Archive pour le Tag 'Doubs'

Législatives Doubs : un électeur UMP sur deux a voté FN

Législatives Doubs : un électeur UMP sur deux a voté FN

La fin du front républicain pourrait bien changer  la donne politique. La porosité UMP-FN est de plus en plus grande mais aussi gauche –FN ( dans une moindre mesure). En fait le reflexe républicain fonctionne moins bien parce que les partis traditionnels de gouvernement sont largement discrédités, ensuite parce que le FN constitue une offre politique de protestation contre le système. Pas vraiment un vote d’adhésion puisque au moins 65% des francais estiment que le FN n’est pas compétent comme parti de gouvernement. Bref c’est la jacquerie politique, addition de protestations contradictoires mais qui veut faire entendre son ralbol. D’abord nombre d’électeurs de gauche vote désormais pour le FN au premier  tour et La moitié des électeurs qui avaient voté pour l’UMP au premier tour ont ensuite voté pour le FN au second tour, lors de la législative partielle dans le Doubs dimanche dernier, affirme le chercheur Joël Gombin dans une analyse publiée vendredi. Selon le modèle qu’il a pu établir, publié et expliqué sur le site slate.fr, M. Gombin, chercheur au CURAPP-université de Picardie-Jules-Verne, affirme que « la moitié environ des électeurs ayant choisi l’UMP au premier tour se sont portés sur la candidate frontiste au second tour. Un quart ont choisi le candidat socialiste; le dernier quart s’est abstenu ou a voté blanc ou nul », écrit-il. Dès lors, on ne peut « guère parler de succès du rassemblement républicain », souligne-t-il, mais plutôt constater « la fusion, relative certes mais néanmoins bien avancée, des électorats de l’UMP et du FN ». Autre enseignement: « Le FN n’aurait guère mobilisé de nouveaux électeurs entre les deux tours: à peine plus de 4% des abstentionnistes du premier tour », selon son modèle. Le chercheur souligne au passage que « la progression de 16 points enregistrée entre les deux tours par la candidate frontiste n’a rien d’exceptionnel », ayant « observé des progressions du même ordre, souvent même supérieures, à peu près chaque fois que le FN s’est retrouvé en duel au second tour d’une élection législative en 2012 et depuis, et ce quel que soit son adversaire ». Toujours d’après le modèle qu’il a établi, M. Gombin affirme que « la victoire du candidat socialiste » Frédéric Barbier « devrait beaucoup à sa capacité à mobiliser de nouveaux électeurs: pas moins de 17% des abstentionnistes du premier tour auraient voté en sa faveur au second tour. Si ce modèle est exact, ces nouveaux électeurs (environ 6.800) auraient même été plus nombreux que ceux qui ont voté pour le candidat socialiste aux deux tours (5.200)! Les électeurs de Charles Demouge (UMP) ayant choisi Barbier au second tour ne seraient eux que quelques 1.750″ (26%), ajoute-t-il. A noter aussi que, selon son modèle, 17% des électeurs au premier tour de M. Barbier ont voté pour le FN au second tour. « Le Front républicain, entendu comme coalition des partis ‘républicains’ contre le Front national, n’existe pas (parce que l’UMP refuse d’appeler à voter en faveur du PS, et parce que les électeurs de l’UMP se portent majoritairement sur le FN », affirme-t-il dans ses conclusions. « En revanche, la perspective de voir un candidat frontiste élu député permet une mobilisation réelle d’électeurs par ailleurs peu politisés et mobilisés, ou en tout cas abstentionnistes au premier tour », poursuit-il.
 

Législative Doubs : victoire à la Pyrrhus et un avant goût de 2017

Législative Doubs : victoire à la Pyrrhus et  un avant goût de 2017

 

