Archive pour le Tag 'douce'

Conflit France Algérie : pédale douce de Retailleau

Conflit France Algérie : pédale douce de Retailleau

En dépit du refus des autorités algériennes de prendre en compte la liste des individus algériens considérés comme dangereux et donc d’autoriser leur retour, le ministre de l’intérieur semble mettre la pédale douce. En effet il ne parle plus de démissionner ou de mettre fin à l’accord spécifique de 1994 qui règle les migrations entre la France et l’Algérie.

De toute évidence sur ce terrain il y a des divergences entre le ministre de l’intérieur, l’Élysée et même le premier ministre. Certains reprochent de l’intérieur de trop instrumentaliser cette affaire à des fins politiques. D’autres plus simplement préfèrent la voie diplomatique à l’affrontement public.

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a seulement promis ce lundi soir une «réponse graduée» après le rejet par Alger de la liste des individus algérien «dangereux» que la France veut expulser.

«À quoi s’attendait Retailleau ? Les Algériens ont très bien compris sa petite stratégie – se faire élire président des LR sur leur dos –, et elle ne cédera pas !»

En attendant de l’intérieur a annoncé à France Inter la «suspension des accords de 2007 pour l’exemption de visa aux détenteurs de passeports diplomatiques».

France Algérie : pédale douce de Retailleau

France Algérie : pédale douce de Retailleau

En dépit du refus des autorités algériennes de prendre en compte la liste des individus algériens considérés comme dangereux et donc d’autoriser leur retour, le ministre de l’intérieur semble mettre la pédale douce. En effet il ne parle plus de démissionner ou de mettre fin à l’accord spécifique de 1994 qui règle les migrations entre la France et l’Algérie.

De toute évidence sur ce terrain il y a des divergences entre le ministre de l’intérieur, l’Élysée et même le premier ministre. Certains reprochent de l’intérieur de trop instrumentaliser cette affaire à des fins politiques. D’autres plus simplement préfèrent la voie diplomatique à l’affrontement public.

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a seulement promis ce lundi soir une «réponse graduée» après le rejet par Alger de la liste des individus algérien «dangereux» que la France veut expulser.

«À quoi s’attendait Retailleau ? Les Algériens ont très bien compris sa petite stratégie – se faire élire président des LR sur leur dos –, et elle ne cédera pas !»

En attendant de l’intérieur a annoncé à France Inter la «suspension des accords de 2007 pour l’exemption de visa aux détenteurs de passeports diplomatiques».

Iran: Pédale douce sur le contrôle des femmes dans la rue ?

Iran:  Pédale douce sur le contrôle des femmes dans la rue ?

Alors que le mouvement des femmes ne cesse de progresser contre les sanctions des religieux et de la police des mœurs, le président iranien Massoud Pezeshkian a promis, lundi 16 septembre, d’oeuvrer afin que cette  police des moeurs ne « dérange » pas les femmes qui ne portent pas le voile obligatoire en public, à l’occasion de sa première conférence de presse depuis son élection en juillet. 

Malgré ses positions, Massoud Pezeshkian peine à convaincre certaines militantes, dont l’avocate franco-iranienne Chirinne Ardakani. « Peu importe que ce soit des réformateurs ou des conservateurs [au pouvoir], à partir du moment où c’est le guide suprême, l’ayatollah Khomeini, qui concentre tous les pouvoirs : le pouvoir judiciaire, le pouvoir des médias, le pouvoir exécutif »a-t-elle assuré à franceinfo.

La «stretchflation»: Technique commerciale pour augmenter les prix en douce

La  «stretchflation»: Technique commerciale pour augmenter les prix en douce

Après la «shrinkflation» , consistant à réduire la quantité d’un produit vendu au même prix, c’est aussi  la «stretchflation», qui consiste certes le poids le  poids mais encore davantage le prix. 

Les industriels n’hésitent pas à utiliser cette technique légale mais peu honnête envers les consommateurs. Concrètement, elle consiste à augmenter le poids d’un produit, tout en appliquant une plus forte hausse de prix en parallèle.

