Archive pour le Tag 'Dussopt'

Obsèques politiques –Olivier Dussopt chargé des restes du macronisme !

Obsèques politiques –Olivier Dussopt chargé des restes du macronisme !

En prévision sans doute de la fin probable du macronisme, le chef de l’État a choisi Olivier Dussopt pour gérer les restes de « Renaissance. » Un parti qui évidemment n’a jamais eu de consistance et va disparaître avec Macron. Le pire c’est que Macron confie la gestion du décès à un responsable qui n’a guère manifesté de grandes compétences encore moins de charisme et qui a navigué à peu près dans tous les courants du parti socialiste et de Macron.

Le  transfuge du Parti socialiste, qui a rallié le camp présidentiel en 2017, n’en conserve pas moins l’estime du chef de l’État. Ce bon soldat a mené les réformes de l’assurance-chômage, de Pôle emploi et surtout la douloureuse bataille des retraites l’an dernier. Emmanuel Macron a une nouvelle mission à lui confier, cette fois à Renaissance, où Olivier Dussopt prend du galon, comme l’avait révélé Politico. Déjà secrétaire général délégué aux fédérations, il devient officiellement secrétaire général exécutif, une nomination que le bureau exécutif du parti devait avaliser jeudi soir, en même temps que la désignation de Valérie Hayer comme tête de liste pour les élections européennes.

Notons que si Macon a choisi une cloche pour gérer ce qui restera du partie Renaissance c’est que sans doute le président n’a pas éliminé l’hypothèse de ce représenter un jour et de reprendre la tête de son parti. Il n’aurait sans doute pas confié son parti à une personnalité de poids.

Obsèques–Olivier Dussopt chargé des restes du macronisme !

Obsèques–Olivier Dussopt chargé des restes du macronisme !

En prévision sans doute de la fin probable du macronisme, le chef de l’État a choisi Olivier Dussopt pour gérer les restes de « Renaissance. » Un parti qui évidemment n’a jamais eu de consistance et va disparaître avec Macron. Le pire c’est que Macron confie la gestion du décès à un responsable qui n’a guère manifesté de grandes compétences encore moins de charisme et qui a navigué à peu près dans tous les courants du parti socialiste et de Macron.

Le  transfuge du Parti socialiste, qui a rallié le camp présidentiel en 2017, n’en conserve pas moins l’estime du chef de l’État. Ce bon soldat a mené les réformes de l’assurance-chômage, de Pôle emploi et surtout la douloureuse bataille des retraites l’an dernier. Emmanuel Macron a une nouvelle mission à lui confier, cette fois à Renaissance, où Olivier Dussopt prend du galon, comme l’avait révélé Politico. Déjà secrétaire général délégué aux fédérations, il devient officiellement secrétaire général exécutif, une nomination que le bureau exécutif du parti devait avaliser jeudi soir, en même temps que la désignation de Valérie Hayer comme tête de liste pour les élections européennes.

Notons que si Macon a choisi une cloche pour gérer ce qui restera du partie Renaissance c’est que sans doute le président n’a pas éliminé l’hypothèse de ce représenter un jour et de reprendre la tête de son parti. Il n’aurait sans doute pas confié son parti à une personnalité de poids.

Politique et favoritisme : appel de la relaxe d’Olivier Dussopt

Politique et favoritisme : appel de la relaxe d’Olivier Dussopt

Une semaine après sa relaxe par le tribunal correctionnel de Paris, le parquet national financier (PNF) a annoncé mercredi qu’il faisait appel de cette décision. L’ancien ministre était soupçonné de «favoritisme» dans l’attribution du marché public de l’eau en 2009, lorsqu’il était maire d’Annonay (Ardèche), au profit du groupe de fourniture et de traitement de l’eau Saur.

Réforme du RSA: ni…ni d’après Dussopt mais quoi alors ?

Réforme du RSA: ni…ni d’après Dussopt mais quoi alors ?

La réforme du RSA envisage de créer des contraintes aux bénéficiaires de cette allocation. Le problème est dans la difficulté de rendre cohérent et supportable cette contrainte. Du coup le ministre du travail Olivier Dussopt demeure particulièrement vague sur le contenu des dispositions futures du RSA. Il affirme simplement que ce ne sera ni du travail gratuit, ni du bénévolat obligatoire. Bref , le flou qui pourrait demeurer et qui existe d’ailleurs toujours depuis la création du RSA et avant lui du RMI. La question étant de savoir s’il s’agit d’une allocation à la pauvreté ou un moyen de faciliter l’insertion. Pour l’instant le RSA ne permet de résoudre aucun de ces objectifs.

Au printemps 2022, lors de la campagne présidentielle, Emmanuel Macron, alors candidat à sa réélection, avait formulé la volonté de transformer le RSA, en conditionnant son versement à la réalisation d’heures d’activité.

