Archive pour le Tag 'doutes'

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Sondage Réduction des déficits publics : doutes des Français

Sondage Réduction des déficits publics : doutes des Français

D’après le baromètre Odoxa* pour BFM Business, plus de 60 % des Français doutent que le gouvernement puisse ramener les déficits publics à 3 % du PIB. Pour autant l’indice de confiance en l’avenir de la situation économique reste, certes, toujours dans le vert (55% des Français se déclarent confiants), mais il perd 6 points par rapport au mois dernier (de +16 points à +10 points). Les sympathisants de gauche sont même moins de la moitié (49%) à se dire plutôt confiants.  Pour pallier les difficultés budgétaires, 69% des personnes interrogées préconisent de mettre en vente des participations de l’État dans des entreprises non stratégiques, tandis qu’ils sont 68% à se dire favorables au report de la réforme de l’allègement de l’ISF. Le renoncement provisoire à l’augmentation des crédits pour la Défense (48%), le report des créations de postes prévues dans l’éducation (34%) ou la réduction des dotations aux collectivités locales (30%) remportent une plus légère approbation.

Bourses : toujours des doutes sur Trump

Bourses : toujours des doutes sur Trump

Même si les indicateurs économiques sont bons, Wall Street fléchit en raison notamment du  scepticisme accru sur la capacité de Donald Trump à mettre en oeuvre ses réformes de soutien à la croissance économique. Plusieurs Etats ont lancé une action en justice contre l’administration Trump qu’ils accusent d’enfreindre la loi en repoussant l’entrée en vigueur de nouvelles normes énergétiques pour plusieurs produits courants. Cette poursuite renforce le scepticisme des investisseurs sur la capacité du nouveau président à concrétiser ses promesses, à l’origine d’un fort mouvement de hausse des cours si tôt après son élection. Comme nous l’avions indiqué, Les bourses pourraient bien être orientées à la baisse après l’échec retentissant de Trump concernant la suppression de l’Obamacare.  Les bourses sont versatiles, c’est bien connu et c’est même sur ce caractère que les spéculateurs font leur business. L’euphorie d’après élection aux États-Unis semble maintenant doucement disparaître. Du coup, même  la bourse américaine s’interroge.  On avait sans doute trop misé sur l’effet immédiat des annonces intempestives de Trump dans tous les domaines et en particulier concernant la croissance. On prend maintenant conscience que Trump n’était pas du tout préparé à assurer les difficiles fonctions de président. En effet les premières mesures qu’il a souhaité prendre dans différents domaines se sont heurtées aux réalités voire ont été contestées  par la justice. Pas sûr qu’il puisse même mettre en œuvre le quart de ce qu’il avait annoncé. De plus Trump est  davantage dans une posture de candidat à l’élection que dans le positionnement de président en charge des responsabilités. Son amateurisme discrédite de plus en plus les retombées économiques des annonces de l’ancien candidat Les difficultés rencontrées par Donald Trump sur la réforme du système de santé Obamacare font peser un doute sur la capacité du président américain à faire passer à l’avenir ses autres réformes, notamment celle sur la fiscalité et les investissements la presse faiat un constat sans concession de incompétence de Trump.  Pour le New York Times, cette reculade du 45e président marque «le triomphe de l’incompétence». Et de souligner: «La politique récompense parfois les vantards et Trump est un fanfaron de première, mais quand il s’agit de tenir ses promesses, il est nul. La vérité? C’est un politicien complètement inapte à gouverner. Cela pose beaucoup de questions sur la direction que va emprunter notre pays. Si l’administration échoue sur la réforme du système de santé, quelle chance a-t-elle de mener jusqu’au bout un projet encore plus délicat comme la refonte de la fiscalité? Trump fait campagne en vantardise et gouverne en grandiloquence». De son côté le Washington Post titre «Trump apprend que l’art de la négociation n’est pas la même chose que l’art de mener». «Le président a appris une dure leçon: diriger ne se résume pas à trouver un accord», pointe le journal désavouant la stratégie du milliardaire qui a délivré un ultimatum «dramatique» en promettant de passer à autre chose si la chambre n’approuvait pas sa réforme de l’Obamacare. «En deux mois, l’Amérique a désormais une vision claire du style de gouvernance de Trump et ce dernier a désormais un bon aperçu de ce que c’est de gouverner : c’est dur, dur, dur. Et cela va devenir encore plus difficile si le président persiste dans ses tactiques de persuasion», prédit le journal. Sur la côte Ouest, les éditorialistes du Los Angeles Times s’amusent: «le président a récemment découvert que le système de santé était un sujet complexe, il sait désormais que légiférer l’est tout autant». Leur analyste politique remarque quant à lui que cet échec «n’est pas seulement une promesse de campagne non tenue mais un abandon d’un des dogmes du parti républicain. Le président comprend-il le poste pour lequel il a été élu? Une grande partie de ses responsabilités consiste pourtant à faire avancer son agenda au Congrès. Prompt à régler ses comptes sur Twitter, Donald Trump a répliqué camouflet qui fait la une de tous les journaux. Le chef d’Etat a promis «de faire exploser l’Obamacare et d’œuvrer à négocier un système de santé formidable pour le peuple». Mais on craint de plus en plus l’écart entre des déclarations et la capacité réelle d’action du président américain. De ce point de vue on attend avec une certaine appréhension la rencontre entre le chef d’État chinois et le président des États-Unis. On attend autre chose que des tweets fracassants mais vains. Mais ma tante du coté des bourses européennes qui elles aussi sont aussi en stand-by voir dans le rouge.

Bourse : doutes sur Trump après le report du vote sur l’Obamacare

Bourse : doutes sur Trump  après le report du vote sur l’Obamacare

 

 

Faute de majorité potentielle, la réforme concernant l’Obamacare à été reporté. Report qui s’ajoute aux déboires de Trump à propos de ces mesures anti immigration font douter de la capacité du nouveau président à mettre en œuvre ses  nouvelles politiques notamment dans le domaine économique. Il était prévisible qu’il ne serait pas facile de détricoter le Obamacare qui a permis à environ 20 millions d’Américains de disposer, eux aussi, de couverture santé via une mutuelle (aidée par l’État pour les plus défavorisés).  Le texte proposé au vote de la chambre des représentants était par ailleurs particulièrement mal ficelé. On objectera que la réforme de Obama elle-même était loin d’être un succès total, ce n’était sans doute qu’un premier pas pour une meilleure couverture des Américains qui ne disposent pas actuellement de  mutuelle (environ 50 millions). La grande question est de savoir quel est l’ampleur financier des risques (y compris pour  les assureurs eux mêmes) et si le nouveau système que voulait imposer Trump  sera ou non moins coûteux et plus efficace. Au-delà de cette question relative à la santé se pose la problématique de la compétence de Trump rapide pour signer  des décrets sous l’œil des caméras mais des décrets qui ne changent pas grand-chose quand ils sont confrontés aux réalités politiques, juridiques et voire économiques. Les Républicains eux-mêmes sont très divisés sur la plupart des réformes que souhaitent entamer Trump. Cela vaut pour la santé comme pour l’immigration, les investissements, les infrastructures. Ou encore la fiscalité. Des reculs soit sur les délais, soit sur les contenus mettraient en cause les capacités réelles de Trump. Wall Street a donc fini en baisse jeudi, ayant cédé ses gains en fin de séance à l’annonce du report du vote de la Chambre des représentants sur la réforme de l’assurance-maladie, le premier grand test législatif pour le président Donald Trump. L’indice Dow Jones des 30 grandes valeurs a cédé 4,72 points, soit 0,02%, à 20.656,58 et le Standard & Poor’s-500, plus large, a abandonné 2,49 points ou 0,11% à 2.345,96. Le Nasdaq Composite a reculé de son côté de 3,95 points (0,07%) à 5.817,69. Le Parti républicain du président Trump est majoritaire au Congrès mais divisé sur la réforme de l’Obamacare, la loi emblématique de son prédécesseur qu’il a promis d’abroger. Une source républicaine haut placée au Congrès a indiqué que la Chambre des représentants ne voterait pas jeudi comme initialement prévu sur un projet de détricotage de la loi, les dirigeants républicains au Congrès ne parvenant pas à réunir un nombre suffisant de voix. Au moment où Wall Street clôturait, d’autres sources évoquaient un report du vote à vendredi, voire en début de semaine prochaine. Un échec de Trump dès son premier test au Congrès mettrait en doute sa capacité à faire adopter d’autres pans de son programme économique comme la réforme fiscale ou les investissements dans les infrastructures. « Si cette affaire s’enlise ou si le non l’emporte, la réaction du marché sera terrible », prédit Jake Dollarhide, directeur général de Longbow Asset Management à Tulsa. « Mais s’i y a un vote demain matin et que ça passe, on aura un énorme rally. » Le S&P-500 a pris quelque 10% depuis l’élection du 8 novembre, dopé par les promesses de Trump de baisses d’impôts, d’investissements publics et de dérégulation. « Plus ce sera long et plus il faudra attendre pour voir la politique de Trump commencer à avoir un effet sur les résultats des entreprises », relève Michael Jones, responsable des investissements chez RiverFront Investment Group à Richmond, en Virginie. « C’est cela qui décevra le marché. » Signe de l’attentisme des investisseurs, seulement 6,4 milliards d’actions ont été échangées à comparer à une moyenne de 7,1 milliards sur les 20 dernières séances. L’indice CBOE de la volatilité, surnommé le « baromètre de la peur » à Wall Street, a pris pour sa part 2,4% à 13,12, sa première clôture au-dessus de 13 depuis le 30 décembre. Sept des 11 grands indices sectoriels S&P ont fini en repli mais la plus forte baisse, pour la pharmacie et l’énergie, n’a été que de 0,36% dans les deux cas. L’assureur santé UnitedHealth (-1,04%) a accusé le plus fort repli du Dow Jones alors que Nike a repris 2,69%, meilleure performance de l’indice, après sa chute de 7,05% mercredi consécutive à ses résultats. Plus forte baisse du S&P, Accenture est retombé de 4,52% à 120,76 dollars après avoir établi un record la veille, les investisseurs sanctionnant des résultats sans surprise. Le groupe de conseil a certes relevé ses prévisions pour l’ensemble de l’exercice mais moins que ce qu’escomptaient les analystes. Sur le Nasdaq, Alphabet, la maison mère de Google, a reculé de 1,19%. Le groupe ne parvient pas pour l’instant à apaiser la polémique déclenchée par la diffusion de messages publicitaires accolés à des vidéos au contenu haineux sur son service YouTube. Aux valeurs moyennes, la biotech Flexion Therapeutics a bondi de 33,38% à 26,25 dollars en réaction à une information du site spécialisé FiercePharma selon laquelle Sanofi pourrait racheter la société pour plus d’un milliard de dollars (927 millions d’euros). L’attentisme a aussi été marqué sur les autres marchés pendant que se poursuivaient les tractations au Congrès et jusqu’à la Maison blanche sur la réforme de l’assurance-santé. L’indice dollar a peu évolué mais le billet vert a touché en séance un plus bas de quatre mois face au yen, à 110,64 yens, ce dernier bénéficiant de son statut de valeur refuge. « Si la Chambre des représentants ne vote pas la réforme de l’assurance-santé, ce sera négatif pour le dollar et de façon générale pour tous les actifs risqués », dit Alvise Marino, stratège changes chez Credit Suisse à New York.

Relèvement des taux de la FED : doutes pour septembre

Relèvement des taux de la FED : doutes pour septembre

 

En dépit d’une forte croissance actuellement sur un 3,7%  et d’une situation de l’emploi satisfaisante, les taux américains risquent de ne pas augmenter cette année. En cause la dépression de la croissance en Chine et des mouvements très erratiques sur les marchés financiers orientés à la baisse. La hausse des taux pourrait n’ intervenir qu’en 2016. Les membres de la Réserve fédérale les plus pressés d’engager le processus de relèvement des taux d’intérêt américains ont déclaré vendredi que les turbulences sur les marchés financiers pourraient pousser la banque centrale à retarder le resserrement de sa politique monétaire au-delà du mois de septembre, malgré les preuves que la croissance américaine reste vigoureuse. James Bullard, le président de la Fed de St. Louis, a affirmé, lors d’un entretien accordé à Reuters, qu’il restait favorable à un relèvement des taux dès la prochaine réunion de politique monétaire, mi-septembre, ajoutant simplement que la Fed hésiterait sans doute à franchir le pas si les marchés restaient volatils jusqu’à cette date.  Les mouvements erratiques des marchés et le ralentissement de l’économie chinoise ont eu pour l’instant peu d’effet sur l’économie américaine, a-t-il souligné, en marge du symposium économique de Jackson Hole (Wyoming) auquel participent de nombreux responsables de banques centrales du monde entier. « Rien de ce qui s’est passé jusqu’ici n’a radicalement modifié les perspectives des Etats-Unis au point de changer la trajectoire de base de la politique monétaire », a-t-il dit.   »Ma préférence serait – et c’est notre stratégie – d’agir plus tôt mais d’agir progressivement. Donc allons-y et nous pourrons ajuster le rythme des hausses en fonction des données qui nous arriveront sur l’économie américaine et de l’évolution des prévisions », a ajouté James Bullard, qui a déclaré auparavant juger justifiée une hausse de taux en septembre.   »Donc l’un des avantages que nous avons est que l’orage a lieu maintenant et, pour l’instant en tout cas, nous pensons qu’il se sera calmé d’ici la tenue de la réunion du FOMC (comité de politique monétaire de la Fed) », a-t-il ajouté.   »Si les marchés sont extrêmement volatils à l’approche de la réunion, tout le monde dit la même chose – je propose donc d’attendre que les choses se calment, de voir où elles nous mènent et, une fois constaté, de prendre une décision. » La forte volatilité des marchés financiers ces derniers jours à semé le doute sur le calendrier possible du resserrement de la politique monétaire de la Fed, notamment après les propos de William Dudley, un proche conseiller de la présidente de l’institution, Janet Yellen, jugeant une hausse de taux en septembre moins urgente qu’auparavant.

 

Sondage confiance des patrons : du mieux mais encore des doutes

Sondage confiance des patrons : du mieux mais encore des doutes

 

Il y a du mieux en matière de confiance chez les patrons mais c’est loin encore être l’euphorie. Cette confiance s’améliore un peu pour autant il ne semble pas que les patrons soient encore décidés à s’engager de manière significative dans le développement de l’investissement. Pour l’emploi les prévisions sont aussi modestes  seulement 14 % des patrons envisagent d’augmenter le nombre de salariés. Cela dans un environnement plutôt favorable avec la dépréciation de l’euro de plus de 15 % depuis le début de l’année, des taux d’intérêt très bas et la baisse des prix du pétrole. Cet environnement devrait toutefois permettre d’améliorer les marges. C’est un préalable pour envisager ensuite l’augmentation des  investissements et seulement après croissance de l’emploi. En fait l’avenir sera surtout conditionné par l’évolution des carnets de commandes ;  une évolution en très légère augmentation mais hésitante. D’après les chiffres semestriels de l’Observatoire Banque Palatine des PME-ETI, publiés ce mardi 28 juillet, 39% des dirigeants d’entreprise se disent confiants dans les perspectives de l’économie française pour les six prochains mois. A l’été 2014, ils n’étaient que 17% à se montrer aussi optimistes, une proportion qui avait ensuite chuté à 12% en décembre dernier, l’un des plus bas niveaux jamais enregistrés depuis la création de cet observatoire, en 2010. Surtout, à 39%, la confiance des patrons de PME et d’ETI revient à son niveau de juin 2011, avant l’éclatement de la crise des dettes souveraines dans la zone euro. Certes, leur confiance dans l’économie du pays avait bondi de 15 points au cours du seul mois de janvier 2015, en raison sans doute d’un « effet Charlie », de la même façon que les manifestations contre les attentats terroristes avaient eu un impact important sur la confiance des ménages. Mais cette embellie s’est poursuivie, puisque la confiance des dirigeants d’entreprise dans l’économie française a encore grimpé de 12 points, de janvier à juin. 2015 année qui devrait s’achever sur un chiffre d’affaires en hausse, pour 37% des patrons de PME et d’ETI interrogés dans le cadre de l’Observatoire Banque Palatine, contre 16% « seulement » anticipant une baisse de leur activité et 47% pronostiquant une stagnation. « Depuis la fin de l’année 2014, les prévisions sont de plus en plus optimistes, avec davantage de déclarations de croissance que de décroissance », souligne l’étude. Sur le front de l’emploi également, les courbes d’augmentation et de réduction des effectifs ont enfin commencé à s’inverser, depuis janvier. Ainsi, 14% des dirigeants de PME et d’ETI interrogés prévoient d’accroître le nombre de leurs salariés au cours des six prochains mois, alors qu’ils ne sont « que » 11% à envisager au contraire de le baisser. Une tendance qui « devra être confirmée au second semestre pour que l’on puisse parler de réelle reprise de l’emploi », prévient l’Observatoire. L’indice d’investissement incite, lui aussi, à la prudence : à 108 points, un niveau certes qualifié de « correct » par l’Observatoire, il stagne cependant depuis le début de l’année.

