de l’air affecterait l’espérance de vie de 15 mois dans les villes mais aussi de neuf mois dans les campagnes. Le risque dans les campagnes dépend de la proximité avec des rotations utilisant plus ou moins de produits chimiques notamment des pesticides.  Les problèmes de qualité de l’air sont souvent liés à la proximité géographique des sources d’émissions. Autrement dit, on n’est pas pollué ni exposé aux polluants atmosphériques, surtout les micro-particules et les HAP,  identiquement selon où l’on vit.

Ceci étant les  grandes villes françaises sont plus polluées que les campagnes et  la situation est-elle meilleure dans les campagnes. Une étude de l’ADEME  sur la pollution en zone rurale montre que globalement la situation est satisfaisante quand m^me :

  • les polluants réglementés, les PM10, les PM2,5, le benzopyrène cancérigène, et les métaux lourds ont des concentrations en -dessous des valeurs-limites fixées par l’Union européenne.
  • Ces fortes émissions sont causées par la combustion du bois, c’est-à-dire par le chauffage domestique au bois et le brûlage des déchets verts (par les particuliers ou les artisans).

On peut expliquer les variations des émissions de polluants et de la qualité de l’air par l’impact de la biomasse sur le territoire. En fait, la filière bois est aujourd’hui la principale source de biomasse consommée en France. Donc, l’utilisation de la biomasse, la combustion du bois pour le chauffage, a un fort impact sur le plan national : en effet 21 % des émissions totales de particules PM10, 34 % des PM2.5 et 66 % des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) sont causés par la biomasse) L’Ademe recommande donc aux municipalités de mettre en place des programmes d’action adaptés afin d’y améliorer la qualité de l’air. Et rappelle aux particuliers que le brûlage des déchets à l’air libre est interdit en France depuis la circulaire du 18 novembre 2011. Dans les villes, le dérèglement de la biodiversité et la concentration des émissions polluantes génère notamment des pics de pollution particulièrement dangereux pour la santé. Les principaux polluants : Les polluants primaires sont directement issus des sources de pollution (trafic routier, industries, chauffage, agriculture…).

Il s’agit par exemple :

  • Des oxydes de carbone.
  • Des oxydes de soufre.
  • Des oxydes d’azote.
  • Des hydrocarbures légers.
  • Des composés organiques volatils (COV).
  • Des particules (PM10 et PM2.5).
  • Des métaux (plomb, mercure, cadmium…).

En revanche, les polluants secondaires ne sont pas directement rejetés dans l’atmosphère mais proviennent de réactions chimiques de gaz entre eux. C’est le cas notamment :

  • Des particules secondaires.
  • De l’ozone.
  • Du dioxyde d’azote…

L’ozone (O3) résulte ainsi de la transformation chimique de l’oxygène au contact d’oxydes d’azote et d’hydrocarbures, en présence de rayonnement ultra-violet solaire et d’une température élevée. L’ozone ainsi que d’autres polluants photochimiques (les PAN ou nitrates de peroxyacétyle, aldéhydes, cétones…) constituent le smog, ce nuage brunâtre qui stagne parfois au-dessus des grandes villes comme Paris.

Certains polluants comme le dioxyde d’azote et les particules sont à la fois des polluants primaires et secondaires.

 

Pour résoudre cette pollution, il serait possible de procéder à un aménagement du territoire plus harmonieux avec des villes moins monstrueuses ce qui permettrait au passage d’éviter la désertification de nombre de territoires. Au lieu de promettre des arbres, des plantations en terrasses et balcons, voire des forêts, on ferait bien de s’interroger sur notre conception de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire qui fait que près de 80 % de la population est concentrée dans les mêmes espaces saturés à tous les  points  de vue

 

« Renaissance européenne », Macron plus fort pour les campagnes électorales que pour la gestion

« Renaissance européenne », Macron plus fort pour les campagnes électorales  que pour la gestion

