Archive pour le Tag 'doucement'

France : vers un climat tropical

CHALEUR : La France glisse doucement vers un climat tropical

La France glisse doucement vers un climat tropical et devrait s’adapter au réchauffement qui pourrait atteindre les 4 degrés, voilà l’objet de la consultation lancée ce 23 mai par l’exécutif, pour définir à quel scénario la France doit se préparer en matière de réchauffement climatique à la fin du siècle. Certaines zones particulièrement exposées (arc méditerranéen, couloir rhodanien, vallée de la Garonne) pourraient connaître jusqu’à 90 nuits tropicales par an.

Le dernier rapport du Giec a lui estimé en mars que le réchauffement climatique atteindrait la barre des 1,5°C au niveau mondial dès 2030-2035.

L’année 2022, la plus chaude jamais enregistrée en France depuis 1900, avec l’été le plus chaud jamais enregistré en Europe.

Ce qui se passe dans les Pyrénées-Orientales présage de ce qui va se passer dans d’autres départements donc, non seulement c’est un sujet pour les producteurs de ce territoire, mais c’est évidemment un enjeu pour toute l’agriculture française

Des bouleversements climatiques, aux conséquences graves. Souvenez-vous des témoignages, recueillis par les équipes de France 3, des habitants des quatre communes privées d’eau potable au mois dans les Pyrénées-Orientales.

Température:La France glisse doucement vers un climat tropical

Température:La France glisse doucement vers un climat tropical

La France glisse doucement vers un climat tropical et devrait s’adapter au réchauffement qui pourrait atteindre les 4 degrés, voilà l’objet de la consultation lancée ce 23 mai par l’exécutif, pour définir à quel scénario la France doit se préparer en matière de réchauffement climatique à la fin du siècle. Certaines zones particulièrement exposées (arc méditerranéen, couloir rhodanien, vallée de la Garonne) pourraient connaître jusqu’à 90 nuits tropicales par an.

Le dernier rapport du Giec a lui estimé en mars que le réchauffement climatique atteindrait la barre des 1,5°C au niveau mondial dès 2030-2035.

L’année 2022, la plus chaude jamais enregistrée en France depuis 1900, avec l’été le plus chaud jamais enregistré en Europe.

Ce qui se passe dans les Pyrénées-Orientales présage de ce qui va se passer dans d’autres départements donc, non seulement c’est un sujet pour les producteurs de ce territoire, mais c’est évidemment un enjeu pour toute l’agriculture française

Des bouleversements climatiques, aux conséquences graves. Souvenez-vous des témoignages, recueillis par les équipes de France 3, des habitants des quatre communes privées d’eau potable au mois dans les Pyrénées-Orientales.

La France glisse doucement vers un climat tropical

La France glisse doucement vers un climat tropical

La France glisse doucement vers un climat tropical et devrait s’adapter au réchauffement qui pourrait atteindre les 4 degrés, voilà l’objet de la consultation lancée ce 23 mai par l’exécutif, pour définir à quel scénario la France doit se préparer en matière de réchauffement climatique à la fin du siècle. Certaines zones particulièrement exposées (arc méditerranéen, couloir rhodanien, vallée de la Garonne) pourraient connaître jusqu’à 90 nuits tropicales par an.

Le dernier rapport du Giec a lui estimé en mars que le réchauffement climatique atteindrait la barre des 1,5°C au niveau mondial dès 2030-2035.

L’année 2022, la plus chaude jamais enregistrée en France depuis 1900, avec l’été le plus chaud jamais enregistré en Europe.

Ce qui se passe dans les Pyrénées-Orientales présage de ce qui va se passer dans d’autres départements donc, non seulement c’est un sujet pour les producteurs de ce territoire, mais c’est évidemment un enjeu pour toute l’agriculture française

Des bouleversements climatiques, aux conséquences graves. Souvenez-vous des témoignages, recueillis par les équipes de France 3, des habitants des quatre communes privées d’eau potable au mois dans les Pyrénées-Orientales.

L’objectif du gouvernement est d’harmoniser les politiques d’adaptation à ce changement. Cela concerne notamment les infrastructures publiques, les réseaux d’eau qui vont devoir drainer des quantités plus importantes. Mais aussi les routes qu’il faut protéger à tout prix pour laisser passer les secours.

Face à cela, le gouvernement français, propose trois chantiers. Le premier visera à mettre à jour les différents référentiels sur lesquels s’appuient les autorités pour anticiper les effets du réchauffement. Le deuxième sera un plan d’accompagnement des collectivités locales tandis que le troisième lancera des études de vulnérabilité pour adapter l’activité économique.

