Archive pour le Tag 'dynamique'

Page 2 sur 2

Emploi : la dynamique s’est écroulée en 2018

Emploi : la dynamique s’est écroulée en 2018

En cause évidemment, le très net tassement de la croissance. Il n’y a pas de miracle ; sans croissance ; il est difficile de créer de manière significative beaucoup d’emplois. Ainsi en 2017 300 000 emplois avaient pu être créés, chiffre qui est tombé à 100 000 en 2018. À comparer évidemment au chiffre de près de 6 millions de chômeurs !

Plusieurs facteurs explicatifs à cet écroulement de l’emploi, d’abord la croissance et parmi elle : la chute toujours vertigineuse de l’activité industrielle notamment dans les zones géographiques déjà peut favorisées. Aussi le manque d’adaptation du marché du travail et les formes de soutien à certains chômeurs. Ainsi certains salariés au SMIC travaillant 25 heures par semaine (soit autour de 800 €-) n’ont pas tellement d’intérêt à se maintenir dans cet emploi comparé à la situation de chômeurs qui vont gagner autant en cumulant des aides sociales. La question de la formation permanente reste peu pendante et le fromage est toujours partagé entre les lobbys,  un fromage énorme de 35 milliards par an auquel le gouvernement a à peine touchée. Pour 2019 les perspectives s’annoncent encore plus moroses qu’en 2018.  Pour le chef économiste de chez Ostrum Asset Management Philippe Waechter,  »la dynamique de l’emploi est médiocre dans le secteur privé. Cela n’a pas forcément à voir avec l’instabilité sociale car le chiffre du 4e trimestre est voisin de celui du trimestre précédent. Le ralentissement des créations d’emplois est rapide. »

Au niveau des perspectives, le chef économiste n’est guère optimiste:

« La croissance lente attendue en 2019 (1,1% sur l’année en moyenne) ne va pas permettre d’inverser cette dynamique de l’emploi. Cette dynamique est trop réduite pour être satisfaisante. Cette allure trop lente (106.000 créations sur un an) ne permettra pas de réduire le taux de chômage et de le faire converger vers 7% [objectif du candidat Macron)

 

Croissance Allemagne : toujours dynamique

Croissance Allemagne : toujours dynamique

 

La croissance allemande sera encore dynamique en 2018 avec des prévisions qui se situent entre 2,4 % pour le gouvernement et 2,7 % pour les chambres de commerce. Comme d’habitude, l’activité pourra s’appuyer sur les exportations mais aussi sur la consommation intérieure du fait du quasi plein-emploi et de la hausse des salaires. La demande étrangère pour l’industrie manufacturière allemande montre des signes évidents d’accélération et le moral des entrepreneurs du secteur est au beau fixe, poursuit le ministère, en s’appuyant sur de récentes enquêtes auprès des acteurs économiques. Le gouvernement allemand s’attend à ce que les entreprises continuent de créer davantage d’emplois et d’augmenter les salaires, ce qui signifie que la consommation des ménages devrait rester un important moteur de la croissance économique cette année, ajoute-t-il. « Les récents indicateurs économiques et les données d’activité vont dans le sens d’une poursuite de l’amélioration économique en début d’année », écrit le ministère allemand des Finances. »En raison des développements positifs de l’économie mondiale, le commerce se développera aussi de manière dynamique et renforcera les investissements des entreprises en équipements », écrit le ministère.

