Archive pour le Tag 'élections Européennes'

Politique-Élections européennes : Macron a tort de s’impliquer dans la campagne pour 66 % des Français

Politique-Élections européennes : Macron a tort  de s’impliquer dans la campagne pour 66 % des Français

 

Selon un sondage Elabe pour BFMTV, 66% des Français estiment en effet que « ce n’est pas son rôle en tant que président de la République ».
Pour 66% des Français, Emmanuel Macron ne doit pas s’impliquer davantage dans la campagne des européennes et
46% des Français veulent une dissolution en cas de large défaite de Renaissance.
« En cas de large défaite de la liste menée par Valérie Hayer, plus de 6 Français sur 10 (61%) estiment que ce serait avant tout un échec personnel pour Emmanuel Macron », peut-on également lire dans le résumé de l’enquête.

Actuellement, Valérie Hayer, tête de liste du camp présidentiel, est largement distancée dans les sondages par le président du RN Jordan Bardella (environ 17% contre 31%, selon les dernières enquêtes d’opinion).

Suivent Raphaël Glucksmann, tête de liste PS-Place Publique, autour de 12% et les autres listes d’oppositions, encore plus distancées (LFI, EELV et LR sont dans un mouchoir, avec des intentions de vote estimées autour de 7 ou 8%).

En cas de large défaite du camp présidentiel, une majorité de Français (61%) estiment qu’Emmanuel Macron devra changer significativement d’orientation politique. Plus de 40% de ses électeurs au premier tour de l’élection présidentielle en 2022 partagent cette opinion.

 

Sondage Élections Européennes : liste Macron plus de 10 points derrière le « rassemblement national »

Sondage Élections Européennes : liste Macron plus de 10 points derrière le « rassemblement national »

Selon le premier sondage de l’institut Elabe pour BFMTV et La Tribune Dimanche, la liste macroniste accuse plus de 10 points de retard sur celle du Rassemblement national (RN), donnée à 28,5 % des voix. Un cauchemar pour l’exécutif, qui sortirait démonétisé d’un tel rapport de force. En 2019, l’équipe conduite par Nathalie Loiseau a terminé la course avec 22,42 % des suffrages exprimés, derrière un Jordan Bardella à 23,34 %. Les dégâts avaient été limités.

La liste Bardella fait le plein avec 86 % des électeurs de Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle de 2022 . D’autre part, le RN attire un tiers des électeurs d’Éric Zemmour et un tiers des abstentionnistes. Le parti populiste domine également dans la plupart des catégories socioprofessionnelles : 28 % chez les CSP+ (contre 26 % pour les macronistes), 34 % chez les CSP- (contre 12 %), 24 % chez ceux qui bouclent leurs fins de mois sans se restreindre (contre 21 %), etc. « Ce sondage peut se lire comme un bilan de l’année politique 2023, note Bernard Sananès, président de l’institut Elabe. Le RN s’est installé dans le paysage et a élargi sa base. »

Socialistes, Insoumis et écolos sont au coude-à-coude dans ce sondage, suivis de loin par les communistes. Au total, le bloc de gauche représente 30,5 % des intentions de vote, soit 3 points de moins qu’en 2019. Annoncé comme la potentielle surprise du scrutin, Raphaël Glucksmann – leader du mouvement Place publique et tête d’affiche du PS au Parlement de Strasbourg – est pour l’instant crédité de 9,5 % des intentions de vote.

Marie Toussaint, tête de liste Les Écologistes, est à 8,5 % et Manon Aubry, celle de LFI, est à 7,5 %.

Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat, Ouf !

Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat, Ouf !

Voilà la France rassurée d’un danger supplémentaire écarté: Hollande ne sera pas Candidat pour les européennes en 2024. Un non-événement évidemment mais qui donne l’occasion à l’ancien président de faire encore parler de lui même pour rien. Et de croire qu’il a toujours une influence avec des propos toujours aussi bizarres et ambigus .

François Hollande assure dans un entretien accordé ce samedi 2 décembre à Ouest-France que «non, pas candidat, mais je jouerai un rôle». Sans doute un rôle de figurant !

«J’appuierai la liste socialiste si elle s’élargit à toutes les composantes du PS et à des mouvements extérieurs, comme celui de Bernard Cazeneuve (son ancien premier ministre et ministre de l’Intérieur, qui a quitté le PS et créé son propre mouvement, NDLR), et les radicaux…» du Parti radical de gauche (PRG), deux opposants à la Nupes.

