Archive pour le Tag 'Ebola'

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Ebola : des chiffres très approximatifs

Ebola : des chiffres très approximatifs

Officiellement Le virus Ebola a franchi la barre des 1.000 morts dans l’Ouest de l’Afrique, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), publié mardi matin. Cependant ce chiffre est très approximatif comme l’est celui concernant la principale cause de mortalité africaine  que constitue le paludisme. Pour le  paludisme les chiffres varient de 700  000 à 1,2 millions par an dont 80% de décès pour l’Afrique. En réalité, nombre de victimes africaines décèdent sans qu’on connaisse les causes ; Or le paludisme serait responsable de 80% des maladies en Afrique. Nombre de victimes décèdent chez elles sans même avoir consulté un médecin, d’autres dans des petits hôpitaux désuets  ou les patients  sont contraints de payer analyses, médicaments et autres fournitures. Du coup, beaucoup de malades évitent hôpital. Mais même dans ces hôpitaux faute d’analyse, on ne se sait pas toujours de quoi est mort un patient. Come Ebola présente certains symptômes comparable au paludisme ce chiffre de 100 avancé par l’OME est donc très approximatif et même fantaisiste car il est évident que les autorités locales ont intérêt à sous-estiment le nombre de victimes pour ne pas subir d’éventuels blocus. La semaine dernière, 52 nouveaux décès ont été enregistrés et 69 nouveaux cas recensés. Le Liberia, la Guinée, le Nigeria et la Sierre Leone sont actuellement les quatre pays touchés par l’épidémie. Depuis le début de l’année, 1.848 cas ont ainsi été dénombrés, et 54% des personnes infectées ont déjà été tuées par cette fièvre hémorragique. Lundi, huit agents de santé chinois ont été placés en quarantaine en Sierra Leone après avoir soigné des malades. Ces derniers jours, des patients présentant des symptômes proches de ceux d’Ebola ont été placés en quarantaine dans certains pays en Afrique comme en Europe et en Asie, mais les résultats des tests ont exclu la présence du virus, comme au Bénin et en Roumanie. L’analyse était toujours en cours lundi soir pour un Allemand en isolement au Rwanda. Le prêtre espagnol Miguel Pajares, âgé de 75 ans, qui travaillait dans un hôpital de Monrovia (Liberia) est mort mardi à Madrid, où il avait été rapatrié jeudi dernier. Un religieux ghanéen, qui travaillait au même endroit, est décédé dans la nuit de dimanche à lundi. Il s’agit du troisième décès parmi le personnel de cet hôpital catholique. L’OMS, qui va recevoir cinq millions de dollars (3,7 millions d’euros) d’aide du Koweït, cherche à définir une position devant les appels pressants à utiliser des médicaments non autorisés pour tenter de sauver les malades. Lundi dans la soirée, le Liberia a annoncé avoir reçu de la part des Etats-Unis une promesse de lui livrer des échantillons du sérum expérimental utilisé pour deux Américains atteints de cette fièvre et qui a donné de bons résultats sur des singes. Le traitement, qui n’a jamais été testé sur l’homme avant l’épidémie, doit être apporté au Liberia par un émissaire du gouvernement américain dans le courant de la semaine. C’est à cette heure le principal motif d’espoir des organisations sanitaires.

 

Ebola : l’épidémie se développe au Nigeria et au Liberia

Ebola : l’épidémie se développe   au Nigeria et au Liberia

 

 

 

