Archive pour le Tag 'Elections'

Élections : la France devrait s’inspirer de l’Allemagne

Élections : la France devrait s’inspirer de l’Allemagne

Le premier ministre François Bayrou souhaite aller vers la proportionnelle aux législatives. Pour ce faire, il engagera une consultation avec les groupes parlementaires à partir du 28 avril. La plupart des partis politiques français soutiennent le principe. Reste à savoir quel type de scrutin proportionnel serait choisi. Analyse du scrutin à l’allemande, qui pourrait servir de modèle.

par
Jérôme Lang
Directeur de recherche au CNRS en sciences informatiques, Université Paris Dauphine – PSL

Jean-Francois Laslier
Economiste

Mirjam Dageförde
Assistant Professor of Comparative Politics, American University of Paris (AUP) dans The Conversation

Le mode de scrutin proportionnel, en vigueur en Allemagne, nous permet-il de tirer des conclusions utiles pour la France ?

L’Allemagne pratique un scrutin mixte où chaque électeur vote deux fois ; sa « première voix » porte sur un candidat de sa circonscription (règle majoritaire à un seul tour), et sa « seconde voix » porte sur une liste proposée par un parti à l’échelle régionale (celle des Länder).

La composition globale du Bundestag est proportionnelle au nombre de « secondes voix » qu’ont reçues les différents partis, pourvu qu’ils en obtiennent au moins 5 % nationalement (avec quelques exceptions).

Il y a donc deux types de députés : ceux élus directement dans des circonscriptions, et les autres, élus sur des listes partisanes afin que le résultat global soit bien proportionnel.

Les différents modes de scrutin parlementaire dans l’Union européenne
L’Allemagne est loin d’être seule à pratiquer un scrutin mixte : sept autres pays européens le font. Les systèmes danois, estonien, maltais et suédois, comme l’allemand, sont dits « compensatoires ».

Les systèmes hongrois, italien et lituanien, eux, sont additifs (ou « parallèles ») : les sièges supplémentaires sont répartis en proportion des scores obtenus par les partis, indépendamment des résultats locaux. Ces systèmes ne peuvent pas garantir une proportionnalité intégrale, mais permettent de s’en approcher.

Un seul pays, la France, élit ses députés dans des circonscriptions à siège unique.

Deux pays (Pays-Bas, Slovaquie) élisent leur parlement au moyen d’un scrutin proportionnel de liste dans une unique circonscription nationale.

Treize pays (Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Espagne, Finlande, Lettonie, Luxembourg, Pologne, Portugal, Roumanie, République tchèque) élisent leur parlement par un scrutin de liste proportionnel par circonscription. La taille moyenne des circonscriptions varie de 5 à 15 députés. La France a utilisé une fois (en 1986) un scrutin de ce type ; les circonscriptions étaient alors les départements.

Un scrutin de liste n’empêche pas d’élire les députés sur leur nom propre (et non en fonction de l’ordre sur une liste établie par la direction d’un parti) : certains pays, comme l’Autriche, permettent à l’électeur de donner une priorité à certains des candidats de la liste choisie.

Enfin, trois pays (Grèce, Irlande et Slovénie) ont des systèmes qui ne rentrent pas tout à fait dans l’une de ces catégories, mais qui visent tous trois à s’approcher d’une représentation proportionnelle.

Deux critères primordiaux peuvent permettre de comparer les différents systèmes :

la proportionnalité entre le nombre de sièges alloués aux différents partis et le nombre de voix qu’ils ont obtenues.

la redevabilité : un député élu localement, dans sa circonscription, est redevable à l’ensemble des électeurs de sa circonscription : les négliger met en péril sa réélection. Ces députés ont été élus sur leur nom propre, en raison d’une implantation locale, et pas seulement (certes, un peu quand même) parce qu’ils ont réussi à se faire suffisamment d’amis au sein de leur parti.

Le système français est parfait du point de vue de la redevabilité. En revanche, c’est celui qui peut s’écarter le plus de la proportionnalité.

