Archive pour le Tag 'écroulement'

Société-Agriculture : écroulement du nombre d’exploitations

Société-Agriculture : écroulement du nombre d’exploitations

Nombre d’exploitations agricoles : 1,5 million en 1970 et moins de 400.000 aujourd’hui. Sur plus longue période la chute est encore plus vertigineuse. Dans les années 1900, l’agriculture occupait 80 % des emplois et de l’activité économique pour aujourd’hui autour de 3 %. En 1950, la moitié des Français habitaient en zone rurale; aujourd’hui, il en reste environ que 25 %. Le nombre d’actifs agricoles a été divisé par cinq en 50 ans; la production agricole, elle ,a plus que doublé en volume. Parallèlement le nombre des cotations est passé de 2,3 millions en 1955 à 400 000 aujourd’hui.

En quelques décennies l’agriculture s’est profondément transformée. Au début du siècle l’activité agricole occupait à peu près la moitié de la population. Aujourd’hui les agriculteurs sont moins de 3% dans l’Hexagone

Moins nombreuses, les exploitations s’agrandissent. En 2020, une exploitation agricole dispose en moyenne de 65 hectares, ( un quart cultivent plus de 100 hectares) ;

En 1950 la moitié des Français habitait en zone rurale aujourd’hui il en reste environ que 25 %. Le nombre d’actifs agricoles a été divisé par cinq en 50 ans la production agricole elle a plus que doublé en volume. Parallèlement le nombre des cotations est passé de 2,3 millions en 1955 à 400 000 aujourd’hui.

Moins d’exploitations n’implique pas forcément moins de cultures ou de têtes de bétail: souvent, les terres sont reprises par les voisins en quête d’économies d’échelle. La surface moyenne par exploitation a mécaniquement augmenté de 50 hectares en cinquante ans. Elle est désormais de 69 hectares

Seulement 20% d’agriculteurs ont moins de 40 ans. L’âge moyen est de 51,4 ans.

La moitié des exploitations françaises sont dirigées par au moins un exploitant âgé de 55 ans ou plus.

Les fermes mêlant cultures et élevage – modèle considéré vertueux sur le plan environnemental, les déjections des animaux fertilisant champs et prairies – deviennent plus rares à mesure que les exploitations et les territoires se spécialisent. Seules 11% des exploitations s’inscrivent dans ce modèle, contre 19% en 1988. Les fermes ne faisant que de la production végétale sont devenues majoritaires (52% en 2020 contre 37% en 1988).

Parmi les agriculteurs récemment installés (après 2010), 74% ont suivi une formation de niveau baccalauréat et 44% une formation supérieure (contre respectivement 48% et 22% pour les chefs d’exploitation des générations précédentes). Ces agriculteurs installés depuis peu sont le plus souvent à la tête de micro ou de petites exploitations et davantage portés sur les productions végétales comme le maraîchage. Ils sont aussi plus fréquemment en bio que les générations précédentes (19% des fermes, contre 10%).
La féminisation du métier est encore faible, voire se réduit, de moins en moins de femmes d’agriculteurs travaillant sur les exploitations. Actuellement, un peu plus du quart des exploitants et coexploitants sont des femmes (26,2%), en léger repli par rapport à 2010.

Economie-Agriculture : écroulement du nombre d’exploitations

Economie-Agriculture : écroulement du nombre d’exploitations

Nombre d’exploitations agricoles : 1,5 million en 1970 et moins de 400.000 aujourd’hui. Sur plus longue période la chute est encore plus vertigineuse. Dans les années 1900, l’agriculture occupait 80 % des emplois et de l’activité économique pour aujourd’hui autour de 3 %. En 1950, la moitié des Français habitaient en zone rurale; aujourd’hui, il en reste environ que 25 %. Le nombre d’actifs agricoles a été divisé par cinq en 50 ans; la production agricole, elle ,a plus que doublé en volume. Parallèlement le nombre des cotations est passé de 2,3 millions en 1955 à 400 000 aujourd’hui.

En quelques décennies l’agriculture s’est profondément transformée. Au début du siècle l’activité agricole occupait à peu près la moitié de la population. Aujourd’hui les agriculteurs sont moins de 3% dans l’Hexagone

Moins nombreuses, les exploitations s’agrandissent. En 2020, une exploitation agricole dispose en moyenne de 65 hectares, ( un quart cultivent plus de 100 hectares) ;

En 1950 la moitié des Français habitait en zone rurale aujourd’hui il en reste environ que 25 %. Le nombre d’actifs agricoles a été divisé par cinq en 50 ans la production agricole elle a plus que doublé en volume. Parallèlement le nombre des cotations est passé de 2,3 millions en 1955 à 400 000 aujourd’hui.

