Archive pour le Tag 'Drogue'

Drogue: Elon Musk consommerait un cocktail de kétamine, ecstasy et champignons hallucinogènes

Drogue: Elon Musk consommerait un cocktail de kétamine, ecstasy et champignons hallucinogènes

Les outrances et les provocations du milliardaire pourraient s’expliquer en partie par une consommation régulière de drogues d’après le New York Times.

Elon Musk consommerait à la fois de la kétamine, de l’ecstasy et des champignons hallucinogènes.

D’après le New York Times, l’addiction de l’homme le plus riche du monde serait telle que sa consommation quotidienne provoquerait des effets secondaires sur sa vessie.

Elon Musk, dont la personnalité a souvent été décrite comme particulièrement instable et obsessionnelle dans la presse américaine, avait dit dans une interview en mars 2024 qu’il consommait «une petite dose (de kétamine) une fois toutes les deux semaines à peu près», ajoutant qu’elle lui était prescrite pour «sortir d’un état d’esprit négatif».

Drogue: encore un meurtre à Carcassonne

Drogue: encore un meurtre à Carcassonne


Après sans doute une rixe qui tourne autour de la drogue, encore un tué à Carcassonne

La victime, non identifiée a été retrouvée morte par les services de secours dans une rue connue pour être un point deal au sein du quartier en difficulté de La Conte, classé prioritaire par les politiques locales de la ville.

Le médecin légiste a relevé sur la victime plusieurs traumatismes au visage et à la tête qui pourraient avoir été causés par une arme par destination contondante ayant entraîné la mort au cours d’une rixe impliquant plusieurs personnes, selon la même source. Une enquête pour homicide a été ouverte par le parquet de Carcassonne et confiée aux policiers du service de police judiciaire de Perpignan.

Drogue- Mohamed Amra porte plainte contre l’administration pénitentiaire !

Drogue- Mohamed Amra porte plainte contre l’administration pénitentiaire !

Incarcéré à Condé-sur-Sarthe, Mohamed Amra affirme avoir été victime de violences de la part de trois surveillants pénitentiaires. Il a déposé plainte.
Mohamed Amra a déposé plainte contre l’administration pénitentiaire, indique à BFMTV Benoit David, son avocat, confirmant une information de RTL. Incarcéré à Condé-sur-Sarthe, le narcotrafiquant affirme avoir été victime de violences de la part de trois surveillants pénitentiaires.

Lundi 24 mars, alors qu’il revenait de promenade, il dit avoir été jeté au sol dans sa cellule où il est placé dans un quartier disciplinaire, les mains menottées dans le dos. Selon lui, les surveillants ont appuyé avec leurs pieds sur son bassin et son pied.

Joint par BFMTV, Benoit David, l’avocat de Mohamed Amra indique qu’il a reçu l’autorisation de la justice de consulter les enregistrements des caméras de vidéosurveillance de la prison de Condé-sur-Sarthe.

Drogue: 110 tonnes saisies

Drogue: 110 tonnes saisies

Trafic de drogue : plus de 110 tonnes saisies par les douanes en France en 2024


Ce chiffre représente une hausse de plus de 74% par rapport à 2023. Les autorités françaises ont par exemple saisi 53,5 tonnes de cocaïne en 2024, soit une augmentation de 130% comparé à l’année précédente.

Une proposition de loi contre le narcotrafic est actuellement examinée à l’Assemblée nationale, pour permettre de «frapper plus vite et plus fort», a commenté dans un entretien publié samedi soir sur le site du Journal du Dimanche la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin.

Grenade Grenoble: L’auteur mis en examen

Grenoble: L’auteur mis en examen

Mercredi 12 février, un homme cagoulé et armé a débarqué dans un bar grenoblois et dégoupillé une grenade à fragmentation. Le mineur de 17 ans soupçonné d’être l’auteur de l’attaque à la grenade dans un bar de Grenoble le 12 février, a été placé en détention provisoire samedi soir. Il est accusé de «tentative de meurtre en bande organisée», a déclaré le parquet de Lyon.

La déflagration a fait quinze blessés, dont six graves. L’enquête a été confiée à la Juridiction interrégionale spécialisée contre la criminalité organisée (Jirs) de Lyon.

Selon le parquet de Lyon, qui supervise l’enquête sur l’attaque à la grenade, l’adolescent avait été contrôlé par des gendarmes ce mercredi à l’extérieur de Grenoble alors qu’il portait un fusil à pompe. Il a immédiatement dit «qu’il s’était fait tirer dessus» après avoir été «payé pour tuer des gens», a indiqué à l’AFP le procureur Thierry Dran. Le mineur avait été placé en garde à vue pour port d’armes, association de malfaiteurs et tentative d’homicide en bande organisée.

Drogue: la proposition de loi contre le narcotrafic

Drogue: la  proposition de loi contre le narcotrafic

Mercredi 29 janvier, le Sénat a adopté l’ensemble des articles de la proposition de loi visant à « sortir la France du piège du narcotrafic ». Quels sont ses apports et sa pertinence ? Quelles sont ses limites ? La proposition de loi « visant à sortir la France du piège du narcotrafic » témoigne d’une prise de conscience concernant l’ampleur de la consommation de stupéfiants sur le territoire national et les atteintes à l’ordre public qui accompagnent le trafic. Si ce texte déploie une logique d’action globale indispensable, la cohérence d’ensemble des mesures peut être questionnée. La proposition de loi laisse également de côté le pan de la prévention et laisse ouverte la question des moyens – notamment humains – dans un contexte de fort déficit budgétaire. La commission sénatoriale d’enquête sur « l’impact du narcotrafic en France et les mesures à prendre pour y remédier » aura eu comme mérite de favoriser un réveil – tardif – dans le milieu politique, les médias et l’opinion publique. La prise en compte de l’écosystème financier lié à l’activité criminelle est notable. La priorité est donnée à la lutte contre le blanchiment d’argent par rapport à des opérations « place nette » jugées dispendieuses et peu efficaces.

 

par   ,Associate professor, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) dans The Conversation. 

Les mesures proposées vont de la fermeture administrative des commerces de façade à l’interdiction du recours aux mixeurs de cryptoactifs qui permettent de rendre intraçable l’origine des fonds, via les cryptomonnaies. Dans l’optique de « frapper les criminels au porte-feuille », le texte vise aussi à faciliter le gel des avoirs des narcotrafiquants. Pourtant, le gel seul ne peut constituer une solution : seule la saisie confiscatoire prive réellement les criminels de leurs gains et offre la possibilité de réutiliser ceux-ci à des fins régaliennes (financement de la lutte contre le crime, programmes éventuels de protection des témoins, campagnes de prévention, etc.).

Le texte prévoit également de renforcer le renseignement criminel et les outils d’enquête : il s’agit de protéger les informations des enquêteurs et les méthodes utilisées afin d’obtenir des preuves en vue de procès. Des outils comme la « dossier coffre » ne constituent pas des atteintes à la légalité puisque les preuves apportées doivent être jugées recevables mais la communication à leur sujet doit être restreinte afin de protéger les personnes et de limiter les capacités d’adaptation des criminels.

Cette question rejoint la question de la réforme du statut de « repenti » qui est proposée. Ce statut existe déjà en France mais il est peu utilisé et très restrictif. Élargir la possibilité de collaborer avec la justice en échange d’une réduction de la peine pour des personnes ayant commis des crimes de sang est une adaptation nécessaire si l’on souhaite que des criminels d’une certaine envergure acceptent ce processus.

Enfin, la proposition de loi intègre de nouvelles préoccupations, notamment l’usage dévoyé des plates-formes numériques par les narcotrafiquants pour vendre les stupéfiants et recruter des petites mains. Elle cible également la banalisation de la corruption ou encore l’utilisation des prisons comme des « incubateurs criminels » (les trafics s’y poursuivent, et elles favorisent apprentissages et solidarités entre trafiquants). Reste à savoir quels outils concrets seront proposés pour agir dans ces domaines.

Ces avancées ne doivent pas faire oublier que les textes de loi ne prennent vie que s’ils sont adossés à des moyens : la lutte contre le blanchiment exige par exemple de renforcer une police judiciaire exsangue et malmenée par une réforme peu appréciée sur le terrain. La justice elle-même est engorgée et les prisons surpeuplées. On peut craindre que la question budgétaire ne contraigne fortement l’effectivité des intentions.

Entre la fin des travaux de la commission d’enquête sénatoriale et l’élaboration de la proposition de loi, la réflexion menée par les sénateurs Jérôme Durain (PS) et Étienne Blanc (LR) a évolué mais, au final, cette évolution semble ne pas avoir été déployée et semble rester au milieu du gué.

En effet, il est positif d’envisager la création d’un Parquet national anticriminalité organisée (Pnaco) plutôt que l’initial Parquet national antistupéfiants afin de ne pas se limiter à traiter des affaires de stupéfiants. Toutes les organisations criminelles ne sont pas impliquées dans le trafic de stupéfiants et 70 % de ces organisations sont multiactivités, comme l’indique Europol. Le narcotrafic se greffe sur d’autres trafics : trafic d’armes dont témoignent les règlements de compte sanglants, traite des êtres humains à travers l’utilisation de mineurs dans les trafics, pollution environnementale via le non traitement des déchets toxiques.

Néanmoins, le Pnaco se retrouve adossé principalement à l’Office antistupéfiants (Ofast), une cellule spécialisée aux pouvoirs renforcés qui coordonne services de police, de douane et de renseignement en matière de narcotrafic. Ce qui constituait donc une avancée dans la perception de la criminalité organisée se retrouve bridé par le retour au seul prisme des stupéfiants.

Le décalage entre mission du Pnaco et mission de l’Ofast renvoie à une problématique plus large qui contamine aussi la mobilisation récurrente du « modèle italien ». Enquêtes patrimoniales, statut du repenti, régime carcéral dur sont autant de références à la législation antimafia italienne. Mais ces emprunts laissent perplexes ceux qui ont pu étudier la construction de cette législation antimafia.

La législation italienne est inspirée de l’antiterrorisme puisque le point de départ pour le législateur a été l’organisation (qu’elle soit criminelle ou terroriste), et non tel ou tel marché illégal. Mettre les acteurs au cœur de la réflexion permet d’en comprendre la structuration, les évolutions, les interrelations, les activités.

Cette vision – qui part des organisations criminelles – permet le déploiement d’un arsenal cohérent et gradué (le délit d’association mafieuse vient en complément de l’association de malfaiteurs et de la bande armée). Elle évite également de raisonner en silos, comme si les marchés illégaux étaient totalement indépendants les uns des autres et comme si monde légal et monde illégal étaient étanches (cela évite notamment d’être trop naïf par rapport à la question de la corruption). Copier la lettre des éléments empruntés à la législation italienne sans en comprendre l’esprit risque de rendre les dispositifs inopérants.

L’Office antistupéfiants a sa raison d’exister, mais il n’est probablement pas le service sur lequel la lutte contre la criminalité organisée doit principalement s’appuyer. Si la France change de regard sur les questions criminelles et passe d’une logique de marchés (stupéfiants, armes) à une logique d’acteurs (organisations et réseaux criminels dans leur diversité et leurs articulations), ce sont des services à rayonnement large qui doivent être renforcés.

À ce titre, les douanes occupent une place centrale qui mérite d’être valorisée. En effet, elles réalisent la plus grande part des saisies dans les ports, sur les routes, dans les centres de tris postaux mais aussi en haute mer (en collaboration avec la Marine nationale et des services étrangers), stoppant les marchandises illégales avant qu’elles n’entrent sur le territoire.

Ces saisies ne concernent pas que les stupéfiants mais aussi les armes, les espèces protégées de faune et de flore, les contrefaçons, les produits chimiques détournés de la sphère légale. Les douanes abritent la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières, qui, avec plus de moyens, permettrait de connecter les saisies de marchandises et les enquêtes sur les organisations criminelles, intervenant sur un champ d’action stratégique et cohérent contre la criminalité organisée sous ses formes multiples.

Finalement, la proposition de loi transpartisane de lutte contre le narcotrafic constitue une avancée, mais ne doit pas être perçue comme un aboutissement. Elle ouvre la voie à une réflexion – nécessaire et urgente – plus large sur la criminalité dans sa diversité et sur la nécessité de protéger nos sociétés contre des organisations criminelles qui impactent la société et la politique, au-delà de l’économie.

Drogue : le président colombien pour la légalisation de de la cocaïne !!!

Drogue : le président colombien pour la légalisation de de la cocaïne !!!