Un groupe industriel explique avoir conçu «un nouveau portefeuille simplifié et de nouveaux formats» en mai dernier. «Sans modifier les dimensions des paquets actuels, la quantité  augmente, ce qui permet de réduire l’espace vide et de garantir plus de générosité, de partage et de convivialité . Cette évolution est indiquée d’une manière claire et transparente sur les packs concernés avec une mention cette  évolution des formats s’accompagne d’une augmentation du prix au kilogramme permettant ainsi à la marque de mieux structurer son offre et de revaloriser son positionnement, tout en restant accessible».

 

BCE : pédale douce sur les baisses de taux d’intérêt ?

BCE : pédale douce sur les baisses de taux d’intérêt ?
Au début de l’année nombre d’opérateurs financiers s’attendaient à une série de baisses de taux d’intérêt en raison notamment de la baisse de l’inflation. Dans les faits, la BCE n’envisage pas une première baisse avant juin. Et il est même pas certain qu’on s’engage dans un processus de baisse après d’après le président de la Bundesbank évidemment attentif aussi à la dérive des déficits budgétaires dans certains pays dont la France ou le quoi qu’il en coûte est loin d’être terminé. Sans parler des risques de l’euro vis-à-vis du dollar. En outre si l’inflation pourrait tourner autour de 2,5 % c’est encore très supérieur  à la croissance.

 

- Une baisse des taux de la Banque centrale européenne en juin ne sera pas nécessairement suivie d’une baisse la réunion suivante, même si l’inflation recule vers sa cible, a déclaré mardi le président de la Bundesbank, Joachim Nagel, à l’occasion d’un entretien accordés à plusieurs médias.

« Si les taux sont abaissés pour la première fois en juin, cela ne signifie pas que nous baisserons les taux au cours des prochaines réunions du Conseil des gouverneurs. Nous ne sommes pas sur pilote automatique », a déclaré Joachim Nagel dans une interview accordée conjointement aux Echos, au Handelsblatt, au Corriere della Sera et à El Mundo.

Joachim Nagel estime que l’inflation fluctuerait autour de ses niveaux actuels, soit 2,4% en avril, pour quelques mois avant de reprendre sa baisse vers son objectif de 2%.

 

UE : pédale douce sur les freins aux importations agricoles d’Ukraine

UE : pédale douce  sur les freins aux importations agricoles d’Ukraine

La Commission européenne a proposé en janvier de prolonger les exemptions de droits de douane sur les produits agricoles ukrainiens jusqu’en juin 2025. Elle a toutefois complété cette mesure par un mécanisme d’urgence permettant de rétablir des tarifs sur la volaille, les oeufs et le sucre si les importations de ces catégories de produits dépassaient les moyennes observées en 2022 et 2023.

L’avoine, le maïs et le miel ont depuis été ajoutés à cette liste et le calcul de la moyenne a été élargi pour prendre aussi en compte le deuxième semestre 2021, soit une période durant laquelle des droits de douane étaient encore appliqués.

Il s’agit de trouver un fragile équilibre entre le soutien économique nécessaire à l’Ukraine et l’intérêt du secteur agricole européen

 

(Rédigé par Philip Blenkinsop, version française Bertrand Boucey, édité par Nicolas Delame)

Guerre et Ukraine : en dépit des apparences, Poutine met la pédale douce

Guerre et Ukraine : en dépit des apparences, Poutine met la pédale douce

 Beaucoup de médias qui font une analyse assez superficielle et  considèrent  que Poutine a encore musclé sa rhétorique guerrière. Pourtant il y a une grille de lecture simple pour comprendre le narratif de Poutine : en général il dit exactement le contraire de ce qu’il pense. C’est la fameuse rhétorique du KGB ( FSB aujourdhui) : le mensonge et l’outrance.

Ainsi lorsque Poutine affirme que lui aussi dispose de l’arme nucléaire et que son pays et même en avance dans ce domaine , c’est sans doute exactement le contraire notamment concernant les lanceurs.

