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L’exécutif écartelé entre santé, économie et liberté

 L’exécutif écartelé entre santé, économie et liberté

 

Depuis le début de la crise, le gouvernement semble écartelé entre les problématiques de santé, de croissance et de liberté. Du coup, le message est assez incompréhensible. D’un côté, le gouvernement semble s’orienter vers des formes de confinement massives mais il ne prend pas les moyens pour réguler la mobilité. Résultat, en quelques jours quelques 20 % de parisiens ont rejoint des résidences secondaires ou familiales, contaminant au passage les populations locales , là où les systèmes de santé ne sont pas adaptés à l’ampleur de la crise. La Bretagne par exemple en a fait la triste expérience et ce sera sans doute bientôt la Loire-Atlantique ou 150 000 à 200 000 personnes ont rejoint la côte et la région.

On comprend évidemment qu’il ne soit pas facile pour certains d’être confiné dans un espace moyen de 20 m² par personne à Paris. Mais c’est malheureusement le résultat d’un urbanisme et d’un aménagement du territoire dont le caractère démentiel est exacerbé par la crise.

En difficulté dans les sondages, le gouvernement prend des mesures assez floues et finalement pas tellement contraignantes concernant le confinement. Il craint les conséquences d’une politique plus stricte d’atteinte aux libertés individuelles. Par ailleurs, le gouvernement veut aussi à juste titre tenter de sauver ce qui peut l’être en matière économique. Du coup on recommande de travailler et de se déplacer sans d’ailleurs préciser les secteurs autorisés à le faire. Du coup ,c’est un peu la grande pagaille et les entreprises susceptibles de travailler ne peuvent souvent le faire faute de rupture d’approvisionnement.

Il y a aussi ce droit de retrait, concept dont l’application est très vague dont on ne sait pas avec précision dans quelles conditions on  peut s’exercer. Même sur le plan sanitaire, les consignes sont particulièrement contradictoires et la politique incompréhensible. Le manque de masques, le manque de matériel respiratoire, le manque de lits en général, le manque de traitement, la politique anachronique par rapport à la chloroquine, surtout le manque de personnel soignant montre que l’État a grandement failli dépit des discours.  Face au Covid-19, le gouvernement a progressivement pris des mesures de plus en plus restrictives, passant d’une interdiction initiale des rassemblements de plus de 1.000 personnes – puis de 100 – à la fermeture des établissements scolaires et des commerces non indispensables.

La semaine dernière, un confinement obligatoire de deux semaines, avec amendes à la clef, a été décrété et pourrait être prolongé si le gouvernement suit les recommandations du conseil scientifique qui a préconisé mardi une durée totale d’”au moins six semaines”. Pourtant devant la montée des demandes d’indemnisation de chômage partiel, le pouvoir a fait savoir qu’il allait contrôler sérieusement et en faites réduire le nombre de bénéficiaires. Le chômage partiel qui se développe massivement mettant évidemment en cause la santé économique du pays.

Crise coronavirus : L’exécutif écartelé entre santé, économie et liberté

Crise coronavirus : L’exécutif écartelé entre santé, économie et liberté

 

Depuis le début de la crise, le gouvernement semble écartelé entre les problématiques de santé, de croissance et de liberté. Du coup, le message est assez incompréhensible. D’un côté, le gouvernement semble s’orienter vers des formes de confinement massives mais il ne prend pas les moyens pour réguler la mobilité. Résultat, en quelques jours quelques 20 % de parisiens ont rejoint des résidences secondaires ou familiales, contaminant au passage les populations locales , là où les systèmes de santé ne sont pas adaptés à l’ampleur de la crise. La Bretagne par exemple en a fait la triste expérience et ce sera sans doute bientôt la Loire-Atlantique ou 150 000 à 200 000 personnes ont rejoint la côte et la région.

On comprend évidemment qu’il ne soit pas facile pour certains d’être confinés dans un espace moyen de 20 m² par personne à Paris. Mais c’est malheureusement le résultat d’un urbanisme et d’un aménagement du territoire dont le caractère démentiel est exacerbé par la crise.

En difficulté dans les sondages, le gouvernement prend des mesures assez floues et finalement pas tellement contraignantes concernant le confinement. Il craint les conséquences d’une politique plus stricte d’atteinte aux libertés individuelles. Par ailleurs, le gouvernement veut aussi à juste titre tenter de sauver ce qui peut l’être en matière économique. On  recommande donc de travailler et de se déplacer sans d’ailleurs préciser les secteurs autorisés à le faire. Du coup ,c’est un peu la grande pagaille et les entreprises susceptibles de travailler ne peuvent souvent le faire faute de rupture d’approvisionnement.

Il y a aussi ce droit de retrait, concept dont l’application est très vague dont on ne sait pas avec précision dans quelles conditions on  peut s’exercer. Même sur le plan sanitaire, les consignes sont particulièrement contradictoires et la politique incompréhensible. Le manque de masques, le manque de matériel respiratoire, le manque de lits en général, le manque de traitement, la politique anachronique par rapport à la chloroquine, surtout le manque de personnel soignant montrent que l’État a grandement failli en  dépit des discours.  Face au Covid-19, le gouvernement a progressivement pris des mesures de plus en plus restrictives, passant d’une interdiction initiale des rassemblements de plus de 1.000 personnes – puis de 100 – à la fermeture des établissements scolaires et des commerces non indispensables.

La semaine dernière, un confinement obligatoire de deux semaines, avec amendes à la clef, a été décrété , il est prolongé jusqu’au 15 avril après  les recommandations du conseil scientifique qui a préconisé mardi une durée totale d’”au moins six semaines”. Pourtant devant la montée des demandes d’indemnisation de chômage partiel, le pouvoir a fait savoir qu’il allait contrôler sérieusement et en fait réduire le nombre de bénéficiaires. Le chômage partiel qui se développe massivement mettant évidemment en cause la santé économique du pays.

 

Coronavirus : L’exécutif écartelé entre santé, économie et liberté

Coronavirus : L’exécutif écartelé entre santé, économie et liberté

 

Depuis le début de la crise, le gouvernement semble écartelé entre les problématiques de santé, de croissance et de liberté. Du coup, le message est assez incompréhensible. D’un côté, le gouvernement semble s’orienter vers des formes de confinement massives mais il ne prend pas les moyens pour réguler la mobilité. Résultat, en quelques jours quelques 20 % de parisiens ont rejoint des résidences secondaires ou familiales, contaminant au passage les populations locales , là où les systèmes de santé ne sont pas adaptés à l’ampleur de la crise. La Bretagne par exemple en a fait la triste expérience et ce sera sans doute bientôt la Loire-Atlantique ou 150 000 à 200 000 personnes ont rejoint la côte et la région.

On comprend évidemment qu’il ne soit pas facile pour certains d’être confiné dans un espace moyen de 20 m² par personne à Paris. Mais c’est malheureusement le résultat d’un urbanisme et d’un aménagement du territoire dont le caractère démentiel est exacerbé par la crise.

En difficulté dans les sondages, le gouvernement prend des mesures assez floues et finalement pas tellement contraignantes concernant le confinement. Il craint les conséquences d’une politique plus stricte d’atteinte aux libertés individuelles. Par ailleurs, le gouvernement veut aussi à juste titre tenter de sauver ce qui peut l’être en matière économique. Du coup on recommande de travailler et de se déplacer sans d’ailleurs préciser les secteurs autorisés à le faire. Du coup ,c’est un peu la grande pagaille et les entreprises susceptibles de travailler ne peuvent souvent le faire faute de rupture d’approvisionnement.

Il y a aussi ce droit de retrait, concept dont l’application est très vague dont on ne sait pas avec précision dans quelles conditions on  peut s’exercer. Même sur le plan sanitaire, les consignes sont particulièrement contradictoires et la politique incompréhensible. Le manque de masques, le manque de matériel respiratoire, le manque de lits en général, le manque de traitement, la politique anachronique par rapport à la chloroquine, surtout le manque de personnel soignant montre que l’État a grandement failli dépit des discours.  Face au Covid-19, le gouvernement a progressivement pris des mesures de plus en plus restrictives, passant d’une interdiction initiale des rassemblements de plus de 1.000 personnes – puis de 100 – à la fermeture des établissements scolaires et des commerces non indispensables.

La semaine dernière, un confinement obligatoire de deux semaines, avec amendes à la clef, a été décrété et pourrait être prolongé si le gouvernement suit les recommandations du conseil scientifique qui a préconisé mardi une durée totale d’”au moins six semaines”. Pourtant devant la montée des demandes d’indemnisation de chômage partiel, le pouvoir a fait savoir qu’il allait contrôler sérieusement et en faites réduire le nombre de bénéficiaires. Le chômage partiel qui se développe massivement mettant évidemment en cause la santé économique du pays.

France: L’exécutif écartelé entre santé, économie et liberté

France: L’exécutif écartelé entre santé, économie et liberté

 

Depuis le début de la crise, le gouvernement semble écartelé entre les problématiques de santé, de croissance et de liberté. Du coup, le message est assez incompréhensible. D’un côté, le gouvernement semble s’orienter vers des formes de confinement massives mais il ne prend pas les moyens pour réguler la mobilité. Résultat, en quelques jours quelques 20 % de parisiens ont rejoint des résidences secondaires ou familiales, contaminant au passage les populations locales , là où les systèmes de santé ne sont pas adaptés à l’ampleur de la crise. La Bretagne par exemple en a fait la triste expérience et ce sera sans doute bientôt la Loire-Atlantique ou 150 000 à 200 000 personnes ont rejoint la côte et la région.

On comprend évidemment qu’il ne soit pas facile pour certains d’être confiné dans un espace moyen de 20 m² par personne à Paris. Mais c’est malheureusement le résultat d’un urbanisme et d’un aménagement du territoire dont le caractère démentiel est exacerbé par la crise.

En difficulté dans les sondages, le gouvernement prend des mesures assez floues et finalement pas tellement contraignantes concernant le confinement. Il craint les conséquences d’une politique plus stricte d’atteinte aux libertés individuelles. Par ailleurs, le gouvernement veut aussi à juste titre tenter de sauver ce qui peut l’être en matière économique. Du coup on recommande de travailler et de se déplacer sans d’ailleurs préciser les secteurs autorisés à le faire. Du coup ,c’est un peu la grande pagaille et les entreprises susceptibles de travailler ne peuvent souvent le faire faute de rupture d’approvisionnement.

Il y a aussi ce droit de retrait, concept dont l’application est très vague dont on ne sait pas avec précision dans quelles conditions on  peut s’exercer. Même sur le plan sanitaire, les consignes sont particulièrement contradictoires et la politique incompréhensible. Le manque de masques, le manque de matériel respiratoire, le manque de lits en général, le manque de traitement, la politique anachronique par rapport à la chloroquine, surtout le manque de personnel soignant montre que l’État a grandement failli dépit des discours.  Face au Covid-19, le gouvernement a progressivement pris des mesures de plus en plus restrictives, passant d’une interdiction initiale des rassemblements de plus de 1.000 personnes – puis de 100 – à la fermeture des établissements scolaires et des commerces non indispensables.

La semaine dernière, un confinement obligatoire de deux semaines, avec amendes à la clef, a été décrété et pourrait être prolongé si le gouvernement suit les recommandations du conseil scientifique qui a préconisé mardi une durée totale d’”au moins six semaines”. Pourtant devant la montée des demandes d’indemnisation de chômage partiel, le pouvoir a fait savoir qu’il allait contrôler sérieusement et en faites réduire le nombre de bénéficiaires. Le chômage partiel qui se développe massivement mettant évidemment en cause la santé économique du pays.

Réforme pénale : Hollande écartelé

Réforme pénale : Hollande écartelé

 

 

Hollande  devra donc trouver les voies d’un consensus, ou trancher entre deux lignes politiques, incarnées par deux poids lourds de son gouvernement.  Dans tous les cas il risque de renforcer  renforcer la popularité de Valls qui apparaitra ou vainqueur de sa lutte avec Taubira ou alors la victime du laxisme présidentiel. Hollande trancher mais comme ce n’est pas dans sa nature, on risque d’aboutir à un compromis boiteux. C’est ce que l’opposition de droite, espérant un affaiblissement de l’exécutif, ne cesse de l’exhorter à faire vite et fort.   Foin du « grand écart permanent », l’un ou l’autre doit partir, a tonné Éric Ciotti, résumant le point de vue de l’UMP. François Hollande a créé un « jeu de rôles » avec Manuel Valls en main de fer et Christiane Taubira en gant de velours, il se doit de résoudre la contradiction, a dit en substance son collègue député Luc Chatel.  Sollicité par l’AFP, l?Élysée a soigneusement gardé le silence sur ce coup de fièvre. A gauche, toutes les prises de parole – Ayrault, Valls, le député PS Jean-Jacques Urvoas, ont visé à faire baisser le thermomètre, à ramener le spasme à une étape normale dans la préparation d’une loi complexe. : « Rien de nouveau sous le soleil! », commente Jean-Daniel Lévy (Harris Interactive). La guéguerre Justice-Intérieur est « un grand classique de la Vème ». Le politologue rappelle de précédents dialogues fracassants Lecanuet-Poniatowski, Badinter-Defferre, Guigou-Chevènement, Perben-Sarkozy, Alliot Marie-Hortefeux…  Le même note cependant qu’après le conflit entre ces deux derniers, début 2010, la cote du président Nicolas Sarkozy avait été atteinte. « Les Français acceptent les débats, mais ils veulent une ligne politique nette. Lorsqu’il y a des affrontements forts, c’est le chef de l’exécutif qui en pâtit », selon M. Lévy.   »Le potentiel de dégradation de la popularité hollandaise n’est pas énorme », tempère Emmanuel Rivière, de TNS Sofres. « Il est déjà bas ». ajoute-t-il, « on touche là à un point sensible: une réponse adaptée à la délinquance ». « La majorité et le peuple de gauche sont tiraillés sur le triptyque prévention-répression-réinsertion. C’est un des enjeux de la reconquête des classes populaires ».  M. Lévy note que le thème de la sécurité « n’était que 13e dans une enquête sur les préoccupations des Français lors de la présidentielle de 2012″.  Mais le sujet rejaillit en force. Jérôme Fourquet (Ifop) rappelle la très forte demande d’une sévérité accrue, exprimée dans l’enquête réalisée du 8 au 12 août par son institut.  Pour ces experts, ne pas trancher c’est s’exposer à voir les faits divers remettre sans cesse la délinquance au centre des débats, par exemple ceux de Marseille où M. Valls s’est d’ailleurs rendu mercredi.  Mais trancher paraît tout aussi compliqué pour François Hollande alors que ses deux ministres s’illustrent dans des registres complémentaires. Manuel Valls pour « incarner une gauche décomplexée, affranchie d’un certain nombre de dogmes », et Christiane Taubira pour « remettre en place » la droite avec fermeté, relève Jérôme Fourquet.  Le politologue observe que l’automne s’annonçait déjà plein de périls pour l’exécutif: réforme des retraites, budget à haut risque. « La gauche n’avait pas besoin d’un nouveau front police-justice… »

 




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