« Je propose un travail, une formation, une insertion parce que je ne considère pas que les bénéficiaires du RSA sont comme des prisonniers », avait-il fait valoir en mars 2022.

Une mesure à nouveau évoquée, un an plus tard, dans le rapport consacré à France Travail, organisme qui remplacera Pôle emploi et qui doit permettre une meilleure coordination de tous les acteurs de l’emploi et de l’insertion, ainsi que la création d’un guichet unique. « Quand on ne sait pas ce qu’on veut faire, ce n’est pas mal d’aller tester un stage dans une entreprise ou une autre. C’est de la formation, passer le permis de conduire, faire du bénévolat dans une association… Tout ce qui contribue à ce que la personne retrouve confiance en elle et retrouve un emploi », avait ainsi fait valoir, au micro de France Info, Thibaut Guilluy, haut-commissaire à l’emploi chargé de ce rapport, arguant que seules 40% des personnes allocataires du RSA sont inscrites à Pôle emploi.

Quid des allocataires ne respectant pas les conditions inscrites dans ce contrat d’engagements réciproques ? « Je vous confirme que dans le projet de loi, il y aura bien la possibilité de suspendre, sur une durée courte peut-être pour démarrer, en tout cas il y aura aussi un dispositif de sanctions, dès lors qu’on aura accompli, de notre côté, notre part de responsabilité, c’est-à-dire qu’on aura mis la personne bénéficiaire du RSA en situation de suivre le parcours qu’on lui a proposé », avait confirmé le 13 mai dernier Elisabeth Borne. Elle s’était toutefois montrée plus évasive sur l’échéance de la mise en place de ces sanctions. Cette possibilité interviendra dès lors qu’« on aura réglé les autres problèmes préalables », les « freins périphériques » au retour à l’emploi, avait-elle précisé.

Interrogée par La Tribune le 19 avril dernier, l’économiste et prix « Nobel » 2019, Esther Duflo expliquait, elle, qu’« aucune donnée ne montre que c’est une bonne idée » d’ajouter le plus de conditions possibles sur le RSA.

« Ces conditionnalités ne fonctionnent pas. Les études montrent plutôt que lorsque les gens sont suffisamment pauvres pour être éligibles à un dispositif, il faut faciliter l’accès à ce programme et les soutenir pour en sortir », indiquait-elle.

Politique-Retraites: Dussopt en danger

Politique-Retraites: Dussopt en danger

Le ministre du travail s’est fait très discret hier à l’assemblée nationale. Il a plutôt adopté un profil techno et ne voulait pas attirer l’attention sur lui après l’affaire qui le concerne. Une discrétion qu’il a d’ailleurs parfois amenée à s’endormir sur les bancs du Parlement ! Pour l’instant, le gouvernement soutient le ministre du travail accusé de favoritisme par la justice. En clair, Dussopt a conclu directement un très gros marché avec une entreprise et a obtenu en retour des avantages politiques. Sans parler de cadeaux dont le ministre dit avoir ignoré le prix et l’importance. Reste que les débats parlementaires vont être marqués par cette tache qui vient une fois de plus assombrir la crédibilité du gouvernement Macron trop souvent pris dans des affaires politiques ou judiciaires même si la plupart sont ensuite enterrées.

D’ici quelques semaines et peut-être même avant le gouvernement devra sans doute se résoudre à accepter la démission du ministre du travail pour tenter de sauver sa réforme dont l’avenir est déjà bien compromis compte tenu de l’opposition très majoritaire dans l’opinion.

Pour l’instant, le gouvernement fait le gros dos et se satisfait des explications du ministre du travail. Avec le temps, le dossier va certainement révéler ce qu’on peut appeler des faits de corruption.

En effet pour Mediapart, qui a révélé l’affaire, les explications d’Olivier Dussopt sont un peu courtes, dans la mesure où selon le titre, « les échanges entre Olivier Dussopt et la Saur, laissent peu de doutes sur l’existence d’un arrangement autour d’un marché public dans les années 2010.»

Cela rapelle à l’affaire Delevoye. Le haut commissaire chargé, en 2019 de la réforme des retraites, et notamment de la mise en place d’un système par points avait dû se retirer de la vie politique après avoir oublié de mentionner des mandats dans sa déclaration à l’autorité de la transparence. Cette démission avait éclaboussé la macronie. Et laissé trace.
Aujourd’hui, le contexte n’est pas tout à fait le même. Mais, il n’est pas plus facile politiquement, loin de là. Le gouvernement cherche tant bien que mal à faire passer sa réforme des retraites, qui marquera le passage d’un âge légal de 62 à 64 Ans.

Ces révélations ne manquent pas de fragiliser le ministre qui se trouve en toute première ligne pour porter cette réforme tant décriée. Surtout, lundi, celui-ci devra affronter l’Assemblée pour présenter et défendre son texte devant les députés. L’opposition, déjà, s’engouffre dans la brèche.