Ainsi lorsqu’il affirme que l’Ukraine vient troubler les élections russes. C’est évidemment encore exactement le contraire. Ce qui trouble les élections russes c’est surtout le désintérêt des habitants et les retombées de l’affaire Navalny.

Ainsi lorsqu’il affirme encore que l’Occident ne maîtrise pas ses nerfs , c’est encore le contraire car Poutine est de plus en plus inquiet par l’effet Ukraine sur beaucoup de pays de l’Est qui progressivement rejoignent  le camp de l’Occident.

Ainsi qu’en Poutine considère que l’apport d’armes et même de troupes étrangères en Ukraine ne changerait pas le rapport de force. Ils pensent évidemment le contraire.

Finalement à examiner de près son intervention elle est davantage destinée à la population russe et c’est pourquoi elle est aussi finalement mesurée après une lecture attentive.
Sans surprise, l’élection présidentielle qui se déroule du 15 au 17 mars devrait concrétiser, une nouvelle fois, la victoire de Vladimir Poutine. Au pouvoir depuis plus de deux décennies, le candidat à sa réélection est largement favori du scrutin, a fortiori en l’absence de toute opposition. L’élection devrait ainsi maintenir le président russe en poste jusqu’en 2030, l’année de ses 77 ans. Avec un mandat supplémentaire potentiel jusqu’en 2036, grâce à une modification sur mesure de la Constitution opérée il y a quatre ans.

 

Depuis le début du conflit en Ukraine, en février 2022, Vladimir Poutine n’a cessé d’agiter la menace de l’usage de l’arme nucléaire.Ce qui constitue la preuve de sa faiblesse. En effet l’utilisation éventuelle de l’arme nucléaire par les Russes conduirait inévitablement vers l’anéantissement du pays et de son régime. Évidemment les conséquences seraient aussi dramatiques côté occidental . Le président russe a rappelé que la doctrine nucléaire de son pays prévoit le recours à celle-ci, si le pays est attaqué à l’aide d’une arme nucléaire ou de destruction massive ou si l’usage d’armes conventionnelles « menace l’existence même de l’Etat russe ».

Pesticides : pédale douce du gouvernement pour la restriction

Pesticides : pédale douce du gouvernement pour la restriction

Le programme de réduction des pesticides est remis en cause par le gouvernement. Initialement il s’agissait de diminuer de 50 % ses produits de traitement ici 2030. Du coup, on invente même un nouvel indicateur pour relativiser l’utilisation des pesticides. La conséquence évidemment de la révolte agricole en cours en Europe et récemment en France.

Il y aura donc un nouvel indicateur , lors de la révision du plan Ecophyto

Or, issu d’une concertation, celui-ci est considéré par l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) comme le seul scientifiquement fiable pour mesurer l’utilisation des pesticides -bien que susceptible d’améliorations. Les défenseurs de l’environnement font de son maintien une « ligne rouge » à ne pas dépasser.

« Nos organisations ne peuvent cautionner ce probable retour en arrière de 15 ans, balayant en quelques jours des mois et même des années de travail collectif où nombre de parties prenantes ont œuvré pour la réussite du plan – au premier rang desquels nos ONG, les instituts de recherche ou encore les paysans et paysannes portant l’agroécologie », déclarent les ONG.

Problème : le gouvernement a fait des promesses au monde agricole.

Climat et agriculture: Pédale douce de l’union européenne

Climat et agriculture: Pédale douce de l’union européenne

Pour tenter de mettre à la colère des agriculteurs, l’union européenne vient donc de décider de retirer sa loi concernant de nouvelles restrictions quant à l’usage des pesticides. De toute manière ce texte était surtout constitué de pieuses intentions. Et pendant l’année 2024 , l’Europe mettra la pédale douce sur les contraintes imposées à l’agriculture.

Bruxelles propose une réduction de 90 % des émissions de CO2 à l’horizon 2040, par rapport au niveau de 1990. Cela vise pour arriver à la neutralité climatique à l’horizon 2050, après l’objectif de 2030 préconisant une réduction de 55 % des émissions. Cet objectif général de 90 % ne sera pas assorti d’un texte législatif, contraignant, avant fin 2024.