Moins d’exploitations n’implique pas forcément moins de cultures ou de têtes de bétail: souvent, les terres sont reprises par les voisins en quête d’économies d’échelle. La surface moyenne par exploitation a mécaniquement augmenté de 50 hectares en cinquante ans. Elle est désormais de 69 hectares

Seulement 20% d’agriculteurs ont moins de 40 ans. L’âge moyen est de 51,4 ans.

La moitié des exploitations françaises sont dirigées par au moins un exploitant âgé de 55 ans ou plus.

Les fermes mêlant cultures et élevage – modèle considéré vertueux sur le plan environnemental, les déjections des animaux fertilisant champs et prairies – deviennent plus rares à mesure que les exploitations et les territoires se spécialisent. Seules 11% des exploitations s’inscrivent dans ce modèle, contre 19% en 1988. Les fermes ne faisant que de la production végétale sont devenues majoritaires (52% en 2020 contre 37% en 1988).

Parmi les agriculteurs récemment installés (après 2010), 74% ont suivi une formation de niveau baccalauréat et 44% une formation supérieure (contre respectivement 48% et 22% pour les chefs d’exploitation des générations précédentes). Ces agriculteurs installés depuis peu sont le plus souvent à la tête de micro ou de petites exploitations et davantage portés sur les productions végétales comme le maraîchage. Ils sont aussi plus fréquemment en bio que les générations précédentes (19% des fermes, contre 10%).
La féminisation du métier est encore faible, voire se réduit, de moins en moins de femmes d’agriculteurs travaillant sur les exploitations. Actuellement, un peu plus du quart des exploitants et coexploitants sont des femmes (26,2%), en léger repli par rapport à 2010.

Covid-19 : le risque d’un écroulement du système de santé (OMS)

Covid-19 : le risque d’un écroulement du système de santé (OMS)

le risque d’écroulement du système de santé est d’autant plus grand que l’envolée des statistiques de contaminés sont aujourd’hui surtout imputables aux variants Delta dans la plupart des cas.

 

Le variant omicron beaucoup plus contagieux va rapidement prendre le dessus sur Delta et faire exploser les statistiques au point que les hôpitaux pourraient être dans l’incapacité de traiter les malades atteints. C’est y compris le cas de la France déjà proche de la saturation. Pour preuve nombreux d’opérations de pathologies autres que Covid sont décalées dans le temps.

 

Le «tsunami» des cas dus aux variants Omicron et Delta de Covid-19 va conduire les systèmes de santé au bord de l’«effondrement», a mis en garde mercredi l’Organisation mondiale de la santé. «Je suis très préoccupé par le fait qu’Omicron, plus transmissible, circulant en même temps que Delta, entraîne un tsunami de cas. Cela exerce et continuera d’exercer une immense pression sur un personnel de santé épuisé et des systèmes de santé au bord de l’effondrement», a déclaré le chef de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus, au cours d’une conférence de presse.

Miel : écroulement de la production

Miel : écroulement de la production

officiellement l’écroulement de la production de 50 % en 2021 serait imputable à des phénomènes météorologiques notamment le décalage de floraison. Plus fondamentalement ce qui est sans doute en cause, c’est la crise climatique qui bouleverse les saisons et la biodiversité. Sans parler évidemment de l’usage abusif  de pesticides et autres produits chimiques qui tuent les insectes abeilles comprises

«C’est la pire année de l’apiculture française», considère cette organisation, qui rappelle que l’année précédente avait été une bonne année (18.000 à 20.000 tonnes). En 1995, la France produisait environ 32.000 tonnes de miel. En 2019, la récolte avait été de moins de 10.000 tonnes.

«Le bouleversement climatique, ressenti par les apiculteurs depuis une bonne quinzaine d’années est bien là», estime l’Unaf. Dans de très nombreuses régions, de longues périodes de gel, de froid et de pluies se sont succédé durant tout le printemps et une bonne partie de l’été. «Les abeilles n’ont pas pu bénéficier des floraisons», relève l’Unaf.