La distorsion qu’opère, souvent, le scrutin majoritaire, a deux types de conséquences. D’une part un parti disposant d’une majorité seulement relative dans l’électorat peut remporter une majorité écrasante des sièges : on l’a vu dans la quasi-totalité des élections législatives de la Ve République, et notamment en 2017, avec la coalition LREM-MoDem. D’autre part, des partis peuvent être fortement sous-représentés.

Face à ces problèmes, la représentation proportionnelle garantit d’une part une représentation raisonnable aux « petits » partis, et d’autre part qu’un parti isolé ne peut avoir de majorité absolue à l’Assemblée que s’il a obtenu une majorité absolue dans l’électorat.

Le système français est peu robuste : de faibles variations de scores peuvent avoir des effets importants sur la composition de l’Assemblée. Ainsi, la grande incertitude qui régnait en France, quelques semaines avant le scrutin de 2024 (où la possibilité que le Rassemblement national obtienne une majorité absolue des sièges avec environ 30 % des voix n’était pas à exclure), contraste avec la robustesse du système allemand : une variation de 5 % du score de l’AfD aboutirait à une variation d’un peu plus de 5 % de sa représentation au Bundestag.

À l’opposé du système français, les scrutins proportionnels nationaux, comme aux Pays-Bas, offrent une proportionnalité parfaite, mais aucune redevabilité.

En ce qui concerne les scrutins de liste proportionnels par circonscription, comme en Espagne, la proportionnalité dépend avant tout de la taille des circonscriptions. Bien entendu, plus les circonscriptions sont grandes, plus la représentation s’approche de la proportionnalité, et moins la redevabilité est bonne.

Il s’agit alors de trouver une taille idéale de circonscriptions qui permettent de s’approcher suffisamment de la proportionnalité sans faire grossir outre mesure les circonscriptions. Les chercheurs Carey et Hix ont montré qu’il existe ainsi un « sweet spot » qui se situe entre 4 et 8 députés par circonscription.

Des simulations sur les données françaises de 2012, 2017 et 2022 aboutissent à une conclusion similaire, avec des résultats satisfaisants si les circonscriptions désignent chacune environ 6 députés. Attention cependant, il ne faut pas seulement que les circonscriptions aient 6 députés « en moyenne », comme en 1986, il faut respecter une homogénéité de la taille des circonscriptions : une variation du nombre de députés entre circonscriptions a tendance à introduire un biais en faveur des partis forts dans les petites circonscriptions.

Les scrutins mixtes compensatoires, comme en Allemagne, permettent d’allier représentation proportionnelle et redevabilité. Les scrutins mixtes additifs ou parallèles, comme en Italie, ne garantissent pas une proportionnalité intégrale, mais permettent tout de même de s’en approcher.

Par une description plus précise des paramètres des scrutins mixtes, et des comparaisons sur données françaises nous avons montré que les systèmes compensatoires permettent d’atteindre un haut niveau de proportionnalité tout en gardant la plupart des députés élus localement.

Gouvernabilité
En France, les voix qui s’élèvent contre les systèmes proportionnels avancent souvent que « la proportionnalité donne des parlements ingouvernables ».

Il est vrai que le scrutin majoritaire permet parfois de forcer la gouvernabilité, mais ce n’est pas toujours le cas, comme on l’a vu en 2024. De toute manière, en l’absence d’un parti absolument majoritaire, il faut former des gouvernements de coalition. Rien de plus ordinaire : comme on l’a vu, sur les 27 pays de l’UE, 26 élisent leur parlement avec un mode de scrutin proportionnel, et sont donc régulièrement confrontés à ce problème.

Certes, former des coalitions de gouvernement n’est pas toujours une sinécure, et on a vu, dans certains pays et à certaines époques, de périodes sans gouvernement ou des gouvernements dits techniques, mais les comparaisons historiques et internationales montrent que c’est somme toute assez rare. Par ailleurs, la gouvernabilité n’est pas mécaniquement liée au mode de scrutin : elle tient à la faculté et la volonté qu’ont les partis de collaborer.