La transition écologique pourrait-être financée, en partie, par les plus aisés ? Le gouvernement ne semble pas s’accorder sur la question. Bruno Lemaire excluait totalement cette hypothèse sur RTL le 23 mai, lorsque Christophe Béchu semblait ouvrir cette porte au micro de Franceinfo :

Déconfinement : «doucement  » ! Olivier Véran

Déconfinement : «doucement   » !  Olivier Véran

 

D’un côté, le président du comité scientifique considère que la crise sanitaire est maîtrisée, ce qui est loin d’être le cas même si la tendance des contaminés  est nettement à  la baisse; dans le même temps, le ministre de la santé recommande d’aller doucement en matière de déconfinement . En l’état de la dégradation économique du pays, il semble bien que les forces en faveur du déconfinement militent fortement pour un assouplissement des règles qui permettraient aux pays de se redresser.

«La situation s’est améliorée et continue de s’améliorer (mais) il est trop tôt pour relâcher en aucune manière notre vigilance», a jugé le ministre lors d’un déplacement à Argenteuil (Val d’Oise) dans un centre de tests de dépistage. «Je comprends évidemment les demandes, les attentes, l’impatience qui peut s’exprimer d’avoir la capacité de reprendre notre vie normale au plus vite», a-t-il souligné. Mais «entre le moment où on prend une décision de levée du confinement et le moment où on peut avoir un impact sur l’épidémie, il faut 10 à 15 jours», a-t-il aussitôt prévenu, en référence à la phase 2 du déconfinement débutée le 2 juin.

Quatre semaines après la levée du confinement, le 11 mai, et près d’une semaine après le début de la deuxième phase du déconfinement, le 2 juin, l’épidémie continue de marquer le pas. Les indicateurs comme le nombre d’hospitalisations sont en baisse régulière et le bilan quotidien de morts à l’hôpital annoncé dimanche (13) était le plus faible depuis la mi-mars. Pour autant, certaines mesures de restriction sont toujours appliquées, comme l’obligation d’un protocole sanitaire strict dans les écoles ou l’interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes dans l’espace public.

Un énorme plan de soutien à la filière aéronautique

Il faudra sans doute un énorme plan de soutien à la filière aéronautique qui souffre  évidemment de la situation désastreuse des compagnies aériennes . Pratiquement aujourd’hui certains constructeurs ne livrent plus d’avions, les commandes sont décalées voir annulées. On sait que la vente de matériel aéronautique notamment Airbus fait souvent la différence en matière d’échanges commerciaux en tout cas atténue de déficit structural commercial de la France.. Le secteur est technologiquement et économiquement important , il concerne environ 200 000 salariés mais en fait travailler cinq fois plus en tenant compte la totalité de la branche aérienne. Pour sauver Airbus (qui n’est pas seulement française mais européenne) le gouvernement a déjà accordé  une aide de 7 milliards à Air France. Une bonne dizaine de milliards seront  doute nécessaire pour permettre à l’avionneur de passer le cap du quasi gel des commandes. On ne peut cependant se réconforter avec la situation sans doute encore plus dramatique de Boeing qui ajoute des difficultés techniques de son 737 à la situation générale dégradée.

On sait que le processus de construction des avions modernes est particulièrement complexe et celui-ci ntégre  une myriade d’équipementiers surtout dans le sud-ouest qui font tourner nombre de régions. La crise est telle que la «survie d’Airbus est en jeu», selon son patron Guillaume Faury. Et avec celle du mastodonte aux 48.000 salariés en France, celle d’une myriade d’équipementiers, souvent des PME ou entreprises de taille intermédiaire à la trésorerie flageolante. L’avionneur européen, qui a réduit ses cadences d’environ 30%, se targue de passer chaque année pour 12,5 milliards d’euros de commandes auprès de 10.000 industriels en France.

Le plan devrait donc comprendre un fonds de recapitalisation pour les entreprises en difficulté, doté de plusieurs centaines de millions d’euros, abondé notamment par les grands du secteur (Airbus, Safran, Dassault et Thales), BPIFrance ou encore le fonds ACE Management (filiale de Tikehau), selon plusieurs sources proches du dossier. Dans un rapport, le député de Haute-Garonne Mickaël Nogal préconise qu’il soit financé aussi par les collectivités et des investisseurs privés «à hauteur d’un milliard d’euros» au total et qu’il soit «opérationnel le plus rapidement possible au regard de l’urgence». Les garanties exports à un secteur bénéfique pour la balance commerciale pourraient également être renforcées. L’idée serait aussi de réduire l’ampleur du trafic aérien dans l’espace domestique au moins européen. Par ailleurs, le transport aérien aurait un urgent besoin de ce reverdir pour atténuer les atteintes à  l’environnement notamment en matière de consommation de carburant et donc de pollution. Pas sûr cependant que cet avion puisse prendre un temps prendre le relais des appareils actuellement sur les chaînes de production.