Une victoire pour le PS mais au goût de défaite tellement le sore est serré. Premier enseignement, le PS s’écroule dans une terre traditionnellement socialiste. Second enseignement, les reports de voix de l’UMP bénéficient surtout au FN. Troisième leçon, la vague FN ne constitue pas un événement conjoncturel mais un mouvement de fond qui va balayer la représentation nationale prochainement. En fait uen sorte de tsunami, pas tellement dû au FN(  car plus le FN se tait,  mieux c’est tellement ses positions sont  incohérentes ) mais à la caricature de politique conduite aussi bien par le PS que par l’UMP. Le député du PS élu conclut «  il faut accélérer la rénovation politique » ;  un doux euphémisme car cette rénovation n’a jamais commencé et il ne s’agit pas de rénover un système usé jusqu’à la corde mais de reconstruire totalement.  Le candidat du Parti socialiste, Frédéric Barbier, a remporté la législative partielle du Doubs lors du second tour, ce dimanche, devant la candidate du Front national, Sophie Montel, avec 51,43% des voix.  Un socialiste succède à un autre socialiste. Le candidat du PS, Frédéric Barbier, a remporté ce dimanche le second tour de la législative partielle dans le Doubs et récupère ainsi le siège de Pierre Moscovici, dans la quatrième circonscription, après le départ de ce dernier pour la Commission européenne. Une victoire très serrée avec entre 51,43% des voix contre 48,57%. Frédéric Barbier l’emporte ainsi devant Sophie Montel (FN) qui était arrivée en tête du premier tour, dimanche dernier, avec 32,60% des voix, et qui réalise un score de 48 à 49% des voix. La candidate frontiste a bénéficié d’un important report des voix du candidat UMP, éliminé au premier tour, mais insuffisant pour devenir le troisième député Front national à l’Assemblée nationale. « C’est un combat extrêmement serré avec une forte participation et un fort taux du FN. Mais au final nous avons une victoire de Frédéric Barbier« , a de son côté commenté le sénateur PS du Doubs et maire d’Audincourt, Martial Bourquin. Le candidat du PS a lui, immédiatement après sa victoire, appelé à « garder l’esprit d’union nationale autour des valeurs de la République » et à « accélérer la rénovation de la vie politique« .

Sondage Législative Doubs : le PS en tête

Sondage Législative Doubs : le PS en tête

Pas sûr que la mayonnaise  ni-ni de l’UMP prenne, il se pourrait même que la question des alliances de l’UMP rejaillisse rapidement dès dimanche soir. L’enjeu s’allier d’une manière ou d’une autre avec le FN ou s’y opposer totalement. Un sondage IFOP publié jeudi matin par iTélé indique que le représentant socialiste remporterait le second tour, avec 53% des suffrages, contre 47% pour la candidate du Front national. Les électeurs du candidat UMP, éliminé du premier tour, envisageraient pour moitié de s’abstenir ou voter blanc. L’autre moitié se divise presque équitablement entre un vote pour le socialiste et un vote pour la représentante frontiste. Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve s’est rendu mercredi soir dans le Doubs pour soutenir le candidat PS à la législative partielle, qui affrontera dimanche une représentante du Front national. « Au moment du choix que vous aurez à faire, vous aurez un peu de la République entre vos mains », a lancé le ministre aux électeurs de la circonscription.  Bernard Cazeneuve le « sent », il le « sait » : le candidat socialiste gagnera dimanche prochain la législative partielle du Doubs. Venu soutenir mercredi soir Frédéric Barbier, le ministre de l’Intérieur a appelé à la poursuite de « l’élan d’unité républicaine », dans l’esprit de la mobilisation du 11 janvier. « Dimanche dans le pays de Montbéliard, c’est le cœur de la République qui battra », a-t-il clamé lors de ce meeting organisé dans la salle du foyer municipal d’Audincourt, principale commune de la circonscription. « Au moment du choix que vous aurez à faire, vous aurez un peu de la République entre vos mains », a également lancé Bernard Cazeneuve, alors que le FN est arrivé en tête du premier tour, près de quatre points devant le candidat socialiste. Le siège est laissé vacant par le départ de Pierre Moscovici pour la Commission européenne. « Ce n’est pas quelques semaines après que la République est demeurée debout (…) qu’elle va perdre la main », a-t-il déclaré. « Si je suis élu député dimanche je soutiendrai sans réserve la majorité présidentielle pour mettre un terme, avec la plus grande fermeté aux différents agissements des terroristes », a promis de son côté Frédéric Barbier. Des personnalités UMP ayant appelé à voter dimanche pour le candidat PS Frédéric Barbier, comme Alain Juppé ou le président de la communauté d’agglomération du Pays de Montbéliard, Marcel Bonnot, ont été citées et applaudies par les 550 personnes présentes dans la salle. Le ministre s’est également attaqué à Marine Le Pen et la candidate du FN, Sophie Montel. Jeudi après-midi, c’est Manuel Valls qui retournera dans le Doubs pour prêter main forte à Frédéric Barbier.

 

Législative Doubs : l’UMP tombe dans le piège du « ni-ni » contre l’avis de Sarkozy

Législative Doubs : l’UMP tombe dans le piège du   »ni-ni » contre l’avis de Sarkozy

 

