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Ministère de l’économie- Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Ministère de l’économie- Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Après avoir longtemps dit le contraire concernant l’évolution des prix, le ministre de l’économie convient ( comme Macron sur la 5 dans l’émission c’est à vous) que la France ne retrouvera pas « les prix d’avant » . mais il souhaite timidement que »les prix puissent décélérer et aller à la baisse ». Bruno Le Maire, le ministre de l’économie qui accumule les échecs dans nombre de domaines vient encore de démontrer son immobilisme.

Il y a bien entendu la catastrophe financière caractérisée par un déficit budgétaire chronique et une dette abyssale qui ont entraîné d’ailleurs la dégradation de la France par les agences spécialisées. À cet égard, rien ne change pour le projet de budget de 2024 ou la croissances est encore surestimée donc les recettes alors que les dépenses sont sous-évaluées.

La croissance, elle, ne se porte pas très bien non plus puisqu’elle devrait stagner pratiquement au cours du second semestre. Conclusion, il sera difficile d’atteindre même les 1 % de croissance prévue tant en 2023 qu’en 2024.

L’inflation témoigne en particulier de l’impuissance du ministre de l’économie. Ce dernier a été incapable d’abord de réunir rapidement les acteurs pour rediscuter des prix en particulier dans l’alimentaire qui a augmenté de 20 % sur deux ans. Évidemment le ministre n’a pris aucune mesure coercitive mais n’a même pas imposé la négociation.

Parallèlement, il a tout fait pour s’opposer à la « spirale salaire prix ». En clair, il s’oppose aussi à la revalorisation du pouvoir d’achat dont la problématique est renvoyée à une hypothétique conférence. En attendant les ménages courent après une perte de pouvoir d’achat de l’ordre de 10 %. Et les salaires auraient augmenté seulement de 4,5 %.

Sur la question de l’énergie et en particulier l’électricité ou le gaz, les hausses succèdent aux hausses. . Tout le monde doit faire un effort affirme le ministre de l’économie mais l’État n’en fait pas puisque au contraire plus le carburant est cher et plus les recettes fiscales sur le carburant progresse. Certaines assises vont d’ailleurs encore augmenter en 2024

Même chose et même hypocrisie vis-à-vis des finances des collectivités locales incitées en fait à augmenter la taxe foncière.

L’inefficacité sera la marque de Bruno le maire dont on disait déjà qu’il avait le charisme d’une limande mais qui y ajoute aujourd’hui, depuis qu’il est ministre de l’économie, le dynamisme d’une moule. Bref un éventuel candidat au remplacement de Macron, type mollusque.

Politique- Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Politique- Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Inflation : la France ne retrouvera pas « les prix d’avant » a déclaré hier l’interview du mollasson ministre de l’économie.
qui souhaite timidement que »les prix puissent décélérer et aller à la baisse ». Bruno Le Maire, le ministre de l’économie qui accumule les échecs dans nombre de domaines vient encore de démontrer son immobilisme.

Il y a bien entendu la catastrophe financière caractérisée par un déficit budgétaire chronique et une dette abyssale qui ont entraîné d’ailleurs la dégradation de la France par les agences spécialisées. À cet égard, rien ne change pour le projet de budget de 2024 ou la croissances est encore surestimée donc les recettes alors que les dépenses sont sous-évaluées.

La croissance, elle, ne se porte pas très bien non plus puisqu’elle devrait stagner pratiquement au cours du second semestre. Conclusion, il sera difficile d’atteindre même les 1 % de croissance prévue tant en 2023 qu’en 2024.

L’inflation témoigne en particulier de l’impuissance du ministre de l’économie. Ce dernier a été incapable d’abord de réunir rapidement les acteurs pour rediscuter des prix en particulier dans l’alimentaire qui a augmenté de 20 % sur deux ans. Évidemment le ministre n’a pris aucune mesure coercitive mais n’a même pas imposé la négociation.

