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Société : 60 % du temps libre devant les écrans !

Société : 60 % du temps libre devant les écrans !

 

Culturellement Facebook a  gagné avec son univers virtuel métavers qui contraint à passer sa vie devant les écrans. D’ores et déjà les écrans captent plus de 60 % de notre temps de loisirs. C’est la conclusion qui ressort de l’étude Hobby One, réalisée par Vertigo Research en décembre auprès d’un échantillon de 14.000 personnes âgées de 11 ans et plus. Chaque jour, nous passons plus de la moitié de notre temps libre à échanger sur les réseaux sociaux, regarder des séries sur les plateformes de streaming, suivre des émissions à la télévision, jouer aux jeux vidéo. Au détriment évidemment du cinéma, de la promenade, du spectacle vivant ou du sport par exemple.

 

Société- Écrans : l’addiction des ados ( et autres) ….à la violence

Société- Écrans : l’addiction des ados ( et autres) ….à la violence

  • Par la Dr Nathalie Szapiro-Manoukian qui souligne une sorte d’addiction des ados à la violence des écrans. Les tueries de toutes sortes constituent le thème central de la plupart des films séries et jeux des enfants qui ont ensuite de la difficulté à distinguer le virtuel de la réalité. Des scènes de brutalité  invraisemblable où l’objectif quasi unique consiste à détruire et à tuer. Une brutalité de sauvages retournés à l’époque néandertalienne qui ensuite influence les relations sociales.Une brutalité démente évidemment sans aucun intérêt intellectuel et même sans intérêt du tout qui témoigne d’une dérive des valeurs voire des comportements par exemple des extrémistes politiques.
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  • De nombreux facteurs peuvent conduire un adolescent à la violence: un milieu social valorisant la loi du plus fort, des proches maltraitants, un traumatisme, la prise de drogues… Il est désormais prouvé que l’augmentation des représentations de violence dans les médias, les films, les séries ou la téléréalité, y contribue également.
  • «Un large consensus se dégage au sein de la communauté scientifique pour reconnaître l’impact délétère, à court et long terme, des contenus médiatiques violents sur le développement et le comportement des adolescents, souligne Michel Desmurget, directeur de recherche Inserm au Centre de neurosciences cognitives à Lyon et auteur de La Fabrique du crétin digital (Seuil). L’existence de quelques études orphelines contradictoires ne saurait démentir cette réalité.»
  • À l’échelle d’une population, la surexposition à des images et des contenus véhiculant une certaine brutalité (bagarres, tueries, pornographie…) se traduit par une augmentation de l’agressivité comparativement…

Écrans : l’addiction des ados à la violence

  • Écrans : l’addiction des ados à la violence
  • Par la Dr Nathalie Szapiro-Manoukian qui souligne une sorte d’addiction des ados à la violence des écrans. Les tueries de toutes sortes constituent le thème central de la plupart des films séries et jeux des enfants qui ont ensuite de la difficulté à distinguer le virtuel de la réalité.D es scènes de violence invraisemblable où l’objectif quasi unique consiste à détruire et à tuer. Une brutalité de sauvages retournés à l’époque néandertalienne qui ensuite influence les relations sociales.Une brutalité démente évidemment sans aucun intérêt intellectuel et même sans intérêt du tout qui témoigne d’une dérive des valeurs voir des comportements.
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  • De nombreux facteurs peuvent conduire un adolescent à la violence: un milieu social valorisant la loi du plus fort, des proches maltraitants, un traumatisme, la prise de drogues… Il est désormais prouvé que l’augmentation des représentations de violence dans les médias, les films, les séries ou la téléréalité, y contribue également.
  • «Un large consensus se dégage au sein de la communauté scientifique pour reconnaître l’impact délétère, à court et long terme, des contenus médiatiques violents sur le développement et le comportement des adolescents, souligne Michel Desmurget, directeur de recherche Inserm au Centre de neurosciences cognitives à Lyon et auteur de La Fabrique du crétin digital (Seuil). L’existence de quelques études orphelines contradictoires ne saurait démentir cette réalité.»
  • À l’échelle d’une population, la surexposition à des images et des contenus véhiculant une certaine brutalité (bagarres, tueries, pornographie…) se traduit par une augmentation de l’agressivité comparativement…

UE- La lutte contre les sociétés écrans : un pari fou !

UE- La lutte  contre les sociétés écrans : un pari fou !