Brexit et Ports britanniques : écroulement du trafic vers l’Europe

Brexit et  Ports britanniques : écroulement du trafic vers l’Europe

 

 

Boris Johnson avait imaginé transformer le Royaume-Uni en une sorte de Singapour sur Tamise. Ainsi la péninsule britannique aurait constitué le point d’entrée principal des les importations vers l’union européenne après le brexit .

Le problème c’est qu’un certain nombre de verrous de normes et de formalités administratives entravent cette vision au point que le trafic passant par le Royaume-Uni et à destination de l’union économique s’écroule complètement.

C’est dans une lettre adressée le 1er février au ministre Michael Gove, à laquelle l’hebdomadaire britannique The Observer a eu accès, que le président de l’association, Richard Burnett avance ce chiffre de 68%, tiré d’un sondage réalisé auprès de ses membres internationaux.

Selon l’hebdomadaire, Richard Burnett estime que cela est principalement dû à « l’augmentation massive de la paperasse à laquelle sont confrontés les exportateurs » après le Brexit. Il appelle le gouvernement britannique à augmenter grandement le nombre de douaniers chargés d’aider les entreprises, estimant que les 10.000 personnes actuellement déployées ne représentent « qu’un cinquième de ce qui serait nécessaire ».

« Je trouve profondément frustrant et agaçant que les ministres aient choisi de ne pas écouter l’industrie et les experts », a déclaré celui qui affirme à The Observer avoir « prévenu » M. Gove « de façon répétée ces derniers mois ».

Officiellement sorti de l’Union européenne le 31 janvier 2020, le Royaume-Uni a continué d’observer ses règles pendant la période de transition qui s’est achevée le 31 décembre, date à laquelle le pays est sorti de l’union douanière et du marché unique européens.

 

Malgré l’accord commercial signé in extremis avec son ancien partenaire, le gouvernement britannique avait prévenu les entreprises qu’il faudrait s’attendre à des « perturbations à court terme.

En effet, les exportateurs britanniques doivent désormais remplir une multitude de documents pour prouver que leurs biens sont autorisés à entrer dans le marché unique européen, un alourdissement des procédures chronophage et coûteux, qui retarde le passage des frontières.

Interrogé par The Observer, un porte-parole du ministre Michael Gove a affirmé ne « pas reconnaître le chiffre avancé sur les exportations » par la RHA, estimant que « les perturbations à la frontière avaient jusqu’à présent été minimes » et que « les mouvements du fret sont désormais proches de la normale, malgré la pandémie de Covid-19″, qui a aussi fortement impacté le trafic.

Le directeur de l’Association des ports britanniques, Richard Ballantyne, affirme lui que ce chiffre de 68% avancé par la RHA est « globalement conforme » à ce qu’il a pu observer sur la baisse du trafic.

Bitcoin jusqu’à $146.000, selon JPM…… ou écroulement !

Bitcoin jusqu’à $146.000, selon JPM…… ou écroulement !

La folie du bitcoin l’a fait plus que tripler de valeur au cours des six derniers mois pour atteindre un record à 34.800 dollars (28.380,36 euros) le 2 janvier. JP Morgan prévoit encore des envolés exceptionnelles sous réserve que les risques de volatilité se réduisent.

Autant dire que le bitcoin peut encore s’envoler ou s’écrouler. En cause,  le fait que nombre de pays envisagent de créer leurs propres monnaies numériques soit à côté de la monnaie classique, soi-même pour la remplacer comme en Chine. Dès lor,s  les monnaies numériques privées pourraient alors s’écrouler. De toute manière les pays ne laisseront jamais les monnaies privées s’approprier la souveraineté monétaire.

“Compte tenu de l’ampleur des placements dans l’or, s’il y a des sorties massives de l’or en tant que monnaie ‘alternative’, cela implique un gros potentiel de hausse pour le bitcoin sur le long terme”, ajoutent les spécialistes de la banque de Wall Street.

Le mouvement favorable pour le bitcoin pourrait être amplifié par l’arrivée des jeunes générations chez les investisseurs, plus sensibles à “l’or numérique” qu’aux traditionnels lingots, poursuivent-ils.

Selon JP Morgan si  la “ferveur spéculative actuelle” peut encore faire monter le bitcoin entre 50.000 et 100.000 dollars, de tels niveaux ne seront pas viables tant que la volatilité associée à cette cryptomonnaie ne se sera pas atténuée, préviennent-ils.