Parallèlement, il a tout fait pour s’opposer à la « spirale salaire prix ». En clair, il s’oppose aussi à la revalorisation du pouvoir d’achat dont la problématique est renvoyée à une hypothétique conférence. En attendant les ménages courent après une perte de pouvoir d’achat de l’ordre de 10 %. Et les salaires auraient augmenté seulement de 4,5 %.

Sur la question de l’énergie et en particulier du pétrole, les hausses succèdent aux hausses. Là aussi, le ministre de l’économie a botté en touche en renvoyant la responsabilité aux distributeurs de carburant. Tout le monde doit faire un effort affirme le ministre de l’économie mais l’État n’en fait pas puisque au contraire plus le carburant est cher et plus les recettes fiscales sur le carburant progresse.

Même chose et même hypocrisie vis-à-vis des finances des collectivités locales incitées en fait à augmenter la taxe foncière.

L’inefficacité sera la marque de Bruno le maire dont on disait déjà qu’il avait le charisme d’une limande mais qui y ajoute aujourd’hui, depuis qu’il est ministre de l’économie, le dynamisme d’une moule. Bref un éventuel candidat au remplacement de Macron, type mollusque.

Gouvernement–Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Gouvernement–Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Bruno Le Maire, le ministre de l’économie accumule les échecs dans nombre de domaines. Il y a bien entendu la catastrophe financière caractérisée par un déficit budgétaire chronique et une dette abyssale qui ont entraîné d’ailleurs la dégradation de la France par les agences spécialisées. À cet égard, rien ne change pour le projet de budget de 2024 ou la croissances est encore surestimée donc les recettes alors que les dépenses sont sous-évaluées.

La croissance, elle, ne se porte pas très bien non plus puisqu’elle devrait stagner pratiquement au cours du second semestre. Conclusion, il sera difficile d’atteindre même les 1 % de croissance prévue tant en 2023 qu’en 2024.

L’inflation témoigne en particulier de l’impuissance du ministre de l’économie. Ce dernier a été incapable d’abord de réunir rapidement les acteurs pour rediscuter des prix en particulier dans l’alimentaire qui a augmenté de 20 % sur deux ans. Évidemment le ministre n’a pris aucune mesure coercitive mais n’a même pas imposé la négociation.

Parallèlement, il a tout fait pour s’opposer à la « spirale salaire prix ». En clair, il s’oppose aussi à la revalorisation du pouvoir d’achat dont la problématique est renvoyée à une hypothétique conférence. En attendant les ménages courent après une perte de pouvoir d’achat de l’ordre de 10 %.

Sur la question de l’énergie et en particulier du pétrole, les hausses succèdent aux hausses. Là aussi, le ministre de l’économie a botté en touche en renvoyant la responsabilité aux distributeurs de carburant. Tout le monde doit faire un effort affirme le ministre de l’économie mais l’État n’en fait pas puisque au contraire plus le carburant est cher et plus les recettes fiscales sur le carburant progresse.

Même chose et même hypocrisie vis-à-vis des finances des collectivités locales incitées en fait à augmenter la taxe foncière.

L’inefficacité sera la marque de Bruno le maire dont on disait déjà qu’il avait le charisme d’une limande mais qui y ajoute aujourd’hui, depuis qu’il est ministre de l’économie, le dynamisme d’une moule. Bref un éventuel candidat au remplacement de Macron, type mollusque.

Portrait Politique–Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Portrait Politique–Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Bruno Le Maire, le ministre de l’économie accumule les échecs dans nombre de domaines. Il y a bien entendu la catastrophe financière caractérisée par un déficit budgétaire chronique et une dette abyssale qui ont entraîné d’ailleurs la dégradation de la France par les agences spécialisées. À cet égard, rien ne change pour le projet de budget de 2024 ou la croissances est encore surestimée donc les recettes alors que les dépenses sont sous-évaluées.