Ce qui fait la particularité des présidents français, c’est en général être beaucoup plus fort leur des campagnes électorales que pendant la gestion de leur mandat. C’est vrai en politique intérieure évidemment mais tout autant en politique internationale. Concernant l’Europe Sarkozy, puis Hollande enfin Macron avait promis des changements fondamentaux avant finalement de se coucher devant l’Allemagne complètement imperméable aux propositions françaises. Pire, aujourd’hui l’alliance entre l’Allemagne et la France n’a jamais été empirée ta concernant l’évolution de l’Europe. Merkel fait semblant de consentir quelques mesures tout à fait accessoire car elle est en désaccord sur le fond et en plus dans une situation politique plus précaire que précédemment. Les échecs répétés de Macron pour redynamiser l’Europe ne l’ont pas dissuadé de lancer une série de propositions dont on se demande par qui elle pourrait être soutenue. A moins de trois mois d’élections européennes qu’il juge “décisives”, Emmanuel Macron a dévoilé lundi soir une série de mesures concrètes en faveur d’une “renaissance européenne” et lancé un cri d’”alarme” pour une Europe qui selon lui n’a jamais été autant en danger. Dans une lettre aux “citoyens d’Europe” publiée simultanément dans des quotidiens des 28 Etats membres, du Guardian à El Pais en passant par le Corriere della serra, le chef de l’Etat français adresse une mise en garde contre la tentation du “repli” ou de la “résignation”. “Jamais depuis la Seconde Guerre mondiale, l’Europe n’a été aussi nécessaire et pourtant, jamais l’Europe n’a été autant en danger”, écrit-il, prenant pour exemple la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne programmée dans moins d’un mois. “Le repli nationaliste ne propose rien, c’est un rejet sans projet et ce piège menace toute l’Europe : les exploiteurs de colère, soutenus par les fausses informations, promettent tout et son contraire”, fustige-t-il. “Nous sommes à un moment décisif pour notre continent, un moment où, collectivement, nous devons réinventer politiquement, culturellement, les formes de notre civilisation dans un monde qui se transforme”, ajoute-t-il. “Aussi, résistant aux tentations du repli et des divisions, je vous propose de bâtir ensemble cette Renaissance autour de trois ambitions : la liberté, la protection et le progrès.” Ces ambitions passent notamment par la création d’une agence de protection des démocraties et d’une banque pour le climat, la mise en place d’un salaire minimum européen ou encore l’interdiction en Europe des entreprises “portant atteinte aux intérêts stratégique européens”. (Pour voir l’ensemble des mesures :) .

Présidentielles – Fraudes électorales 2017 : le parquet de Paris passe l’éponge !

Présidentielles - Fraudes électorales 2017 : le parquet de Paris passe l’éponge !

 

Preuve de la collusion entre la justice, la politique et les milieux financiers, le parquet de Paris passe l’éponge sur les fraudes financières de la campagne présidentielle de 2007 au motif que les infractions

 n’ »apparaissent pas constituées », N ombre de candidats ont dépassé les sommes prévues pour les campagnes, bénéficier d’avantages ou encore procéder à des surfacturations qui ont été évoquées dans la presse.  Macron  en particulier à bénéficié de réductions surprenantes concernant les frais de la campagne. Anticor avait donc déposé plainte mais sans doute pour faire oublier les pratiques de Macron le parquet de Paris passe l’éponge sur les irrégularités de tous les candidats (sauf Mélenchon poursuivi par ailleurs). Le problème c’est que le parquet de Paris se fie i aux arguments de la commission des comptes de campagne laquelle commission est très virtuelle puisqu’elle n’a aucun pouvoir d’investigation pour vérifier la véracité des arguments de chaque candidat. Bref on est dans le virtuel le plus total. Pas étonnant parce que cela pourrait révéler les liens entre la politique et certains milieux financiers. Les arguments  qu’avance le parquet de Paris pour justifier l’enterrement des affaires paraît particulièrement ésotérique : on est plus dans le domaine de la justice mais dans celui du sophisme. « Encore faut-il que les irrégularités semblent présenter un caractère « systématique » ou délibéré ou qu’apparaisse « une possible volonté de tromper la commission », estime le ministère public dans son courrier adressé à Anticor.

Zimbabwe: magouilles électorales ?

Zimbabwe: magouilles électorales ?

 

 

Le score entre les deux candidats à la présidence du Zimbabwe apparaît très étroit et nourrit forcément des soupçons de magouilles dans un pays qui est l’un des plus pauvres au monde et habitué aux  turpitudes électorales de l’ancien président Mugabe. Un pays déjà dévasté notamment par la corruption des responsables au pouvoir qui seront sans doute reconduit puisque c’est l’actuel dirigeant zimbabwéen Emmerson Mnangagwa est arrivé en tête de l’élection présidentielle, selon des résultats partiels annoncés jeudi soir par la commission électorale (ZEC) et portant sur neuf des dix provinces du pays.