Croissance Allemagne : toujours dynamique

Croissance Allemagne : toujours dynamique

 

La croissance allemande sera encore dynamique en 2018 avec des prévisions qui se situent entre 2,4 % pour le gouvernement et 2,7 % pour les chambres de commerce. Comme d’habitude, l’activité pourra s’appuyer sur les exportations mais aussi sur la consommation intérieure du fait du quasi plein-emploi et de la hausse des salaires. La demande étrangère pour l’industrie manufacturière allemande montre des signes évidents d’accélération et le moral des entrepreneurs du secteur est au beau fixe, poursuit le ministère, en s’appuyant sur de récentes enquêtes auprès des acteurs économiques. Le gouvernement allemand s’attend à ce que les entreprises continuent de créer davantage d’emplois et d’augmenter les salaires, ce qui signifie que la consommation des ménages devrait rester un important moteur de la croissance économique cette année, ajoute-t-il. « Les récents indicateurs économiques et les données d’activité vont dans le sens d’une poursuite de l’amélioration économique en début d’année », écrit le ministère allemand des Finances. »En raison des développements positifs de l’économie mondiale, le commerce se développera aussi de manière dynamique et renforcera les investissements des entreprises en équipements », écrit le ministère.

Emploi : Une dynamique des métropoles douteuse

 

La dynamique de l’emploi des métropoles sur les zones périphériques est remise en cause par une note de France-Stratégie qui reprend une étude de l’université de Nanterre. La mode de la métropolisation risque d’aboutir à un aménagement du territoire composé d’un côté d’une dizaine de villes de plus d’un million d’habitants concentrant une majorité d’emplois et de l’autre des zones en voie de régression voire  de désertification. Un non-sens non seulement économique et social mais aussi environnementale et sociétal. En effet l’hyper concentration qui génère effectivement une croissance endogène provoque aussi des dégâts humains et environnementaux catastrophiques. Ce phénomène a un nom: la «métropolisation». Or cet aménagement du territoire qui privilégie l’hyper concentration autour de quelques centres conduits le reste à la désertification.  . La mode aujourd’hui est à la métropolisation, c’est à dire à la sururbanisation (qui constitue pourtant une  aberration environnementale) tandis que certaines  petites villes, des villages s’appauvrissent, des villes moyennes stagnent ou régressent. Mais les zones périphériques des grandes métropoles ne bénéficient pas non plus d’uen grande dynamique de l’emploi.   Une étude du laboratoire EconomiX de l’université de Nanterre, rend compte de la situation des douze plus grandes aires urbaines de France, hors Île-de-France, pour évaluer l’effet d’entraînement de la métropole sur l’emploi des zones qui la bordent. Si la dynamique de la métropole sur l’emploi à l’échelle locale est clairement soulignée par les économistes(*), des disparités apparaissent selon les collectivités étudiées. Les auteurs de la note distinguent quatre groupes de villes.

  • Trois métropoles - Lyon, Nantes et Aix-Marseille - « partagent leur dynamisme avec les territoires régionaux avoisinants ». Dans ces grandes villes,  »la métropole et les territoires proches semblent s’inscrire dans une logique de codéveloppement », rappelle France Stratégie.  »Elles se caractérisent par une forte dynamique de leur zone d’emploi mais aussi des zones d’emploi contiguës et parfois des zones d’emploi plus éloignées de leur région d’appartenance », ajoute l’organisme.
  • Bordeaux et Rennes font également partie de ce groupe, mais « dans une moindre mesure ». Rennes est « dans une situation particulière » : située « en bordure de la région Bretagne », elle fait davantage bénéficier de son dynamisme la région Pays-de-la-Loire que sa propre région.
  • Le deuxième groupe rassemble des métropoles - Lille, Toulouse et Montpellier – dont le « dynamisme en matière d’emploi ne s’observe pas dans les territoires régionaux environnants ». Par exemple, les zones d’emploi autour de Lille ne profitent pas de sa vitalité, « pâtissant » d’un « positionnement sur des secteurs peu dynamiques ».
  • A l’inverse, le troisième groupe se compose de villes dont la « dynamique d’emploi » est  »plus faible » que celle des territoires avoisinants. C’est le cas de Grenoble et de Strasbourg. Pour Grenoble, si sa zone d’emploi affiche une croissance « dans la moyenne nationale », les territoires qui l’entourent s’en sortent mieux, profitant du dynamisme de Lyon et d’autres pôles comme Annecy et Chambéry.
  • Enfin, Rouen et Nice forment le quatrième groupe. Ces deux territoires sont « en difficulté sur le plan de l’emploi», aussi bien au cœur de leur métropole qu’aux alentours.