C’était le piège, ils sont tombés les deux pieds dedans à LMP. Contre l’avis de Sarkozy, ils ont choisi le ni Ps, ni FN. Avec comme arrière pensée de ne pas décevoir les lecteurs du FN. Du coup ils vont décevoir les électeurs de gauche pour les second tours des prochaines élections notamment celles de 2017. Sarkozy souhaitait une position plus ambiguë qui ménage la chèvre et le chou mais il a été battu lors du bureau politique. De ce fait l’élection du Doubs risque d’être très serrée et dépendra en fait de l’évolution de l’abstention. Il est probable que les clivages qui se sont manifestés au bureau politique de l’UMP vont amener Sarkozy à accélérer la transformation de son parti toujours englué dans les contradictions des caciques. De quoi vraiment l’encourager à faire une vraie cure de rajeunissement. Le Bureau politique de l’UMP a donc opté mardi soir de justesse pour le ni-ni (ni PS, ni FN) à la législative partielle du Doubs, contre l’avis de Nicolas Sarkozy qui plaidait pour un texte appelant à faire barrage au FN, selon des participants à la réunion.  L’UMP a appelé mardi ses électeurs à voter blanc ou à s’abstenir lors du second tour de l’élection législative partielle du Doubs, qui opposera le PS et le Front national, une stratégie du « ni-ni » qui ne fait pas l’unanimité au sein du principal parti de droite. Le FN doit être combattu « avec la plus grande fermeté » et la présidence de François Hollande a conduit la France « dans une impasse économique, sociale et politique aux effets catastrophiques« , peut-on lire dans la déclaration adoptée par le bureau politique de l’UMP.  « En conséquence, confirmant sa position constante, l’UMP appelle tous ceux qui se reconnaissent dans ses valeurs à exprimer leur double opposition en votant blanc ou en s’abstenant. » La position majoritaire du « ni-ni » est notamment soutenue par Valérie Debord.  Un peu plus tôt dans la journée, Nicolas Sarkozy avait déclaré devant son groupe parlementaire à l’Assemblée qu’il refuserait d’appeler à voter pour le candidat PS, qui affrontera dimanche prochain une candidate Front national. L’élimination du candidat UMP Charles Demouge au premier tour de cette législative partielle dans la 4e circonscription du Doubs a plongé dans l’embarras le parti de Nicolas Sarkozy. L’ancien Premier ministre Alain Juppé a appelé à « faire barrage » au FN, la candidate d’extrême-droite Sophie Montel, étant selon lui raciste. Alain Juppé, qui est soutenu par la vice-présidente de l’UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet, n’entend pas pour autant s’engager « dans un front républicain qui scellerait une alliance avec le PS« . L’ancien ex-Premier ministre UMP, François Fillon, a pris l’exact contre-pied en exprimant son refus d’appeler à voter pour un candidat PS, tout en disant vouloir combattre le FN. Le sénateur Bruno Retailleau, président du groupe UMP au Sénat, a ainsi déclaré à Sud Radio que ce qu’il souhaitait entendre de Nicolas Sarkozy, « c’est la liberté de choix« .

Législatives du Doubs : l’UMP dans le piège du ni-ni

Législatives du Doubs : l’UMP dans le piège du ni-ni

 

Non au ni-ni de l’UMP pour le deuxième tout des législatives du Doubs pour Juppé. Une sorte de pavé dans la mare de l’UMP qui patauge pour expliquer le ni-ni vraisemblable de la direction. D’une certaine manière l’UMP est tombée dans le piège et ne sortira pas grandie de cette situation. Si l’UMP appelle à voter FN, elle se déconsidère, si elle appelle à voter PS, elle donne l’impression de soutenir la majorité politique de gauche, si elle décide le ni-ni alors elle apparaitra comme un parti sans véritable doctrine politique.  L’ancien Premier ministre Alain Juppé appelle, lui , à « faire barrage au Front national » au deuxième tour de l’élection législative partielle dans le Doubs où la candidate FN Sophie Montel, arrivée en tête dimanche au premier tour, affrontera le socialiste Frédéric Barbier.   »Si j’étais électeur de la 4ème circonscription du Doubs, je sais ce qu’en mon âme et conscience je ferais : pour barrer la route à une candidate FN qui croit, entre autres choses, ‘en l’évidente inégalité des races’, je ne m’abstiendrais pas, je voterais pour le candidat qui l’affronte, c’est-à-dire le candidat PS’ affirme Alain Juppé dans un message mis en ligne lundi soir sur son blog.    »Je vois clairement que désormais notre principal adversaire politique est devenu le FN. Il a quelques raisons de se prétendre le premier parti de France. Son arrivée aux responsabilités nationales n’apparaît plus tout à fait comme une hypothèse d’école », explique l’ancien Premier ministre après avoir précisé qu’il a « pris le temps de réfléchir ». Cette déclaration n’est pas une surprise. Elle correspond à une position constante de l’ancien Premier ministre.  Dès ce lundi soir,  Edouard Philippe, le député-maire du Havre qui est un proche du maire de Bordeaux, expliquait cette prise de position : « Il faut une réponse claire. Je ne suis d’accord sur rien avec le Front national. Il faut faire barrage à ce parti. Je considère qu’il faut faire barrage au Front national, pas de gaieté de cœur, mais sans trembler. » Officiellement, l’UMP doit prendre une position au cours de son bureau politique ce mardi. Un consensus semble impossible.