Emmerson Mnangagwa, ancien bras droit du président Robert Mugabe tombé en novembre, obtient 2.147.505 voix, contre 1.929.704 pour son principal adversaire Nelson Chamisa, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir des résultats annoncés par la ZEC.

La commission électorale a annoncé qu’elle communiquerait plus tard jeudi les résultats de la dernière et dixième province, celle de Mashonaland West (nord).

Promesse électorales : La Grèce met sérieusement de l’eau dans l’ouzo

Promesse électorales : La Grèce met sérieusement de l’eau dans l’ouzo

Pour trouver un nouvel accord de financement avec l’Europe , il faudra que la Grèce mette beaucoup d’eau dans l’ouzo et le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis l’ a reconnu, lors d’une réunion vendredi entre dirigeants économiques et financiers à Cernobbio (nord de l’Italie). « Nous sommes prêts à renvoyer à plus tard l’application de certains engagement électoraux si cela s’avère nécessaire à donner la confiance à nos partenaires », a-t-il ajouté dans un entretien accordé au quotidien italien Corriere della Sera publié ce samedi 14 mars. Sauf nouvel accord sur la restructuration de la dette, la Grèce se en effet dans l’incapacité de rembourser. Deux solutions, soit le défaut ( et la sortie de l’euro), soit un accord mais en échange de l’abandon de certaines promesses électorales. Le ministre grec n’a cependant pas précisé quelles pourraient être ces promesses électorales. « Nous avons un programme qui a une durée de quatre ans », a-t-il juste précisé. « Nous voulons rembourser notre dette jusqu’au bout. Mais nous demandons à nos partenaires de nous aider pour relancer la croissance en Grèce. Plus rapide sera la stabilisation de notre économie, plus rapide sera le rythme de notre remboursement ». Yanis Varoufakis a expliqué que son idée était de « convertir la dette en des obligations indexées sur le taux de croissance. Plus la Grèce se redresse plus elle se trouve en condition de rembourser les prêts ».  Le ministre a demandé « l’évolution » de l’approche européenne envers le problème grec, affirmant que le débat ne porte pas « sur des règles divines mais sur des contraintes qui n’existaient pas avant 2010″ pour l’économie grecque. Il a cependant exclu catégoriquement la recherche d’une solution en-dehors du périmètre européen. « Il n’y a pas de solution alternative, nous ne demanderons pas l’aide à l’extérieur. Nous cultivons de bons rapports avec la Russie, la Chine et d’autres pays. Mais notre problème est un problème européen que nous résoudrons à l’intérieur de notre famille européenne », a-t-il déclaré. Le ministre a également exclu un éventuel « accident » concernant un défaut de paiement de la dette grecque : « Nous avons réalisé toutes les provisions nécessaires pour nous assurer qu’il n’y aura pas d’accident ». Un « Grexident » – nouvel acronyme désignant une sortie par accident et désordonnée de la zone euro – n’est « pas à exclure », avait lancé vendredi le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble. « Dans la mesure où la Grèce seule a la responsabilité, la possibilité de décider ce qui se passe, et comme nous ne savons pas exactement ce que les responsables grecs font, nous ne pouvons pas l’exclure », a expliqué le ministre allemand, qui mène le camp des durs face à Athènes. Un accord a été trouvé fin février entre la Grèce et ses créanciers (UE, BCE et FMI) pour prolonger jusqu’à fin juin son programme de financement en échange de réformes. Pour obtenir le versement de la tranche de 7 milliards d’euros suspendue depuis des mois, le gouvernement doit détailler et faire valider toute une série de réformes d’ici fin avril. Mais le processus a pris un retard considérable malgré les besoins financiers pressants du pays, qui doit rembourser plusieurs milliards d’euros au printemps. La Grèce a réussi vendredi à rembourser 336 millions d’euros au FMI, une semaine après le remboursement d’une précédente tranche de 298 millions d’euros, mais elle doit encore près de 900 millions à l’institution de Washington d’ici la fin du mois

 




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