La croissance, elle, ne se porte pas très bien non plus puisqu’elle devrait stagner pratiquement au cours du second semestre. Conclusion, il sera difficile d’atteindre même les 1 % de croissance prévue tant en 2023 qu’en 2024.

L’inflation témoigne en particulier de l’impuissance du ministre de l’économie. Ce dernier a été incapable d’abord de réunir rapidement les acteurs pour rediscuter des prix en particulier dans l’alimentaire qui a augmenté de 20 % sur deux ans. Évidemment le ministre n’a pris aucune mesure coercitive mais n’a même pas imposé la négociation.

Parallèlement, il a tout fait pour s’opposer à la « spirale salaire prix ». En clair, il s’oppose aussi à la revalorisation du pouvoir d’achat dont la problématique est renvoyée à une hypothétique conférence. En attendant les ménages courent après une perte de pouvoir d’achat de l’ordre de 10 %.

Sur la question de l’énergie et en particulier du pétrole, les hausses succèdent aux hausses. Là aussi, le ministre de l’économie a botté en touche en renvoyant la responsabilité aux distributeurs de carburant. Tout le monde doit faire un effort affirme le ministre de l’économie mais l’État n’en fait pas puisque au contraire plus le carburant est cher et plus les recettes fiscales sur le carburant progresse.

Même chose et même hypocrisie vis-à-vis des finances des collectivités locales incitées en fait à augmenter la taxe foncière.

L’inefficacité sera la marque de Bruno le maire dont on disait déjà qu’il avait le charisme d’une limande mais qui y ajoute aujourd’hui, depuis qu’il est ministre de l’économie, le dynamisme d’une moule. Bref un éventuel candidat au remplacement de Macron, type mollusque.

Politique–Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Politique–Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Bruno Le Maire, le ministre de l’économie accumule les échecs dans nombre de domaines. Il y a bien entendu la catastrophe financière caractérisée par un déficit budgétaire chronique et une dette abyssale qui ont entraîné d’ailleurs la dégradation de la France par les agences spécialisées. À cet égard, rien ne change pour le projet de budget de 2024 ou la croissances est encore surestimée donc les recettes alors que les dépenses sont sous-évaluées.

La croissance, elle, ne se porte pas très bien non plus puisqu’elle devrait stagner pratiquement au cours du second semestre. Conclusion, il sera difficile d’atteindre même les 1 % de croissance prévue tant en 2023 qu’en 2024.

L’inflation témoigne en particulier de l’impuissance du ministre de l’économie. Ce dernier a été incapable d’abord de réunir rapidement les acteurs pour rediscuter des prix en particulier dans l’alimentaire qui a augmenté de 20 % sur deux ans. Évidemment le ministre n’a pris aucune mesure coercitive mais n’a même pas imposé la négociation.

Parallèlement, il a tout fait pour s’opposer à la « spirale salaire prix ». En clair, il s’oppose aussi à la revalorisation du pouvoir d’achat dont la problématique est renvoyée à une hypothétique conférence. En attendant les ménages courent après une perte de pouvoir d’achat de l’ordre de 10 %.

Sur la question de l’énergie et en particulier du pétrole, les hausses succèdent aux hausses. Là aussi, le ministre de l’économie a botté en touche en renvoyant la responsabilité aux distributeurs de carburant. Tout le monde doit faire un effort affirme le ministre de l’économie mais l’État n’en fait pas puisque au contraire plus le carburant est cher et plus les recettes fiscales sur le carburant progresse.

Même chose et même hypocrisie vis-à-vis des finances des collectivités locales incitées en fait à augmenter la taxe foncière.

L’inefficacité sera la marque de Bruno le maire dont on disait déjà qu’il avait le charisme d’une limande mais qui y ajoute aujourd’hui, depuis qu’il est ministre de l’économie, le dynamisme d’une moule. Bref un éventuel candidat au remplacement de Macon type mollusque.