Élections législatives: Marie-Christine Dalloz (LR) élue dans le Jura

Élections législatives: Marie-Christine Dalloz (LR) élue dans le Jura

Marie-Christine Dalloz (Les Républicains) fait encore une meilleure score et a été élue dimanche avec 73,76% face à un candidat Rassemblement national, à l’issue du second tour d’une élection législative partielle dans la 2e circonscription du Jura organisée après l’invalidation du scrutin au motif de la candidature irrégulière d’un candidat RN placé sous curatelle.

Mme Dalloz, députée depuis 2007, était arrivée largement en tête au premier tour le 30 mars avec 54,1% des voix, mais n’avait pas été élue en raison d’une participation insuffisante. Elle a affronté au second tour Gilles Guichon, le candidat RN, qui a recueilli 26,24% des voix contre 22,76% au premier tour.

Au premier tour, Evelyne Ternant (PCF) était arrivée en troisième position avec 16,06% des voix. Deux autres candidats, l’un pour Lutte ouvrière, l’autre sans étiquette, avaient réuni respectivement 1,20% et 5,87% des suffrages.

En juin, Mme Dalloz avait été élue au second tour avec 65,02% des voix face au candidat RN Thierry Mosca.

Sondage Élections municipales Paris : Rachida Dati en tête

Sondage Élections municipales Paris : Rachida Dati en tête

Selon un sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro et Sud Radio, la ministre de la Culture est créditée de 35 % à 37 % des intentions de vote au premier tour des élections municipales, dans l’hypothèse où elle prendrait la tête d’une liste d’union du bloc central – Renaissance, LR, MoDem et Horizons.

Soit peu ou prou l’addition des scores obtenus en 2020 par la maire du 7e arrondissement et la candidate macroniste Agnès Buzyn. « Rachida Dati rassemble bien le peuple du centre et de la droite parisienne », analyse Frédéric Dabi, directeur général de l’Ifop. En tant que candidate unique du bloc central, elle ferait mieux que l’ex-premier ministre Attal qui n’a peut-être pas dit son dernier mot .

Élections : le candidat pro-Poutine rejeté en Roumanie

Élections : le candidat pro-Poutine rejeté en Roumanie

Annulée sur fond de suspicion d’ingérence russe, l’élection présidentielle de novembre 2024 devrait être rejouée en mai 2025.

Après la spectaculaire annulation de la présidentielle l’an dernier en Roumanie, le candidat d’extrême droite Calin Georgescu a vu sa candidature rejetée dimanche par la Commission électorale, une décision qui a provoqué de violentes protestations de ses partisans.

Donné en tête dans les sondages, Calin Georgescu était arrivé en tête au scrutin de novembre. Lequel avait été ensuite annulé par la cour constitutionnelle à cause de soupçons d’ingérence russe. Plusieurs perquisitions ont été menées en février chez ses proches, dont le mercenaire franco-roumain Horațiu Potra, responsable de sa sécurité, décrit comme un proche de l’organisation paramilitaire Wagner.

«C’est de la folie!», a réagi dimanche Elon Musk, proche conseiller du président Donald Trump, à l’annonce de la décision de la Commission électorale, après déjà plusieurs commentaires similaires ces dernières semaines.

Le vice-président américain JD Vance a lui aussi fustigé des autorités roumaines «annulant des élections dont elles n’aiment pas les résultats». «Elles ont si peur de leur peuple qu’elles le font taire», a-t-il asséné.

Encouragés par de telles déclarations, les sympathisants de Georgescu ont déployé dans la capitale une banderole adressée au président Trump : «Aidez-nous à récupérer notre pays!»

Syrie : des élections peut-être dans quatre ans

Syrie : des élections peut-être dans quatre ans

 

Après la chute du régime de Bachar al-Assad le 8 décembre, le nouveau dirigeant de la Syrie Ahmad al-Chareh estime désormais que l’organisation de nouvelles élections dans le pays pourrait prendre quatre ans. Il a ajouté qu’il serait nécessaire de « réécrire la Constitution », une tâche qui pourrait prendre « deux ou trois ans », dans cet entretien avec une chaîne saoudienne.
« Les sanctions ont été imposées à la Syrie en raison des crimes commis par le régime » de Bachar al-Assad, a-t-il indiqué, ajoutant que vu que les auteurs des exactions ne sont plus au pouvoir, « les sanctions doivent donc être levées automatiquement ».

Le conflit a été marqué par l’implication de plusieurs puissances internationales occidentales comme les Etats-Unis ou la France, mais aussi la Russie et l’Iran ou encore de groupes armés comme le Hezbollah libanais.

Dans son interview, Ahmad al-Chareh s’est notamment adressé aux deux alliés de Bachar al-Assad, l’Iran voisin et la Russie.De son coté,Assaad Hassan al-Chibani, Chef de la diplomatie, a affirmé sur X que les autorités soutenaient « pleinement » les droits des femmes. « Nous croyons au rôle actif de la femme au sein de la société, et nous avons confiance en ses capacités et ses compétences », a-t-il précisé.

Élections Croatie : Milanovic seulement au second tour

Élections Croatie :  Milanovic seulement au second tour

Alors qu’on attendait une victoire nette dès le premier tour le président sortant Milanovic  devra se soumettre au second tour pour être élu même si son avance est   très confortable. 

Le président croate sortant, Zoran Milanovic, a manqué de peu avec 49,20 % des voix  de remporter dimanche l’élection présidentielle dès le premier tour et devra affronter, dans deux semaines, le candidat des conservateurs au pouvoir, Dragan Primorac ( 19,43 % des voix), a annoncé dimanche la Commission électorale.

 

Élections TPE–96 % d’abstention , CGT en tête

Élections TPE–96 % d’abstention , CGT en tête

Lors des élections professionnelles destinées à choisir les représentants des très petites entreprises, la CGT est arrivée en tête, selon une annonce du ministère du Travail, ce vendredi.

La CGT est arrivée en tête des élections professionnelles destinées à choisir indirectement les représentants des très petites entreprises. La CGT a récolté 27,64% des suffrages exprimés, devant la CFDT qui a obtenu 14,86%, l’Unsa (14,38%) et FO (11,69%), a annoncé ce vendredi le ministère du Travail.

De son côté, le syndicat des Gilets jaunes, autorisé in extremis par la Cour de cassation à se présenter, a décroché 6.846 voix (3,26%). « Un résultat exemplaire, sans campagne électorale, sans financement public ni subvention ! », se réjouissent ses représentants, dans un communiqué. Le scrutin n’a donc pas intéressé les salariés. Les spots radio, les podcasts, la publicité sur les réseaux sociaux ou la campagne d’affichage, lancés par le ministère du Travail à quelques jours du lancement du vote, n’auront rien changé.

 

Élections Sénégal : le nouveau pouvoir conforté

Élections Sénégal : le nouveau pouvoir conforté

 

Le Pastef , parti du président sénégalais Bassirou Diomaye Faye, arrive en tête dans une grande majorité des bureaux de vote sénégalais.

Dimanche, le porte-parole du gouvernement sénégalais a fait savoir que le parti au pouvoir avait remporté «une large victoire» aux législatives, ce qui devrait lui permettre d’appliquer  » l’agenda de rupture et de justice sociale »  avec lequel il a été amené au pouvoir il y a huit mois.

Bassirou Diomaye Faye a été élu président au premier tour en mars, dénué de toute expérience exécutive mais tiré vers le sommet par l’enthousiasme et l’aspiration au changement d’une population jeune et éprouvée par trois années de confrontation politique et de crise économique. Son bouillant mentor Ousmane Sonko, qui aurait dû être à sa place si sa candidature n’avait été invalidée, est devenu Premier ministre.

Pendant des mois, ces avocats d’un «panafricanisme de gauche» ont mené une cohabitation conflictuelle avec une Assemblée toujours dominée par l’ancienne majorité présidentielle. M. Faye l’a dissoute dès que les délais constitutionnels l’ont permis, en septembre. Environ 7,3 millions d’électeurs étaient donc appelés dimanche à élire 165 députés qui siégeront pour cinq ans.

Reste maintenant le plus dur : à savoir, tenir les promesses !