La crédibilité politique de n’été déjà pas très forte d’un dans la mesure où ce responsable a renié ses engagements précédents au parti socialiste où il avait notamment rejoint la ligne dure de Martine Aubry. Ce n’est qu’une fois élu sur étiquette socialiste qu’il a rejoint Macron. Cet peu de crédibilité politique vient d’être aussi terni par cette affaire politico-financière qui consiste en fait à s’affranchir de la procédure d’appel d’offres dans un très gros marché pour en obtenir des avantages politiques en retour de la part de l’entreprise bénéficiaire.

Non seulement le ministre du travail risque de sauter mais la réforme avec si le gouvernement s’enfonce dans ce soutien indéfendable de la position du ministre du travail.

La démission de Dussopt et la fin de la réforme de la retraite ?

La démission de Dussopt et la fin de la réforme de la retraite ?

Pour l’instant,le gouvernement soutient le ministre du travail accusé de favoritisme par la justice. En clair,Dussopt a conclu directement un très gros marché avec une entreprise et a obtenu en retour des avantages politiques. Sans parler de cadeaux dont le ministre dit avoir ignoré le prix et l’importance. Reste que les débats parlementaires vont être marqués par cette tache qui vient une fois de plus assombrir la crédibilité du gouvernement Macron trop souvent pris dans des affaires politiques ou judiciaires même si la plupart sont ensuite enterrés.

D’ici quelques semaines et peut-être même avant le gouvernement devra sans doute se résoudre à accepter la démission du ministre du travail pour tenter de sauver sa réforme dont l’avenir est déjà bien compromis compte tenu de l’opposition très majoritaire dans l’opinion.

Pour l’instant, le gouvernement fait le gros dos et se satisfait des explications du ministre du travail. Avec le temps, le dossier va certainement révéler ce qu’on peut appeler des faits de corruption.

En effet pour Mediapart, qui a révélé l’affaire, les explications d’Olivier Dussopt sont un peu courtes, dans la mesure où selon le titre, « les échanges entre Olivier Dussopt et la Saur, laissent peu de doutes sur l’existence d’un arrangement autour d’un marché public dans les années 2010.»

Cela rapelle à l’affaire Delevoye. Le haut commissaire chargé, en 2019 de la réforme des retraites, et notamment de la mise en place d’un système par points avait dû se retirer de la vie politique après avoir oublié de mentionner des mandats dans sa déclaration à l’autorité de la transparence. Cette démission avait éclaboussé la macronie. Et laissé trace.
Aujourd’hui, le contexte n’est pas tout à fait le même. Mais, il n’est pas plus facile politiquement, loin de là. Le gouvernement cherche tant bien que mal à faire passer sa réforme des retraites, qui marquera le passage d’un âge légal de 62 à 64 Ans.

Ces révélations ne manquent pas de fragiliser le ministre qui se trouve en toute première ligne pour porter cette réforme tant décriée. Surtout, lundi, celui-ci devra affronter l’Assemblée pour présenter et défendre son texte devant les députés. L’opposition, déjà, s’engouffre dans la brèche.

La crédibilité politique de n’été déjà pas très forte d’un dans la mesure où ce responsable a renié ses engagements précédents au parti socialiste où il avait notamment rejoint la ligne dure de Martine Aubry. Ce n’est qu’une fois élu sur étiquette socialiste qu’il a rejoint Macron. Cet peu de crédibilité politique vient d’être aussi terni par cette affaire politico-financière qui consiste en fait à s’affranchir de la procédure d’appel d’offres dans un très gros marché pour en obtenir des avantages politiques en retour de la part de l’entreprise bénéficiaire.

Non seulement le ministre du travail risque de sauter mais la réforme avec si le gouvernement s’enfonce dans ce soutien insoutenable, c’est-à-dire la position du ministre du travail.

Dussopt « envisage » des sanctions financières, pas pour lui … pour les entreprises

Dussopt « envisage » des sanctions financières, pas pour lui … pour les entreprises


Juste avant que ne soit dénoncé le scandale du favoritisme dont il est accusé par la justice , le ministre du travail a déclaré qu’il envisageait des sanctions financières pour les entreprises qui n’embaucheraient pas assez de séniors.

Première observation, le ministre du travail sort du chapeau la proposition d’un index qui n’a jamais été discuté entre partenaires et que le Medef refuse catégoriquement. En outre, on notera la subtilité du langage qui témoigne du peu de crédibilité de la déclaration : le ministre du travail « envisage ». En clair c’est une hypothèse encore très fumeuse.

Notons que cette déclaration du ministre du travail a été faite juste avant la révélation de favoritisme dont il est accusé par la justice et qui la mériterait aussi sans doute des sanctions financières et même au-delà. Pourtant les entreprises pourraient encourir des sanctions financières si elles ne progressent pas concrètement sur l’emploi des salariés plus âgés, a prévenu samedi le ministre du Travail, Olivier Dussopt, alors que le gouvernement prévoit déjà de leur imposer la publication d’un «index». «On peut avoir en tête que (…) quelques entreprises ne joueraient tellement pas le jeu qu’il faudrait être plus coercitif», a jugé Olivier Dussopt, qui porte l’actuel projet de réforme des retraites.