Dans la hiérarchie des présidents fous, le président colombien monte d’un cran !Lors d’un Conseil des ministres tenu le mardi 4 février, le président colombien Gustavo Petro a déclaré que «la cocaïne n’est pas plus mauvaise que le whisky». Il a soutenu que cette opinion est étayée par des analyses scientifiques. Selon lui, la cocaïne est illégale «parce qu’elle est produite en Amérique latine, pas parce qu’elle est plus nocive que le whisky».

 

Drogue–Cannabis : poison durable pour le cerveau

Drogue–Cannabis : poison durable pour le cerveau


Une étude évoquée dans le Figaro révèle des altérations de l’activité cérébrale, particulièrement chez les gros consommateurs, et met en évidence les risques à long terme même sans consommation récente.

La question de la légalisation de la production et de la vente de cannabis, à des fins récréatives ou médicales, fait débat en Europe. À ce jour, trois pays ont légalisé sa consommation : Malte, Le Luxembourg, et l’Allemagne. Contrairement aux idées reçues, la vente et la consommation de cannabis sont tolérées dans les « coffeeshops » aux Pays Bas, mais sa production et sa possession en dehors restent illégales. Et n’en déplaise à ses défenseurs, il ne s’agit pas d’un produit anodin : les effets néfastes sur la santé ont été démontrés et continuent d’être documentés. Une étude récente, publiée dans JAMA Network Open, a exploré l’impact du cannabis sur l’activation cérébrale lors de diverses tâches cognitives.

D’après d’autres études,la consommation de cannabis et son intensité peuvent nuire au développement du cerveau des adolescents et des jeunes adultes . La consommation de cannabis peut affecter certaines fonctions cognitives comme l’apprentissage, la mémoire et l’attention ). Une consommation hebdomadaire ou plus fréquente est par ailleurs associée à des difficultés scolaires . L’usage fréquent de cannabis contribue à allonger la période d’abstention nécessaire pour que les effets cognitifs se résorbent . Ainsi, plus la consommation débute tôt et plus elle est fréquente, plus grands seront les risques d’avoir des fonctions cognitives altérées et plus il faudra attendre longtemps après avoir cessé l’usage pour retrouver toutes ses capacités.

Plusieurs études ont établi des liens entre la consommation régulière de cannabis et les risques de maladies et d’apparition de symptômes ou troubles psychotiques. troubles dépressifs ou d’anxiété sociale .

Société et drogue : le maire écolo de Grenoble pour la dépénalisation

Société et drogue : le maire écolo de Grenoble pour la dépénalisation

 

Une nouvelle fois un maire écolo se singularise avec des propositions iconoclastes proposant de dépénaliser le cannabis. Il faut dire que Grenoble est l’une des villes qui connaît un niveau exceptionnel de criminalité dans beaucoup de domaines. Une ville qui s’est toujours efforcée aussi de freiner le développement des caméras de surveillance ou encore d’armée les policiers municipaux.

Bref un maire laxiste,  caractéristique des responsables d’Europe écologie les Verts qui s’investissent davantage dans les problèmes politiques que dans l’écologie. L’exemple le plus caricatural étend sans doute celui de Sandrine Rousseau toujours prête à sauter sur un micro pour raconter n’importe quelle idiotie. Des gens dangereux qui en définitive participent de la décomposition politique mais aussi républicaine et sociétale

En France, le cannabis reste la drogue la plus consommée avec 5 millions d’usagers dans l’année en 2023, selon la dernière étude de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT). Dans le même temps, la demande en cocaïne n’a jamais été aussi forte avec 1,1 million de personnes qui en ont consommé au moins une fois dans l’année. Sans parler des drogues de synthèse qui sont moins chères mais plus dévastatrices

Drogue : le maire écolo de Grenoble pour la dépénalisation

Drogue : le maire écolo de Grenoble pour la dépénalisation

 

Une nouvelle fois un maire écolo se singularise avec des propositions iconoclastes proposant de dépénaliser le cannabis. Il faut dire que Grenoble est l’une des villes qui connaît un niveau exceptionnel de criminalité dans beaucoup de domaines. Une ville qui s’est toujours efforcée aussi de freiner le développement des caméras de surveillance ou encore d’armée les policiers municipaux.