Énergie : pédale douce sur le renouvelable

Énergie : pédale douce sur le renouvelable

Adieu la projection des chiffres officiels de production énergétique. La limitation du nucléaire a bien entendu disparu également comme celle du renouvelable. En outre le nucléaire est repris en main par le ministre de l’économie et le ministère de l’écologie encore un peu plus marginalisé

Il n’y a plus de chiffres l’avant-projet de loi « souveraineté énergétique » ? Alors que ce texte, qui devra être présenté en Conseil des ministres « fin janvier-début février » Ne restent donc, dans la dernière version, que les volets régulation des prix, protection des consommateurs et régime des barrages hydroélectriques. On a connu une époque où le nucléaire était visé avec l’ambition d’en limiter la production ( Hollande et Macron). Une erreur stratégique et énergétique centrale qui a affecté la compétitivité du pays. Le ridicule allant jusqu’à la fermeture de la centrale de Fessenheim. Aujourd’hui on réaffirme au contraire la primauté du nucléaire avec le renforcement et la prolongation du parc existant, au moins 14 centrales EPR nouvelles voire d’autres.

Ainsi un projet de loi relatif à la souveraineté énergétique acte ce changement stratégique fondamental. Si effectivement on fixe des objectifs quantitatifs au nucléaire par contre, c’est la pédale douce sur les derniers les énergies renouvelables certes utiles mais forcément anecdotiques et intermittentes.

Le texte mentionne bien le rôle des énergies renouvelables pour la sécurité d’approvisionnement du pays sans pour autant assigner d’objectifs précis à leur déploiement… contrairement au nucléaire.

L’objectif politique et bien entendu de recueillir le soutien de la droite et notamment du parti des « Républicains ».

Dans une interview accordée dimanche 7 janvier , la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a présenté les grandes lignes d’un avant projet de loi visant à assurer la souveraineté énergétique de la France à l’horizon 2035. Le texte fait la part belle à l’atome civil en lui assignant plusieurs objectifs précis. Il est ainsi question de « maintenir une puissance installée d’au moins 63 GW et une disponibilité d’au moins 66 %, avec l’objectif d’atteindre une disponibilité de 75 % à partir de 2030, assurant un socle de sécurité d’approvisionnement jusqu’en 2035 »

Production d’Electricité: Pédale douce sur le renouvelable

Production d’Electricité: Pédale douce sur le renouvelable

Adieu la projection des chiffres officiels de production énergétique. La limitation du nucléaire a bien entendu disparu également comme celle du renouvelable.

Il n’y a plus de chiffres l’avant-projet de loi « souveraineté énergétique » ? Alors que ce texte, qui devra être présenté en Conseil des ministres « fin janvier-début février » Ne restent donc, dans la dernière version, que les volets régulation des prix, protection des consommateurs et régime des barrages hydroélectriques. On a connu une époque où le nucléaire était visé avec l’ambition d’en limiter la production ( Hollande et Macron). Une erreur stratégique et énergétique centrale qui a affecté la compétitivité du pays. Le ridicule allant jusqu’à la fermeture de la centrale de Fessenheim. Aujourd’hui on réaffirme au contraire la primauté du nucléaire avec le renforcement et la prolongation du parc existant, au moins 14 centrales EPR nouvelles voire d’autres.

Ainsi un projet de loi relatif à la souveraineté énergétique acte ce changement stratégique fondamental. Si effectivement on fixe des objectifs quantitatifs au nucléaire par contre, c’est la pédale douce sur les derniers les énergies renouvelables certes utiles mais forcément anecdotiques et intermittentes.

Le texte mentionne bien le rôle des énergies renouvelables pour la sécurité d’approvisionnement du pays sans pour autant assigner d’objectifs précis à leur déploiement… contrairement au nucléaire.

L’objectif politique et bien entendu de recueillir le soutien de la droite et notamment du parti des « Républicains ».