Les deux principales organisations patronales françaises ne l’entendent pas de cette oreille. «Quand une entreprise embauchera des apprentis, elle sera sanctionnée parce que son pourcentage de seniors baissera ? Est-ce une mauvaise pratique ?» s’est interrogé dans un tweet le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux, dont l’organisation est opposée à la mise en place d’un index obligatoire sur le pourcentage de seniors dans chaque entreprise.

«Oui, les entreprises doivent faire des efforts, mais l’index ne fonctionne pas !», affirme Geoffroy Roux de Bézieux. «Placer les PME sous surveillance en brandissant la menace de sanctions ne résoudrait en rien le problème» d’un taux d’emploi des seniors moins élevé en France que dans d’autres pays européens, estime de son côté la Confédération des PME (CPME) dans un communiqué.

Politique: Olivier Dussopt, favoritisme ou corruption ?

Politique: Olivier Dussopt, favoritisme ou corruption ?

Pour l’instant, le ministre du travail est soupçonné de favoritisme du fait qu’il a traité directement un gros marché sans passer par l’appel d’offres. Les faits ne sont pas qualifiés de corruption pour autant outre le fait que Dussopt ait reçu les cadeaux, il a aussi été aidé financièrement pour sa propagande politique. Une propagande qui lui a permis d’être élu, puis de devenir ministre. La justice en la circonstance fait preuve d’une nuance sémantique assez douteuse dans la qualification des faits!

Bien que l’affaire soit déjà ancienne (2017), elle tombe vraiment mal pour le ministre du travail ety le gouvernement confronté à une gestion pour le moins erratique de la réforme des retraites. La justice retient contre le ministre du travail une infraction de favoritisme pour avoir reçu deux œuvres d’art représentant plusieurs milliers d’euros de la part de la société qui s’apprêtait à signer un contrat pour la distribution d’eau avec la mairie dont il était le maire. Mais le ministre du travail considère qu’un cadeau ne saurait constituer un fait de corruption !

Notons que c’est aussi en 2017 que poussé sans doute par de nouvelles convictions, le ministre du travail fraîchement élu sur une liste du parti socialiste comme député a rejoint en 24 heures le camp de Macron. Curieux chez un responsable qui jusque-là avait slalomé entre les courants socialistes en se montrant particulièrement radical contre la régression sociale notamment aux côtés de Martine Aubry.

Sans doute l’illustration de ce qu’est une partie du monde politique. À savoir pour beaucoup: des professionnels qui entretiennent des relations assez ésotériques avec l’intérêt général au profit de leur déroulement de carrière.

Olivier Dussopt, ancien socialiste relativement radical se montre maintenant l’un des plus tranchant pour condamner tout ce qui s’oppose à la réforme des retraites.

C’est sans doute cette trahison du parti socialiste qui a surtout profité à Olivier Dussopt qui par ailleurs ne se caractérise pas par une grande compétence et un grand charisme mais plutôt par des propos assez confus et zézayants . Mais un portefeuille ministériel vaut bien une conversion politique, d’ailleurs toujours provisoire !

Le parquet national financier (PNF) a donc retenu l’infraction de «favoritisme» pour un futur procès à l’encontre d’Olivier Dussopt qui portera sur un marché public conclu à la fin des années 2000 avec un groupe de traitement de l’eau, un coup dur pour le ministre en première ligne sur la réforme des retraites.
Peu après la publication d’un article vendredi soir de Mediapart sur le sujet, le ministre du Travail a indiqué à l’AFP que le PNF avait retenu l’infraction de «favoritisme» dans une enquête qui concernait initialement deux œuvres d’art reçues en cadeau en 2017.

D’après Mediapart, la perquisition réalisée chez le ministre par les enquêteurs financiers de l’Oclciff (Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales) a mis à jour «des échanges entre Olivier Dussopt et (la Saur) semblant laisser peu de doute sur l’existence d’un arrangement autour d’un marché public daté de 2009-2010», au moment où il était député et maire d’Annonay (Ardèche). Interrogé, le PNF s’est refusé à tout commentaire.

Le PNF avait récemment transmis des éléments de son enquête aux avocats du ministre, une phase dite de «contradictoire», pour qu’ils répondent sur les charges que le ministère public envisageait de retenir. À l’issue de cette phase, le PNF a adressé une «note de synthèse» le 23 janvier aux avocats d’Olivier Dussopt, d’après celui-ci. Il ne reste plus au PNF qu’à formaliser la tenue d’un procès avec l’envoi de citations à comparaître. Selon Mediapart, la Saur pourrait comparaître pour recel de favoritisme.

Mais il y a fort à parier que dans sa grande sagesse, la justice aura à coeur d’ enterrer ce dossier comme bien d’autres; par exemple les conditions de financement de la campagne de Macron.

Politique: Pour Olivier Dussopt, un cadeau, ce n’est pas de la corruption

Politique: Pour Olivier Dussopt, un cadeau, ce n’est pas de la corruption

Bien que l’affaire soit déjà ancienne (2017), elle tombe vraiment mal pour le ministre du travail confronté à une gestion pour le moins erratique de la réforme des retraites. La justice retient contre le ministre du travail une infraction de favoritisme pour avoir reçu deux œuvres d’art représentant plusieurs milliers d’euros de la part de la société qui s’apprêtait à signer un contrat pour la distribution d’eau avec la mairie dont il était le maire. Mais le ministre du travail considère qu’un cadeau ne saurait constituer un fait de corruption !

Notons que c’est aussi en 2017 que poussé sans doute par de nouvelles convictions, le ministre du travail fraîchement élu sur une liste du parti socialiste comme député a rejoint en 24 heures le camp de Macron. Curieux chez un responsable qui jusque-là avait slalomé entre les courants socialistes en se montrant particulièrement radical contre la régression sociale notamment aux côtés de Martine Aubry.

Sans doute l’illustration de ce qu’est une partie du monde politique. À savoir pour beaucoup: des professionnels qui entretiennent des relations assez ésotériques avec l’intérêt général au profit de leur déroulement de carrière.

Olivier Dussopt, ancien socialiste relativement radical se montre maintenant l’un des plus tranchant pour condamner tout ce qui s’oppose à la réforme des retraites.

C’est sans doute cette trahison du parti socialiste qui a surtout profité à Olivier Dussopt qui par ailleurs ne se caractérise pas par une grande compétence et un grand charisme mais plutôt par des propos assez confus et zézayants . Mais un portefeuille ministériel vaut bien une conversion politique, d’ailleurs toujours provisoire !

Le parquet national financier (PNF) a donc retenu l’infraction de «favoritisme» pour un futur procès à l’encontre d’Olivier Dussopt qui portera sur un marché public conclu à la fin des années 2000 avec un groupe de traitement de l’eau, un coup dur pour le ministre en première ligne sur la réforme des retraites.
Peu après la publication d’un article vendredi soir de Mediapart sur le sujet, le ministre du Travail a indiqué à l’AFP que le PNF avait retenu l’infraction de «favoritisme» dans une enquête qui concernait initialement deux œuvres d’art reçues en cadeau en 2017.

D’après Mediapart, la perquisition réalisée chez le ministre par les enquêteurs financiers de l’Oclciff (Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales) a mis à jour «des échanges entre Olivier Dussopt et (la Saur) semblant laisser peu de doute sur l’existence d’un arrangement autour d’un marché public daté de 2009-2010», au moment où il était député et maire d’Annonay (Ardèche). Interrogé, le PNF s’est refusé à tout commentaire.

Le PNF avait récemment transmis des éléments de son enquête aux avocats du ministre, une phase dite de «contradictoire», pour qu’ils répondent sur les charges que le ministère public envisageait de retenir. À l’issue de cette phase, le PNF a adressé une «note de synthèse» le 23 janvier aux avocats d’Olivier Dussopt, d’après celui-ci. Il ne reste plus au PNF qu’à formaliser la tenue d’un procès avec l’envoi de citations à comparaître. Selon Mediapart, la Saur pourrait comparaître pour recel de favoritisme.

Mais il y a fort à parier que dans sa grande sagesse, la justice aura à coeur d’ enterrer ce dossier comme bien d’autres; par exemple les conditions de financement de la campagne de Macron.

Politique- Dussopt, ministre du travail, défend le contraire de ses anciens engagements

Politique- Dussopt, ministre du travail, défend le contraire de ses anciens engagements

Le renégat socialiste n’a pas d’état d’âme. C’est un professionnel de la politique. Actuellement ministre du travail de macron, il défend la réforme qu’il combattait avant.

Il a slalomé dans tous les courants du PS. IL a été signataire de la motion C de Benoît Hamon, aux côtés de Jean-Luc Mélenchon et Marie-Noëlle Lienemann, puis proche auprès de Marylise Lebranchu, secrétaire nationale aux territoires. Il a tété vice-président aux questions d’organisation et de réforme territoriale auprès de Francois Rebsamen en avril 2016. Le 12 juillet 2011, il devient porte-parole de Martine Aubry, candidate à l’élection présidentielle française de 2012. Après les primaires, il rejoint le conseil des élus de la campagne de François Hollande.

Il est réélu député de l’Ardèche le 17 juin 2012 en obtenant 53,35 % des voix2. Il est aussi désigné vice-président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, où il travaille plus particulièrement sur les questions relatives aux collectivités territoriales.

Le 18 juillet 2012, il est nommé secrétaire national du PS auprès de la 1re secrétaire, Martine Aubry, chargé de la présidence du forum des territoires, en remplacement de Marylise Lebranchu, jusqu’au congrès de Toulouse.

Il est alors très proche de Martine Aubry.

Il est près d’entrer au gouvernement à deux reprises sous la présidence de François Hollande, proche de Manuel Valls, mais se voit recalé au dernier moment. .

En 2016, il soutient Manuel Valls et devient l’un de ses huit porte-parole de campagne pour la primaire citoyenne de 20179.

017, candidat socialiste, il est réélu député de la deuxième circonscription de l’Ardèche avec 56,30 % des suffrages exprimés face à la candidate de La République en marche !Aussitôt, il rejoint Macron .

Dussopt, ministre du travail, défend le contraire de ses anciens engagements

Dussopt, ministre du travail, défend le contraire de ses anciens engagements

Le renégat socialiste n’a pas d’état d’âme. C’est un professionnel de la politique. Actuellement ministre du travail de macron, il défend la réforme qu’il combattait avant.

Il a slalomé dans tous les courants du PS. IL a été signataire de la motion C de Benoît Hamon, aux côtés de Jean-Luc Mélenchon et Marie-Noëlle Lienemann, puis proche auprès de Marylise Lebranchu, secrétaire nationale aux territoires. Il a tété vice-président aux questions d’organisation et de réforme territoriale auprès de Francois Rebsamen en avril 2016. Le 12 juillet 2011, il devient porte-parole de Martine Aubry, candidate à l’élection présidentielle française de 2012. Après les primaires, il rejoint le conseil des élus de la campagne de François Hollande.

Il est réélu député de l’Ardèche le 17 juin 2012 en obtenant 53,35 % des voix2. Il est aussi désigné vice-président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, où il travaille plus particulièrement sur les questions relatives aux collectivités territoriales.

Le 18 juillet 2012, il est nommé secrétaire national du PS auprès de la 1re secrétaire, Martine Aubry, chargé de la présidence du forum des territoires, en remplacement de Marylise Lebranchu, jusqu’au congrès de Toulouse.

Il est alors très proche de Martine Aubry.

Il est près d’entrer au gouvernement à deux reprises sous la présidence de François Hollande, proche de Manuel Valls, mais se voit recalé au dernier moment. .

En 2016, il soutient Manuel Valls et devient l’un de ses huit porte-parole de campagne pour la primaire citoyenne de 20179.

017, candidat socialiste, il est réélu député de la deuxième circonscription de l’Ardèche avec 56,30 % des suffrages exprimés face à la candidate de La République en marche !Aussitôt, il rejoint Macron .

Indemnisation chômage:Encore un coup en douce de Dussopt

Indemnisation chômage:Encore un coup en douce de Dussopt


Les indemnisations pourront être réduites de 25 à 40 % dans le nouveau projet diffusé en douce et dans le dos des syndicats par le ministre du travail, Dussopt.

Un ministre qui a l’habitude des coups tordus. On se rappelle que sitôt élu sur étiquettes PS, il avait rejoint dans les 24 heures le camp de Macron. Au parti socialiste il avait Salomé entre les différents courants et s’était même affiché avec les plus durs comme Martine Aubry. Avec Macron, il rajoute des tonnes dans l’antisocial. Pour preuve, on le rend largement responsable de la caricature de concertation sur la réforme des retraites.

Cette fois, il profite de la trêve de Noël pour faire un cadeau empoisonné aux syndicats qui vont trouver là un motif supplémentaire de déclencher un vaste mouvement social alimenté par la réforme des retraites, le pouvoir d’achat est maintenant cette nouvelle réforme ASSEDIC.

Le gouvernement a donc profité de la trêve de Noël pour faire un cadeau empoisonné au syndicat concernant la modification de l’indemnisation chômage.Le projet de texte concernant les nouvelles conditions d’indemnisation du chômage- distribué très discrètement pendant la trêve des fêtes- va constituer une sorte de bombe sociale qui va s’ajouter à celle des retraites et du pouvoirs d’achat si après les fêtes. Certes le régime ASSEDIC a besoin d’équilibrage mais rien n’indique qu’une mesure de portée générale sera de nature à inciter des chômeurs à reprendre le travail. Tout dépend notamment de la croissance et du marché du travail concerné, aussi de la zone géographique , de la formation et l’état de santé des intéressés.

Comme toute mesure générale de nature bureaucratique, le projet risque d’être à la fois inefficace et injuste. Seule l’analyse personnalisée de la situation d’un chômeur peut permettre d’adapter les conditions d’application du système d’indemnisation. Or ce ne sont pas les fonctionnaires de pôle emploi -totalement ignorants des réalités du marché du travail_ qui sont en capacité d’effectuer cette évaluation nécessaire et complexe.

Le projet de texte, qui a été transmis ce vendredi aux partenaires sociaux, confirme que la durée d’indemnisation – actuellement d’un jour indemnisé pour un jour travaillé – baissera de 25 % avec un plancher à 6 mois et un plafond à 24 mois dans quelque 5 semaines, les paramètres actuels étant restaurés si le taux de chômage, aujourd’hui de 7,3 %, revient au-dessus de 9 %.

Mais il va plus loin puisqu’il annonce qu’une marche supplémentaire pourrait être descendue si la conjoncture continue de s’améliorer. Si le taux de chômage descend à 6 %, la durée d’indemnisation baissera de 40 % par rapport à la situation actuelle, soit un taux de conversion du nombre de jours cotisés en nombre de jours indemnisés de 0,6 et non plus de 0,75, comme ce qui est prévu au 1er février.

Indemnisation chômage: Encore une provocation de Dussopt

Indemnisation chômage:Encore une provocation de Dussopt



Les indemnisations pourront être réduites de 25 à 40 % dans le nouveau projet diffusé en douce et dans le dos des syndicats par le ministre du travail, Dussopt.

Un ministre qui a l’habitude des coups tordus. On se rappelle que sitôt élu sur étiquettes PS, il avait rejoint dans les 24 heures le camp de Macron. Au parti socialiste il avait Salomé entre les différents courants et s’était même affiché avec les plus durs comme Martine Aubry. Avec Macron, il rajoute des tonnes dans l’antisocial. Pour preuve, on le rend largement responsable de la caricature de concertation sur la réforme des retraites.

Cette fois, il profite de la trêve de Noël pour faire un cadeau empoisonné aux syndicats qui vont trouver là un motif supplémentaire de déclencher un vaste mouvement social alimenté par la réforme des retraites, le pouvoir d’achat est maintenant cette nouvelle réforme ASSEDIC.

Le gouvernement a donc profité de la trêve de Noël pour faire un cadeau empoisonné au syndicat concernant la modification de l’indemnisation chômage.Le projet de texte concernant les nouvelles conditions d’indemnisation du chômage- distribué très discrètement pendant la trêve des fêtes- va constituer une sorte de bombe sociale qui va s’ajouter à celle des retraites et du pouvoirs d’achat si après les fêtes. Certes le régime ASSEDIC a besoin d’équilibrage mais rien n’indique qu’une mesure de portée générale sera de nature à inciter des chômeurs à reprendre le travail. Tout dépend notamment de la croissance et du marché du travail concerné, aussi de la zone géographique , de la formation et l’état de santé des intéressés.

Comme toute mesure générale de nature bureaucratique, le projet risque d’être à la fois inefficace et injuste. Seule l’analyse personnalisée de la situation d’un chômeur peut permettre d’adapter les conditions d’application du système d’indemnisation. Or ce ne sont pas les fonctionnaires de pôle emploi -totalement ignorants des réalités du marché du travail_ qui sont en capacité d’effectuer cette évaluation nécessaire et complexe.

Le projet de texte, qui a été transmis ce vendredi aux partenaires sociaux, confirme que la durée d’indemnisation – actuellement d’un jour indemnisé pour un jour travaillé – baissera de 25 % avec un plancher à 6 mois et un plafond à 24 mois dans quelque 5 semaines, les paramètres actuels étant restaurés si le taux de chômage, aujourd’hui de 7,3 %, revient au-dessus de 9 %.

Mais il va plus loin puisqu’il annonce qu’une marche supplémentaire pourrait être descendue si la conjoncture continue de s’améliorer. Si le taux de chômage descend à 6 %, la durée d’indemnisation baissera de 40 % par rapport à la situation actuelle, soit un taux de conversion du nombre de jours cotisés en nombre de jours indemnisés de 0,6 et non plus de 0,75, comme ce qui est prévu au 1er février.

Olivier Dussopt, dit la girouette, veut abandonner la social-démocratie !

 

 

Olivier Dussopt, dit la girouette pour être passé en 24 heures de député socialiste à député  macroniste en 2017  propose évidemment  d’abandonner le socialisme et maintenant aussi la social-démocratie. Tout cela pour adhérer au vague « progressisme » de Macron et sans doute un jour pour rejoindre encore plus clairement la droite. Bref, la descente aux enfers pour cette opportuniste représentatif d’anciens responsables du parti socialiste dont le vrai projet politique est le carriérisme. Une tribune en outre d’une grande pauvreté intellectuelle et idéologique. Une tribune qui confond réflexion idéologique et propagande. 

 

TRIBUNE – Dans une tribune au JDD, Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, président de Territoires et progrès, appelle à « tourner la page » de la social-démocratie pour aller vers le « progressisme ». 

 tribune :

« La recomposition politique de notre pays n’est pas achevée. Après l’onde de choc salutaire provoquée par l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, la tectonique des plaques continue de jouer. Mais cette recomposition ne servirait à rien si, au final, elle n’apportait pas une clarification nette. Elle est indispensable à un retour d’intérêt de nos concitoyens pour la vie démocratique. Ils s’en sont massivement éloignés, car trop souvent elle ne leur dit plus rien.

Le camp de ce que l’on nomme rapidement la gauche sociale-démocrate a en matière de clarification un immense travail à mener ; il a toujours été repoussé car c’est tellement plus confortable de vivre sur la rente des vieilles indignations, tellement plus simple – nous venons d’en avoir une illustration éclatante avec l’arrimage à la Nupes – de bâtir des alliances simplement défensives, pour préserver un pré carré, plutôt que d’agir et inventer un avenir meilleur.

L’entêtement à faire du neuf avec de l’ancien est devenu aujourd’hui peine perdue

Pour faire illusion, on n’a cessé d’appeler à « refonder », toujours en bougeant mollement les pièces de la structure, mais sans s’interroger jamais sur les fondations. L’entêtement à faire du neuf avec de l’ancien est devenu aujourd’hui peine perdue. On ne rebâtira pas la social-démocratie ! Pour la simple et bonne raison que les glissements paresseux vers l’extrême gauche, dans un mouvement contre-historique, ont enlevé son sens au mot : il n’a plus de signification et n’indique plus de direction. Il ne fédère plus, et n’est plus porteur d’espoir. La lucidité oblige également à constater qu’il est devenu has been pour les plus jeunes générations.

Alors, fini de se réfugier derrière un conservatisme culturel, un manque d’imagination et de création ! Nous devons proposer autre chose. Clarifier. Je suis de celles et ceux qui pensent qu’il faut tourner une page et se revendiquer pleinement du progressisme. Il y a urgence à parler de progrès pour parler au cœur, car parler de progrès, c’est la manière de parler de demain.

Et avançons dans la clarification. Ce progressisme est par essence pro­européen. Il croit dans l’éducation et la formation tout au long de la vie pour donner sa chance à chacun. Il a confiance en la science. Il a entériné, sans aucun retour possible, les évolutions sociétales, et ne cesse d’en revendiquer de nouvelles. Il croit à l’économie de marché, à la défense et à la promotion du travail. Tout autant qu’il croit à la solidarité, à l’initiative individuelle, au secteur privé et à la puissance publique. Surtout, il est enthousiaste et déterminé face aux immenses transformations technologiques, industrielles, en matière d’infrastructures et d’aménagement de notre territoire que nous allons devoir accomplir en un temps record pour la planète. Il sait aussi, depuis Auguste Comte, que le progrès ne peut se faire sans ordre. En France, cet ordre s’appelle l’ordre républicain.

Le progrès est social, sociétal et scientifique, industriel et humain, éducatif et environnemental. Il met toute la société en mouvement, jamais à marche forcée, mais dans le dialogue, la concertation, l’écoute ; une méthode qui, sous la conduite du président de la République, accompagnera l’évolution de notre système de retraite par répartition. Une évolution qui doit permettre des progrès nouveaux tels que la hausse des petites retraites à 1 100 euros, aussi importante pour la justice sociale que le fut l’instauration du smic. Cette méthode s’appliquera aussi pour la poursuite de l’ambitieuse réforme de la formation professionnelle, engagée depuis 2018, afin de donner à toutes et tous les meilleures opportunités d’accès au marché du travail. C’est aussi cela qui mènera au plein emploi.

Budget: Le déficit public « réduit » à 3%….en 2027 ( Olivier Dussopt)

Budget: Le déficit public « réduit »  à 3%….en 2027 ( Olivier Dussopt)

 

D’après le gouvernement le déficit public serait ramené à 3 % en 2027. Une échéance suffisamment lointaine pour qu’on ait le temps sans doute de le modifier à plusieurs reprises ! Pour 2021 , ce déficit serait ramené autour de 7 % au lieu des 8,2 % prévus. En cause : une croissance plus soutenue que ce qui était attendu, et le redressement des comptes de la sécurité sociale. Pour 2022, on compte sur un déséquilibre de 5 %. 

La croissance, elle, devrait atteindre 6,7% en 2021 si l’on en croit la dernière prévision de l’Insee. C’est plus que ce qu’avait prévu le gouvernement en septembre dernier, puisqu’il tablait alors sur 6,25%, a rappelé Olivier Dussopt. Quant au déficit de la sécurité sociale, de 40  milliards d’euros en 2020, il « redescendrait en 2021 à environ 25  milliards », a-t-il détaillé.

Enfin, le déficit de l’Etat s’élèverait pour sa part à 171 milliards d’euros, soit « près de 34,5 milliards de moins par rapport à nos dernières prévisions », s’est encore félicité le ministre.

« Tous ces mouvements confortent nos prévisions de déficit à 5% en 2022, puis à 3% en 2027 », a-t-il ajouté. Tout en précisant que la remontée des taux d’intérêt ne remet pas en question l’objectif de 5% de déficit pour cette année.

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