Allemagne consommation : des doutes

Allemagne consommation : des doutes

Le consommateur allemand est plus circonspect à l’approche du mois de juillet, et ce pour la première fois depuis octobre, la question grecque commençant à atteindre son moral, a fait savoir jeudi le cabinet GfK. Son indice de mesure de la confiance du consommateur, sur la base d’un échantillon de 2.000 personnes, ressort à 10,1 contre 10,2 en juin, le consensus Reuters le donnant pour sa part inchangé à 10,2. Rolf Bürkl, analyste de GfK, explique que jusqu’à présent les discussions destinées à boucler le dossier grec ne semblaient pas destinées à avoir un impact durable sur la confiance, tout du moins jusqu’à ce que la possibilité d’une sortie de la Grèce de la zone euro devienne une hypothèse de travail plausible. « Du coup, le consommateur se prend à douter car on ne peut prédire actuellement quelles seraient les conséquences d’une sortie de la Grèce », dit-il, précisant que même la perspective d’une croissance plus soutenue de l’Allemagne au deuxième trimestre ne peut rien contre ce sentiment.

 

Programme de stabilité : doutes de Migaud.

Programme de stabilité : doutes de Migaud.

À l’issue du Conseil des ministres, le gouvernement a présenté le programme de stabilité devant la Commission des finances de l’Assemblée nationale. La première étape d’une longue séquence budgétaire qui s’achèvera à Bruxelles au début du mois de mai.  Conformément aux engagements européens de la France, ce plan doit ramener le déficit sous les 3% en 2015. Michel Sapin et Christian Eckert ont également annoncé que le pacte de responsabilité et de solidarité devrait permettre de générer 200.000 emplois supplémentaires d’ici à 2017. Un scénario pris avec des pincettes par le président du Haut Conseil des Finances Publiques, Didier Migaud. « Sur 2015, nous avons effectivement des interrogations, indique le premier président de la Cour des comptes. S’il estime que « l’hypothèse de croissance de 1.7% n’est pas hors d’atteinte », Didier Migaud assure que « la croissance peut ne pas être aussi riche en emplois que ne le prévoit le gouvernement ».  « Il y a également des interrogations sur le niveau de consommation en conséquence du revenu même des ménages, poursuit-il. Si la croissance est moins riche en emplois, bien évidemment, la masse salariale risque de ne pas être celle que calcule le gouvernement avec toutes les conséquences que cela peut avoir ». Le gouvernement est prévenu.

 

Municipales : les français ont des doutes sur la politique en général (Cosse-EELV)

Municipales : les français ont des doutes sur la politique en général (Cosse-EELV)

Pas très à laisse finalement la responsable des verts qui doit à la fois justifier la présence écolo au gouvernement et en même temps critiquer la politique menée. D’autant qu’il n’est pas certain que les verts demeurent dans ce gouvernement après l’éjection d Ayrault. Duflot a déjà annoncé qu’elle partirait si Valls devient Premier Ministre. Il ya d’autres raisons qui justifieraient un départ des verts, surtout leur faible influence sur la politique menée y compris en matière d’environnement. La secrétaire nationale d’Europe Ecologie-Les Verts, Emmanuelle Cosse, a exprimé sur RTL vendredi 28 mars des doutes sur la politique menée par la majorité, à laquelle sont parti appartient. « De nombreux électeurs de gauche ne se sont pas déplacés », a reconnu Emmanuelle Cosse sur RTL vendredi 28 mars, en réaction aux résultats décevants du premier tour des élections municipales. La patronne des Verts « espère » qu’il y aura « un sursaut électoral », et ce « quels que soient les sentiments [des Français] par rapport au gouvernement ». « Des personnes ont un doute très fort, sur la politique en général », estime Emmanuelle Cosse. Mais d’après elle, ce sont « les marqueurs envoyés par le gouvernement » qui « ne sont pas les bons ».  La secrétaire nationale d’Europe Ecologie-Les Verts a, par exemple, « toujours eu un énorme doute sur les 50 milliards d’euros d’économies« , envisagées par l’équipe de Jean-Marc Ayrault. Elle préférerait « qu’une partie des niches fiscales disparaissent ». »Le Président décide, mais il a une assemblée élue » pour travailler avec lui, rappelle Emmanuelle Cosse, qui croit savoir que « François Hollande a du mal à trouver mon téléphone ». Pour elle : « Il faut faire plus de social et d’écologie, et aller plus vite sur d’autres sujets, comme la fin de vie, ou les reformes institutionnelles comme la décentralisation. »