Comme c’était prévisible l’épidémie s’étend dans l’Afrique de l’Ouest ( il sera bien difficile de distinguer les victime habituelles du paludisme mortel -qui se chiffrent autour de 600 000 par an  en Afrique- du nombre de victimes du virus Ebola qui présente certains symptômes identiques°).  Ainsi   Le ministère de la Santé nigérian a confirmé un nouveau cas d’Ebola, portant à 10 le nombre de personnes touchées. De son côté, la Côte d’Ivoire a suspendu toutes ses liaisons aériennes avec les pays touchés, et le Liberia a mis en quarantaine une troisième province.  Malgré les mesures prises pour tenter de contenir le virus Ebola, l’épidémie continue sa progression au Nigeria, quatrième foyer dans l’ouest de l’Afrique et pays le plus peuplé du continent. Ce lundi, le ministre de la Santé nigérian a annoncé un nouveau cas à Lagos, portant à 10 personnes atteintes et deux décès. La nouvelle patiente est une infirmière qui avait été en contact avec le Libérien mort dans un hôpital de la ville le 25 juillet dernier. Le Liberia a, lui, annoncé ce lundi avoir mis en quarantaine une nouvelle province, celle de Lofa, dans le nord du pays. C’est la troisième province touchée par cette mesure, a déclaré la présidente Ellen Johnson Sirleaf. « La décision a été prise par la force opérationnelle (Task Force) de lutte contre Ebola. Ainsi, désormais, personne n’entrera de Lofa, personne n’en sortira. Nous voulons protéger les populations non encore affectées« , a-t-elle annoncé. De son côté, la Côte d’Ivoire a annoncé « la suspension jusqu’à nouvel ordre des vols d’Air Côte d’Ivoire à destination et en provenance des pays affectés par la maladie« . Le gouvernement ivoirien ajoute qu’il interdit  « aux autres compagnies de transporter des passagers en provenance » du Liberia, de la Guinée, du Nigeria ou de Sierra Leone.  Le Sénégal, voisin de la Guinée, était également en alerte ces dernières heures. Un patient qui présentait des symptômes de fièvre hémorragique a été placé en quarantaine dans le nord du pays. Finalement, les analyses se sont avérées négatives. Par ailleurs, un étudiant allemand est hospitalisé à Kigali, la capitale du Rwanda. D’après la ministre de la Santé, le jeune homme présente également les symptômes de la maladie après avoir passé plusieurs jours au Liberia.

 

Ebola : c’est quoi ?

Ebola : c’est quoi ?