« Vers un écroulement du revenu de certains ménages en 2021 »

« Vers un écroulement du revenu de certains ménages en 2021 »

L’économiste François Perret alerte, dans une tribune au « Monde », sur la nécessité de prolonger et de consolider les mesures de maintien des revenus des ménages et d’ouvrir le débat autour du revenu universel.

Tribune.

 

Bien que contenu par les mesures d’urgence adoptées par le gouvernement, le choc sur le revenu des Français causé par la crise actuelle est déjà rude.

Certes, la dynamique salariale au second semestre laisse davantage penser à une pause qu’à un effondrement : dans le secteur privé, les salaires ont continué d’augmenter de + 0,2 % au troisième trimestre 2020 et de + 1,4 % sur un an selon les dernières données, livrées par la Dares, la direction de la recherche du ministère du travail.

Par ailleurs, les salariés au smic ayant préservé leur emploi ont aussi préservé leur niveau de vie, avec un taux de remplacement de 100 % de leur salaire dans le cadre du dispositif de chômage partiel.

 

Mais le risque d’écroulement du revenu des ménages les plus fragiles comme de ceux de la classe moyenne est particulièrement élevé pour l’an prochain. 

L’arbitrage des employeurs entre salaires et emplois, dans cette période de baisse d’activité – plus encore dans les services que dans l’industrie – se fait déjà au détriment des premiers. Et cela commence à grincer dans les entreprises.

Montée des inégalités

Chez Valeo, Lisi, STMicroelectronics ou encore Derichebourg, tous soumis à d’importantes réductions de commandes, les démarches entamées par la direction pour conclure avec les syndicats un accord de performance collective (APC) ont suscité une forte inquiétude et des résistances. Une partie des représentants des salariés refusent de signer un texte qui aboutirait à geler les salaires, même en contrepartie de garanties de préservation de l’emploi, comme chez Aéroports de Paris il y a quelques semaines.

Un peu partout, le climat social au sein des entreprises se dégrade. Une étude conduite mi-novembre par l’institut de sondage Viavoice (« Le baromètre des décideurs », 5 octobre 2020) montre clairement que tant les décideurs que l’échantillon « grand public » interrogés sont certes prêts à quelques menus efforts pour préserver l’emploi (flexibilité du temps de travail par exemple), mais certainement pas à des coupes salariales, que seuls 14 % des répondants se déclarent disposés à consentir.

 

Une réticence qui montre bien que, structurellement, moins d’un salarié sur deux (46 % précisément) considère déjà son niveau de rémunération comme « équitable », selon une étude récente de Cegos (« Climat social 2020 », Baromètre Cegos 2020, novembre 2020). Derrière cette perception, une réalité implacable : la montée des inégalités de revenus au cours des dernières années. 

 

Écroulement de la monnaie et de l’économie turque : Erdogan limoge encore le gouverneur de la Banque centrale

Écroulement de la monnaie et de l’économie turque : Erdogan limoge le gouverneur de la Banque centrale

Du fait des politiques agressives et improductives d’Erdogan, la Turquie subit une très grave crise économique interne qui se traduit notamment par un écoulement de sa monnaie et de son économie. La livre turque a clôturé vendredi à 8,5445 pour un dollar après avoir touché un point bas record de 8,58. Elle a plongé de 30% depuis le début de l’année, de 10% au cours des deux dernières semaines. Pour remédier à cette crise économique et financière Erdogan prend encore une mesure radicale en remplaçant un nouveau le patron de la banque centrale turque. Le quatrième changement de titulaire en cinq ans.

Les analystes considèrent Naci Agbal, bien que proche de Recep Tayyip Erdogan, comme un gestionnaire capable qui pourrait adpoter une approche plus orthodoxe de la politique monétaire que son prédécesseur.

Murat Uysal avait été nommé à la tête de la banque centrale en juillet 2019 par le chef de l’Etat, mécontent que cette dernière ne baisse pas les taux d’intérêt pour stimuler l’économie.

“La gestion d’Uysal a été catastrophique. Agbal, ça pourrait être pire, évidemment”, a commenté sur Twitter Timothy Ash, de BlueBay Asset Management. “Il a une réputation de technocrate décent et il paraît qualifié pour le poste”, a-t-il toutefois ajouté.

Recep Tayyip Erdogan ne cesse de réclamer l’abaissement des taux d’intérêt. Le week-end dernier, il a affirmé que la Turquie livrait une guerre économique contre ceux qui tentent de l’enfermer “dans le triangle diabolique des taux d’intérêt, des taux de change et de l’inflation”.

