Un Boeing d’Ukraine Airlines victime d’ un tir accidentel iranien !!!
La folie de la dictature islamique iranienne n’a sans doute pas de limite. Comment en effet pourrait-on justifier ce tir de missile qui a détruit un avion de ligne après le décollage du Boeing 737 d’Ukraine Airlines de l’aéroport Imam-Khomeini. Même si le caractère accidentel de ce tir est envisagé par les États-Unis ou le Canada, reste le geste invraisemblable et fou de ce qui ressemble à un acte incontrôlé de représailles de la part d’une des cliques religieuses qui dirigent le pays. Sans doute aussi les mêmes qui avaient tiré par hasard sur des tankers récemment dans le détroit Dortmuz.
Heureusement les occidentaux semblent faire preuve d’une meilleure maîtrise de leur nefs. D’une certaine façon, les religieux iraniens sont condamnés à une fuite en avant pour alimenter un nationalisme qui permet de cacher la crise économique et sociale sans précédent dans le pays.
Lors d’une conférence de presse à Ottawa, le chef du gouvernement canadien, Justin Trudeau, a repris à son compte la piste d’un tir de missile sol-air, “une possibilité très claire” selon lui, sur la foi “d’informations de sources multiples” provenant des alliés du Canada et de ses propres services de renseignement. Selon Justin Trudeau, ce tir, s’il a bien eu lieu, a pu être effectué de façon “involontaire”. Le Canada, qui comptait plusieurs ressortissants dans l’avion accidenté, demande désormais une enquête internationale “complète” et “approfondie”.
Donald Trump, qui s’est exprimé devant des journalistes à la Maison blanche, a également semblé donner du crédit à cette hypothèse, tout en restant évasif. “Quelqu’un a pu commettre une erreur”, a-t-il déclaré, ajoutant qu’il nourrissait des “soupçons”. L’accident s’est produit quelques heures seulement après des tirs de missiles de l’armée iranienne sur des bases militaires abritant des soldats américains en Irak, des frappes menées en représailles à l’assassinat ciblé, la semaine dernière, du général Qassem Soleimani, l’un des personnages les plus influents de la République islamique.
Selon deux sources américaines, Washington penche pour l’hypothèse d’un tir ayant atteint le Boeing par erreur. A Téhéran, le responsable de l’aviation civile, Ali Abedzadeh, a balayé ce scénario, jugeant “scientifiquement impossible qu’un missile ait touché l’avion ukrainien”, selon des propos rapportés par l’agence de presse semi-officielle Isna. Notons que les mêmes dénégations avaient été avancées concernant les tirs contre des temps Care dans le détroit d’hormones.
L’appareil était déjà en flammes avant de s’écraser, selon un rapport préliminaire communiqué jeudi par l’aviation civile iranienne, qui cite des témoins au sol et dans un autre avion ayant survolé la zone à une haute altitude. L’avion, vieux de trois ans et dont le dernier contrôle technique datait de lundi, s’est écrasé six minutes après son décollage, près de la localité de Sabashahr, au sud-ouest de Téhéran.
Il a rencontré un problème technique peu après son envol de l’aéroport international de Téhéran et a commencé à se diriger vers un aéroport proche avant de s’écraser, selon le rapport de l’aviation civile, qui ne précise pas la nature de l’avarie. D’après les autorités ukrainiennes, il y avait à bord 82 Iraniens, 63 Canadiens et 11 Ukrainiens.