Bref un maire laxiste,  caractéristique des responsables d’Europe écologie les Verts qui s’investissent davantage dans les problèmes politiques que dans l’écologie. L’exemple le plus caricatural étend sans doute celui de Sandrine Rousseau toujours prête à sauter sur un micro pour raconter n’importe quelle idiotie. Des gens dangereux qui en définitive participent de la décomposition politique mais aussi républicaine et sociétale

En France, le cannabis reste la drogue la plus consommée avec 5 millions d’usagers dans l’année en 2023, selon la dernière étude de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT). Dans le même temps, la demande en cocaïne n’a jamais été aussi forte avec 1,1 million de personnes qui en ont consommé au moins une fois dans l’année. Sans parler des drogues de synthèse qui sont moins chères mais plus dévastatrices

 

Trump gracie un baron de la drogue !

Trump gracie un vendeur illégal de drogue !

Trump gracie Ross Ulbricht, Un baron de la drogue en remerciement de son soutien politique. Notons que ce vendeur illégal de drogues avait été condamné à la prison à vie !

Donald Trump a dit mardi avoir gracié le créateur du site illégal «Silk Road», qui a servi de plateforme en ligne pour la vente de millions de dollars de drogues à travers le monde.

En 2015, Ross Ulbricht, créateur du site Silk Road (route de la soie) – considéré un temps comme le plus grand site de vente de drogues en ligne au monde – a été condamné à la réclusion à perpétuité, sans possibilité de libération. Il avait vendu 200 millions de dollars de drogue à des consommateurs du monde entier.

Son site de marché noir du Dark web, parfois surnommé l’ »Ebay de la drogue », permettait notamment d’acquérir héroïne, cocaïne, LSD et d’autres produits illégaux ou faux documents grâce à la monnaie virtuelle bitcoin, en garantissant l’anonymat de ses dizaines de milliers d’acheteurs à travers le monde.

L’homme de 40 ans était aussi accusé d’avoir commandité cinq meurtres.

«Je viens d’appeler la mère de Ross William Ulbricht pour lui faire savoir qu’en son honneur et celui du mouvement libertarien, qui m’a soutenu si ardemment, j’ai le plaisir de signer une grâce totale et inconditionnelle pour son fils», a déclaré le nouveau président américain sur Truth Social. Donald Trump avait promis de le libérer lors d’un discours en mai devant la convention du parti libertarien, un mouvement marginal qui prône les libertés individuelles et un rôle minimal du gouvernement.

Drogue : un des chefs de la mafia marseillaise extradé en France

Drogue : un des chefs de la mafia marseillaise extradé en France

 

Félix Bingui alias « Le Chat », chef présumé du clan marseillais Yoda, « sera extradé cette semaine », du Maroc vers la France d’après une information du Parisien.

L’homme est le chef présumé du clan « Yoda » de narcotrafiquants marseillais issu de la cité La Paternelle et connu pour avoir livré une guerre très meurtrière contre la « DZ Mafia ». Il avait été arrêté en mars dernier au Maroc et attendait d’être extradé.

Âgé de 33 ans, cet homme de nationalité française né à Alès dans le Gard est « l’un des plus grands narcotrafiquants marseillais », selon le ministre de l’Intérieur.

Surnommé « Le Chat », Félix Bingui est déjà connu des services de police pour association de malfaiteurs, évasion en bande organisée, recel de bien provenant d’un vol en bande organisée, meurtre, violences aggravées, règlements de comptes entre malfaiteurs, menaces de mort ou d’atteinte aux biens, outrage, vol, contrefaçon et divers délits routiers.
La guerre DZ Mafia contre Yoda a été extrêmement meurtrière et a fait de l’année 2023 une année record en termes d’homicide lié au narcotrafic. Aujourd’hui, la plupart des acteurs s’accordent à dire que les Yodas ont perdu cette guerre et n’existe quasiment plus, contrairement à la DZ Mafia.

Un député de LFI veut transformer les dealers en commerçant officiel de drogue

Un député de LFI veut transformer les dealers en commerçants officiels de drogue

LFI nous a habitué à des propositions les plus saugrenues et cela se confirme avec un champion des polémiques le député Sébastien Delogu propose de transformer les dealers  en commerçant officiel de drogue en cas de légalisation.

