Rugby : Antoine Dupont , meilleur joueur du monde
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Rugby Toulouse-Pau : encore un geste décisif de Dupont
Encore un geste Exceptionnel et décisif de Superdupont qui a fait alors mine de s’engouffrer dans la défense avant d’adresser une sublime passe chistera dans le dos à son talonneur, Guillaume Cramont, qui aplatit sur la ligne. Un essai transformé par Kinghorn pour faire le break, 7 à 20.
Toulouse rugby 15: Le retour de Dupont !
Une victoire face à Clermont (48 à 13) après une série de deux défaites de rang, grâce notamment retour d’Antoine Dupont. Tiens, Un sportif dont peut-être Mbappé , le footeux, pourrait s’inspirer pour le professionnalisme et la modestie !
Toulouse s’est donc repris à la maison après ses deux dernières défaites face à une équipe de Clermont qui ne pouvait que constater le génie de son demi de mêlée.
Rugby : Antoine Dupont, encore récompensé, veut encore gagner des challenges
Antoine Dupont : «Je n’ai que 27 ans et il me reste encore des choses à gagner» ( dans le Figaro)
Pour la 3e fois en quatre ans, vos pairs vous ont désigné Meilleur joueur de la saison de Top 14 et, pour la 4e fois, Meilleur international français. C’est devenu une habitude ?
Antoine Dupont : C’est le quatrième ? Je ne sais pas, je n’ai pas compté mais oui, je sais que ça commence à faire beaucoup. On peut dire que c’est redondant, mais il faut mesurer la chance que l’on a de remporter des trophées, que ce soit individuels ou collectifs. On sait la difficulté de remporter le fameux bouclier de Brennus. On s’entraîne au quotidien pour y arriver mais d’autres le font aussi et n’ont pas l’occasion de soulever un trophée à la fin de la saison. Il faut donc mesurer cela, être conscient du travail qu’il faut continuer à effectuer pour continuer à gagner. On sait que c’est le plus dur, on l’a expérimenté ces dernières saisons. Mais c’est toujours plaisant de se passer des soirées comme celle-là.
Champion d’Europe et de France avec le Stade Toulousain ; champion olympique avec l’équipe de France à 7. Vous rendez-vous compte de ce que vous avez accompli la saison dernière ?
C’est toujours dur de se rendre compte, de mesurer les choses qu’on fait. On s’entraîne au quotidien pour vivre des moments comme ça. On a eu la chance de vivre des émotions incroyables avec Toulouse, et cette médaille olympique, je n’en parle même pas. Après, je pense qu’il vaut mieux continuer de regarder devant. On a une génération encore jeune et ambitieuse et on a tout intérêt à regarder devant plutôt que derrière, que ce qu’on a accompli. Ça n’aurait pas trop d’intérêt dans notre quotidien…. Donc, oui, on s’est rendu compte qu’on a fait quelque chose de grand cette année. Mais, comme je disais, je n’ai que 27 ans et il me reste encore des années de carrière et des choses à gagner.
On peut dire que j’ai pris un risque. Mais je pense qu’un des plus grands risques, c’est de ne jamais en prendre. Je pense que c’est lié à l’ADN du rugby français et, surtout, du Stade toulousain… Pendant ces Jeux, des joueurs de France 7 que personne ne connaissait se sont révélés être des athlètes et des joueurs incroyables. Ils ont eu un coup de projecteur et une lumière sur eux qu’ils méritaient mais qu’ils n’avaient pas depuis plusieurs saisons. Si j’ai pu permettre ça, tant mieux. Mais c’est aussi grâce à eux.
On vous a récemment aperçu à l’entraînement avec le Stade Toulousain alors que vous êtes encore en vacances. Ça vous démange de revenir sur le terrain ?
Je commence à repointer le bout de mon nez pour ne pas trop perdre non plus. Ça me donne envie de revenir avec les copains. J’étais hypercontent de retrouver le groupe, l’ambiance, la vie de groupe au quotidien. C’est aussi pour cela qu’on fait ce sport. Cet esprit d’équipe qu’on a à Toulouse, c’est ce qui nous motive à venir nous entraîner chaque jour.
À quelle date votre retour est-il prévu ?
Là, dans les prochaines semaines. Je devrais être de retour début octobre pour la compétition.
Rugby à 7 JO : triomphe en or de l’équipe de Dupont
L’équipe de Dupont qui a si mal commencé son tournoi et balbutié son rugby pendant plusieurs matchs non seulement s’est réveillé mais a triomphé avec brio dans la deuxième phase du tournoi des JO de Paris.
L’équipe de France de rugby à 7 s’est imposée en finale du tournoi olympique en dominant les Fidji (28-7), doubles champions olympiques en titre.