Economie-Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Economie-Bruno Le Maire, le charisme d’une limande et le dynamisme d’une moule

Bruno Le Maire, le ministre de l’économie accumule les échecs dans nombre de domaines. Il y a bien entendu la catastrophe financière caractérisée par un déficit budgétaire chronique et une dette abyssale qui ont entraîné d’ailleurs la dégradation de la France par les agences spécialisées. À cet égard, rien ne change pour le projet de budget de 2024 ou la croissances est encore surestimée donc les recettes alors que les dépenses sont sous-évaluées.

La croissance, elle, ne se porte pas très bien non plus puisqu’elle devrait stagner pratiquement au cours du second semestre. Conclusion, il sera difficile d’atteindre même les 1 % de croissance prévue tant en 2023 qu’en 2024.

L’inflation témoigne en particulier de l’impuissance du ministre de l’économie. Ce dernier a été incapable d’abord de réunir rapidement les acteurs pour rediscuter des prix en particulier dans l’alimentaire qui a augmenté de 20 % sur deux ans. Évidemment le ministre n’a pris aucune mesure coercitive mais n’a même pas imposé la négociation.

Parallèlement, il a tout fait pour s’opposer à la « spirale salaire prix ». En clair, il s’oppose aussi à la revalorisation du pouvoir d’achat dont la problématique est renvoyée à une hypothétique conférence. En attendant les ménages courent après une perte de pouvoir d’achat de l’ordre de 10 %.

Sur la question de l’énergie et en particulier du pétrole, les hausses succèdent aux hausses. Là aussi, le ministre de l’économie a botté en touche en renvoyant la responsabilité aux distributeurs de carburant. Tout le monde doit faire un effort affirme le ministre de l’économie mais l’État n’en fait pas puisque au contraire plus le carburant est cher et plus les recettes fiscales sur le carburant progresse.

Même chose et même hypocrisie vis-à-vis des finances des collectivités locales incitées en fait à augmenter la taxe foncière.

L’inefficacité sera la marque de Bruno le maire dont on disait déjà qu’il avait le charisme d’une limande mais qui y ajoute aujourd’hui, depuis qu’il est ministre de l’économie, le dynamisme d’une moule. Bref un éventuel candidat au remplacement de Macon type mollusque.

Économie : le dynamisme américain, pourquoi ?

Économie : le dynamisme américain, pourquoi ?

Le voyage dans l’espace du très médiatique Richard Branson, 70 ans, constitue évidemment une prouesse technique ( mais dont on avait vérifié déjà la fiabilité). D’autres patrons tout aussi connus comme Jeff bezos ou Edmon Musk doivent suivre en utilisant leur propre technique de lancement. Au-delà de la dimension technique, c’est aussi l’occasion de montrer le dynamisme des États-Unis et l’optimisme économique du pays et de ses dirigeants.

Sur le plan strictement technique, la France voire même l’Europe n’a pas les moyens de développer une politique de l’espace aussi ambitieuse et surtout aussi démocratique. En effet, les voyages inauguraux réalisés par les patrons américains ont aussi pour objectif de banaliser les promenades dans l’espace tout en réalisant de substantiels profits. L’entreprise de Richard Branson envisage à terme de réaliser 400 vols par an.

Sur le plan économique cela traduit une sorte de totale confiance des États-Unis dans les perspectives d’avenir. De fait, les États-Unis seront sortis de la crise sanitaire bien avant l’Europe. Cela surtout grâce à un volontarisme planificateur qui étonne dans un pays traditionnellement aussi libéral. Le gouvernement n’a pas hésité à lancer dimanche plan de développement en s’affranchissant à nouveau de toute contrainte budgétaire. Les États-Unis auront  engager autour de 3000 milliards soutenir l’économie quand péniblement l’Europe n’aura engagé que 750 milliards. Résultat la croissance américaine risque d’être presque le double de celle de l’Europe pour l’année en cours. Au mieux l’Europe retrouvera le niveau économique de 2019 vers 2023 alors que les États-Unis ont déjà absorbé la crise sanitaire.