Sondage immobilier : doutes face à la densification du bâti

Sondage immobilier : doutes  face à la densification du bâti

6 Français sur 10 (60%) estiment que dans les grandes villes, surélever les immeubles « avec l’accord de la copropriété, en construisant un nouvel étage » à l’architecture adaptée, serait « efficace pour réduire le déficit de logements » du pays, selon une enquête IFOP pour le site Seloger.com, publiée mardi.  Parmi eux, 46% ont répondu « oui, plutôt » et 14% « oui, tout à fait », tandis que 40% des sondés étaient d’un avis contraire.  Et une proportion supérieure, près de 7 Français sur 10 (67%, dont 55% de « oui, plutôt » et 12% de « oui, tout à fait ») plébiscitent l’idée, « dans les villes plus petites », de « proposer aux propriétaires de vendre une partie de leur terrain pour y construire de nouveaux logements » adaptés à l’architecture existante. 33% pensent à l’inverse, que cette solution ne serait « pas efficace ».  Mais dans des proportions quasi identiques, les sondés ont estimé que la surélévation des immeubles « nuirait au paysage urbain » (66%), tout comme la construction sur des parties de terrains cédées par leur propriétaire (63%).  Et pour 77% d’entre eux, soit près de huit Français sur 10, la première solution créerait « une trop forte concentration de la population », tandis que 64% ont été de cet avis concernant la construction sur les terrains déjà bâtis.  Même si elles étaient « réalisables techniquement » et leur apportaient « un avantage financier », 55% des sondés n’accepteraient pas ces solutions. Mais a contrario, 45% y sont ouverts.

 

Syrie : doutes sur responsabilité personnelle de Bachar Al-Assad

Syrie : doutes sur responsabilité personnelle de Bachar Al-Assad

 

Selon  des écoutes de l’armée allemande révélées dimanche par le journal Bild, Bachar al-Assad n’aurait vraisemblablement pas approuvé personnellement l’attaque du 21 août. Le journal allemand rapporte que de hauts gradés de l’armée syrienne « réclament régulièrement depuis environ quatre mois des attaques chimiques au palais présidentiel à Damas (mais) ces demandes ont été toujours refusées, et l’attaque du 21 août n’a vraisemblablement pas été approuvée personnellement par Bachar al-Assad« . Le média s’appuie sur des écoutes effectuées par un navire allemand près des côtes syriennes. Bild n’est pas le seul journal à évoquer cette possibilité. La chaîne de télévision israélienne Channel 2 a également émis cette hypothèse, tout comme le journal américain The Times. Leur théorie repose sur l’idée que c’est le frère de Bachar, Maher al-Assad, qui aurait donné l’ordre des attaques chimiques. Il aurait agi ainsi en représailles à la tentative d’assassinat de son frère, et cela ne proviendrait pas d’une attaque stratégique du régime. Maher al-Assad est le chef d’une unité d’élite, dont l’effectif est estimé à environ 10.000 hommes, dont la base est située sur la base de la 4ème Division blindée de l’armée. Or, c’est de cet endroit que viendraient la plupart des bombardements.  Bachar al-Assad, lui, continue à réfuter être derrière l’attaque chimique du 21 août, a rapporté dimanche le journaliste de CBS qui l’a interviewé à Damas. « Il a nié avoir quelque chose à voir dans cette attaque« , a affirmé le journaliste Charlie Rose sur CBS. « La chose la plus importante qu’il ait dite, c’est qu’il n’y a pas de preuve que j’ai utilisé des armes chimiques contre mon peuple« , a ajouté le journaliste américain. Des extraits de l’interview avec le dirigeant syrien devaient être diffusés lundi matin par la chaîne, puis l’intégralité lundi soir sur une autre chaîne PBS.

 

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