 

Allemagne : élections législatives anticipées

 Allemagne : élections législatives anticipées

 

De plus en plus engluée dans une coalition pleine de contradictions et ingouvernables, l’Allemagne envisage des élections législatives anticipées pour clarifier le paysage politique. Le problème est qu’il n’est pas certain qu’on parvienne à cette clarification si l’on se fie à ce qui vient de se passer en France. De fait , l’Europe se trouve affaiblie politiquement par les crises politiques françaises et allemandes précisément au moment où Trump veut remettre au pas le continent européen ( tant au plan économique qu’au plan stratégique).

Suite au congédiement du ministre des finances par le chancelier, la coalition gouvernementale dirigée par Olaf Scholz éclate et le pays va devoir organiser des élections législatives anticipées.

 Le ministre des Finances ne montre aucune volonté de mettre en œuvre notre économique pour le bien de notre pays au sein du gouvernement fédéral. Je ne veux plus imposer un tel comportement à notre pays », a déclaré Olaf Scholz, laissant volontiers transparaître de la colère et accusant son ministre « d’égoïsme ». « Il a trop souvent bloqué des lois de manière inappropriée et fait preuve de tactique partisane mesquine », a-t-il ajouté.

L’aventure de la coalition tripartite tricolore – une première dans l’histoire parlementaire du pays – a ainsi pris fin, dans l’acrimonie. «Olaf Scholz a montré qu’il n’avait pas la force de permettre à notre pays de prendre un nouveau départ », a sèchement répliqué Christian Lindner.

Après l’annonce du limogeage de Lindner, tous les ministres libéraux ont annoncé quitter le gouvernement. «Les autres ministres FDP ont expliqué qu’ils allaient présenter leurs démission au chancelier et au chef de l’État», a déclaré à la presse le président du groupe parlementaire du mouvement, Christian Dürr.

Élections États-Unis : une campagne à coup de milliards

Élections États-Unis : une campagne à coup de milliards

 

Pour la campagne électorale les deux prétendants au poste de président auront reçu plusieurs milliards. Cette fois il semble bien que des milliardaires type Elon Musk aient  apporté une large contribution à Trump espérant évidemment en retour des récompenses réglementaires, fiscales ou des aides financières fédérales. La contradiction la plus flagrante est la conversion brutale de Trump à l’énergie électrique, lui qui conteste les changements environnementaux. Le soutien d’Elon Musk patron de Tesla et de ses voitures électriques n’y est pas pour rien.

Cette démocratie à coup de milliards et de renvoi d’ascenseur espérés ne pourra à terme que produire de nouvelles illusions vis-à-vis de la chose politique. Ceci étant il y a bien d’autres facteurs explicatifs pour comprendre la victoire de Trump qui a surtout bénéficié d’un certain ras-le-bol du politique en général , du mécontentement économique, social et sociétal même si c’est avec de nombreuses contradictions

Trump Aura réuni pour sa campagne environ 1,09 milliard de dollars contre 1,65 milliard pour son adversaire démocrate, Donald Trump a pu compter sur un soutien financier tout de même colossal pour devenir le 47e président des États-Unis. Le total des fonds récoltés est équivalent à celui de 2020.

Les montants astronomiques de la course à la Maison-Blanche s’expliquent par la prédominance des Super PAC (Political Action Committee) dans le financement des campagnes. Depuis un arrêt de la Cour suprême des États-Unis en 2010, ces organisations privées permettent aux individus de verser des dons sans limite pour défendre une cause liée à un candidat, sans pour autant n’intervenir officiellement ni directement dans la campagne. Les Super PAC pro-Trump ont levé 711 millions de dollars selon l’ONG Open Secrets,

Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

Élections présidentielles   États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

 

 On peut à juste titre s’interroger sur le risque que pourraient prendre les Américains en choisissant comme futur président un abruti et un voleur. On objectera qu’en France le niveau politique général bien qu’affaibli est cependant supérieur à celui des États-Unis ou le fric commande tout. En outre, le fait d’avoir choisi l’inconsistant Macron nous discrédite un peu quant à la pertinence de nos choix politiques. La France a en effet élu un adolescent condescendant et incompétent là où il y avait besoin de maturité et de vision stratégique.