A la dépréciation de la devise turque s’ajoute une inflation de près de 12%, bien au-dessus de l’objectif d’environ 5% fixé par la banque centrale. Le pays avait réussi l’an dernier à sortir de la récession mais la pandémie de coronavirus a tout remis en cause.

Le mois dernier, la Banque de Turquie n’a pas procédé à un relèvement de ses taux d’intérêt contrairement aux attentes, les maintenant à 10,25%, ce qui a contribué à une nouvelle baisse de la livre sur les marchés des changes. Un mois plus tôt, elle avait au contraire surpris les marchés en relevant ses taux.

Les opérateurs s’inquiètent de la baisse des réserves de change, des atteintes à l’indépendance de la banque centrale et du risque toujours latent de sanctions occidentales contre le pays en raison de sa politique étrangère et de défense.

Pour Erik Meyersson, économiste à Handelsbank, même si Murat Uysal était à blâmer pour sa gestion, la banque centrale est pieds et poings liés à Recep Tayyip Erdogan et son gouverneur “n’est qu’une marionnette”.

Emploi États-Unis : écroulement de la croissance

Emploi États-Unis : écroulement de la croissance

Un véritable écroulement de la croissance des emplois aux États-Unis à mettre en relation évidemment avec la catastrophe de la crise sanitaire qui ne cesse de s’amplifier. Les données publiées mercredi font état de 167.000 créations de postes le mois dernier alors que le consensus Reuters en attendait 1,5 million.

Le ralentissement est d’autant plus marqué que les chiffres de juin ont été révisés fortement à la hausse pour faire apparaître 4,314 millions de nouveaux postes et non plus 2,369 millions.

Ces données alimenteront les doutes sur la vigueur de la reprise de l’économie américaine sur fond de résurgence du nombre de cas ce contamination au COVID-19.

Les chiffres du cabinet ADP précèdent de deux jours le rapport mensuel sur l’emploi, qui sera publié vendredi. Le consensus Reuters table sur 1,485 millions de créations d’emplois non-agricoles contre 4,767 millions en juin.

« Un écroulement économique plus mortifère que la dette »

« Un écroulement économique plus mortifère que la dette »

Dans un entretien avec « Le Monde », Philippe Martin, président délégué du Conseil d’analyse économique, détaille les propositions pour la relance économique qu’il a élaborées avec les économistes Jean Pisani-Ferry et Xavier Ragot.

Président délégué du Conseil d’analyse économique (CAE), un think tank rattaché à Matignon, Philippe Martin – qui participa à l’élaboration du programme du candidat Macron en 2017 – devait publier vendredi 10 juillet, avec Jean Pisani-Ferry (professeur à Sciences Po et également pilier de la campagne) et Xavier Ragot (président de l’OFCE), une note intitulée « Une stratégie économique face à la crise », remise à l’Elysée et à Bercy.

Les trois économistes y dressent un premier bilan post-confinement et proposent des mesures de relance à court et moyen termes, pour un total de près de 50 milliards d’euros.

Où en est l’économie française ?

Face à un choc inédit, les mesures mises en place par le gouvernement ont permis une protection forte et efficace des ménages. Grâce au chômage partiel, ils n’ont perdu en moyenne que 5 % de leurs revenus pendant les huit semaines de confinement, alors que le PIB baissait de 30 %.

La grande majorité des actifs (22 millions sur 30 millions) n’a pas connu de dégradation sensible de son revenu, même si 1,6 million de non-salariés, contrats courts et intérimaires a subi le choc de plein fouet. La consommation a rebondi plus fortement qu’espéré entre mi-mai et mi-juin pour revenir à une situation quasi-normale (2 % en dessous des niveaux habituels). Par contre il n’y a pas d’effet de rattrapage post-confinement.

Côté entreprises, on ne voit pas encore de vague de faillites car les prêts garantis par l’Etat ont permis de repousser le problème. Mais les questions de solvabilité sont à venir. Le PIB pourrait finalement reculer de 9 %, selon l’Insee, en 2020, et non pas de 11 % comme le prévoyait Bercy. Ce sont tout de même 50 milliards d’euros de mieux qu’espéré, même s’il reste encore de nombreuses incertitudes, notamment sanitaires.

Quelle est désormais la priorité ?

