Archive pour le Tag 'écrase'

Hongkong: Le rouleau compresseur chinois a tout écrasé

 Hongkong: Le rouleau compresseur chinois a tout écrasé 

 

Alors que le principe « Un pays, deux systèmes » mis en place pour la perle de l’Orient devait durer jusqu’en 2047, le régime de Xi Jinping y a mis un terme depuis 2020, sans susciter de sursaut au niveau mondial, examine, dans une tribune au « Monde », le sinologue Jean-Philippe Béja.

 

Il y a vingt-cinq ans aujourd’hui, Chris Patten, le dernier gouverneur, quittait Hongkong en compagnie du prince Charles, mettant un point final à cent cinquante-six ans de colonisation britannique. Le nouveau chef de l’exécutif, Tung Chee-hwa, prenait ses fonctions le matin du 1er juillet 1997, en présence du leader du Parti communiste chinois (PCC), Jiang Zemin. A 13 heures, celui-ci rentrait en Chine, cédant la place à une manifestation contre l’intronisation d’un conseil législatif (LegCo) provisoire nommé par Pékin, organisée par les forces démocratiques.

Ce qui s’est passé ce jour-là est une image de la formule « Un pays, deux systèmes », qui avait permis à la colonie de rentrer pacifiquement dans le giron de la Chine : la matinée aux officiels, l’après-midi à la société civile. Ce modèle s’est répété chaque année depuis le 1er juillet 1997. Jusqu’en 2019.

Cinquante ans sans changement, avait promis l’ex-leader de la Chine communiste, Deng Xiaoping, à ses interlocuteurs britanniques, mais aussi à la population de ce qui allait devenir la région administrative spéciale (RAS) de la République populaire. Hongkong conserverait son système capitaliste et ses libertés, garantis par une Loi fondamentale adoptée par l’Assemblée populaire nationale de Pékin. A mi-chemin, on peut affirmer que le PCC n’a pas tenu sa promesse.

Vingt-cinq ans après la rétrocession, le leader du Parti travailliste, Lee Cheuk-yan, l’ex-président du Parti démocrate Albert Ho et le patron du quotidien indépendant Apple Daily, Jimmy Lai, qui étaient tous les trois en tête de la manifestation de 1997, sont en prison, attendant d’être jugés en fonction de la loi de sécurité d’Etat adoptée par le « Parlement » de Pékin, en mai 2020.

La presse foisonnante, caractéristique de la RAS depuis le début du XXe siècle, a été muselée. Les syndicats indépendants se sont dissous. L’Alliance pour le soutien des mouvements patriotiques démocratiques de Chine, qui, pendant trente ans, a organisé les veillées commémoratives du massacre de Tiananmen, le 4 juin, s’est sabordée.

 

Google écrase le marché de la pub

Google écrase le marché de la pub

 

Un papier des Echos souligne que Google écrase de plus en plus le marché de la pub avec en plus le soutien tacite des grands médias qui ont vendu ( Contre une rémunération infamante)  leur âme et leurs informations au champion de la tech mondiale. Désormais Google détient 25 % du marché mondial de la pub. Sur l’année 2021, le groupe a encaissé 258 milliards de dollars (+41 % en un an). En trois ans, le mastodonte a quasiment doublé ses recettes. Comment est-ce possible ? Ce n’est pas tant la diversification (dans le cloud, les smartphones Pixel…) qui porte ses fruits que l’activité historique du groupe qui continue de lui profiter à plein - à savoir la publicité.

Pour expliquer Son succès, le géant américain met en avant ses outils technologiques, notamment les algorithmes d’intelligence artificielle qui améliorent la pertinence des résultats de son moteur de recherche ou des publicités affichées. Mais ce n’est pas la seule raison.D’une part - et très paradoxalement -, la pression croissante du public et des régulateurs pour respecter la vie privée des internautes renforce Google. Par exemple, lorsqu’ Apple a dynamité la publicité dans les applis iOS, en limitant la possibilité de pister les utilisateurs, les géants du secteur comme Facebook, Instagram ou Snap ont été cruellement handicapés. Google, très peu. Au contraire, il a même pu bénéficier d’un report des campagnes sur ses services, dont la précision du ciblage est restée intacte.