Aux États-Unis où tout est permis on peut exprimer toutes les promesses, dire toutes les insultes y compris les plus personnelles. Trump fait du Trump. Ce qu’il a toujours fait en évitant d’ailleurs de faire des études et en trichant en permanence sur son patrimoine porté à bout de bras par des banques auxquels il a menti mais qui d’une façon ou d’une autre sont contraintes d’être solidaire des folies du milliardaire.

La vérité c’est que Trump n’a aucun projet, aucune visée stratégique voire aucune idéologie. Il peut changer de position à chaque instant en l’enveloppant dans son délire verbal inconsistant et d’une pauvreté intellectuelle qui désarme.

Il promet tout simplement de régler tous les problèmes mondiaux d’un claquement de doigt. En face évidemment les autres grandes puissances politiques se réjouissent de la médiocrité d’un tel responsable notamment Poutine et les Chinois..
L’Europe subira sans doute aussi les conséquences de ce choix irrationnel avec la volonté américaine de ce désengager d’un continent qui présente moins d’intérêt pour elle que par exemple la zone asiatique.

Notons cependant que l’ascension de Trump est également due à un excès de bureaucratisation chez les démocrates englués eux aussi comme en Europe et en France dans des systèmes procéduriers et le copinage.

 

Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

 

 On peut à juste titre s’interroger sur le risque que pourraient prendre les Américains en choisissant comme futur président un abruti et un voleur. On objectera qu’en France le niveau politique général bien qu’affaibli est cependant supérieur à celui des États-Unis ou le fric commande tout. En outre, le fait d’avoir choisi l’inconsistant Macron nous discrédite un peu quant à la pertinence de nos choix politiques. La France a en effet élu un adolescent condescendant et incompétent là où il y avait besoin de maturité et de vision stratégique.

Aux États-Unis où tout est permis on peut exprimer toutes les promesses, dire toutes les insultes y compris les plus personnelles. Trump fait du Trump. Ce qu’il a toujours fait en évitant d’ailleurs de faire des études et en trichant en permanence sur son patrimoine porté à bout de bras par des banques auxquels il a menti mais qui d’une façon ou d’une autre sont contraintes d’être solidaire des folies du milliardaire.

La vérité c’est que Trump n’a aucun projet, aucune visée stratégique voire aucune idéologie. Il peut changer de position à chaque instant en l’enveloppant dans son délire verbal inconsistant et d’une pauvreté intellectuelle qui désarme.

Il promet tout simplement de régler tous les problèmes mondiaux d’un claquement de doigt. En face évidemment les autres grandes puissances politiques se réjouissent de la médiocrité d’un tel responsable notamment Poutine et les Chinois..
L’Europe subira sans doute aussi les conséquences de ce choix irrationnel avec la volonté américaine de ce désengager d’un continent qui présente moins d’intérêt pour elle que par exemple la zone asiatique.

Notons cependant que l’ascension de Trump est également due à un excès de bureaucratisation chez les démocrates englués eux aussi comme en Europe et en France dans des systèmes procéduriers et le copinage.

 

Élections États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

Élections  États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

 

 On peut à juste titre s’interroger sur le risque que pourraient prendre les Américains en choisissant comme futur président un abruti et un voleur. On objectera qu’en France le niveau politique général bien qu’affaibli est cependant supérieur à celui des États-Unis ou le fric commande tout. En outre, le fait d’avoir choisi l’inconsistant Macron nous discrédite un peu quant à la pertinence de nos choix politiques. La France a en effet élu un adolescent condescendant et incompétent là où il y avait besoin de maturité et de vision stratégique.

Aux États-Unis où tout est permis on peut exprimer toutes les promesses, dire toutes les insultes y compris les plus personnelles. Trump fait du Trump. Ce qu’il a toujours fait en évitant d’ailleurs de faire des études et en trichant en permanence sur son patrimoine porté à bout de bras par des banques auxquels il a menti mais qui d’une façon ou d’une autre sont contraintes d’être solidaire des folies du milliardaire.

La vérité c’est que Trump n’a aucun projet, aucune visée stratégique voire aucune idéologie. Il peut changer de position à chaque instant en l’enveloppant dans son délire verbal inconsistant et d’une pauvreté intellectuelle qui désarme.