Le virus Ebola déclaré urgence mondiale par les autorités qui ont largement fait preuve d’attentisme et qui minimisent sans doute encore une peu trop les risques d’épidémie en dehors de l’Afrique. « Cette épidémie est pourtant sans précédent, absolument pas sous contrôle et la situation ne fait qu’empirer » : le constat fait par Bart Janssens, directeur des opérations de l’organisation Médecins sans frontières (MSF), est alarmant. Dans une interview à la Libre Belgique, l’humanitaire a confirmé que l’épidémie s’étendait encore, avec « un réel risque de voir de nouveaux pays touchés ».    Le dernier bilan de l’OMS, au 23 juillet, totalisait 1.201 cas dont 672 mortels au Liberia et en Sierra Leone. L’épidémie s’est déclarée en Guinée en début d’année, avant de rapidement franchir les frontières. La semaine dernière, le Nigeria a annoncé le premier cas d’Ebola sur son sol, un Libérien ayant voyagé par avion de la capitale libérienne Monrovia à Lagos. Il est décédé le 25 juillet. Autre signe de la virulence de la fièvre, les équipes médicales payent un lourd tribu pour tenter de contenir sa propagation. Le docteur Omar Khan, l’un des principaux médecins en charge de l’épidémie en Sierra Leone, est mort du virus le 29 juillet, après avoir traité près de 100 patients dans le centre anti-Ebola qu’il dirigeait. Selon Reuters, plusieurs dizaines d’infirmiers et aides locaux auraient eux aussi succombé à la fièvre dans le pays. Au Liberia, deux médecins humanitaires américains travaillant pour l’ONG chrétienne Samaritan’s Purse ont été contaminés. L’un deux est dans un état grave selon un communiqué de l’organisation publié mardi. L’Ebola est l’une des formes de fièvres les plus mortelles jamais connues par la médecine moderne. Selon MSF, après une période d’incubation variable (de 2 à 21 jours), les premiers symptômes sont identiques à ceux des autres types de fièvres : faiblesse générale, maux de tête, douleurs musculaires, conjonctivite. S’en suit une deuxième phase, souvent fatale, de vomissements, diarrhées et parfois d’une éruption cutanée. En plus des insuffisances hépatiques, l’Ebola provoque des hémorragies internes et externes. Connu depuis longtemps, le virus présente toutefois différentes espèces, originellement recensées au Zaïre (l’actuelle République démocratique du Congo) dans les années 70-80. Depuis, l’Ouganda, le Soudan, la Côte d’Ivoire et enfin la Virginie, aux Etats-Unis, ont été touchés. Pour les chercheurs, le « réservoir naturel » du virus serait   »vraisemblablement” les chauves-souris d’Afrique centrale. Le type d’Ebola apparu en Guinée au début de l’épidémie actuelle viendrait du Congo, ce qui étonne les chercheurs, alarmés par le nombre de kilomètres parcourus par la maladie. Il n’existe aucun vaccin ni remède contre ce virus, qui se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques (dont les éternuements) ou les tissus des sujets infectés. En conséquence, l’OMS estime qu’Ebola est mortel de 25 à 90% des cas, les traitements n’étant efficaces que si le malade est pris en charge dans les premiers jours. Cependant, la fièvre peut mettre plus de deux semaines à se déclarer. Dans les centres anti-Ebola gérés par MSF, les personnes ayant touché un malade sont mises en quarantaine d’observation pendant 21 jours, avec prise de température quotidienne. Si elles n’ont pas développé de fièvre au 22ème jour, elles sont considérées comme non-atteintes. Mais certaines régions restent difficiles d’accès, principalement pour des raisons sécuritaires, et peuvent rapidement devenir de nouveaux foyers de contamination.

 

Ebola : décrétée urgence mondiale

Ebola : décrétée   urgence mondiale

Il aura fallu du temps pour que les autorités prennent la mesure du risque de santé au plan mondial surtout après les migrations de l’été. Le pire concerne évidemment l’Afrique mais d’autres continents seront nécessairement touchés du fait de la mobilité en particulier des touristes. L’épidémie de fièvre due au virus Ebola qui sévit en Afrique de l’Ouest est un événement exceptionnel et constitue désormais un risque mondial pour la santé publique, a déclaré vendredi l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La déclaration de l’urgence au niveau mondial a pour effet de relever le niveau de vigilance pour la transmission du virus. Les conséquences possibles d’une nouvelle propagation de l’épidémie, qui a fait près de 1.000 morts dans quatre pays d’Afrique de l’Ouest, sont « particulièrement graves », compte tenu de la virulence d’Ebola, précise l’OMS. « Une réponse internationale coordonnée est considérée comme essentielle pour arrêter et faire reculer la propagation internationale d’Ebola », déclare l’OMS dans un communiqué publié à l’issue d’une réunion de deux jours de son comité d’urgence. « L’épidémie va plus vite que ce que nous pouvons contrôler », a déclaré à la presse la directrice générale de l’OMS Margaret Chan lors d’une conférence téléphonique du siège de l’OMS à Genève. « La déclaration (…) va attirer l’attention des dirigeants de tous les pays au plus haut niveau. Cela ne peut être fait par les seuls ministères de la Santé », a-t-elle expliqué. L’OMS conseille à tous les Etats affectés par l’épidémie, à savoir la Guinée, le Liberia, le Nigeria et la Sierra Leone, de déclarer l’état d’urgence. L’OMS estime toutefois qu’il n’y a pas besoin d’édicter une interdiction générale concernant le commerce et les déplacements internationaux. L’épidémie d’Ebola, qui se transmet par contact direct entre humains via les sécrétions et fluides corporels, peut être stoppée, pour peu que les mesures adéquates soient prises, a estimé Keiji Fukuda, directeur général adjoint chargé de la sécurité sanitaire.