«Si on demande la légalisation du cannabis et que l’acheminement du cannabis soit bien géré par l’État français, amène à se poser des questions sur les personnes qui ont été pénalisées auparavant, et qu’on leur donne justement la possibilité de vendre et de régir cela. Ça évite en quelque sorte de les renfermer et de les laisser peut-être aller, de vendre, peut-être, une autre drogue», a-t-il expliqué au cours de l’émission, d’après BFMTV.

Les postures et positions tordues  posent la question non seulement de la crédibilité de ce député mais aussi de sa légitimité. Trop de députés de LFI confondent l’hémicycle avec un cirque.

Drogue: Des opérations spectacles inefficaces

Drogue: Des opérations spectacles inefficaces

 

 

Le chercheur Khalid Tinasti défend, dans une tribune au « Monde », une politique antidrogue davantage attentive aux « conséquences pernicieuses » du trafic qu’à la consommation en tant que telle, et mieux ciblée contre les acteurs « les plus haut placés » du marché.

 

La réduction significative ou même l’élimination de la production, de la consommation et du trafic des stupéfiants basée sur le principe de la « guerre aux drogues » [expression utilisée, notamment aux Etats-Unis, pour désigner les efforts des gouvernements pour lutter contre le trafic et la consommation de drogues] a non seulement prouvé son incapacité à atteindre ses propres objectifs, mais elle a aussi apporté son lot de conséquences inattendues. La première est l’existence même d’un marché illégal mondial estimé à plus de 400 milliards d’euros annuels (entre 3,5 et 6 milliards en France), selon la Global Financial Integrity (une ONG située à Washington) : un marché résilient face à toutes les réponses policières et judiciaires, et responsable de violences en hausse.

Sur le long terme, le modèle de prohibition en place presque partout dans le monde devrait être remis en question, car il n’a pas pu empêcher le marché illégal des drogues de se développer. Mais cette remise en cause est un débat qui nécessite une acceptation sociétale.

Dans le cadre actuel, la répression continue de faire partie d’une réponse complète. Même des pays aux politiques publiques qualifiées d’indulgentes, comme la Suisse, reconnue pour la solidité de ses « quatre piliers » (prévention, traitement, réduction des risques et répression), ou encore le Portugal, célèbre pour sa dépénalisation de la consommation personnelle, consacrent la part la plus importante de leurs programmes à la lutte contre le trafic.
Or, les mesures punitives contre les consommateurs de drogues ont prouvé leurs limites sur la dissuasion à la consommation et empêchent la prise en charge, si nécessaire, des consommateurs souffrant de dépendance. Cette criminalisation de la consommation n’affecte que de manière superficielle la demande sur le marché des drogues. Ceci a été prouvé à maintes reprises en France (comme l’indique la lecture des rapports de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives ou de l’Agence de l’Union européenne sur les drogues), malgré l’inflation des mesures et des prises de position des différents gouvernements ces cinq dernières années.

Un nouveau plan contre le trafic des drogues est certes peut-être nécessaire, mais un narratif agressif appuie la faiblesse des ripostes publiques et décrédibilise la capacité du pouvoir à apporter des solutions nuancées, complètes et efficaces. De telles solutions demandent de clarifier qui serait visé par les sanctions pénales, et de hiérarchiser les responsabilités dans la chaîne criminelle des drogues. Le harcèlement des dealeurs de rue n’aboutit qu’au déplacement géographique du trafic sans toucher les chefs de gangs, et provoque surtout une réaction violente des délinquants.

 

Drogue-Marseille : encore deux tués

Drogue-Marseille : encore deux tués

Deux victimes tuées encore à Marseille , âgées  d’un peu moins de 30 ans et connues pour des affaires liées aux trafics de stupéfiants, selon des sources proches de l’enquête. 

 

Début novembre, 17 narchomicides avaient été officiellement recensés par le parquet à Marseille, dont une victime collatérale. Si ces deux nouveaux décès étaient officiellement confirmés comme liés au trafic de drogue, ce bilan passerait donc à 19 morts à Marseille depuis le début de l’année.

 Marseille est l’épicentre des violences liées à la drogue en France, avec en 2023 un record de 49 morts. Après ce pic de violences, dû notamment selon la police et la justice à une rivalité entre deux bandes – la DZ Mafia et le clan Yoda – pour le contrôle des lucratifs points de deal de la ville, le nombre de ces narchomicides est toutefois en nette baisse cette année.

 

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