Il en va de même pour la disparition prochaine des cookies tiers, l’outil star des publicitaires pour collecter et croiser des données sur les utilisateurs de différents sites ou services. Ce changement radical effraie toute l’industrie… mais pas Google, qui dispose d’énormes quantités d’informations sur la quasi-totalité des internautes grâce à ses propres services, toujours plébiscités du public. C’est d’ailleurs pour cela que ses concurrents dénoncent avec force les solutions de substitution aux cookies, moins intrusives mais moins performantes, développées par le groupe pour son navigateur Chrome.Un navigateur qui le plus souvent impose de lire la pub avant de prendre connaissance de l’information recherchée

D’autre part, de nombreuses voix dénoncent la façon dont Google profite de sa position centrale dans l’écosystème publicitaire pour favoriser ses propres services. C’est d’ailleurs aujourd’hui la seule menace crédible pour le groupe. L’Autorité de la concurrence française a frappé les esprits l’été dernier en sanctionnant Google pour ses pratiques illégales dans l’intermédiation publicitaire. Ce pourrait être le début d’une série de déflagrations. La Commission européenne a lancé une enquête, plus large que celle menée en France. Et les Etats-Unis ont également plusieurs fronts judiciaires ouverts sur le sujet.

 

La Chine écrase les derniers opposants à Hong Kong

La Chine écrase les derniers opposants à Hong Kong

Le dernier site médiatique d’opposition démocratique Stand News a été fermé par les autorités et les journalistes arrêtés. Le dernier acte des autorités chinoises pour tuer toute forme de contestation.

. Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a en effet exhorté mercredi 29 décembre les autorités chinoises et hongkongaises à relâcher immédiatement les employés de ce média pro-démocratie, arrêtés pour « conspiration en vue de publier du matériel séditieux » après un raid de la police ayant mené à la cessation d’activité du site d’information.

« Nous appelons les autorités de la RPC et celles de Hong Kong à arrêter de cibler les médias libres et indépendants et à libérer immédiatement les journalistes et responsables qui ont été injustement arrêtés et inculpés », a déclaré Antony Blinken dans un communiqué, en désignant la Chine par son nom officiel de République populaire de Chine (RPC). « En réduisant au silence un média indépendant, la RPC et les autorités locales sapent la crédibilité et la viabilité de Hong Kong », a-t-il ajouté.

De son côté, la cheffe de l’exécutif hongkongais Carrie Lam a déclaré jeudi que le raid de la police dans les bureaux de Stand News et l’arrestation de sept personnes liées au site d’information ne représentaient pas une atteinte aux médias mais visaient des activités séditieuses. « Ces actes n’ont rien à voir avec une soi-disant suppression de la liberté de la presse », a-t-elle affirmé lors d’une conférence de presse.

Stand News était le dernier grand média pro-démocratie de Hong Kong depuis la fermeture en juin dernier du tabloïd Apple Daily contrôlé par l’homme d’affaires Jimmy Lai, qui est en prison.

 

Le sulfureux réseau Facebook écrase la concurrence

Le sulfureux réseau Facebook écrase la concurrence

Le réseau le plus sulfureux à savoir Facebook écrase la concurrence avec 2,3 milliards d’utilisateurs dans le monde, il est suivi de YouTube avec 1,9 milliards. Un réseau qui n’est pas comparable puisque consacré essentiellement à la musique. Vient ensuite le réseau WhatsApp avec 1 ,5  milliards, puis Messenger avec 1 , 3, Wechat avec 1 million et Instagram avec aussi 1 million ; les autres réseaux sont en dessous du million. Facebook présente un caractère particulièrement sulfureux d’abord sur le plan déontologique puisqu’il a été prouvé qu’il recueille le maximum d’informations sur les abonnés  pour les revendre ensuite à des fins commerciales voir même politiques comme aux États-Unis. Un réseau également sulfureux où on trouve parfois le meilleur mais écrasé par la médiocrité globale d’un réseau d’amis virtuels qui n’ont pas grand-chose à échanger hormis leurs propres photos, celle de leurs chiens et des commentaires infantiles. Globalement, ce réseau est plutôt utilisé par des abonnés au profil beauf, les plus jeunes utilisent Instagram et les  plus vieux Tweeter. Bien que certains réseaux soient utiles pour des échanges dans le domaine technique, socio-économique ou associatif pour l’essentiel, Facebook est utilisé comme un miroir pour l’abonné afin de se regarder lui-même de manière favorable en souhaitant que son avis soit partagé par les autres. Bref c’est le degré zéro de ce qui s’appelle pourtant un réseau social dont la réalité est très virtuelle. Notons aussi que la plupart de ces réseaux sont détenus par les américains dont la préoccupation est davantage commerciale que culturelle ou sociétale. Par ailleurs ces réseaux oublient aussi de payer les impôts sur les activités commerciales qu’il développe dans chacun des pays. Ces réseaux présentent toutefois une fragilité en raison précisément du caractère assez virtuel. Ils ne sont pas à l’abri de l’éclatement d’une bulle ou de leur remplacement par un autre service à beaucoup plus grande valeur ajoutée.

