Archive pour le Tag 'Eckert)'

Macron a un cœur d’algorithme (Christian Eckert)

Macron a un cœur d’algorithme, (Christian Eckert) 

  • Ce que pense l’ancien collègue de Macron ( l’un était au budget et l’autre à l’économie). Et de poursuivre que Macron a surtout passé son temps à utiliser les moyens de Bercy pour sa future campagne électorale.  (info du Figaro)

« Dans Un ministre ne devrait pas dire ça, à paraître le 24 mai prochain aux Editions Robert Laffont, l’ancien collègue de Macron à Bercy livre un portrait au vitriol d’Emmanuel Macron, qu’il a côtoyé à Bercy. Quand il repense à l’ascension de son ancien collègue il «n’a pas seulement de l’amertume» mais plutôt «de la rage». «Une immense rage», insiste-t-il, selon des extraits publiés jeudi dans L’Obs . . Avec le recul, il dit «réaliser avoir assisté à la naissance du premier président dont le cœur est un “algorithme”». «Derrière le sourire enjôleur, sous l’apparente improvisation, il y a un calcul froid et méthodique», dit-il, qui consiste autant à ringardiser la gauche qu’à siphonner les voix de droite.

Il se souvient de l’une de ses voisines, Brigitte Macron. «J’ai pu observer de près (sa) méthode très efficace pour organiser l’emploi du temps, les rencontres et les repas de son époux», écrit Christian Eckert. C’est dans l’appartement de fonction du ministre de l’Economie -«trois cents mètres carrés high-tech et rutilants (…) dignes d’une revue d’architecture»- que «matin, midi et soir, le couple a reçu beaucoup de monde pour préparer le décollage d’En Marche!». «La vue sur Paris y est exceptionnelle», se souvient Christian Eckert «et la salle à manger peut accueillir les journalistes, les acteurs, les écrivains, les “people”, les chefs d’entreprise, les chanteurs, le Tout Paris et bien au delà, accourus le plus souvent par l’entrée discrète située quai de Bercy». Le socialiste, poursuit: «Tous les espaces du 7e étage de Bercy, qui regroupent les salles de réunion et de réception du ministère, étaient mis à contribution simultanément. Une stratégie qui permettait à Brigitte et Emmanuel Macron de prendre l’apéritif dans une réception au ministère, de débuter un premier dîner plus officiel avec d’autres convives au 7e étage puis d’en poursuivre un second à l’appartement! Un double dîner, en somme», s’étouffe Christian Eckert. A tel point, remarque-t-il, qu’en 2016 «pendant les huit premiers mois, les crédits de l’année entière ont été consommés en frais de représentation». Une information qui avait déjà été évoquée en 2017 dans le livre Dans l’enfer de Bercy, (Frédéric Says et Marion L’Hour, JC Lattès). 80% des 150.000 euros alloués avait été utilisés, selon les deux journalistes. »

Campagne déclaration d’impôt plus « conviviale » C Eckert

Campagne déclaration d’impôt plus « conviviale » C Eckert

 

Le secrétaire d’État au Budget, Christian Eckert a déclaré que la campagne de déclaration d’impôts serait plus pédagogique et plus conviviale cette année. Une 2015 est marquée par la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu à 5,5%, qui, après le geste fiscal de l’an dernier, devrait permettre de faire baisser la facture pour 9 millions de ménages sur deux ans, dont 3 millions sortiront ou éviteront d’entrer dans l’impôt. Pour marquer le coup, leur avis d’imposition portera la mention qu’ils ont bénéficié de cette réduction, précise-t-on à Bercy. Le seuil d’entrée dans l’impôt sur le revenu, dans la tranche à 14%, qui devient la première, est désormais de 9.690 euros de revenus annuels, contre 6 011 euros auparavant( pour la tranche à 5,5%). L’an dernier, 17,5 millions de ménages se sont acquittés de l’impôt sur le revenu, soit 47,4% des foyers fiscaux. Cette proportion va encore baisser cette année.  Michel Sapin, le ministre des Finances, a toutefois promis, que «pour la première fois depuis 2010, un contribuable dont la situation ne change pas ne paiera pas plus d’impôt sur le revenu». Ce n’était notamment pas le cas l’an dernier. Du fait de mesures votées sous Nicolas Sarkozy, comme la fin de la demi-part des veuves, mais aussi de celles décidées par l’actuelle majorité: baisse du plafond du quotient familial, réintégration de la participation de l’employeur au régime des complémentaires santé, plein effet de la refiscalisation des heures sup ou fiscalisation de la majoration de pension pour les retraités ayant élevé 3 enfants ou plus.