Il promet tout simplement de régler tous les problèmes mondiaux d’un claquement de doigt. En face évidemment les autres grandes puissances politiques se réjouissent de la médiocrité d’un tel responsable notamment Poutine et les Chinois..
L’Europe subira sans doute aussi les conséquences de ce choix irrationnel avec la volonté américaine de ce désengager d’un continent qui présente moins d’intérêt pour elle que par exemple la zone asiatique.

Notons cependant que l’ascension de Trump est également due à un excès de bureaucratisation chez les démocrates englués eux aussi comme en Europe et en France dans des systèmes procéduriers et le copinage.

 

Politique- Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

Politique- Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ? On peut à juste titre s’interroger sur le risque que pourraient prendre les Américains en choisissant comme futur président un abruti et un voleur. On objectera qu’en France le niveau politique général bien qu’affaibli est cependant supérieur à celui des États-Unis ou le fric commande tout. En outre, le fait d’avoir choisi l’inconsistant Macron nous discrédite un peu quant à la pertinence de nos choix politiques. La France a en effet élu un adolescent condescendant et incompétent là où il y avait besoin de maturité et de vision stratégique.

Aux États-Unis où tout est permis on peut exprimer toutes les promesses, dire toutes les insultes y compris les plus personnelles. Trump fait du Trump. Ce qu’il a toujours fait en évitant d’ailleurs de faire des études et en trichant en permanence sur son patrimoine porté à bout de bras par des banques auxquels il a menti mais qui d’une façon ou d’une autre sont contraintes d’être solidaire des folies du milliardaire.

La vérité c’est que Trump n’a aucun projet, aucune visée stratégique voire aucune idéologie. Il peut changer de position à chaque instant en l’enveloppant dans son délire verbal inconsistant et d’une pauvreté intellectuelle qui désarme.

Il promet tout simplement de régler tous les problèmes mondiaux d’un claquement de doigt. En face évidemment les autres grandes puissances politiques se réjouissent de la médiocrité d’un tel responsable notamment Poutine et les Chinois..
L’Europe subira sans doute aussi les conséquences de ce choix irrationnel avec la volonté américaine de ce désengager d’un continent qui présente moins d’intérêt pour elle que par exemple la zone asiatique.

Notons cependant que l’ascension de Trump est également due à un excès de bureaucratisation chez les démocrates englués eux aussi comme en Europe et en France dans des systèmes procéduriers et le copinage.

 

Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur

Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur
On peut à juste titre s’interroger sur le risque que pourraient prendre les Américains en choisissant comme futur président un abruti et un voleur. On objectera qu’en France le niveau politique général bien qu’affaibli est cependant supérieur à celui des États-Unis ou le fric commande tout. En outre, le fait d’avoir choisi l’inconsistant Macron nous discrédite un peu quant à la pertinence de nos choix politiques. La France a en effet élu un adolescent condescendant et incompétent là où il y avait besoin de maturité et de vision stratégique.

Aux États-Unis où tout est permis on peut exprimer toutes les promesses, dire toutes les insultes y compris les plus personnelles. Trump fait du Trump. Ce qu’il a toujours fait en évitant d’ailleurs de faire des études et en trichant en permanence sur son patrimoine porté à bout de bras par des banques auxquels il a menti mais qui d’une façon ou d’une autre sont contraintes d’être solidaire des folies du milliardaire.

La vérité c’est que Trump n’a aucun projet, aucune visée stratégique voire aucune idéologie. Il peut changer de position à chaque instant en l’enveloppant dans son délire verbal inconsistant et d’une pauvreté intellectuelle qui désarme.

Il promet tout simplement de régler tous les problèmes mondiaux d’un claquement de doigt. En face évidemment les autres grandes puissances électriques politiques se réjouissent de la médiocrité d’un tel responsable notamment Poutine et les Chinois..
L’Europe subira sans doute aussi les conséquences de ce choix irrationnel avec la volonté américaine de ce désengager d’un continent qui présente moins d’intérêt pour elle que par exemple la zone asiatique.

Notons cependant que l’ascension de Trump est également due à un excès de bureaucratisation chez les démocrates englués eux aussi comme en Europe et en France dans des systèmes procéduriers et le copinage.

 

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