 

Législatives-Doubs : en tête l’abstention avec plus de 60%

Législatives-Doubs : en tête l’abstention avec plus de 60%

Le « grand vainqueur » ces surtout le partis des abstentionnistes (plus de 60%°), ce qui témoigne du désintérêt des électeurs à l’égard de tout le système politique. Comme prévu sur les 40% qui ont voté, le FN vient en tête mais surprise quand même le PS vient en seconde position. Compte tenu du nombre d’abstentions rien n’est joué pour l second tout d’autant que l’UMP ne semble pas disposé à se soumettre au reflexe républicain. Une UMP qui peine donc depuis e retour de Sarkozy à vraiment convaincre de la curabilité de sa politique.  Les candidats PS et FN s’opposeront dans une semaine au second tour de la législative partielle dans la 4e circonscription du Doubs. Un scrutin local mais vu comme un test national après les attentats à Paris et avant les départementales de mars.  Les candidats PS et FN s’opposeront le dimanche 8 février au second tour de la législative partielle dans la 4e circonscription du Doubs. Sophie Montel du Front national sera opposée au socialiste Frédéric Barbier. La candidate frontiste a obtenu 32,60% des suffrages, devant le prétendant socialiste à 28,85% des voix à l’issue du premier tour. Le candidat de l’UMP, Charles Demouge se classe troisième avec 26,54%. Qui remplacera Pierre Moscovici à l’Assemblée nationale ? L’élu PS a quitté son siège pour rejoindre la Commission européenne. Le fauteuil de député ne sera pas occupé par un élu UMP, grand perdant de cette élection partielle. Le second tour opposera le socialiste Frédéric Barbier, suppléant de Pierre Moscovici à la candidate du Front national, Sophie Montel, eurodéputée et âgée de 45 ans.  Le candidat socialiste a lancé un appel « à l’unité« , en axant sa demande sur les valeurs républicaines. Lors du deuxième tour de la législative de 2012, une triangulaire s’était présentée aux électeurs. Pierre Moscovici l’avait emportée avec 49,32% des voix devant l’UMP Charles Demouge à 23,21%. La candidate du FN, Sophie Montel avait recueilli 24,47% des suffrages.  Quelle sera la position de l’UMP écartée du jeu, bien qu’ayant le soutien de l’UDI et aucun concurrent MoDem ? Pas de précipitation pour la réponse. Le porte-parole de l’UMP, Sébastien Huygues a précisé dimanche soir que la décision sera annoncée « mardi à l’issue du bureau politique » de l’UMP. L’UDI en revanche a rapidement fait son choix par la voix de son président Jean-Christophe Lagarde. Le successeur de Jean-Louis Borloo a appelé à voter en faveur du candidat PS. De son côté, le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll a dit attendre de l’UMP « une position claire et sans ambiguïté« . Quant aux écologistes, ils ont d’ores et déjà appelé à voter pour le PS. Le scrutin a été marqué par une faible participation. L’abstention au premier tour s’est affichée à 60,44%.

 

Elections-Doubs: représentatives de 2017

Elections-Doubs:  représentatives de 2017

 

Cette élection risque de constituer un avant goût de 2017 avec un FN qui pourrait bien arriver en tête grâce notamment à la très forte abstention (nettement des électeurs de gauche) et une UMP gagnante au second tour. Il ne faut guère compter sur l’esprit du 11 janvier pour modifier la donne. Certes la popularité de Hollnde et des ministres du PS  est remontée après l’union nationale pour autant les Français n’ont pas modifié leurs intentions de vote ni sur le plan local, ni sur le pan national;  Pour le PS, il s’agit de défendre un siège capital à l’Assemblée nationale. Les socialistes ont en effet perdu leur majorité absolue, avec le départ du député Jean-Pierre Maggi, qui a rejoint le groupe des radicaux, début 2015. Avec 288 députés (la majorité absolue est fixée à 289 sièges), le PS sait désormais que chaque voix compte. Le premier ministre Manuel Valls s’est déplacé lui-même pour soutenir le candidat socialiste dans le Doubs.  Le PS veut également croire en ses chances d’inverser la tendance dans les législatives partielles, qui tournent mal depuis 2012. Alors que le chef de l’Etat et le premier ministre bénéficient d’un regain de popularité depuis leur gestion des attaques terroristes, la gauche espère que son électorat se mobilisera davantage que lors des municipales et des européennes. A l’inverse, l’UMP espère qu’il n’y aura pas d’effet post 11 janvier sur l’électorat et qu’elle pourra récupérer cette circonscription qu’elle avait tenue entre 2002 et 2007. Le FN, qui devrait arriver en première position au premier tour, semble mal engagé pour gagner au deuxième tour, quel que soit l’adversaire. Marine Le Pen, veut tout de même croire aux chances du parti d’extrême droite d’obtenir un troisième député à l’Assemblée nationale.

 




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