L’ancien président de la République (2012-2017) estime que «seul cet élargissement peut donner une nouvelle force à l’idée sociale-démocrate», notamment en vue de la présidentielle de 2027.

«La direction du Parti socialiste n’a pas le choix. Elle doit accepter d’ouvrir largement sa liste», insiste l’ancien président, alors que le patron du PS Olivier Faure n’entend pas inviter Bernard Cazeneuve ou le PRG. «Le PS a besoin que Bernard Cazeneuve s’investisse personnellement dans cette campagne. Pour bien le connaître je le considère comme un atout», assure François Hollande.

Le PRG, opposé à toute alliance avec LFI, a annoncé fin novembre qu’il voulait présenter sa propre liste aux élections européennes, appelant le PS à sortir de «l’ambiguïté» et invitant Raphaël Glucksmann à ne pas être «le chef de file d’une liste du moratoire».

Elections Européennes 2019 : Retour aux listes nationales pour éviter un nouveau coup de pied au cul

Elections Européennes 2019 : Retour aux listes nationales pour éviter un nouveau coup de pied au cul

 

Retour aux listes nationales pour éviter un nouveau coup de pied au cul du parti au pouvoir. Un coup de pied au cul  qui se traduit en général par une abstention massive et surtout un vote d’opposition. Considéré comme sans enjeu politique majeur, les élections européennes servent ainsi de défouloir, témoin les résultats de 2014.  14% pour le PS, 25% pour le FN, 20% pour l’UMP, 14% pour le PS, 10% pour les verts et le Modem, 6% pour le front de gauche, de résultats encore plus catastrophiques qu’attendus pour Hollande et le PS ; En cause évidemment un rejet de cette Europe technocratique et ultra libérale, paralysée devant la crise et qui s’est montrée incapable de relancer l’économie. Une Europe qui au contraire à travers l’austérité n’a fait qu’aggraver le chômage. C’était un coup de pied au cul sans précédent pour Hollande qui ne s’en remettra pas. .Du coup Macron rétablit les listes nationales. .Des responsables du parti d‘opposition Les Républicains ont dénoncé ce choix, qui vise selon eux à masquer la faible implantation locale du parti du président de la République, La République en marche (LREM). Selon le Premier ministre, “ce modèle, largement majoritaire dans l‘Union européenne, permettra de renforcer l‘intelligibilité du scrutin et la lisibilité des enjeux de l’élection du Parlement européen. Il a fait l’objet d’un large consensus auprès des formations politiques consultées ”Edouard Philippe précise qu‘un projet de loi en ce sens, déposé début 2018, comprendra également une disposition ouvrant la voie à la mise en place, à titre complémentaire, de listes transnationales, “dans l‘hypothèse où les textes européens seraient modifiés en ce sens». Après sa rencontre avec Edouard Philippe, le secrétaire général des Républicains, Bernard Accoyer, a déploré la volonté “regrettable” de l‘exécutif de revenir à des listes nationales. “Nous dénonçons les motivations évidentes de cette manipulation électorale : il s’agit d’abord et avant tout de favoriser les candidats d’Emmanuel Macron avec la constitution d’une liste fourre-tout abritant des candidats LREM dépourvus d’attache territoriale et des partis sous tutelle d’En Marche”, a-t-il ensuite expliqué dans un communiqué.

Sondage- élections Européennes : un vote de méfiance pour 74%

Sondage- élections Européennes : un vote de méfiance pour 74% 

Les Français seraient favorables à des avancées de la construction européenne, comme un « président de l’Europe » élu au suffrage universel ou une armée commune, mais paradoxalement veulent exprimer aux élections européennes de mai prochain leur « méfiance » à l’égard de l’Europe telle qu’elle se construit, selon un sondage. Le sondage IFOP, publié par Sud Ouest Dimanche à six mois du scrutin européen, met en évidence « un rapport paradoxal à la construction européenne », que l’ampleur et la violence de la « crise de l’euro » ont « puissamment contribué à entretenir », selon l’IFOP. Ainsi, 74% des personnes interrogées disent qu’au moment de voter le 25 mai, elles souhaiteront exprimer « plutôt leur méfiance à l’égard de l’Europe telle qu’elle se construit actuellement », contre 26% désirant plutôt exprimer leur « confiance ». De même, une majorité de Français (58%) souhaiteraient, compte tenu de la crise actuelle, « moins d’intégration européenne, et des politiques économiques et budgétaires propres à chaque Etat », contre 42% seulement souhaitant « une intégration européenne renforcée, avec une politique économique et budgétaire unique ».

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol