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SONDAGE Popularité : 71 % des Français doutent du gouvernement

SONDAGE Popularité : 71 % des Français doutent du gouvernement

Selon une nouvelle enquête Elabe pour BFMTV, une grande majorité de Français se montrent sceptiques sur la capacité du gouvernement à répondre aux principaux problèmes du pays. Ils sont en effet 71% à considérer que le nouvel exécutif ne sera pas efficace sur ce sujet, contre 28% qui estiment qu’il sera efficace. Jamais l’opinion n’avait été aussi négative depuis le premier mandat d’Emmanuel Macron.

Dans le détail, ils sont nombreux à estimer que le nouveau gouvernement ne sera pas efficace pour réduire les inégalités sociales (77%), pour mener une bonne politique d’immigration (75%) ou encore pour améliorer le pouvoir d’achat (72%). Les Français sont malgré tout moins pessimistes sur la capacité du gouvernement à faire face à la pandémie de Covid-19 (44% d’entre eux jugent l’exécutif efficace sur ce sujet) alors que la septième vague se poursuit en France.

Alors que le gouvernement Borne 2 est composé et que la Première ministre a tenu son discours de politique générale devant les deux assemblées, les Français espèrent voir la majorité et l’opposition s’associer sur certains sujets.

Trois personnes interrogées sur quatre (75%) souhaitent que le gouvernement soit dans une démarche de compromis avec les partis politiques d’opposition, quitte à ce qu’il modifie son projet de politique initial. A contrario, ils sont 23% à souhaiter voir l’exécutif appliquer son programme sans rechercher de compromis avec les oppositions et ce, malgré l’absence de majorité absolue à l’Assemblée.

Cette démarche de compromis fait relativement consensus dans l’opinion puisqu’ils sont de 74% à 84% au sein des principaux électorats (Ensemble, Nupes, RN, LR/UDI et absentionnistes) à souhaiter un tel geste de la part du gouvernement et de 68% à 93% – selon les électorats – à vouloir que les oppositions adoptent la même posture.

 

Sondage confinements locaux : les Français doutent de l’efficacité

Sondage confinements locaux : les Français doutent de l’efficacité

 

Selon l’enquête Odoxa-Backbone consulting pour franceinfo et Le Figaro publiée mercredi ,65% se disent favorables à la mise en place de confinements locaux le week-end dans les départements en surveillance renforcée pour l’épidémie de Covid-19, mais ils sont nombreux à douter de leur efficacité.

 

La mesure suscite un accueil nettement plus mitigé dans les départements sous surveillance renforcée, pour certains déjà concernés par des mesures de confinement : les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, la Drôme, l’Essonne, l’Eure-et-Loir, les Hauts-de-Seine, la Meurthe-et-Moselle, la Moselle, le Nord, l’Oise, Paris, le Pas-de-Calais, le Rhône, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, la Somme, le Val-de-Marne, le Val-d’Oise, le Var et les Yvelines. Seulement 53% des habitants de ces départements se disent favorables à un confinement local le week-end.

Globalement, les Français ne rejettent pas cette mesure, mais restent sceptiques sur son efficacité. 63 % pensent qu’elle est « largement insuffisante » au regard de la situation sanitaire actuelle et surtout, ils sont 66% à penser qu’elle aurait dû être décidée plus tôt. Près d’un Français sur deux (45%) estime que cette mesure ne sera pas efficace et qu’elle serait trop contraignante (49%). Les habitants des départements concernés sont encore plus sévères : 51% la jugent « inefficace » et 53% « trop contraignante ».

Reconfinement : les Français pour…. mais doutent de Macron

Reconfinement : les Français pour…. mais doutent de Macron

Selon étude Odoxa-Dentsu Consulting réalisée pour Le Figaro et France Info,  les Français approuvent à 70 % le reconfinement. Plus de la moitié des sondés (51%) d’entre eux affirment par ailleurs avoir été convaincus par l’allocution prononcée mercredi soir par Emmanuel Macron. C’est 9 points de plus que lors de l’annonce du couvre-feu, il y a deux semaines, mais 14 points de moins que pour l’instauration du premier confinement en mars dernier.

75% estiment aussi que le chef de l’État a été clair et qu’il a montré qu’il comprenait les préoccupations des citoyens. En revanche, une majorité d’entre eux (54%) ne pensent pas que le président «a montré qu’il savait où il allait».

Sondage Macron :un bond de 13 points mais plus de 70% doutent de se capacités gérer la crise !

Sondage Macron :un bond de 13 points mais plus de 70% doutent  de se capacités  gérer la crise !

 

 

Les sondeurs ont un peu de mal pour expliquer comment le chef de l’État peut avoir fait un bon de 11 à 13 % dans l’opinion alors que  de moins en moins de Français le croient capable de gérer la crise (seulement 29 %) . Il y a une sorte de mystère qui peut aussi s’expliquer par le soutien de grands médias à Macron très bousculé par cette crise sanitaire et sans doute par la crise économique qui suivra. On observera le grand flou des explications des sondeurs.

« Les sondages contiennent beaucoup d’éléments contradictoires, consent Frédéric Micheau, directeur du département Opinion pour Opinionway. Les cotes de confiance d’Emmanuel Macron et d’Edouard Philippe ont connu un bond. Dans le même temps, la défiance à l’égard de leur gestion de crise ne cesse de progresser. » Ce hiatus est en train de se résoudre… au détriment de l’exécutif. « Depuis le milieu de semaine dernière, la défiance progresse et les cotes de popularité stagnent », note Frédéric Micheau.

Pour Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop, ces paradoxes sondagiers sont bien la preuve que les Français répondent aux questions qu’on leur pose : « Il y a une différence entre satisfaction et approbation. Le premier renvoie à ce réflexe qui consiste à faire bloc autour de la figure présidentielle, le second pose la question de la gestion au jour le jour. »

Bruno Cautrès, chercheur au Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), en appelle à la même prudence dans la lecture des questions posées par les instituts : « Il faut différencier l’appréciation générale du jugement sectoriel de l’action publique. Tout le monde a à cœur de dire qu’il faut se serrer les coudes mais quand vous êtes interrogé sur la gestion elle-même de la crise, vous ne jugez plus seulement la figure présidentielle, vous repensez aux cafouillages du gouvernement. »

L’opinion tient pour le moment sur un réflexe patriotique. Ce qu’analyse Chloé Morin, experte à la Fondation Jean-Jaurès : « Au fond, en dehors du socle d’inconditionnels du Président, la quille du bateau qui empêchera un basculement ou un ballottement désordonné, le réflexe de soutien ne repose pas sur une adhésion spontanée. » Tout est très volatil, poursuit-elle : « Les opinions varient en fonction des questions posées. Cela souligne combien le socle de soutien gouvernemental est fragile et pétri de doutes. »

« Les Français envoient autant de signaux qu’ils reçoivent de consignes contradictoires de la part de l’exécutif », sourit Bruno Cautrès. Le chercheur du Cevipof juge « mauvaise » la communication du gouvernement : « Jusqu’à samedi et la conférence de presse menée par Edouard Philippe et Olivier Véran, on observait deux tuyaux de communication, celui alimenté par les gens sérieux (le Premier ministre, le ministre de la Santé, le directeur général de la santé) et celui des amateurs (Didier Guillaume, Sibeth Ndiaye). Pendant quinze jours, les Français se sont retrouvés pris au milieu d’injonctions contradictoires. » Or, cette instabilité accroît les inquiétudes et les sentiments mêlés.

Confinés pour une durée indéterminée, les Français lisent, écoutent et discutent tout. Pour Paris Match et Sud Radio, l’Ifop les interroge tous les mois sur leurs sujets de conversation. Dans la livraison parue mardi soir (où Emmanuel Macron enregistrait un bon de popularité de 13 points à 46 %), au moins la moitié des personnes interrogées reconnaissait avoir parlé de douze sujets (confinement, pénurie de masques, décès de médecins…). Onze concernent l’épidémie de Covid-19 et ses conséquences. « Les Français sont inquiets et surinformés », constate Frédéric Dabi. « Dans un tel contexte, la communication surdéveloppée ne produit pas immédiatement des effets de réconfort. D’autant que la rhétorique guerrière employée par Emmanuel Macron peut être anxiogène », ajoute Frédéric Micheau d’Opinionway.

Les Bourses doutent de l’effet Trump

Les Bourses doutent de l’effet  Trump

 

Les bourses sont versatiles, c’est bien connu et c’est même sur ce caractère que les spéculateurs font leur business. L’euphorie d’après élection aux États-Unis semble maintenant doucement disparaître. Du coup, la bourse américaine recule. On avait sans doute trop misé sur l’effet immédiat des les annonces intempestives de Trump dans tous les domaines et en particulier concernant la croissance. On prend maintenant conscience que Trump n’était pas du tout préparé à assurer les difficiles fonctions de président. En effet les premières mesures qu’il a souhaité prendre dans différents domaines se sont heurtés aux réalités voire ont été contestées  par la justice. Pas sûr qu’il puisse même mettre en œuvre le quart de ce qu’il avait annoncé. De plus Trump est  davantage dans une posture de candidat à l’élection que dans le positionnement de président en charge des responsabilités. Son amateurisme discrédite de plus en plus les retombées économiques des annonces de l’ancien candidat Les principales Bourses européennes ont donc clôturé dans le rouge mardi et Wall Street évolue en nette baisse, les investisseurs s’interrogeant sur la capacité de Donald Trump à mener à bien ses réformes très attendues de soutien à l’activité, tandis que le reflux du risque politique en Europe a porté l’euro à plus de 1,08 dollar. Le CAC 40 a reculé de 0,19%, à 5.002,43 points, après être tombé en séance sous le seuil des 5.000 points. L’indice parisien a pourtant touché dans la matinée un plus haut depuis le 11 août 2015. A Francfort, le Dax a cédé 0,75% et à Londres, le FTSE a reculé de 0,69%. L’indice EuroStoxx 50 a clôturé en baisse de 0,23%, le FTSEurofirst 300 a perdu 0,52% et le Stoxx 600 a abandonné 0,53%. En hausse à la mi-séance, les marchés d’actions européens sont retombés dans le rouge avec Wall Street, où l’indice Dow Jones recule de 0,81%, le S&P 500 de 0,88% et le Nasdaq de 1,26%. Les difficultés rencontrées par Donald Trump sur la réforme du système de santé Obamacare font peser un doute sur la capacité du président américain à faire passer à l’avenir ses autres réformes, notamment celle sur la fiscalité. « Le mouvement de vente sur les actions (américaines), mené par les valeurs financières et industrielles, suggère que les investisseurs sont peut-être moins confiants dans le fait que les annonces de l’administration Trump en faveur de la croissance seront mises en place rapidement », observe Mohamed El-Erian, économiste chez Allianz. Donald Trump a brièvement rencontré mardi des élus républicains au Congrès afin de resserrer les rangs de sa majorité autour de son projet de refonte de l’Obamacare, la réforme de l’assurance maladie mise en place par son prédécesseur, qui constitue le premier grand test législatif de son mandat. Ces inquiétudes sont propices à des prises de bénéfices sur les marchés d’actions américains, alors que le Nasdaq a touché mardi un nouveau plus haut historique en début de séance, à 5.928,06 points. La séance avait pourtant démarré favorablement sur les marchés en Europe, après le débat de lundi soir entre les cinq principaux candidats à l’élection présidentielle française qui a semblé rassurer les investisseurs sur le risque politique entourant la course à l’Elysée. Les valeurs bancaires en ont profité et ont longtemps soutenu la progression des Bourses européennes. L’indice sectoriel des banques européennes a finalement clôturé en hausse de 0,15%. A Paris, BNP Paribas, Société générale et Crédit agricole ont affiché des progressions allant de 0,29% à 1,64%. L’apaisement des craintes autour de l’élection présidentielle française s’est aussi traduit par une nette progression de l’euro et un resserrement de l’écart de rendement entre les obligations françaises et allemandes à 10 ans. La devise européenne évolue à 1,0820 dollar, à son plus haut niveau depuis début février. « Toute nouvelle entre maintenant et l’élection française le mois prochain qui suggérerait un moindre risque de victoire de Marine Le Pen devrait constituer un soutien pour l’euro », indique Omer Esiner, responsable de l’analyse marchés chez Commonwealth Foreign Exchange à Washington. De son côté, le dollar recule face à un panier de devises de référence, son indice repassant sous le seuil de 100 pour la première fois depuis début février. Sur les marchés pétroliers, les cours du brut sont repartis à la baisse, le baril de Brent de la mer du Nord cédant près de 1% à 51,13 dollars et celui du brut léger américain reculant de 1,4%, à moins de 48 dollars. L’aversion pour les actifs risqués favorise un retour vers l’or et les marchés obligataires. Le métal jaune gagne 0,87% à 1.243,56 dollars l’once, tandis que les rendements des obligations américaines sont tombés à des plus bas de trois semaines. Parmi les autres valeurs en Europe, Deutsche Bank a gagné 4,29% au-dessus de son cours théorique hors droits de souscription après le lancement de son augmentation de capital de huit milliards d’euros. L’opération sera close le 6 avril.

Dopages sportifs : 73% des Français doutent

Dopages sportifs : 73% des Français doutent

-Un récent sondage met en valeur le soupçon qui pèse sur les sportifs en matière de dopage. Un phénomène cependant qui n’est pas nouveau mais qui semble s’amplifier notamment en raison de la notoriété et des sommes en jeu. On pourrait ajouter que le dopage ne concerne pas seulement le milieu professionnel mais qu’il touche aussi nombre  de sportifs amateurs drogués aussi à la recherche de performance. Le cyclisme figure en tête des sports les plus concernés par le dopage même si la fédération française de cyclisme a fait un très gros effort pour limiter ce phénomène ; ce qui par parenthèse pourrait expliquer aussi les résultats relativement médiocres des Français par rapport à des équipes étrangères. Selon un sondage Odoxa pour RTL et Winamax, près de trois personnes interrogées sur quatre affirment qu’elles doutent de l’honnêteté des performances des sportifs. Une perte de confiance qui peut s’expliquer par les nombreux grands champions ayant été impliqués dans ce genre d’affaires. Le cyclisme a beaucoup fait parler de lui en termes de dopage ces dernières années. L’affaire « Festina » et le retrait de nombreux titres dont a été sanctionné Lance Armstrong ont terni l’image du vélo. Ainsi, 94% des Français pensent que ce domaine est touché par le dopage. Il serait le premier sport à en souffrir. En deuxième lieu, l’athlétisme85% des Français affirment que cette discipline est gangrenée par le dopage. Suivent le football (65%) et le tennis (59%). Enfin de nombreuses affaires de dopage sont expliquées par des prises de médicaments considérés comme produits interdits. Ainsi, la question des Autorisations à usage thérapeutique divise les Français. Seule une personne interrogée sur deux considère qu’il ne faut pas les interdire.

(Avec RTL)

Sondage-Loi travail: les cadres doutent

Sondage-Loi travail: les cadres doutent

 

 

Selon un sondage Viavoice pour HEC, Le Figaro et France Inter publié lundi. 62% des cadres interrogés, la réforme du droit du travail n’aura «pas d’impact positif sur l’activité» à l’échelle macroéconomique, tandis que 66% d’entre eux pensent qu’elle «ne favorisera pas la création d’emplois en France», détaille cette étude. Ils doutent encore plus de ses effets au niveau microéconomique: pour 75% des cadres du secteur privé, la loi El Khomri n’aura pas d’impact sur l’économie de leur propre entreprise, ni sur l’emploi à cette échelle pour 78% d’entre eux. Le jugement sur le texte est contrasté: 45% estiment qu’il «va trop loin en remettant trop en cause le droit des salariés», 26% au contraire qu’il «ne va pas assez loin et ne permettra pas vraiment d’assouplir le code du travail». Seuls 15% considèrent le texte «équilibré». Malgré ces doutes, le moral des cadres est nettement remonté le mois dernier: l’indice global, utilisé par l’institut Viavoice à partir d’un panel récurrent de questions, a bondi de 8 points, passant de -35 en février à -27 en mars. «L’indice retrouve un niveau qu’il n’avait pas connu depuis début 2011», relève Viavoice. Cette amélioration s’explique par un «regain de confiance en matière de conjoncture et d’emploi». Ainsi, 46% des cadres pensent que le nombre de chômeurs va augmenter, contre 62% en février. Ils sont également un peu moins nombreux à croire que le niveau de vie des Français va se dégrader (42% contre 47%), de même que leur situation financière personnelle (30% contre 33%). Sondage réalisé en ligne du 18 au 22 mars auprès d’un échantillon représentatif de 400 cadres selon la méthode des quotas appliquée aux critères suivants: sexe, âge, statut d’activité (salariés du secteur public ou du secteur privé).

Sondage : Les Français doutent des mesures antiterroristes du gouvernement

Sondage : Les Français doutent des mesures antiterroristes du gouvernement

Les Français ne sont pas dupes, certes ils approuvent à une majorité écrasante la mesure de déchéance de la nationalité. Pour son symbole sans doute mais aussi pour l’espoir que cette disposition constitutionnelle nouvelle pourra influencer le retour régalien dans le domaine du terrorisme et peut-être plus généralement dans celui de la criminalité. En bref on approuve l’orientation tout en nous nourrissant le plus grand doute sur l’efficacité des mesures concrètes qui pourraient en découler. Dans la lutte contre le terrorisme, une majorité de Français juge donc  favorablement l’exécutif tout en se montrant dubitative sur l’efficacité des mesures proposées. C’est ce qui ressort d’un sondage Elabe* pour BFMTV diffusé mercredi.  A la question « François Hollande et le gouvernement de Manuel Valls mettent-ils en œuvre tous les moyens nécessaires à la lutte contre la menace terroriste en France ? », 53% des personnes interrogées répondent en effet par l’affirmative, contre 46% qui sont d’un avis contraire. Les sympathisants de gauche sont les plus positifs, avec 82% d’avis favorables, et 92% pour les seuls proches du Parti socialiste. Ceux de droite ont une opinion beaucoup plus négative, avec seulement 48% d’avis positifs, et 38% chez les proches des seuls Républicains. Les Français sont en revanche sceptiques sur l’efficacité des mesures mises en œuvre. Pour 53% d’entre eux, « la lutte contre la menace terroriste menée par François Hollande et le gouvernement de Manuel Valls n’est « pas efficace », contre 47% d’un avis contraire. Le même clivage politique persiste, avec 72% des sympathisants de gauche, et 83% de ceux du PS, qui la jugent « efficace ». Mais seulement 42% de sympathisants de droite, et 34% de ceux des seuls Républicains, sont de cet avis. L’exécutif propose d’inscrire l’état d’urgence et la déchéance de nationalité dans la Constitution. Il va également présenter « début février » un nouveau projet de loi antiterroriste, a indiqué Manuel Valls mercredi sur BFMTV. Les principales mesures du texte concernent un assouplissement des règles d’engagement armé des policiers, un dispositif de contrôle administratif des personnes de retour du djihad en Syrie et en Irak, un élargissement des conditions de fouilles de bagages et des perquisitions de nuit, ou encore un accès facilité pour les parquets et les juges d’instruction aux interceptions électroniques.

Sondage Croissance : les directeurs financiers des entreprises doutent de la reprise

Sondage  Croissance : les directeurs financiers des entreprises doutent de la reprise

Les directeurs financiers ne semblent pas encore complètement convaincus de la reprise. D’autant que l’économie fait du yo-yo ( en France mais aussi au plan international). Après une  embellie au premier trimestre 2015 ( +0.6% du PIB pour 0.3% par exemple en Allemagne) ,  le second trimestre sera moins bon (entre 0.3 et 0.4%). Face aux incertitude sur la demande , c’est le renforcement de la compétitivité qui est souvent privilégiée. Des investissements de productivité avant des investissements de capacité. Après un regain d’optimisme enregistré en 2014, le 5e baromètre des directeurs financiers publié la semaine dernière par le cabinet Deloitte montre une prudence renforcée vis-à-vis de la situation économique de la France et de l’Europe pour investir et embaucher. Ainsi, 59% des directeurs financiers se déclarent prudents sur les perspectives économiques de la France, contre 53% en avril 2014 et 57% en avril 2013. Une tendance qui peut s’expliquer par le fait qu’au quatrième trimestre 2014, le PIB en volume a été étale, estime Deloitte. Néanmoins, les entreprises vont mieux et leurs directeurs financiers sont plus optimistes sur l’évolution de la marge et du chiffre d’affaires à court terme. En effet, environ 66% d’entre eux sont confiants et estiment que leur marge restera stable ou meilleure dans les 12 prochains mois.  La prudence conduit toutefois à privilégier très nettement la maîtrise des coûts en Europe pour 60% des directeurs financiers. Les stratégies d’expansion alliant croissance (51% contre 67% en 2014) et introduction de nouveaux produits (40% contre 42%) en 2014 sont également sur le podium bien qu’en net retrait par rapport à l’année passée. Le développement du capital humain (18%) émerge comme une priorité stratégique devant les investissements (17%), qui restent au même niveau qu’en avril 2014.