Un autre volet du plan concerne le soutien à la recherche et développement, poste budgétaire dans lequel les entreprises ont tendance à tailler en période de difficulté. Il permettra d’avancer vers des avions émettant moins de gaz à effet de serre et de moderniser l’outil industriel. «Le bras armé dans l’aéronautique pour aller vers un avion plus vert, c’est le Corac», le Conseil pour la recherche aéronautique civile qui regroupe tous les acteurs du secteur, selon une source proche du dossier. Son budget annuel est actuellement de 135 millions d’euros mais des «sommes assez considérables ont été demandées», selon elle.

Cafés, restaurants, tourisme … ça va repartir mais doucement

Cafés, restaurants, tourisme … ça va repartir mais doucement

L’activité de secteur victimes de fermeture administrative va forcément repartir puisque le chiffre d’affaires était souvent proche de zéro pendant la période de confinement. Le problème c’est que le redémarrage risque d’être progressif. D’abord parce qu’il n’est pas certain que les chefs d’entreprises puissent supporter la totalité des charges de personnel habituel avec une clientèle plus réduite. Ensuite parce que cette même clientèle ne va peut-être pas se précipiter dans certain lieux qui en dépit des mesures d’hygiène comporteront des risques de confinement. Globalement en dépit des efforts des commerçants, on va manquer de place et de moyens pour faire respecter des règles d’hygiène particulièrement rigoureuses et complexes . le déconfinement risque d’abord de profiter aux lieux naturels, jardins, terrasses et autre espaces publics.

De la même manière les transports publics n’ont pas retrouvé immédiatement leur clientèle habituelle pour les raisons déjà évoquées précédemment.

Pour permettre ces déplacements, le secrétaire d’Etat aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a annoncé dimanche que « 100% de l’offre » de la SNCF serait commercialisée à partir de la « mi-juin », avec la levée de la restriction d’un siège sur deux occupé. À noter que paradoxalement il n’y aura pas de restriction d’espace pour le transport aérien ! Un avantage pour compagnie mais sans doute une inquiétude pour certains voyageurs.

En revanche, l’attestation pour prendre les transports en commun aux heures de pointe en Ile-de-France sera obligatoire « au moins jusqu’au 22 juin« .

Parallèlement aux incertitudes concernant la reprise des activités de loisirs et de tourisme se pose la question de la reprise de l’emploi qui n’est pas forcément compatible avec une prise en compte d’objectifs de d’environnement et de maintien du pouvoir d’achat, donc de consommation et de croissance.

Taxe Gafa : ça avance …. Doucement à l’OCDE

Taxe Gafa : ça avance …. Doucement à l’OCDE

On se souvient que plusieurs Etats dont la France ont manifesté leur intention de taxer les GAFA dont la plus grand partie de l’activité échappe aux fiscalités nationales. L’Europe a tenté de se saisir du dossier renvoyé à la plus conciliante OCDE notamment sur pression de l’Allemagne qui veut éviter les mesures de rétorsion des Etats Unis. Le principe semble acquis à l’OCDE mais reste à déterminer les conditions et surtout l’ampleur.

L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a proposé mercredi une réforme en profondeur de la fiscalité transfrontalière qui devrait donner aux Etats davantage de marges de manœuvre pour taxer les grandes entreprises internationales, notamment les géants du numérique comme Google ou Facebook. /

Ces nouvelles règles s’appliqueraient aux entreprises disposant d’un chiffre d’affaires supérieur à 750 millions d’euros et ayant une interaction “durable et importante” auprès du grand public dans un pays donné, qu’elles aient ou non une présence physique sur son territoire.

Les entreprises remplissant ces conditions pourraient être soumises à un impôt dont le taux, basé sur les bénéfices, reste à négocier.

L’essor des géants du numérique a exposé les limites du système actuel, ces entreprises étant en mesure de comptabiliser leurs bénéfices et d’enregistrer leurs brevets et marques déposées dans des pays à la fiscalité la plus favorable, comme l’Irlande, quel que soit l’endroit où elles réalisent leur activité.

En janvier, 134 pays et territoires se sont entendus sur la nécessité de réformer des règles fiscales instaurées pour l’essentiel dans les années 1920 et ont chargé l’OCDE de leur soumettre des propositions.

L’urgence est d’autant plus vive que, en l’absence de consensus international, certains pays comme la France ont commencé à mettre en place leurs propres dispositifs pour taxer les géants du numérique.

“Le système actuel est sous tension et ne survivra pas si nous ne supprimons pas ces tensions”, a dit à la presse Pascal Saint-Amans, responsable de la politique fiscale au sein de l’OCDE.

Il a estimé que les propositions présentées mercredi auraient dans de nombreux pays un impact de quelques points de pourcentage sur le niveau de l’impôt sur les sociétés et qu’elles ne feraient pas beaucoup de grands perdants.