 

 

 

On ne peut effectivement que se féliciter de la volonté de la commission européenne de lutter contre les sociétés bidons qui n’ont d’autres objectifs que de favoriser l’évasion fiscale dans les pays à faible imposition. Deux obstacles vont s’opposer à ce combat contre la fraude fiscale. Le premier et pas des moindres est celui des Etats qui justement ont fait de la sous fiscalité un avantage économique. C’est le cas évidemment de l’Irlande mais aussi encore du Luxembourg ou des Pays-bas au sein de l’union européenne. Le second obstacle est d’ordre méthodologique,  il s’agira effectivement de savoir si la société fait ou non des activités pseudo commerciales ou si elle apporte une vraie valeur ajoutée au processus de production. Certes les sociétés boîte à lettre pourront rapidement être identifiées mais entre la société boîte à lettres sans effectif, sans activité réelle et sans implantation physique et les grandes sociétés , il y a tout un marais.

Les Echos  rendent compte des travaux européens ( extrait) et indiquent  que La Commission européenne a présenté mercredi une initiative visant à lutter contre l’utilisation abusive de sociétés écrans créées au sein de l’Union européenne (UE), à des fins d’évasion fiscale . Dans un second temps, Bruxelles s’attaquera aux sociétés fictives situées à l’étranger.

Ces coquilles vides permettent d’orienter les flux financiers d’une entreprise ou d’un particulier fortuné vers des juridictions qui prévoient une imposition nulle ou très faible ou qui permettent de contourner facilement les impôts. En clair, une société écran n’est qu’une boîte aux lettres par laquelle transitent les bénéfices en direction des paradis fiscaux .

La Commission estime la perte fiscale à environ 60 milliards d’euros par an, dont 40 milliards d’euros sont le fait d’investisseurs en dehors de l’UE. Ces chiffres proviennent presque exclusivement de deux pays européens : les Pays-Bas et le Luxembourg. Selon une étude du Fonds monétaire international (FMI), les flux d’investissements étrangers entrant dans l’UE et transitant par le Luxembourg représentent 56 fois le PIB du petit duché.

Trois critères ont été édictés par la Commission pour traquer les sociétés écrans. Si une entité répond à ces trois critères, alors elle devra fournir de nouvelles informations aux autorités fiscales, telles que l’adresse des locaux de la société, l’accès à ses comptes bancaires, à la résidence fiscale de ses dirigeants et de ses employés.

Ce sera le cas si plus de 75 % des recettes totales d’une société immatriculée dans l’Union européenne au cours des deux exercices fiscaux précédents ne proviennent pas de son activité commerciale ou si plus des trois quarts de ses actifs sont des biens immobiliers ou d’autres biens privés d’une valeur particulièrement élevée. Si la société perçoit la majorité de ses revenus au travers de transactions liées à une autre juridiction ou si elle transfère ces revenus à d’autres sociétés situées à l’étranger, alors elle sera supposée société écran. Enfin, le troisième critère concerne le traitement interne ou extérieur des services de gestion et d’administration.

Les sanctions fiscales

Ce sera à l’administration fiscale du pays concerné de décider si l’entité est considérée comme une société écran. « Ce qui laisse une possibilité d’appréciation subjective à l’administration fiscale de décider si l’entité en question est une société écran. La directive pourra être interprétée différemment selon les Etats », souligne Daniel Gutmann.

La lutte de l’UE contre les sociétés écrans : un pari fou !

La lutte de l’UE contre les sociétés écrans : un pari fou !

 

 

 

On ne peut effectivement que se féliciter de la volonté de la commission européenne de lutter contre les sociétés bidons qui n’ont d’autres objectifs que de favoriser l’évasion fiscale dans les pays à faible imposition. Deux obstacles vont s’opposer à ce combat contre la fraude fiscale. Le premier et pas des moindres est celui des Etats qui justement ont fait de la sous fiscalité un avantage économique. C’est le cas évidemment de l’Irlande mais aussi encore du Luxembourg au sein de l’union européenne. Le second obstacle est d’ordre méthodologique,  il s’agira effectivement de savoir si la société fait ou non des activités pseudo commerciales ou si elle apporte une vraie valeur ajoutée au processus de production. Certes les sociétés boîte à lettre pourront rapidement être identifiées mais entre la société boîte à lettres sans effectif, sans activité réelle et sans implantation physiqueet les grandes sociétés , il y a tout un marais.

Les Echos  rendent compte des travaux européens ( extrait) et indiquent  que La Commission européenne a présenté mercredi une initiative visant à lutter contre l’utilisation abusive de sociétés écrans créées au sein de l’Union européenne (UE), à des fins d’évasion fiscale . Dans un second temps, Bruxelles s’attaquera aux sociétés fictives situées à l’étranger.

Ces coquilles vides permettent d’orienter les flux financiers d’une entreprise ou d’un particulier fortuné vers des juridictions qui prévoient une imposition nulle ou très faible ou qui permettent de contourner facilement les impôts. En clair, une société écran n’est qu’une boîte aux lettres par laquelle transitent les bénéfices en direction des paradis fiscaux .