« Lorsqu’on analyse les dynamiques régionales en distinguant les zones d’emploi des métropoles, celles qui les entourent et les autres zones d’emploi de la région, on n’observe pas d’effets d’entraînement particulièrement sensibles. »

L’emploi salarié dans les zones d’emploi des douze métropoles a augmenté de 0,65% par an entre 2009 et 2014, « alors qu’il a stagné dans les autres zones d’emploi régionales, y compris les zones d’emploi contiguës ». En résumé, l’emploi salarié « dans les zones d’emploi situées à la périphérie des douze métropoles étudiées n’a pas augmenté davantage que dans le reste du territoire en moyenne ».

La vraie dynamique de Juppé : « tout sauf Sarkozy »

La vraie dynamique de Juppé : « tout sauf Sarkozy »

 

On  ne peut pas dire qu’il y ait véritablement une adhésion à la candidature d’Alain Juppé, c’est plutôt par défaut que les Français choisissent le maire de Bordeaux qui bénéficie d’une dynamique qui repose sur le « tout sauf Sarkozy. On objectera que le phénomène de choix par défaut n’est pas nouveau, il avait joué en faveur de Mitterrand par rapport à Giscard, en faveur de Chirac par rapport à Jospin et Le Pen, à Sarkozy par rapport à Ségolène Royal. À défaut d’offre politique satisfaisante,  on élimine ce qu’on ne veut pas voir arriver au pouvoir. D’où d’ailleurs des contradictions fondamentales dans ces élections. . En effet l’élu se croit investi pour appliquer son programme alors qu’en réalité c’est le refus des orientations de l’adversaire qui l’ont fait élire. Pas vraiment une adhésion consciente.  D’après l’Obs, 39% expliquent que leur vote serait un moyen d’empêcher Nicolas Sarkozy de remporter la primaire, et 28% iront aux urnes afin d’éviter un second tour Sarkozy-Le Pen au second tour de la présidentielle. 10% d’entres eux le feront car ils apprécient Alain Juppé. « Il y a des déçus du ‘hollandisme’ qui, parfois, avaient voté pour Sarkozy précédemment. S’ils veulent venir vers nous, ils sont les bienvenus », avait appelé Alain Juppé lors du premier débat de la primaire, appuyant sur son rôle de rassembleur.  Une attitude que combat le PS à travers les déclarations de ses cadors, à l’image de son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, qui avait déclaré au Figaro : « Alain Juppé aux primaires, c’est Marine Le Pen aux législatives« . Une tentative de diabolisation de celui qui constitue une menace pour la gauche en vue de la présidentielle. Julien Dray et Najat Vallaud-Belkacem ont eux aussi exprimé leur souhait de ne pas voir les électeurs de gauche se rendre aux urnes pour choisir le candidat du camp opposé, au risque de fausser le résultat. Un point de vue partagé par Nicolas Sarkozy qui refuse de s’adresser à eux, dénonçant « parjure », « compromission » et « déloyauté » à longueurs de discours.

Etats-Unis : croissance moins dynamique

Etats-Unis : La croissance moins dynamique

 