 

 

Il y aura des hausses d’impôts en 2015 (Christian Eckert, secrétaire d’Etat au budget)

Il y aura des hausses d’impôts en 2015 (Christian Eckert, secrétaire d’Etat au budget)

 

La promesse de Hollande est déjà obsolète, c’est le secrétaire d’Etat au budget qui le dit ! « On ne peut pas graver dans le marbre une situation qui dépend d’un contexte international que nous ne maîtrisons pas« . Alors que François Hollande a annoncé que les impôts n’augmenteraient pas en 2015, Christian Eckert n’exclut pas d’avoir recours à une nouvelle hausse, selon la situation économique. Le secrétaire d’État chargé du Budget rappelle cependant que la hausse de 20% de la taxe sur les résidences secondaires n’entre pas dans la catégorie des nouveaux impôts. François Hollande avait d’ailleurs exclu toute hausse, lors de son passage sur RTL et TF1, le 6 novembre dernier.  »Cette disposition était annoncée bien avant l’intervention du Président (sur RTL et TF1, le 6 novembre dernier, ndlr) (…), c’est une demande d’un certain nombre de territoires« , explique-t-il. Selon Christian Eckert, « les populations autochtones des zones très touristiques ont du mal à se loger car les résidences secondaires captent l’ensemble du marché (…) Cette disposition, qui pourra être retravaillée, n’est pas faite pour renflouer le budget de l’État mais celui des communesCelles qui ne le souhaitent pas, ne la feront pas« . Le secrétaire d’État rappelle également que le gouvernement cherche à réduire le déficit en privilégiant les économies aux impôts. « Le cap, c’est de réduire les déficits et ne pas casser la croissance (…) En 2015, l’impôt sur le revenu va baisser de trois milliards d’euros, soit neuf millions de foyers fiscaux ». Et de conclure en évoquant les dépenses des collectivités locales, dont le gouvernement a diminué les dotations : « Elles ont connu une inflation considérable (…) On les pousse à faire des économies de fonctionnement« .

Chômeurs : la formation d’abord (Eckert)

Chômeurs : la formation d’abord (Eckert)

 

Il aura fallu un nouveau déficit de l’Unedic  pour qu’on s’interroge sur la question fondamentale de la formation des chômeurs. Ce que fait Christian Eckert secrétaire  d’état au budget. Il doit sûrement savoir que les crédits de la formation permanente représentent environ 33 milliards par an et que presque rien ne revient aux chômeurs. Pour une part non négligeable ces fonds servent à financer des formations bidon et à engraisser les structures ; une  décision simple consisterait à affecter la moitié de ces crédits aux chômeurs. Compte tenu de l’opacité du système personne n’est en capacité de dire exactement à qui profit cette énorme manne.  Le secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert, a appelé ce lundi à moderniser l’assurance chômage et à « mettre l’argent au service du retour à l’emploi », estimant que la réflexion devrait être engagée dès l’an prochain. « Il faut veiller à ce que, dans le respect des partenaires sociaux qui sont appelés à travailler, on puisse moderniser, fluidifier, mettre l’argent au service du retour à l’emploi », a déclaré Eckert, interrogé sur la chaîne iTélé à la suite des déclarations sur le sujet du ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, qui avaient déclenché ce dimanche une polémique. « C’est la piste que je recommanderais. La formation professionnelle plutôt que de payer des chômeurs : ce qu’il faut faire, c’est discuter du montant, de la durée mais aussi de la meilleure façon d’utiliser les moyens financiers pour permettre de trouver grâce à la formation, à l’accompagnement, un retour à l’emploi », a-t-il précisé. « L’Unedic prend bien sûr en charge, c’est tout à fait légitime, l’indemnisation des chômeurs. Mais indépendamment de l’indemnisation, il y a aussi un accompagnement nécessaire sur le retour à l’emploi en termes de formation, en termes d’accompagnement », a plus tard déclaré Eckert à l’AFP. « La vocation principale c’est l’indemnisation mais la question du retour à l’emploi doit aussi faire partie des préoccupations de l’Unedic, en lien avec la formation professionnelle toujours bien sûr sur proposition, négociation entre les partenaires sociaux », a-t-il ajouté.




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