Il manque notamment à l’Europe un vaste plan de remise à niveau des infrastructures et de la recherche formation. Pire l’Europe  se met des boulets aux pieds avec par exemple des contraintes ingérables pour l’industrie automobile. Une contrainte qui va permettre aux techniques chinoises notamment des batteries d’envahir le marché.

Il y a aussi une différence de taille sur le plan sociologique entre les patrons français et américains. Les Américains ont rarement de patrons formatés par l’ENA. Eux sont de vrais entrepreneurs et non des pantouflards qui profitent de leur passage dans les ministères pour faire joujou avec l’argent des autres quand ils rejoignent le privé.

 

Économie : le Dynamisme américain

Économie : le Dynamisme américain

Le voyage dans l’espace du très médiatique Richard Branson, 70 ans, constitue évidemment une prouesse technique ( mais dont on avait vérifié déjà la fiabilité). D’autres patrons tout aussi connus comme Jeff bezos ou Edmon Musk doivent suivre en utilisant leur propre technique de lancement. Au-delà de la dimension technique, c’est aussi l’occasion de montrer le dynamisme des États-Unis et l’optimisme économique du pays et de ses dirigeants.

Sur le plan strictement technique, la France voire même l’Europe n’a pas les moyens de développer une politique de l’espace aussi ambitieuse et surtout aussi démocratique. En effet, les voyages inauguraux réalisés par les patrons américains ont aussi pour objectif de banaliser les promenades dans l’espace tout en réalisant de substantiels profits. L’entreprise de Richard Branson envisage à terme de réaliser 400 vols par an.

Sur le plan économique cela traduit une sorte de totale confiance des États-Unis dans les perspectives d’avenir. De fait, les États-Unis seront sortis de la crise sanitaire bien avant l’Europe. Cela surtout grâce à un volontarisme planificateur qui étonne dans un pays traditionnellement aussi libéral. Le gouvernement n’a pas hésité à lancer dimanche plan de développement en s’affranchissant à nouveau de toute contrainte budgétaire. Les États-Unis auront  engager autour de 3000 milliards soutenir l’économie quand péniblement l’Europe n’aura engagé que 750 milliards. Résultat la croissance américaine risque d’être presque le double de celle de l’Europe pour l’année en cours. Au mieux l’Europe retrouvera le niveau économique de 2019 vers 2023 alors que les États-Unis ont déjà absorbé la crise sanitaire.

Il manque notamment à l’Europe un vaste plan de remise à niveau des infrastructures et de la recherche formation. Pire l’Europe  se met des boulets aux pieds avec par exemple des contraintes ingérables pour l’industrie automobile. Une contrainte qui va permettre aux techniques chinoises notamment des batteries d’envahir le marché.

Il y a aussi une différence de taille sur le plan sociologique entre les patrons français et américains. Les Américains ont rarement de patrons formatés par l’ENA. Eux sont de vrais entrepreneurs et non des pantouflards qui profitent de leur passage dans les ministères pour faire joujou avec l’argent des autres quand ils rejoignent le privé.

 

Dynamisme américain : l’économie et les patrons s’envoient en l’air

Dynamisme américain: l’économie et les patrons s’envoient en l’air

Le voyage dans l’espace du très médiatique Richard Branson, 70 ans, constitue évidemment une prouesse technique ( mais dont on avait vérifié déjà la fiabilité). D’autres patrons tout aussi connus comme Jeff bezos ou Edmon Musk doivent suivre en utilisant leur propre technique de lancement. Au-delà de la dimension technique, c’est aussi l’occasion de montrer le dynamisme des États-Unis et l’optimisme économique du pays et de ses dirigeants.

Sur le plan strictement technique, la France voire même l’Europe n’a pas les moyens de développer une politique de l’espace aussi ambitieuse et surtout aussi démocratique. En effet, les voyages inauguraux réalisés par les patrons américains ont aussi pour objectif de banaliser les promenades dans l’espace tout en réalisant de substantiels profits. L’entreprise de Richard Branson envisage à terme de réaliser 400 vols par an.