La croissance aux Etats Unis a été moins dynamique au 4ème trimestre et au début 2015. En cause la hausse du dollar , aussi une activité qui s’est réduite au plan mondial. Du coup la FED va sans doute décider de reculer la date de remontée des taux, vraisemblablement fin 2015 voire en 2016.D’autant que l’inflation est largement sous contrôle.  Une bonne nouvelle pour le reste du monde car le relèvement des taux américains entraineraient mécanique la hausse ailleurs en particulier en Europe.   - La croissance économique s’est essoufflée aux Etats-Unis au quatrième trimestre 2014, la moindre reconstitution des stocks et le ralentissement des investissements des entreprises ayant constitué des freins à l’activité, seulement partiellement desserrés par la vigueur des dépenses des ménages. Le produit intérieur brut (PIB) a progressé de 2,2% en rythme annualisé, chiffre conforme à l’estimation donnée le mois dernier, a annoncé vendredi le département du Commerce. La croissance avait été de 5% au troisième trimestre. L’administration américaine a aussi fait état d’une baisse de 1,6% des bénéfices après impôt des entreprises, soit le recul le plus prononcé depuis le premier trimestre 2011, les profits des grandes entreprises étant grevés par le dollar fort. Les bénéfices réalisés à l’étranger ont ainsi diminué de 36,1 milliards de dollars alors qu’ils avaient progressé de 16,5 milliards au troisième trimestre. Sur l’ensemble de 2014, les bénéfices après impôt ont reculé de 8,3%, la plus forte baisse annuelle depuis 2008. Un ralentissement prolongé de la croissance conjugué à une faible inflation pourrait inciter la Réserve fédérale à retarder le relèvement de ses taux d’intérêt. Elle maintient ses taux directeurs à un niveau proche de zéro depuis décembre 2008. Les responsables de la Fed ont abaissé la semaine dernière leurs prévisions de croissance pour les trois années allant de 2015 à 2017. Le rythme modéré de la croissance semble s’être prolongé durant le premier trimestre 2015. L’activité au cours des deux premiers mois a notamment été ralentie par la vigueur du dollar, la morosité économique persistante en Europe et en Asie, la rigueur de l’hiver aux Etats-Unis et le conflit social, désormais réglé, dans les ports de la côte Ouest. Le dollar en particulier, qui a pris 7,8% entre juin et décembre face aux devises des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis, devrait continuer à poser des difficultés aux entreprises américaines. Les estimations pour la croissance du PIB au premier trimestre varient dans une fourchette de 0,9% à 1,4%. Au cours du quatrième trimestre 2014, les entreprises américaines ont accumulé l’équivalent de 80 milliards de dollars de stocks, soit un montant inférieur aux 88,4 milliards estimés par les autorités fédérales le mois dernier. En conséquence, les stocks ont contribué négativement pour 0,1 point à la croissance du PIB, alors qu’ils étaient censés apporter 0,1 point selon les précédentes estimations. La progression des dépenses d’équipement des entreprises a été moindre que prévu, de 0,6% au lieu de 0,9%. Ce résultat est probablement lié à la hausse du dollar et à l’effondrement des cours du pétrole, qui a fait chuter les activités d’exploration et de forage. La consommation des ménages, qui représente plus des deux tiers de l’activité économique aux Etats-Unis, a en revanche progressé de 4,4% au quatrième trimestre et non de 4,2% comme cela avait été estimé auparavant. Il s’agit de la hausse la plus rapide depuis le premier trimestre 2006. Hors alimentation et énergie, les prix n’ont pourtant augmenté que de 1,1%, soit le rythme le plus faible depuis le deuxième trimestre 2013. La consommation des ménages semble néanmoins avoir décéléré au premier trimestre 2015, le froid et la neige ayant dissuadé les Américains de se rendre dans les magasins. Malgré une demande mondiale en berne, la croissance des exportations a été revue à la hausse. En raison de la forte consommation des ménages, les importations ont elles aussi été plus fournies que prévu, ce qui a entraîné un déficit commercial pénalisant pour la croissance du PIB.