Les ménages ont beaucoup épargné pendant le confinement. Tout l’enjeu est que cette épargne contrainte accumulée (environ 80 milliards d’euros) ne se transforme pas en épargne de précaution et soit dépensée. Mais il existe des disparités de situation. Pendant le confinement, les ménages les plus modestes ont moins baissé leur consommation que les ménages aisés [car ils ont plus de dépenses contraintes]. Ils ont donc moins d’épargne, et ils sont aussi plus exposés au chômage.

Si l’on met de côté le sujet sanitaire, la période cruciale en termes de risque économique et social sera l’automne-hiver. Tout l’enjeu du plan de relance est d’éviter un cercle vicieux dans lequel la hausse du chômage et la perte de confiance des ménages et des entreprises plomberaient l’économie et provoqueraient un nouveau choc sur l’emploi. »

Automobile : écroulement total des immatriculations en avril

Automobile : écroulement total des immatriculations en avril

Une baisse de 89 % en avril ,  en mars, le marché avait déjà plongé de 72,25%, portant à 34% environ la baisse cumulée sur trois mois. Avec la chute d’avril, les immatriculations ressortent désormais en repli de 47,99% sur les quatre premiers mois de l’année. Avec le déconfinement, on pourrait évidemment assister à une reprise des immatriculations mais sur l’ensemble de l’année la baisse pourrait être catastrophique, de l’ordre de 20 %

Avant même l’épidémie, les immatriculations en France étaient parties pour accuser leur première contraction cyclique après cinq ans de hausses consécutives. En 2019, elles avaient encore progressé de 1,9%.

En avril, les immatriculations de voitures neuves du groupe PSA, qui regroupe les marques Peugeot, Citroën, DS, Opel et Vauxhall, et bientôt peut-être celles de Fiat Chrysler Automobiles (FCA) si la fusion entre les deux groupes est finalisée, ont chuté de 84,36% par rapport au même mois de 2019.

Le groupe Renault (marques Renault, Dacia et Alpine), déjà ébranlé l’an dernier par les difficultés de son partenaire Nissan et par la dégradation de plusieurs marchés émergents qui ont fait son succès, a vu quant à lui ses immatriculations en France plonger de 83,88% le mois dernier

Croissance Chine : un écroulement historique

Croissance Chine : un écroulement  historique

 

 

L’indice PMI manufacturier officiel a reculé en février à 35,7, après 50,0 le mois précédent, montrent les données communiquées par le Bureau national de la statistique (BNS), nettement en dessous du seuil qui sépare contraction et expansion de l’activité. Les analystes interrogés par Reuters anticipaient un indice PMI de 46,0.

Ces données présentent un premier aperçu officiel de l’état de l’économie chinoise depuis que l’épidémie de coronavirus est apparue en décembre dernier, faisant près de 3.000 morts dans le pays. L’économie chinoise devrait subir un nouveau coup dur au premier trimestre de cette année, ce qui pourrait inciter le gouvernement chinois à déployer des mesures de relance supplémentaires. L’activité dans le secteur chinois des services s’est également contractée à un rythme record. L’indice PMI officiel du secteur s’est établi à 29,6 en février, après 54,1 en janvier, montrent les données du BNS.

L’économie de la Chine est davantage tournée vers le secteur des services depuis l’épidémie de Sras en 2002-2003 et représente désormais environ 60% du produit intérieur brut (PIB) du pays. Les secteurs des transports, du tourisme, de la restauration et du divertissement ont été durement touchés depuis l’apparition du virus, les gens évitant les zones surpeuplées.

Un plongeon qui aura évidemment des conséquences sur l’activité mondiale. En général, on considère qu’une baisse d’un point de croissance en Chine ( qui pourrait passer de 6 % d’augmentation du PIB  à 5 % si l’infection est maîtrisée avant l’été) se traduit par une diminution de 0,2 % de la croissance mondiale. Le problème, c’est qu’on ne connaît ni l’ampleur ni la durée et évidemment les conséquences mondiales de la crise chinoise.

La croissance mondiale pourrait ainsi perdre aussi un point passant de 3 % à 2 % si la propagation du virus chinois n’est pas maîtrisée avant l’été. La conséquence pour  l’Europe ne sera pas négligeable puisque les perspectives d’activité étaient déjà très modestes en 2020 autour de 1 % de croissance. Du coup, nombre de pays pourraient tutoyer la stagnation voire la récession. Témoin déjà par exemple la France avec de très mauvais chiffres d’une consommation des ménages en janvier qui vont peser sur l’activité générale.

La fin du Franc CFA : le risque d’un écroulement de la monnaie

La fin du Franc CFA : le risque  d’un écroulement de la monnaie

 

 

L e  Franc CFA va sans doute devenir l’Eco. La différence pourrait apparaître minime : simplement un changement de nom pour satisfaire les anticolonialistes. Le problème, c’est que les réserves de change ne seraient plus déposées (pour moitié) à la Banque de France mais dans la nouvelle banque africaine. L’Eco serait toujours amarré à l’euro avec une parité fixe ( au départ!)  . Première observation il n’y a pas vraiment d’indépendance économique et financière avec une parité fixe. Seconde observation de taille celle-là : quelle sera la parité à terme. En effet, le risque est grand que l’ancien Franc CFA appelé désormais éco  soit dévalué rapidement d’au moins 50 % si ce n’est davantage eu égard aux fondamentaux économiques de la région africaine concernée. Un drame évidemment pour les consommateurs dont le pouvoir d’achat serait brutalement affecté. À l’inverse, certains considèrent qu’une monnaie nettement plus faible favoriserait la compétitivité des économies locales. Le problème c’est que les balances commerciales sont très déséquilibrées en partie en raison de la valeur franc CFA mais aussi du manque de production exportée et de la faiblesse de leur valeur ajoutée. Le choc économique et surtout social pourrait être très dur pour les ménages africains déjà affrontés à de dures difficultés sociales. Cette modification est demandée par certains économistes africains. Mais il en est de certains  économistes africains comme de certains économistes français, des sortes de médecins de Molière qui ignorent  un peu tout des réalités sociales les plus défavorisées ( eux connaissent le prix du sac de riz!)et proposent  des saignées en guise de remède pour mieux tuer les malades. Cette affaire de changement de monnaie est à gérer avec la plus grande prudence dans la mesure où on peut faire la comparaison entre le pouvoir d’achat de la zone du CFA et celui des monnaies africaines autonomes. En outre, le changement de monnaie avec inévitablement sa dévaluation va créer un énorme phénomène d’inflation qui va déstabiliser non seulement les ménages mais aussi les entreprises et les investisseurs. L’inflation en zone CFA est de 1% , à comparer à d’autres zones comme le Nigéria entre 10 et  20% . Sans parler du manque de convergences des autres fondamentaux économiques et financiers.  Il y avait sans doute besoin de revoir et d’autonomiser le français CFA. Mais il convient de le faire très progressivement et avec la plus grande prudence. En effet, on sait que certains  partisans de cette réforme espèrent  en réalité obtenir les postes de gouvernance monétaire particulièrement bien rémunérés sans parler aussi des risques de mauvaise gestion voire de détournement de fonds. La culture de corruption n’affecte malheureusement pas seulement certains dirigeants africains mais aussi nombre de responsables des superstructures économiques et financières. Et c’est cette culture de corruption qui constitue sans doute le cancer économique et social d’une grande partie du continent.

 

Franc CFA : le danger d’un écroulement de la monnaie

Franc CFA : le danger d’un écroulement de la monnaie

 

 