Virus Ebola : craintes mondiales

Virus Ebola : craintes mondiales

 

 

En dépit des paroles rassurantes des autorités, difficile de prévoir l’évolution du virus, d’abord en Afrique ensuite au plan mondial. Il faudra sans doute attendre la fin de le période des congés (et des migrations) pour se faire une idée. La Sierra Leone, elle,  a engagé l’armée dans la lutte contre Ebola, qui a fait près de 900 morts dans le pays, en Guinée et au Liberia, une épidémie dont les risques de propagation mondiale ont conduit British Airways à suspendre ses vols vers Monrovia et Freetown. Selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la Santé, au total 887 morts ont été décomptés sur 1.603 cas d’Ebola (confirmés, suspects ou probables) : 358 en Guinée, 255 au Liberia, 273 en Sierra Leone et un au Nigeria. Il s’agit de loin de la plus grave épidémie d’Ebola depuis la découverte du virus, il y a 38 ans. Deux Américains – un médecin et une missionnaire – ayant contracté le virus au Liberia, où ils luttaient contre l’épidémie au sein d’une ONG humanitaire, ont été rapatriés par avion sanitaire et admis dans des hôpitaux spécialement équipés à Atlanta, en Géorgie. Tous deux ont été traités avec un anticorps expérimental jamais testé auparavant sur des humains, qui semble, selon les médecins traitants cités par la chaîne américaine CNN, avoir eu un effet « miraculeux » en atténuant rapidement les symptômes.  De son côté, le ministère espagnol de la Défense a annoncé qu’il allait envoyer un avion militaire au Liberia pour rapatrier et traiter un missionnaire espagnol âgé de 75 ans ayant contracté le virus. Un homme était soigné mardi dans un hôpital de New York pour des symptômes semblables à ceux d’Ebola, mais le centre hospitalier estimait faible le risque qu’il s’agisse d’Ebola. L’Arabie saoudite a également mardi signalé un cas similaire: un de ses ressortissants de retour de Sierra Leone a été hospitalisé à Jeddah – et placé en quarantaine – pour des symptômes identiques. Le virus Ebola se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus de personnes ou d’animaux infectés. La fièvre qu’il provoque se manifeste notamment par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées. Son taux de mortalité varie de 25 à 90%. Au Liberia, le prix des produits d’hygiène, essentiels à la lutte contre Ebola a explosé, de même que celui du poisson, qui pallie l’interdiction de la viande de brousse (singe, chauve-souris, etc.), incriminée dans la propagation.

 

Ebola : Touraine, qui n’y connait rien, rassurante !

Ebola : Touraine, qui n’y connait rien, rassurante !

 

Rassurante la ministre de la santé qui sur ce sujet là, comme sur le reste,  ne connait rien d’autre que ce qu’on  apprend à l’ENA, c’est à dire rien ! Marisol Touraine oublie simplement que les vacances d’été viennent de commencer et qu’en particulier les immigrés séjournant dans leur pays d’origine risquent de revenir avec le virus vers la fin de l’été. Même si elle pense qu’une « extrême vigilance s’impose » ( les mots habituels pour ne rien dire) , la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a estimé que la France « a les moyens de faire face à Ebola » dans un entretien publié jeudi par le Parisien/Aujourd’hui en France.   »Aucun cas importé n’a été signalé à ce jour (en France, ndlr). Pour autant, une extrême vigilance s’impose face à cette maladie à la fois très grave et très contagieuse qui progresse en Afrique », a souligné la ministre qui assure que « à l’heure actuelle, le risque d’importation du virus en Europe et en France est faible ». « Nous faisons en sorte que notre pays ne soit pas touché » a affirmé la ministre qui a souligné que « depuis plusieurs mois » le ministère des Affaires Etrangères et celui de la Santé ont « établi des recommandations pour ceux qui se rendent dans les pays concernés. » « Sans alarmer, c’est sur cette prévention en amont qu’il faut insister » a poursuivi Marisol Touraine. Si des cas importés étaient signalés, La ministre de la Santé a affirmé que « notre pays a les moyens de faire face ». « Nous avons mis le dispositif de veille sanitaire en alerte pour sensibiliser les professionnels de santé au diagnostic et aux modalités de prise en charge au cas où un malade se présenterait souffrant de fièvre et rentrant de l’un des pays concernés par l’épidémie », a-t-elle expliqué.  L’Ebola, en grande partie responsable de l’épidémie de fièvre hémorragique qui sévit depuis janvier avec au moins 660 morts en Afrique de l’Ouest, figure parmi les plus contagieux et mortels chez l’homme, qu’il peut tuer en quelques jours. Ce virus tueur, qui provoque des « fièvres hémorragiques », tire son nom d’une rivière du nord de l’actuelle République démocratique du Congo (ex-Zaïre), où il a été repéré en 1976. Son taux de mortalité peut aller de 25 à 90% et il n’existe pas de vaccin homologué.  Cinq souches différentes ont été identifiées (Zaïre, Soudan, Bundibugyo, Reston, Forêt de Taï), dont trois particulièrement redoutables avec des taux de mortalité pouvant atteindre 90% chez l’homme. Ce virus de la famille des filoviridae (filovirus) se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus de personnes ou d’animaux infectés. Les rituels funéraires, au cours desquels parents et amis sont en contact direct avec le corps du défunt, jouent un rôle important dans la transmission. La chasse et la consommation d’animaux de brousse peuvent également entraîner la contamination. Néanmoins, la cause première des poussées épidémiques reste mystérieuse et le réservoir naturel du virus demeure inconnu même si on estime qu’il se situe dans les forêts tropicales d’Afrique et du Pacifique occidental. Certaines études montrent que la chauve-souris participerait au cycle de transmission du virus. Après une période d’incubation de deux à 21 jours, la « fièvre hémorragique à virus Ebola » se caractérise souvent par une brusque montée de température, avec une faiblesse intense, des douleurs musculaires, céphalées et maux de gorge. Elle est souvent suivie de vomissements, diarrhées, éruptions cutanées, insuffisance rénale et hépatique et hémorragies internes et externes. Les cas graves sont placés en unité de soins intensifs et les malades, déshydratés, doivent être mis sous perfusion. Il n’existe aucun traitement ni vaccin spécifiques pour la fièvre hémorragique à virus Ebola. Plusieurs vaccins sont en cours d’essai mais il faudra peut-être des années avant qu’un vaccin puisse être utilisé, même si des chercheurs américains ont annoncé fin 2011 avoir mis au point un vaccin efficace à 80% chez la souris. Parallèlement un nouveau médicament « prometteur » est en cours d’évaluation en laboratoire, selon l’OMS. L’épidémie, en cours depuis le début de l’année, s’est déclarée d’abord en Guinée avant de se propager au Liberia puis en Sierra Leone, deux pays voisins qui, au 23 juillet, totalisaient 1201 cas dont 672 mortels, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). « Le problème est que personne ne sait combien de temps va durer cette épidémie », confie un expert. « Le problème est de préparer les pays voisins, notamment la Côte d’Ivoire, et même plus lointains », a-t-il souligné. « Il y a de plus en plus de cas dans les capitales. La période d’incubation est de 21 jours et les gens voyagent », a-t-il expliqué. « Le virus Ebola ne se transmet pas facilement, mais la mort est terrible. Elle survient souvent le 8e jour, le plus souvent des suites d’une pancréatite aiguë », a-t-il commenté. « Il devient de plus en plus difficile de trouver des personnels locaux pour traiter les malades dans les pays touchés », a-t-il déploré.

 

 

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