Sondage Macron : les patrons doutent

Sondage Macron : les patrons doutent

 

Les patrons sont moins enthousiastes que l’opinion générale à l’égard de Macron. Ils ont sans doute raison car Macron vit aujourd’hui sur sa posture de nouveau ministre qui veut faire de réformes. Vis-à-vis du Hollande, ringard et   discrédité,  il apparait forcément plus réformateur. En fait comme la loi Macron est une fourre tout finalement sur de questions assez accessoires l’opinion générale a du mal  à apprécier l’enjeu de cette loi. Pas les patrons qui connaissent mieux l’économie réelle et qui doutent. Ils savent évidemment que cette loi Macron n’est pas à la hauteur de l’enjeu, comme ils savent que la question de la fiscalité et des procédures bureaucratique sont loin d’être réglées. Des patrons qui ne veulent se contenter d’intentions mais qui veulent d’actes. D’où sans doute auusi leurs réticences à s’engager dans le pacte de responsabilité (pas encore en application) eu égard à l’environnement déprimé notamment sur le plan économique.   En attendant, seulement 44% des dirigeants lui font confiance pour prendre des mesures en faveur des ETI, et ils sont 43 % à penser qu’il est capable de le faire pour les PME, selon le baromètre OpinionWay pour BFM Business (1) publié ce lundi 15 décembre.  Ils ne sont pas plus confiants quant au développement des entreprises françaises : 40% des dirigeants pensent que le ministre de l’Economie peut le favoriser. Quant à l’allégement de la fiscalité, ils sont très pessimistes, puisque seulement 24% des patrons lui accordent leur confiance pour y parvenir.  Pour Charles-Henri d’Auvigny, directeur général adjoint d’OpinionWay, cette défiance serait principalement due au calendrier : « pour l’instant les mesures qu’il (Emmanuel Macron, ndlr) a proposé ne sont pas encore entrées en application. Par ailleurs le pacte de responsabilité qu’il doit porter, n’est pas non plus encore mis en application », avance-t-il. Pour rappel, le pacte de responsabilité, présenté il y a tout juste un an, doit faire bénéficier les entreprises de 40 milliards d’allégements d’impôts sur trois ans. Ainsi la première vague de baisse de prélèvement doit intervenir l’année prochaine, pour les salaires compris entre 1 et 1,6 Smic, pour un montant de 5,5 milliards d’euros. Et plusieurs mesures de réduction de la fiscalité des entreprises n’entreront en vigueur qu’à partir de 2016. « Concrètement, le chef d’entreprise lui voit des mesures qui viennent complexifier sa gestion quotidienne, comme le compte pénibilité, et par contre derrière, les autres mesures qui doivent venir simplifier sa vie, il ne les voit pas ou peu », poursuit  Charles-Henri d’Auvigny. C’est ainsi que seulement 37% des patrons pensent qu’Emmanuel Macron est en mesure de simplifier les démarches administratives qui paralysent les entreprises. De même, ils ne sont que 36% à penser qu’il va apporter de la flexibilité dans le marché de l’emploi.

 

Sondage Centrafrique : les français doutent

Sondage Centrafrique : les français doutent

 

Un sondage sur plus de 10 000 personnes effectué par Orange met en lumière le doute qui habite les français vis à vis de cette opération.

L’opération en Centrafrique :

 

C’est une bonne chose. Cela prendra du temps, mais notre armée rétablira l’ordre dans ce pays. (923 votants)

9.2%

Pourquoi pas ? Mais la France devrait apprendre à concrétiser son activisme militaire en contrats économiques, comme savent le faire les Américains. (1944 votants)

19.4%

Franchement, à quoi sert cette intervention en période de restriction du budget militaire et alors que l’on sait qu’une fois nos armées parties ces pays replongent dans le désordre ? (4289 votants)

42.8%

Que chaque pays se mêle de ses affaires et ne vienne pas s’immiscer dans celles des autres. Notre présence à Bangui est inutile, voire dangereuse. (2855 votants)

28.5%




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