Le  Franc CFA va sans doute devenir l’Eco. La différence pourrait apparaître minime : simplement un changement de nom pour satisfaire les anticolonialistes. Le problème, c’est que les réserves de change ne seraient plus déposées (pour moitié) à la Banque de France mais dans la nouvelle banque africaine. L’Eco serait toujours amarré à l’euro avec une parité fixe (au départ!)  . Première observation, il n’y a pas vraiment d’indépendance économique et financière avec une parité fixe. Seconde observation de taille celle-là : quelle sera la parité à terme. En effet, le risque est grand que l’ancien Franc CFA appelé désormais éco  soit dévalué rapidement d’au moins 50 % si ce n’est davantage eu égard aux fondamentaux économiques de la région africaine concernée. Un drame évidemment pour les consommateurs dont le pouvoir d’achat serait brutalement affecté. À l’inverse, certains considèrent qu’une monnaie nettement plus faible favoriserait la compétitivité des économies locales. Le problème c’est que les balances commerciales sont très déséquilibrées en partie en raison de la valeur franc CFA mais aussi du manque de production exportée et de la faiblesse de leur valeur ajoutée. Le choc économique et surtout social pourrait être très dur pour les ménages africains déjà affrontés à de dures difficultés sociales. Cette modification est demandée par certains économistes africains. Mais il en est de certains  économistes africains comme de certains économistes français, , des sortes de médecins de Molière qui ignorent  un peu tout des réalités sociales des plus défavorisés et proposent  des saignées en guise de remède pour mieux tuer les malades. Cette affaire de changement de monnaie est à gérer avec la plus grande prudence dans la mesure où on peut faire la comparaison entre le pouvoir d’achat de la zone du CFA et celui des monnaies africaines autonomes. En outre, le changement de monnaie avec inévitablement sa dévaluation va créer un énorme phénomène d’inflation qui va déstabiliser non seulement les ménages mais aussi les entreprises et les investisseurs. L’inflation en zone CFA est de 1% , à comparer à d’autres zones comme le Nigéria entre 10 et  20% . Sans parler du manque de convergences des autres fondamentaux économiques et financiers.  Il y avait sans doute besoin de revoir et d’autonomiser le français CFA. Mais il convient de le faire très progressivement et avec la plus grande prudence. En effet, on sait que certains  partisans de cette réforme espèrent  en réalité obtenir les postes de gouvernance monétaire particulièrement bien rémunérés sans parler aussi des risques de mauvaise gestion voire de détournement de fonds. La culture de corruption n’affecte malheureusement pas seulement certains dirigeants africains mais aussi nombre de responsables des superstructures économiques et financières. Et c’est cette culture de corruption qui constitue sans doute le cancer économique et social d’une grande partie du continent.

 

La fin du Franc CFA : le danger d’un écroulement de la monnaie

La fin du Franc CFA : le danger d’un écroulement de la monnaie

L e  Franc CFA va sans doute devenir l’Eco. La différence pourrait apparaître minime : simplement un changement de nom pour satisfaire les anticolonialistes. Le problème, c’est que les réserves de change ne seraient plus déposées (pour moitié) à la Banque de France mais dans la nouvelle banque africaine. L’Eco serait toujours amarré à l’euro avec une parité fixe ( au départ!)  . Première observation il n’y a pas vraiment d’indépendance économique et financière avec une parité fixe. Seconde observation de taille celle-là : quelle sera la parité à terme. En effet, le risque est grand que l’ancien Franc CFA appelé désormais éco  soit dévalué rapidement d’au moins 50 % si ce n’est davantage eu égard aux fondamentaux économiques de la région africaine concernée. Un drame évidemment pour les consommateurs dont le pouvoir d’achat serait brutalement affecté. À l’inverse, certains considèrent qu’une monnaie nettement plus faible favoriserait la compétitivité des économies locales. Le problème c’est que les balances commerciales sont très déséquilibrées en partie en raison de la valeur franc CFA mais aussi du manque de production exportée et de la faiblesse de leur valeur ajoutée. Le choc économique et surtout social pourrait être très dur pour les ménages africains déjà affrontés à de dures difficultés sociales. Cette modification est demandée par certains économistes africains. Mais il en est de certains  économistes africains comme de certains économistes français, , des sortes de médecins de Molière qui ignorent  un peu tout des réalités sociales les plus défavorisées et proposent  des saignées en guise de remède pour mieux tuer les malades. Cette affaire de changement de monnaie est à gérer avec la plus grande prudence dans la mesure où on peut faire la comparaison entre le pouvoir d’achat de la zone du CFA et celui des monnaies africaines autonomes. En outre, le changement de monnaie avec inévitablement sa dévaluation va créer un énorme phénomène d’inflation qui va déstabiliser non seulement les ménages mais aussi les entreprises et les investisseurs. L’inflation en zone CFA est de 1% , à comparer à d’autres zones comme le Nigéria entre 10 et  20% . Sans parler du manque de convergences des autres fondamentaux économiques et financiers.  Il y avait sans doute besoin de revoir et d’autonomiser le français CFA. Mais il convient de le faire très progressivement et avec la plus grande prudence. En effet, on sait que certains  partisans de cette réforme espèrent  en réalité obtenir les postes de gouvernance monétaire particulièrement bien rémunérés sans parler aussi des risques de mauvaise gestion voire de détournement de fonds. La culture de corruption n’affecte malheureusement pas seulement certains dirigeants africains mais aussi nombre de responsables des superstructures économiques et financières. Et c’est cette culture de corruption qui constitue sans doute le cancer économique et social d’une grande partie du continent.

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