Si des pays comme l’Irlande et les paradis fiscaux peuvent s’attendre à souffrir, les grands marchés comme les Etats-Unis ou la France devraient en revanche bénéficier d’une telle réforme.

A Paris, on juge que les propositions de l’OCDE constituent “une base de travail prometteuse”, a déclaré mercredi une source à Bercy.

Les critères définis par l’OCDE signifient que les entreprises sujettes à cette taxation ne seraient pas seulement les géants du numérique mais aussi les multinationales de la grande consommation, comme Apple ou les constructeurs automobiles. A l’inverse, les entreprises ayant essentiellement une clientèle professionnelle devraient être en grande partie épargnées.

Les ministres des Finances du G20 devraient examiner ces propositions lors de leur prochaine réunion le 17 octobre à Washington. Si un consensus se dégage, l’OCDE ouvrira des négociations parmi les 134 pays favorables à une réécriture des règles, avec l’objectif de définir un accord cadre en janvier, de parvenir à s’entendre sur les détails d’ici juin et de conclure un accord définitif d’ici fin 2020.

 

Fiscalité européenne des GAFA : ça avance doucement

Fiscalité européenne des GAFA : ça avance doucement

Les 28 ministres des Finances de l’UE se sont entendus samedi pour avancer rapidement sur la fiscalité des GAFA notamment Google, Apple, Facebook et Amazon  afin d’arriver à une approche commune lors d’une réunion en décembre. A la suite de quoi, la commission européenne serait chargée de concocter une proposition législative en 2018. L’origine de ce nouvel élan, une initiative pilotée par la France et soutenue par trois autres grands pays européens, Allemagne, Italie, Espagne. Leur idée: avoir une taxe appliquée sur le chiffre d’affaires généré dans chaque pays européen par les géants du net.   Actuellement, c’est le bénéfice qui sert de référence à l’impôt sur les sociétés payé par les entreprises. Et nombre de multinationales du net concentrent leurs bénéfices dans des filiales domiciliées dans des pays à faible taux d’imposition, comme l’Irlande, même si elles génèrent presque tout leur chiffre d’affaires dans d’autres pays de l’UE. Nous sommes désormais une dizaine d’États membres à soutenir cette proposition », a déclaré M. Le Maire, après la réunion de Tallinn. Il s’agit de l’Allemagne, l’Autriche, la Bulgarie, la France, la Grèce, l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Roumanie et la Slovénie. Mais pour toutes les réformes concernant la fiscalité en Europe, les 28 États membres doivent se prononcer à l’unanimité, ce qui rend les changements très difficiles. Selon M. Le Maire, huit d’entre eux seraient « plus réservés et un Etat ouvertement hostile, l’Irlande ».

 

Allemagne : tout doucement vers la déflation

Allemagne : tout doucement vers la déflation

 

Croissance maintenant atone ( seulement 0.1% au troisième trimestre)  et inflation au ralenti caractérise désormais l’économie allemande touchée elle auusi par la baise de la demande mondiale en particulier en Europe. En faiat L’Europe, comme l’Allemagne, se rapproche de plus en plus de la déflation. De quoi peut-être booster un peu plus le mini plan de relance de Juncker (un hypothétique) et remettre sur la table la question de l’austérité budgétaire. L’inflation en Allemagne a chuté en novembre à son plus bas niveau en près de cinq ans, ce qui devrait conforter les partisans d’une action encore plus radicale de la Banque centrale européenne (BCE) pour soutenir les prix dans la zone euro. Selon des données en première estimation publiées jeudi par l’Office fédéral des statistiques, le taux d’inflation a ralenti en novembre à 0,5% sur un an, son plus bas niveau depuis février 2010. Ce taux, en données harmonisées afin de pouvoir être comparé aux chiffres des autres Etats européens, est inférieur au consensus Reuters qui prévoyait +0,6% et au 0,7% enregistré en octobre. Le coût de la vie est demeuré inchangé en novembre, toujours en données harmonisées. En chiffres non harmonisés, l’inflation est de 0,6% sur un an et nulle sur un mois. Les chiffres définitifs seront annoncés le 11 décembre. « Si on se projette vers l’avenir, la chute récente des prix de l’énergie, si elle dure et n’est pas contrebalancée par un affaiblissement marqué de la monnaie, pourrait tirer l’inflation allemande un peu plus bas », prédit Carsten Brzeski, analyste chez ING. « En ce qui concerne la réunion de la BCE la semaine prochaine, le chiffre de l’inflation allemande publié aujourd’hui pourrait être le prélude à une nouvelle révision à la baisse des prévisions d’inflation de la BCE. » Les chiffres en première estimation de l’inflation dans la zone euro sont attendus vendredi. Ils devraient montrer un ralentissement du taux annuel de 0,4% à 0,3%, selon une étude Reuters.




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