Dans une interview accordée dimanche 7 janvier , la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a présenté les grandes lignes d’un avant projet de loi visant à assurer la souveraineté énergétique de la France à l’horizon 2035. Le texte fait la part belle à l’atome civil en lui assignant plusieurs objectifs précis. Il est ainsi question de « maintenir une puissance installée d’au moins 63 GW et une disponibilité d’au moins 66 %, avec l’objectif d’atteindre une disponibilité de 75 % à partir de 2030, assurant un socle de sécurité d’approvisionnement jusqu’en 2035 ».

Electricité: Pédale douce sur le renouvelable

Electricité: Pédale douce sur le renouvelable

Adieu la projection des chiffres officiels de production énergétique. La limitation du nucléaire a bien entendu disparu également comme celle du renouvelable.

Il n’y a plus de chiffres l’avant-projet de loi « souveraineté énergétique » ? Alors que ce texte, qui devra être présenté en Conseil des ministres « fin janvier-début février » Ne restent donc, dans la dernière version, que les volets régulation des prix, protection des consommateurs et régime des barrages hydroélectriques. On a connu une époque où le nucléaire était visé avec l’ambition d’en limiter la production ( Hollande et Macron). Une erreur stratégique et énergétique centrale qui a affecté la compétitivité du pays. Le ridicule allant jusqu’à la fermeture de la centrale de Fessenheim. Aujourd’hui on réaffirme au contraire la primauté du nucléaire avec le renforcement et la prolongation du parc existant, au moins 14 centrales EPR nouvelles voire d’autres.

Ainsi un projet de loi relatif à la souveraineté énergétique acte ce changement stratégique fondamental. Si effectivement on fixe des objectifs quantitatifs au nucléaire par contre, c’est la pédale douce sur les derniers les énergies renouvelables certes utiles mais forcément anecdotiques et intermittentes.

Le texte mentionne bien le rôle des énergies renouvelables pour la sécurité d’approvisionnement du pays sans pour autant assigner d’objectifs précis à leur déploiement… contrairement au nucléaire.

L’objectif politique et bien entendu de recueillir le soutien de la droite et notamment du parti des « Républicains ».

Dans une interview accordée dimanche 7 janvier , la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a présenté les grandes lignes d’un avant projet de loi visant à assurer la souveraineté énergétique de la France à l’horizon 2035. Le texte fait la part belle à l’atome civil en lui assignant plusieurs objectifs précis. Il est ainsi question de « maintenir une puissance installée d’au moins 63 GW et une disponibilité d’au moins 66 %, avec l’objectif d’atteindre une disponibilité de 75 % à partir de 2030, assurant un socle de sécurité d’approvisionnement jusqu’en 2035 ».

Economie et Souveraineté énergie : Pédale douce sur le renouvelable

Economie et Souveraineté énergie : Pédale douce sur le renouvelable

On a connu une époque où le nucléaire était visé avec l’ambition d’en limiter la production ( Hollande et Macron). Une erreur stratégique et énergétique centrale qui a affecté la compétitivité du pays. Le ridicule allant jusqu’à la fermeture de la centrale de Fessenheim. Aujourd’hui on réaffirme au contraire la primauté du nucléaire avec le renforcement et la prolongation du parc existant, au moins 14 centrales EPR nouvelles voire d’autres.

Ainsi un projet de loi relatif à la souveraineté énergétique acte ce changement stratégique fondamental. Si effectivement on fixe des objectifs quantitatifs au nucléaire par compte, c’est la pédale douce sur les derniers les énergies renouvelables certes utiles mais forcément anecdotiques et intermittentes.

Le texte mentionne bien le rôle des énergies renouvelables pour la sécurité d’approvisionnement du pays sans pour autant assigner d’objectifs précis à leur déploiement… contrairement au nucléaire.

L’objectif politique et bien entendu de recueillir le soutien de la droite et notamment du parti des « Républicains ».

Dans une interview accordée dimanche 7 janvier dans nos colonnes, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a présenté les grandes lignes d’un avant projet de loi visant à assurer la souveraineté énergétique de la France à l’horizon 2035. Le texte fait la part belle à l’atome civil en lui assignant plusieurs objectifs précis. Il est ainsi question de « maintenir une puissance installée d’au moins 63 GW et une disponibilité d’au moins 66 %, avec l’objectif d’atteindre une disponibilité de 75 % à partir de 2030, assurant un socle de sécurité d’approvisionnement jusqu’en 2035 ».

Souveraineté énergie : Pédale douce sur le renouvelable

Souveraineté énergie : Pédale douce sur le renouvelable

On a connu une époque où le nucléaire était visé avec l’ambition d’en limiter la production ( Hollande et mMacron). Une erreur stratégique et énergétique centrale qui a affecté la compétitivité du pays. Le ridicule allant jusqu’à la fermeture de la centrale de Fessenheim. Aujourd’hui on réaffirme au contraire la primauté du nucléaire avec le renforcement et la prolongation du parc existant, au moins 14 centrales EPR nouvelles voire d’autres.

Ainsi un projet de loi relatif à la souveraineté énergétique acte ce changement stratégique fondamental. Si effectivement on fixe des objectifs quantitatifs au nucléaire par compte, c’est la pédale douce sur les derniers les énergies renouvelables certes utiles mais forcément anecdotiques et intermittentes.

Le texte mentionne bien le rôle des énergies renouvelables pour la sécurité d’approvisionnement du pays sans pour autant assigner d’objectifs précis à leur déploiement… contrairement au nucléaire.

L’objectif politique et bien entendu de recueillir le soutien de la droite et notamment du parti des « Républicains ».

Dans une interview accordée dimanche 7 janvier dans nos colonnes, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a présenté les grandes lignes d’un avant projet de loi visant à assurer la souveraineté énergétique de la France à l’horizon 2035. Le texte fait la part belle à l’atome civil en lui assignant plusieurs objectifs précis. Il est ainsi question de « maintenir une puissance installée d’au moins 63 GW et une disponibilité d’au moins 66 %, avec l’objectif d’atteindre une disponibilité de 75 % à partir de 2030, assurant un socle de sécurité d’approvisionnement jusqu’en 2035 ».

Projet de loi souveraineté énergie : Pédale douce sur le renouvelable

Projet de loi souveraineté énergie : Pédale douce sur le renouvelable

On a connu une époque où le nucléaire était visé avec l’ambition d’en limiter la production ( Hollande et mMacron). Une erreur stratégique et énergétique centrale qui a affecté la compétitivité du pays. Le ridicule allant jusqu’à la fermeture de la centrale de Fessenheim. Aujourd’hui on réaffirme au contraire la primauté du nucléaire avec le renforcement et la prolongation du parc existant, au moins 14 centrales EPR nouvelles voire d’autres.

Ainsi un projet de loi relatif à la souveraineté énergétique acte ce changement stratégique fondamental. Si effectivement on fixe des objectifs quantitatifs au nucléaire par compte, c’est la pédale douce sur les derniers les énergies renouvelables certes utiles mais forcément anecdotiques et intermittentes.

Le texte mentionne bien le rôle des énergies renouvelables pour la sécurité d’approvisionnement du pays sans pour autant assigner d’objectifs précis à leur déploiement… contrairement au nucléaire.

L’objectif politique et bien entendu de recueillir le soutien de la droite et notamment du parti des « Républicains ».

Dans une interview accordée dimanche 7 janvier dans nos colonnes, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a présenté les grandes lignes d’un avant projet de loi visant à assurer la souveraineté énergétique de la France à l’horizon 2035. Le texte fait la part belle à l’atome civil en lui assignant plusieurs objectifs précis. Il est ainsi question de « maintenir une puissance installée d’au moins 63 GW et une disponibilité d’au moins 66 %, avec l’objectif d’atteindre une disponibilité de 75 % à partir de 2030, assurant un socle de sécurité d’approvisionnement jusqu’en 2035 ».

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