Sur le plan économique cela traduit une sorte de totale confiance des États-Unis dans les perspectives d’avenir. De fait, les États-Unis seront sortis de la crise sanitaire bien avant l’Europe. Cela surtout grâce à un volontarisme planificateur qui étonne dans un pays traditionnellement aussi libéral. Le gouvernement n’a pas hésité à lancer dimanche plan de développement en s’affranchissant à nouveau de toute contrainte budgétaire. Les États-Unis auront  engager autour de 3000 milliards soutenir l’économie quand péniblement l’Europe n’aura engagé que 750 milliards. Résultat la croissance américaine risque d’être presque le double de celle de l’Europe pour l’année en cours. Au mieux l’Europe retrouvera le niveau économique de 2019 vers 2023 alors que les États-Unis ont déjà absorbé la crise sanitaire.

Il manque notamment à l’Europe un vaste plan de remise à niveau des infrastructures et de la recherche formation. Pire l’Europe  se met des boulets aux pieds avec par exemple des contraintes ingérables pour l’industrie automobile. Une contrainte qui va permettre aux techniques chinoises notamment des batteries d’envahir le marché.

Il y a aussi une différence de taille sur le plan sociologique entre les patrons français et américains. Les Américains ont rarement de patrons formatés par l’ENA. Eux sont de vrais entrepreneurs et non des pantouflards qui profitent de leur passage dans les ministères pour faire joujou avec l’argent des autres quand ils rejoignent le privé.

 

 

Immobilier : des variations de prix fonction du dynamisme économique local

Immobilier : des variations de prix fonction du dynamisme économique local

Une étude du réseau Orpi et d’autres études  confirment  les disparités de plus en plus grandes des prix selon le dynamisme économie des régions. Avec des prix fous en région parisienne et des prix complètement bradé dans des zones en déclin ou désertifiés. Des variations de prix qui peuvent aller  de 1 à 10 : 1 million en région parisienne, 100 000 euros dans certaines  zones rurales pour un bien équivalent. – Des  écarts de prix reflètent là aussi une «France à plusieurs vitesses».  «Ils sont l’illustration d’un marché paradoxal, fragmenté et corrélé à l’activité économique», estime Bernard Cadeau, président du réseau. Quelques grandes tendances.  L’attrait des métropoles dynamiques. Avec des hausses de prix supérieures à 10 % par rapport aux quatre premiers mois de 2013, les capitales régionales comme Lyon (Rhône) et Toulouse (Haute-Garonne) continuent d’attirer les acheteurs. Cette dernière, souligne Bernard Cadeau, portée par son activité industrielle, est en pleine expansion.» Le grand nombre de maisons et appartements à vendre dans la «ville rose» ? Il serait dû aux très nombreux programmes immobiliers accompagnant ce dynamisme au cours de ces dernières années.   La mer fait toujours rêver. Notamment sur la Côte-d’Azur avec des records de prix au m2 dans les Alpes-Maritimes et le Var (Cannes, Six-Fours). Même attirance pour la Côte atlantique avec Le Croisic et Pornichet, deux villes balnéaires où maisons et appartements sont vendus très cher. A l’opposé, des communes comme Calais (Pas-de-Calais) ou Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), voire Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), connaissant les prix les plus bas ou ayant le plus baissé, pâtissent de leur manque d’attractivité. La valeur du mètre carré y est six à huit fois moins élevée qu’à Paris. L’Ile-de-France, région de tous les extrêmes. La proximité de Paris joue là un rôle primordial dans la fixation des prix  : les plus hauts à Vincennes, Issy-les-Moulineaux ou Clamart. Les plus bas à Cergy, Corbeil-Essonnes, Sevran ou Clichy-sous-Bois !

 




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