La Commission estime la perte fiscale à environ 60 milliards d’euros par an, dont 40 milliards d’euros sont le fait d’investisseurs en dehors de l’UE. Ces chiffres proviennent presque exclusivement de deux pays européens : les Pays-Bas et le Luxembourg. Selon une étude du Fonds monétaire international (FMI), les flux d’investissements étrangers entrant dans l’UE et transitant par le Luxembourg représentent 56 fois le PIB du petit duché.

Trois critères ont été édictés par la Commission pour traquer les sociétés écrans. Si une entité répond à ces trois critères, alors elle devra fournir de nouvelles informations aux autorités fiscales, telles que l’adresse des locaux de la société, l’accès à ses comptes bancaires, à la résidence fiscale de ses dirigeants et de ses employés.

Ce sera le cas si plus de 75 % des recettes totales d’une société immatriculée dans l’Union européenne au cours des deux exercices fiscaux précédents ne proviennent pas de son activité commerciale ou si plus des trois quarts de ses actifs sont des biens immobiliers ou d’autres biens privés d’une valeur particulièrement élevée. Si la société perçoit la majorité de ses revenus au travers de transactions liées à une autre juridiction ou si elle transfère ces revenus à d’autres sociétés situées à l’étranger, alors elle sera supposée société écran. Enfin, le troisième critère concerne le traitement interne ou extérieur des services de gestion et d’administration.

Les sanctions fiscales

Ce sera à l’administration fiscale du pays concerné de décider si l’entité est considérée comme une société écran. « Ce qui laisse une possibilité d’appréciation subjective à l’administration fiscale de décider si l’entité en question est une société écran. La directive pourra être interprétée différemment selon les Etats », souligne Daniel Gutmann.

Enfants-Addiction aux écrans: le mal du siècle ?

Enfants-Addiction aux  écrans: le mal du siècle ? 

 

 

A l’initiative de Caroline Janvier, députée LRM, un collectif de parlementaires transpartisans et de personnalités, dont Gaspard Koenig, Nicolas Sirkis et Benoît Hamon, appelle à l’élaboration collective d’une proposition de loi visant à la prévention et la sensibilisation des parents

 

Tribune.

 

Sept cent vingt-huit heures. C’est la durée moyenne d’exposition annuelle aux écrans des enfants âgés de 3 à 10 ans. Il en faut soixante-trois pour regarder l’intégralité de la série Game of Thrones – et les amateurs vous diront que ce n’est pas une mince affaire. Sept cent vingt-huit heures, cela revient à regarder 11 fois les huit saisons de Game of Thrones en l’espace d’une année. C’est dire combien les écrans sont présents dans la vie de nos enfants : deux heures par jour, c’est long.

Un tiers des enfants de 0 à 3 ans prend ses repas devant un écran. 0 à 3 ans, c’est une période de la vie où les enfants ont des défis vitaux à relever : apprendre à marcher, parler, nouer des liens et interagir, reconnaître et réguler ses émotions, développer sa faculté de concentration, sa motricité, s’étonner du monde qui nous entoure, commencer à comprendre les lois physiques et biologiques qui le régissent.


Pour cela, l’enfant a besoin d’être stimulé et accompagné par son environnement physique, sensoriel, cognitif et affectif. Les écrans sont alors non seulement des loisirs limitatifs à une période cruciale pour le développement, mais aussi et surtout des entraves à l’acquisition du langage, à la mémorisation des savoirs. Ils ont aussi une influence néfaste sur le sommeil, l’alimentation, ou encore la gestion des émotions.

La question de l’aliénation numérique

Alors qu’il y a encore vingt ans les télévisions restaient fermement accrochées au salon familial, les téléphones et tablettes suivent aujourd’hui nos enfants partout. Tous les parents contemporains ont un jour ou l’autre connu la tentation de placer un écran entre les mains de leur progéniture pour faire cesser des pleurs dans le train, pour détourner leur attention d’une égratignure douloureuse ou pour les occuper trois minutes le temps de mettre un plat au four.

« Regarder un écran le matin avant l’école est associé à trois fois plus de risques de présenter un trouble primaire du langage »

Beaucoup cèdent à la tentation, y compris parmi nous. Le problème réside en la systématisation de cette exposition précoce aux outils numériques avec des conséquences souvent méconnues. L’enjeu est donc avant tout de les prendre en compte. Il ne s’agit pas, bien entendu, de condamner l’usage des écrans, car ils peuvent être d’excellents outils pour éveiller la curiosité et développer les connaissances.


La question est celle de l’aliénation numérique, notamment sur les plates-formes interactives. Regarder un écran le matin avant l’école est associé à trois fois plus de risques de présenter un trouble primaire du langage. Le faire sans discuter des contenus visionnés avec son entourage, à six fois plus de risques. Quand on sait combien la maîtrise du langage est un élément central dans le développement cognitif et socio-émotionnel, très logiquement, sa dégradation peut être une entrave à la réussite des enfants et à leur adaptation scolaire et sociale.




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