Macron écrase la belle alliance du PS

Macron écrase la belle alliance du PS  

 

Près de 15 000 personnes au meeting de Macron et seulement 2000 personnes pour le dernier meeting de la belle Alliance du PS, Emmanuel Macron a fait samedi une démonstration de force en organisant un meeting géant à Paris, où il a déroulé son programme de « candidat du travail ».  Macron a aussi marqué sa différence en se présentant  en opposition aux candidats du renoncement qui face à la numérisation et à la robotisation proposent un revenu universel pour le  chômage qu’il considère comme inévitable. Macro veut redynamiser l’économie, lui redonner davantage de compétitivité et faire de la formation l’outil de requalification des salariés victimes des restructurations et la modernisation. Un meeting qui marque sa différence surtout avec Valls et le parti socialiste. Macro n’a pas épargné non plus Fillon auquel il a surtout reproché sa réforme de la sécurité sociale qui vise à ne rembourser que les pathologies lourdes. Pour autant Macron qui veut préserver le système social veut aussi en modifier les conditions de financement notamment en reportant sur la CSG l’allégement des charges qui pèsent sur les salariés en matière de couverture sociale.  L’ancien ministre de François Hollande, qui a refusé de participer à la primaire organisée par le PS, s’est présenté comme le rassembleur d’un vaste courant progressiste avec son mouvement En marche! qui compte selon lui 120.000 adhérents. »Je suis le candidat du travail », a-t-il dit en refusant l’idée selon laquelle la robotisation en sonnerait le glas. Il propose de continuer à réduire le coût du travail pour les entreprises mais le crédit d’impôt compétitivité-emploi (Cice), créé sous le quinquennat en cours pour améliorer la compétitivité des entreprises, sera transformé en allègement pérenne de 6 points pour toutes les entreprises. La durée légale du temps de travail resterait de 35 heures, mais les modalités d’application seraient fixées par des négociations de branches ou d’entreprises.  Il a réaffirmé sa proposition de remplacer les cotisations d’assurance chômage et maladie des salariés par une hausse de la contribution sociale généralisée, à l’assiette plus large, pour augmenter leur pouvoir d’achat — un couple de salariés au Smic gagnerait 500 euros nets de plus chaque année. Cette mesure sera financée par une hausse de la CSG limitée à 1,7 point, y compris sur les revenus du capital et pour les retraités les plus aisés. Seuls les 40% de retraités les plus modestes et les chômeurs seront épargnés par cette hausse. Emmanuel Macron, qui propose de transférer la gestion de l’assurance chômage des partenaires sociaux à l’Etat, a également pris le contrepied du candidat de la droite, François Fillon, en matière de protection sociale, en particulier dans le domaine de la santé, où il refuse tout déremboursement. Il a aussi fait l’éloge des fonctionnaires, dont François Fillon veut réduire le nombre de 500.000 : il embaucherait ainsi 10.000 policiers et gendarmes supplémentaires de 2017 à 2020. L’ancien ministre entend que les entreprises qui licencient plus que les autres ou qui recourent excessivement aux contrats courts se voient imposer un malus tandis que celles qui privilégient l’emploi durable bénéficieraient d’un bonus. La protection de l’assurance chômage sera étendue à tous, notamment aux indépendants, aux artisans, aux petits commerçants, aux autoentrepreneurs qui n’en bénéficient pas. Les salariés qui démissionnent auront le droit de bénéficier de la protection de l’assurance chômage dans la limite d’une fois tous les cinq ans pour éviter les abus. »Vous avez vu le monde qui est ici ? Qui aujourd’hui est capable de rassembler une force aussi grande ? a conclu Macron.

2017 : Sarkozy écrasé par Juppé dans les sondages

2017 : Sarkozy écrasé par Juppé dans les sondages

Selon les sondages réalisés en mars Juppé devance Sarkozy de 10 à 20 points pour les primaires seront organisées en novembre. Pour résumer, en moyenne Alain Juppé obtient autour de 40 % et Sarkozy autour de 25 %. Tous les autres candidats sont marginalisés autour de 1 à 2 % saufs Fillon et Lemaire qui tournent  chacun autour de 10 %. Pas forcément le signe d’une réaction enthousiaste vis-à-vis de Juppé mais surtout la conséquence du ras-le-bol qu’éprouve l’opinion publique à l’égard de Sarkozy qui ne cesse par ailleurs de s’enfoncer dans les affaires sulfureuses. Selon un sondage Elabe  Alain Juppé (41%) creuse l’écart avec Nicolas Sarkozy (23%) dans les intentions de vote pour le premier tour de la primaire présidentielle de la droite et du centre. Dans l’hypothèse, aujourd’hui la plus vraisemblable, d’un second tour entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy, le maire de Bordeaux l’emporterait aux primaires  avec 64% contre 36% à l’ancien président. Pour le premier tour, Bruno Le Maire se classe en troisième position avec 13% des intentions de vote devant François Fillon (11%). Viennent ensuite Nathalie Kosciusko-Morizet (4%), Nadine Morano (3%), Jean-François Copé (3%), Hervé Mariton (1%), Frédéric Lefebvre (0,5%) et Jean-Frédéric Poisson (0,5%). L’enquête a été réalisée par internet du 16 février au 16 mars auprès d’un échantillon de 5.001 personnes âgées de 18 ans et plus, à partir duquel a été extrait un sous-échantillon de 513 personnes inscrites sur les listes électorales et se disant certaines d’aller voter au premier tour de la primaire. Elabe estime à environ 4,4 millions d’électeurs le potentiel de participation au premier tour de la primaire, qui aura lieu le 20 novembre. Selon un sondage Ifop-Fiducial pour iTELE Alain Juppé surclasse toujours ses rivaux dans les intentions de vote pour la primaire de la droite, avec 38% contre 27% à Nicolas Sarkozy, tandis que Bruno Le Maire progresse de cinq points à 16%, selon un sondage Ifop-Fiducial pour iTELE, Paris Match et Sud Radio publié mercredi. Le maire de Bordeaux perd un point par rapport à une précédente mesure début février, et le président des Républicains en cède cinq. François Fillon est désormais relégué à la quatrième place, derrière Bruno Le Maire, avec huit pour cent d’intentions de vote (-3). Viennent ensuite Nathalie Kosciusko-Morizet (3%), Nadine Morano (3%), Jean-François Copé (2%), Jean-Frédéric Poisson, Hervé Mariton et Frédéric Lefebvre tous trois crédités de 1%.

2017-Sondage sincérité : Juppé (78 %) écrase Sarkozy (17%)

2017-Sondage sincérité : Juppé (78 %) écrase Sarkozy (17%)

Un sondage Odoxa pour Paris Match et iTélé, montre que Juppé écrase Sarkozy en particulier sur un aspect essentiel de l’image des candidats à savoir la sincérité (78 % pour Juppé) et (17 %) pour Sarkozy.  Dans un seul domaine,  les personnes interrogées placent l’ex-Président en tête sur une seule qualité : l’autorité. Nicolas Sarkozy y devance Alain Juppé, avec 53% d’avis favorables contre 43%. Encore s’agit-il peut-être sans doute d’une confusion entre autorités et autoritarisme ; en effet si sur la forme Sarkozy semble démontrer une détermination sans faille, sur le fond il entretient souvent un certain flou comme il l’a démontré pendant son quinquennat et comme il le démontre encore actuellement dans le cas de sa campagne pour 2017. les sondés sont 78% à juger l’ancien Premier ministre plus « sincère » (contre 17%) et 68% plus « compétent » (contre 28%). De même, Alain Juppé serait plus « rassembleur », pour 64% d’entre eux (contre 32%), et aussi plus « charismatique », pour 50% (contre 46%).  Alain Juppé n’est pas uniquement porté par les sympathisants de gauche : les seuls sympathisants de droite sont 66% à la juger « plus sincère » (contre 29%), 53% « plus compétent » (contre 43%) et plus « rassembleur » (contre 42%) que Nicolas Sarkozy. Ils choisissent en revanche l’ancien chef de l’Etat pour le charisme (59% contre 36% pour Alain Juppé) et également l’autorité (67% contre 30%). Mais encore une fois le sentiment d’autorité et de charisme qu’on attribue à Sarkozy est largement hypothéqué par son manque de sincérité.  L’enquête indique également que pour près de trois Français sur quatre (73%), Alain Juppé n’est « ni trop ni pas assez à droite », contre 15% qui ne le trouvent « pas assez à droite » et 10% « trop à droite ». Un positionnement politique encouragé également pour deux sympathisants sur trois (66%).  Enfin, les premières propositions du maire de Bordeaux reçoivent un accueil favorable puisque 84% des Français (contre 14%) sont pour la création « une police pénitentiaire » pour « assurer le renseignement contre le trafic et la radicalisation des détenus ». Ils plébiscitent à 79% (contre 19%) le rétablissement de la suspension des allocations familiales aux parents d’enfants absentéistes à l’école. Les trois-quarts (75%, contre 23%) sont favorables à « conditionner le regroupement familial à l’exercice d’un emploi » et 68% (contre 30%) à « faire voter chaque année un plafond d’immigration légale ».

 

Sondage 2017 : Bayrou écrase Sarkozy

Sondage 2017 : Bayrou écrase  Sarkozy

Décidemment ce n’est pas gagné pour Sarkozy, non seulement les Français à près de 70% ne veulent pas d’un duel Hollande-Sarkozy, non seulement Juppé devance Sarkozy mais même Bayrou est préféré à l’ancien président de la république et de très loin.  Pas étonnant que Sarkozy ait déclaré en privé «  je vais le crever le bègue » !. Les Français sont en effet  56% à préférer François Bayrou à Nicolas Sarkozy, contre 38% qui expriment un sentiment contraire, selon un sondage Odoxa pour iTELE et Le Parisien-Aujourd’hui en France diffusé vendredi. Le président des Républicains voue au président du MoDem une inimitié féroce depuis qu’il a choisi de voter pour François Hollande au second tour de l’élection présidentielle de 2012. L’ancien chef de l’Etat, qui prône le rassemblement avec les centristes de l’UDI, exclut d’ouvrir la primaire de 2016 à droite au maire de Pau, trois fois candidat à l’Elysée. Les sympathisants de l’UDI et du MoDem sont 78% à préférer François Bayrou à Sarkozy, contre 20% qui expriment le contraire. Deux pour cent ne se prononcent pas. A contrario les sympathisants de l’ex-UMP, rebaptisée les Républicains, préfèrent Nicolas Sarkozy à 90%. Dix pour cent disent leur préférence pour le centriste. Quarante trois pour cent des personnes interrogées souhaitent que François Bayrou se présente à la présidentielle de 2017, contre 54% qui ne le souhaitent pas. Trois pour cent ne se prononcent pas. Les sympathisants centristes souhaitent sa candidature à 61%, les sympathisants de LR à 22%.

Loi Macron :49-3, un marteau piqueur pour écraser une mouche

Loi Macron :49-3 un marteau piqueur pour écraser une mouche

 

« Je ne reculerai pas », la phase fétiche de Valls ;  conclusion faute de majorité sur la loi Macron, ce sera l’artillerie lourde :  l’article 49-3 de la constitution. Donc pas de  vote. En fait un marteau piqueur pour tuer un moucheron. En effet cette loi  anecdotique , partielle sorte d’  auberge espagnole ne présente aucun enjeu économique réel. Le seul enjeu c’est de permettre à Valls d’assurer son autorité, en fait de manifester son autoritarisme.  « Le chef , c’est moi ! je ne recule jamais » ‘ sous entendu et en creux :  pas comme Hollande. Car ce qu’il se joue là ce n’ est  malheureusement pas l’avenir économique du pays mais le leader cheap sur la gauche. Normalement l’autorité ne se déclame pas e n toutes circonstances, elle se reconnait tout simplement. Mais Valls ,lu a besoin en permanence de dire qu’il est bien le chef de meute. En matière d’économie, de terrorisme, de politique en général il lui faut dire, crier, proclamer avec le ton qui sied au général de la guerre en dentelle qu’il mène  » le chef ,c’est moi, je ne recule pas ! » une formule répétitive qui  permet de douter de la réalité de l’épaisseur du personnage. En fait un pur produit de l’oligarchie , pro de la politique qui a commencé comme conseiller de parlementaire, puis a  suivi la filière des conseillers ministériels, des apparatchiks du PS  avant d’être élu. En bref ,il n’a jamais travaillé et n’a sans doute comme la plupart des oligarques qui vivent de la politique ( comme Hollande comme d’autres) comme objectif que sa propre carrière politique. D’où aussi ses limites culturelles et ses approximations sémantiques  car on ne s’enrichît guère dans le vase clos de la politique professionnelle. Sur le plan strictement politique,  il serait bien difficile de le définir, socialiste, social-libéral, libéral tout court, le sait-il seulement ? opportuniste, certainement.  Il n’a aucune connaissance en économie mais ce n’est pas un handicap pour l’accès aux plus hautes fonctions . La  preuve,  cette loi Macron insipide, sans véritable structure où on trouve à boire et à manger mais surtout des amuse- gueules  plus ou moins cohérents. Ce qui peut permettre de sourire chez Valls , c’est cette recherche effrénée de posture martiale. Pas sûr  qu’il gagne des points dans l’opération , il commence sérieusement à glisser dans les sondages set derrière l’autorité de façade se cache surtout un laxisme condamnable autant en matière d’économie que de lutte antiterroriste.




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