Sondage Sarkozy : pas honnête mais dynamique

Sondage Sarkozy : pas honnête mais dynamique

 

 

C’est le verdict des Français, un avis finalement assez équilibré, les Français ont été peu convaincus par l’honnêteté de Sarkozy mais ont reconnu son dynamisme. Finalement c’est toujours la même problématique qui se pose depuis des années faut-il  choisir un homme plutôt intègre  mais mollasson (type Hollande) ou un dynamique (type .Sarko ou DSK) pas trop honnête.  Pas de réponse vraiment claire des Français car seulement  un Français sur deux (52%) n’a pas été convaincu par les explications de Nicolas Sarkozy sur sa mise en examen lors de son interview télévisée, selon un sondage Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale publié jeudi. On objectera qu’au-delà des discours et des tempéraments les politiques n’ont finalemenet pas été très éloignées entre Sarko et Hollande (l’un n’a pas fait une politique de droite et l’autre pas une vraie politique de gauche). D’où sans doute le désarroi général vis-à-vis des partis classiques.  . Selon le même sondage, les Français paraissent partagés de façon générale après l’intervention de Nicolas Sarkozy, 49% ne le trouvant pas convaincant (17% plutôt pas convaincant et 32% pas du tout convaincant) et 47% convaincant (16% très convaincant et 31% plutôt convaincant). Concernant le supposé manque d’indépendance de la justice, dénoncé par l’ancien chef de l’Etat, 45% des sondés ont été « convaincus » par ses arguments, contre 51% qui ne l’ont pas été. En ce qui concerne les qualificatifs attribués par les sondés à Nicolas Sarkozy, 33% le considèrent « honnête » (+1 par rapport à octobre 2013), 73% « dynamique » (-2 par rapport à octobre 2013), 40% considèrent qu’il dirigerait bien la France s’il était à nouveau président de la République (-5 par rapport à la même période) et 52% (-2) compétent. L’enquête a été réalisée en ligne du 2 au 3 juillet auprès d’un échantillon de 1.007 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

 

Sondage popularité : Hollande, un président dynamique pour 16% !

Sondage popularité : Hollande, un président  dynamique pour 16% !

 

Un président mollasson, et sans cap, c’est le résultat d’un sondage Harris. Certes François Hollande est aujourd’hui le candidat socialiste préféré des sympathisants de gauche pour la présidentielle de 2017, mais l’ensemble des Français penchent très nettement pour Manuel Valls, selon un sondage Harris Interactive/Le Figaro Magazine/LCP. Les sympathisants de gauche désignent d’abord François Hollande (27 %) devant Manuel Valls et Martine Aubry, pratiquement sur un pied d’égalité (23 et 22 % respectivement), indique ce sondage. Arnaud Montebourg est cité en premier par 7 % seulement des personnes interrogées et Benoît Hamon par 4 %.  L’avance de François Hollande est plus nette chez les sympathisants PS, dont il est à 37 % le candidat préféré pour la prochaine présidentielle, devant Manuel Valls (24 %) et Martine Aubry (21 %). En revanche, Manuel Valls écrase ses concurrents potentiels auprès de l’ensemble de l’électorat. Il est le candidat préféré de 33 % des sondés, 9 % citant François Hollande et 8 % Martine Aubry. Résultat tout aussi éloquent : 54 % des personnes interrogées estiment que Manuel Valls serait élu face à un candidat de droite en 2017, alors qu’elles ne sont que 20 % à le penser si la candidate était Martine Aubry et 16 % seulement si c’était François Hollande.  Par ailleurs, le chef de l’État recueille des scores négatifs sur les 14 traits d’image proposés aux sondés. François Hollande s’en sort pour ce qui est d’être « sympathique », un qualificatif qui s’applique bien à lui pour 45 % des sondés, mais mal pour 51 %, ou pour ce qui est d’être « honnête » (43 % contre 52 %). À l’autre extrémité, ils ne sont que 16 % à le trouver « dynamique » (contre 79 %) et 19 % (contre 76 %) à juger qu’il est « capable de tenir ses engagements ». Concernant Manuel Valls, les avis sont également partagés sur le point de savoir s’il est « sympathique » (48 % contre 47 %), trait d’image le moins à son avantage. Il est « dynamique » pour 71 %, « courageux » (66 %), « compétent » et « sait où il va » (63 % chacun).

 

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol