Archive pour le Tag 'dur !'

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Wauquiez un crane d’œuf dur

Wauquiez un crane d’œuf dur

 

L’archétype de l’élite que produit souvent la France. L’intéressé a fini premier au concours de l’ENA, en tête des autres formations supérieures suivies. Un cursus particulièrement brillant mais qui ne se caractérise pas par une grande intelligence, une grande déontologie et un grand sens de la nuance et même de  l’humour. En fait des sortes des individus dotées d’une grande mémoire apte à réciter le Bottin mais à la structure mentale relativement primaire. Primaire,  comme les propos tenus devant les étudiants de l’école de commerce de Lyon. Des propos de bistrot très simplificateur et qui montre l’absence de structure idéologique et déontologique de l’intéressé. Bref effectivement Wauquiez fait du Trump mais en moins bien. Trump  a au moins le mérite, si l’on peut dire, d’assumer la totalité de ses propos tandis que Wauquiez pour sa défense met  en cause que la forme à savoir l’illégalité de l’enregistrement de sa discussion avec les étudiants.une illégalité qui reste à prouver car il n’y a rien de privé dans l’objet des attaques de Wauquiez. Des attaques très populistes, limite fachos, qui tranchent avec les propos qu’il tenait quand son mentor Jacques barrot lui a mis le pied à l’étrier de la politique. À l’époque il reprenait sans état d’âme le discours très centriste, libéral et européen de Jacques Barrot. Aujourd’hui il rejoint le camp des souverainistes et sur le plan sociétal des ultras droitiers. Cela avec un discours, comme Marine Le Pen truffé de mensonges, de simplification et d’accusations délirantes.  On peut s’interroger sérieusement sur le fait que les écoles les plus prestigieuses de France abritent de tels crânes d’œufs sans doute davantage pour leur qualité de mémoire que sur la qualité intellectuelle. Pour preuve, il est bien difficile dans les discours officiels de Wauquiez de déceler la moindre parcelle d’ouverture d’esprit aux problématiques complexes des champs économiques, technologiques, environnementaux, sociaux ou sociétaux. Pour preuve le programme politique de Wauquiez complètement indigent consacré  pour l’essentiel à l’invective non seulement contre ses adversaires politiques mais aussi contre les membres de son propre parti. Sur le plan de la personnalité Wauquiez confirme son profil psychorigide, obtus et même haineux. Pas vraiment le profil d’un homme d’État.

 

Brexit: Londres pour un brexit dur et le dumping fiscal

Brexit: Londres pour un brexit dur et le dumping fiscal

La stratégie de Londres concernant les négociations d’après brexit commence à se préciser avec une sorte de chantage. Ou bien l’union économique accepte un accès relativement souple de la Grande-Bretagne au marché européen ou bien la Grande-Bretagne mettra en place une politique de dumping fiscal pour attirer les entreprises et améliorer sa compétitivité. Bref la Grande-Bretagne réaffirme sa position : oui à l’union économique, non à l’intégration politique.  Londres met donc la pression sur l’Union européenne, deux jours avant un discours clé de Theresa May dans lequel elle doit présenter ses plans pour le Brexit. « Nous devrions être capables de trouver un accord pour permettre, sur une base de réciprocité, l’accès à nos marchés respectifs sans l’intégration politique que l’adhésion à l’UE a impliquée », a déclaré le ministre britannique de l’Economie Philip Hammond dans une interview au journal allemand Walt am Sonntag.  Répétant que « le message du référendum est que nous devons contrôler notre politique d’immigration », sous-entendant qu’il s’agissait d’une « ligne rouge » pour Londres. « La question porte sur la liberté de voyager pour venir travailler, la liberté de s’installer et la liberté de créer une entreprise », a-t-il ajouté. La Grande-Bretagne « compte trois millions de migrants européens qui travaillent » dans le pays et « nous avons le plein emploi, donc clairement nous avons besoin que des gens viennent et travaillent dans notre économie pour qu’elle continue à fonctionner. Mais nous devons avoir le contrôle global », a-t-il fait valoir. Interrogé sur la possibilité que le Royaume-Uni devienne le paradis fiscal de l’Europe, Philip Hammond a effectivement prévenu que si son pays « n’a aucun accès au marché européen », il pourrait « changer de modèle économique » pour « regagner de la compétitivité ». Il a ainsi laissé entendre la possibilité de baisser les impôts et les charges pour les entreprises basées au Royaume-Uni afin qu’elles restent compétitives malgré les droits de douanes européens. Le gouvernement a d’ailleurs déjà annoncé vouloir réduire d’ici 2020 l’impôt sur les sociétés à 17%, contre 20% actuellement, ce qui en fera le plus faible de tous les pays du G20. Selon la presse britannique,  Mme May annoncera un « Brexit dur et dans les règles ». The Sun titre sur « La triple onde de choc de May sur le Brexit », indiquant que la Première ministre va « montrer qu’elle est sérieuse en annonçant une sortie en trois coups de l’UE ». Le Sunday Telegraph cite une source gouvernementale qui affirme que « les gens sauront que quand elle a dit « Le Brexit signifie le Brexit », elle le pensait vraiment ». Mme May n’a a déjà laissé clairement entendre qu’elle donnerait la priorité au contrôle de l’immigration européenne – un des thèmes majeurs lors du débat sur le référendum – sur l’accès au marché commun européen, alors que ses partenaires européens lui ont clairement signifié qu’elle ne pourrait pas avoir l’un et l’autre.

La politique : « Un milieu dur, violent, (Fleur Pellerin) ….simplement le milieu !

La politique : « Un milieu dur, violent, (Fleur Pellerin) ….simplement le milieu !

Après avoir été vidée par Hollande sans ménagement de son poste de ministre de la culture, Fleur Pellerin s’étonne avec une  certaine naïveté du caractère violent de la politique. Un milieu en plus totalement irrationnel déclare-t-elle. D’une certaine manière la jeune énarque promu un peu vite aux plus hautes responsabilités découvre la lune. La politique est tout simplement un milieu où s’enchevêtrent ambitions personnelles, mensonges d’État, règlement de comptes et relations coupables avec certains intérêts financiers certaines grandes affaires  témoignent des réalités de ce monde politique. Mais plus grave sont les méthodes et comportements d’une caste organisée en partie coupée depuis longtemps des réalités économiques, sociales et même sociétales et dont l’unique projet est l’accession au pouvoir par tous les moyens. Parmi ces moyens la politique de l’apparence ( la com.’ comme  ils disent) pour masquer  l’immensité de  l’incompétence et du manque  de courage.  Dans le JDD, Fleur Pellerin se confie et revient sur son aventure au ministère de la Culture : « J’ai quitté la Rue de Valois sans amertume, sans esprit de revanche et sans agenda caché. […] Pour moi, le ministère de la Culture est un ministère de combat, pas de l’apparence. Je voulais poser les jalons d’une démocratisation culturelle, alors qu’on attendait de moi que je réinvente une fête de la musique qui ne coûte rien et je mette tout le milieu culturel dans notre poche », assène Fleur Pellerin. La gaffe Modiano?  »Un non-sujet », dit-elle. Certes, elle n’a pas lu le Prix Nobel mais elle est incollable sur les auteurs antiques, elle a lu tout Robert Musil en allemand, elle joue du piano classique et s’adonne à la peinture.  La séquence ministérielle l’a laissée KO. « J’étais vidée. Mais quatre ans d’exercice du pouvoir m’ont blindée. C’est un milieu dur, violent, machiste et irrationnel », pose-t-elle.

 

Entrepreneur, c’est plus dur que salarié, une évidence !

Entrepreneur,  c’est plus dur que salarié, une évidence !

 

Une évidence mais pourtant un tabou en France. Il est pourtant clair qu’un entrepreneur- surtout dans les petites boîtes-  d’une part travaille beaucoup plus qu’un salarié d’autre part les risques financiers ne sont pas comparables puisqu’un entrepreneur risque de tout perdre financièrement. Sans parler de l’impossibilité souvent pour les créateurs de petites entreprises de se verser un salaire décent pendant les premières années. Tandis qu’on s’est résolu en France à adopter la philosophie des 35 heures, nombre de patrons doive effectuer 70 heures par semaine. Évidence toutefois contestée par les syndicats et les frondeurs. En tête de la fronde médiatique, Christian Paul, représentant de la gauche du PS, fonctionnaire, énarque qui n’entretient comme la plupart de ses collègues qu’un rapport très approximatif avec l’économie. Emmanuel Macron a donc soulevé l’indignation des syndicats qui ont dégoupillé après avoir entendu une déclaration du ministre de l’économie affirmant mercredi 20 janvier sur l’antenne de BFM TV que « la vie d’un entrepreneur est souvent bien plus dure que celle d’un salarié ». Depuis, plusieurs personnalités de son camp, comme le frondeur Christian Paul, s’écharpent sur la phrase assumée du pensionnaire de Bercy qui comporte une part de vraie, même si d’autres indicateurs tendent également à prouver le contraire.  Un patron peut en effet tout perdre, c’est vrai, s’il ne s’est pas protégé. En cas de faillite, les entrepreneurs individuels peuvent se voir saisir leur résidence principale ou leur voiture familiale et leur conjoint doit très souvent se porter caution. Ensuite, Emmanuel Macron dit qu’un entrepreneur a moins de garanties qu’un salarié. Là aussi, c’est vrai. Même s’il cotise pour le chômage et qu’il travaille en moyenne 10 heures de plus qu’un employé, Pôle Emploi ne lui versera généralement rien. S’il ne peut pas se dégager un revenu, un patron ne validera pas ses trimestres de retraite et ne prendra pas de vacances. En revanche, s’il tombe malade, même avec un arrêt la sécurité sociale de l’indemnisera pas.


Grèce : Merkel dans le dur !

Grèce : Merkel dans le dur !

 

 

Merkel commence à éprouver de sérieuses difficultés pour faire adopter dans son pays la position qu’elle  a prise sur la Grèce et qui ne manque pas de contradictions. En fait Merkel a alterné entre les positions très dures  de son ministre des finances et la position de compromis de l’Europe soutenue notamment par la France. La dureté du discours de Merkel été surtout destinée à satisfaire les faucons orthodoxes de son pays. Mais d’une certaine manière elle se retrouve un peu piégée d’une part avec le compromis européen d’autre part aussi avec les positions du FMI. Alors qu’elle avait toujours soutenu qu’elle s’opposait à toute diminution de la dette grecque, Merkel convient aujourd’hui qu’on peut envisager un étalement dans le temps, ce qui revient au même. En outre Merkel sollicite fortement le FMI pour obtenir une aide de sa part mais le FMI lui souhaite au préalable que l’union européenne accepte une diminution de la dette. Du coup Merkel éprouve un peu de mal à faire avaler ses contradictions au Parlement allemand. Merkel Angela Merkel a tenté dimanche de rassurer les députés sceptiques de sa majorité sur la participation du Fonds monétaire international (FMI) au nouveau plan d’aide à la Grèce, à trois jours d’un votre clé au Bundestag.  S’exprimant en public sur le dossier pour la première fois depuis la trêve estivale, la chancelière allemande a déclaré à la ZDF être certaine que Christine Lagarde, la directrice générale du FMI, assurerait la participation de celui-ci au nouveau plan si les conditions sont remplies, à la fois concernant les réformes en Grèce et l’allégement du poids de la dette d’Athènes. « Mme Lagarde, la directrice du FMI, a dit très clairement que si ces conditions étaient réunies, alors elle recommanderait au conseil d’administration du FMI que le FMI participe au programme à partir d’octobre », a-t-elle expliqué.   »Je ne doute pas que ce que Mme Lagarde a dit deviendra réalité », a-t-elle ajouté.  L’incertitude sur la participation active du FMI au troisième plan d’aide à la Grèce complique la tâche d’Angela Merkel avant le vote des députés car des élus de la CDU, son parti, et de la CSU, le parti frère bavarois, font de l’implication du Fonds une condition de leur vote favorable.

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