Les Bleus du 7 apportent à la France son premier titre olympique en rugby, après la médaille d’argent glanée en 1924, mais à XV.
C’est un véritable tour de force qu’ont réalisé Antoine Dupont et ses coéquipiers en infligeant aux joueurs du Pacifique leur première défaite aux Jeux olympiques, après 17 succès de rang depuis 2016.
Rugby-Champions Cup: encore Toulouse et Dupont
Antoine Dupont savoura juste titre la victoire de Toulouse au plan européen à laquelle il a apporté une contribution fondamentale surtout cette fois par ses qualités de défense. Interview dans le Figaro
Quelle sensation domine après un tel combat ?
Antoine Dupont : Un pur bonheur, tout simplement. Ce sont des émotions qui sont dures à décrire avec des mots. On s’entraîne tellement dur pour ça et quand on est aussi proche de le toucher, il faut arriver jusqu’au bout parce qu’on ne sait pas quand ça se présentera à nouveau. On a eu la chance de soulever la coupe il y a trois ans et on connaît la difficulté de gagner cette compétition. On a échoué deux fois en demi-finale les deux dernières années. On sentait vraiment qu’on avait la capacité d’aller au bout cette année. Maintenant que c’est fait, dans un un match pas simple, on ne va pas se mentir, c’est un pur bonheur.
Comment avez-vous réussi à vous remobiliser pour la prolongation après avoir déjà beaucoup donné pendant 80 minutes ?
On s’est dit que ça allait être dur pour nous évidemment, mais qu’eux aussi étaient en difficulté. On a vu des joueurs marqués, fatigués, et qu’on avait des solutions. Quand on arrive en prolongation, il faut aller puiser dans ses retranchements. On rentre dans le ’’money time’’, il n’y a plus de questions à se poser. C’est juste se lancer dans la bataille, ne rien lâcher, s’entraider, faire preuve d’un état d’esprit hors du commun. Dans ces moments-là, ça se joue surtout dans la tête. C’est là-dessus que le vainqueur est déterminé.
Honnêtement, si on avait pu gagner plus simplement, on aurait quand même dit oui.Le scénario de cette finale rend-il ce sacre encore plus savoureux ?
On a vraiment senti de la tension. Mais on a aussi maintenant l’expérience de ces matches-là, cette expérience pour ne pas s’affoler et continuer à être nous-mêmes, à jouer notre rugby, à être sûrs de nos bases, à garder cette confiance. C’est vrai que plus c’est dur, plus ça fait plaisir à la fin. Honnêtement, si on avait pu gagner plus simplement, on aurait quand même dit oui.
Bras d’honneur de Dupont Moretti: des ministres indignes de leur fonction
Il est clair que dans cette période tendu, les nerfs sont à vif aussi bien côté majorité que côté opposition. Reste que la fonction de hauts responsables implique au minimum une maîtrise.
Or ces derniers temps, on assiste à une série d’injures, de provocations, de propos mensongers ( l’affaire du minimum de pension à1200 euros ) quitransforme le débat démocratique en foire d’empoigne.
On imagine le scandale provoqué si ce bras d’honneur du ministre de la justice avait été effectué dans une assemblée locale. Mais cette fois il s’agit de la plus haute assemblée du pays qui démontre à l’évidence que certains au gouvernement n’ont vraiment pas le profil pour exercer les plus hautes fonctions du pays.
Les provocations, les mensonges ne sont pas le seule faite des ministres mais y compris du président de la république dans par exemple il faut se rappeler qu’il indiquait un pauvre chômeur que pour trouver du travail il suffisait de traverser la rue! La pire des insultes pour un pauvre garçon déjà affecté par la perte traumatisante de son travail.
Éric Dupond-Moretti, s’est encore emporté, adressant deux bras d’honneur au président du groupe LR Olivier Marleix.
Initialement à la tribune pour déterminer la position de son groupe sur le texte macroniste, le patron des députés de droite venait d’évoquer la situation judiciaire du garde des Sceaux. «Votre majorité aurait gagné à s’offrir une séance d’introspection sur le thème de “celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre”. (…) Je vous rafraîchis la mémoire», avait-il lancé. Avant de rappeler la «mise en examen pour prise illégale d’intérêts» du locataire de la Chancellerie. Ce que n’a pas supporté l’intéressé, y voyant en substance un «bras d’honneur fait à la présomption d’innocence» – joignant le geste à la parole pour appuyer son propos. Emmenés par le député LR Patrick Hetzel, les élus des Républicains ont alors réclamé et obtenu plusieurs suspensions de séance, regrettant «quelque chose d’assez inqualifiable.» Le tout, sur fond de protestations et de huées dans leurs rangs, ainsi que sur les bancs de la gauche.
Un député centriste souffle : «C’était vraiment pas le geste qu’il fallait faire à l’examen de ce texte…»