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Violences: Double responsabilité des casseurs et de Darmanin

Violences: Double responsabilité des casseurs et de Darmanin


Il y a une double provocation des casseurs à l’occasion des grandes manifestations récentes. Une politique critiquée à l’intérieur du pays et à l’étranger. Le ministre de l’intérieur favorise en effet la recherche de contact avec les casseurs justement venus pour provoquer la police.

Pour le JDD, Sébastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « La Nation inachevée – la jeunesse face à l’école et la police », fait le point sur Les erreurs du gouvernement en matière de maintien de l’ordre.

Sommes-nous actuellement face à un échec du maintien de l’ordre en France ?
Le drame est qu’on a l’impression que le ministère de l’Intérieur n’a rien appris. Ils ont eu les Gilets jaunes avec une stratégie de police qui a revigoré le mouvement et la France a été la risée du monde entier. C’est la troisième crise où la France est publiquement et unanimement mise au ban des pays civilisés. Ce n’est pas une position enviable.

Les premières manifestations contre la réforme des retraites se sont déroulées sans heurts. Était-ce une volonté du gouvernement d’afficher un maintien de l’ordre plus souple ?
Oui, Laurent Nuñez avait tenu les BRAV-M et les Bac en retrait des cortèges, il n’y avait pas d’utilisation de lanceurs de balle de défense. Les instructions semblaient viser à la tranquillité du cortège. Mais cela venait aussi de la nature des manifestations : la coordination interprofessionnelle avait elle aussi un intérêt à ce qu’il y ait le minimum d’incidents parce que la crédibilité d’une force est de ne pas faire usage de la force. La crédibilité des syndicats est de montrer la discipline et la marche vers un objectif.

Politique et Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Politique et Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Acculé , Le gouvernement se sert de la violence par ailleurs inadmissible pour déplacer l’objet du mécontentement de la population. Le sujet n’est plus la réforme des retraites mais le rétablissement de l’ordre pour le gouvernement. D’ailleurs pouvoir a clairement fait savoir qu’il n’entendait pas reprendre la négociation avec l’intersyndicale sur la reforme. Il y a une double provocation des casseurs à l’occasion des grandes manifestations récentes. Une politique critiquée à l’intérieur du pays et à l’étranger. Le ministre de l’intérieur favorise en effet la recherche de contact avec les casseurs justement venus pour provoquer la police.

Pour le JDD, Sébastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « La Nation inachevée – la jeunesse face à l’école et la police », fait le point sur Les erreurs du gouvernement en matière de maintien de l’ordre.

Sommes-nous actuellement face à un échec du maintien de l’ordre en France ?
Le drame est qu’on a l’impression que le ministère de l’Intérieur n’a rien appris. Ils ont eu les Gilets jaunes avec une stratégie de police qui a revigoré le mouvement et la France a été la risée du monde entier. C’est la troisième crise où la France est publiquement et unanimement mise au ban des pays civilisés. Ce n’est pas une position enviable.

Les premières manifestations contre la réforme des retraites se sont déroulées sans heurts. Était-ce une volonté du gouvernement d’afficher un maintien de l’ordre plus souple ?
Oui, Laurent Nuñez avait tenu les BRAV-M et les Bac en retrait des cortèges, il n’y avait pas d’utilisation de lanceurs de balle de défense. Les instructions semblaient viser à la tranquillité du cortège. Mais cela venait aussi de la nature des manifestations : la coordination interprofessionnelle avait elle aussi un intérêt à ce qu’il y ait le minimum d’incidents parce que la crédibilité d’une force est de ne pas faire usage de la force. La crédibilité des syndicats est de montrer la discipline et la marche vers un objectif.

Société-Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Société-Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Il y a une double provocation des casseurs à l’occasion des grandes manifestations récentes. Une politique critiquée à l’intérieur du pays et à l’étranger. Le ministre de l’intérieur favorise en effet la recherche de contact avec les casseurs justement venus pour provoquer la police.

Pour le JDD, Sébastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « La Nation inachevée – la jeunesse face à l’école et la police », fait le point sur Les erreurs du gouvernement en matière de maintien de l’ordre.

Sommes-nous actuellement face à un échec du maintien de l’ordre en France ?
Le drame est qu’on a l’impression que le ministère de l’Intérieur n’a rien appris. Ils ont eu les Gilets jaunes avec une stratégie de police qui a revigoré le mouvement et la France a été la risée du monde entier. C’est la troisième crise où la France est publiquement et unanimement mise au ban des pays civilisés. Ce n’est pas une position enviable.

Les premières manifestations contre la réforme des retraites se sont déroulées sans heurts. Était-ce une volonté du gouvernement d’afficher un maintien de l’ordre plus souple ?
Oui, Laurent Nuñez avait tenu les BRAV-M et les Bac en retrait des cortèges, il n’y avait pas d’utilisation de lanceurs de balle de défense. Les instructions semblaient viser à la tranquillité du cortège. Mais cela venait aussi de la nature des manifestations : la coordination interprofessionnelle avait elle aussi un intérêt à ce qu’il y ait le minimum d’incidents parce que la crédibilité d’une force est de ne pas faire usage de la force. La crédibilité des syndicats est de montrer la discipline et la marche vers un objectif.

Société-Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Société-Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Il y a une double provocation des casseurs à l’occasion des grandes manifestations récentes. Une politique critiquée à l’intérieur et à l’étranger. Le ministre de l’intérieur favorise en effet la recherche de contact avec les casseurs justement venus pour provoquer la police.

Pour le JDD, Sébastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « La Nation inachevée – la jeunesse face à l’école et la police », fait le point sur Les erreurs du gouvernement en matière de maintien de l’ordre.

Sommes-nous actuellement face à un échec du maintien de l’ordre en France ?
Le drame est qu’on a l’impression que le ministère de l’Intérieur n’a rien appris. Ils ont eu les Gilets jaunes avec une stratégie de police qui a revigoré le mouvement et la France a été la risée du monde entier. C’est la troisième crise où la France est publiquement et unanimement mise au ban des pays civilisés. Ce n’est pas une position enviable.

Les premières manifestations contre la réforme des retraites se sont déroulées sans heurts. Était-ce une volonté du gouvernement d’afficher un maintien de l’ordre plus souple ?
Oui, Laurent Nuñez avait tenu les BRAV-M et les Bac en retrait des cortèges, il n’y avait pas d’utilisation de lanceurs de balle de défense. Les instructions semblaient viser à la tranquillité du cortège. Mais cela venait aussi de la nature des manifestations : la coordination interprofessionnelle avait elle aussi un intérêt à ce qu’il y ait le minimum d’incidents parce que la crédibilité d’une force est de ne pas faire usage de la force. La crédibilité des syndicats est de montrer la discipline et la marche vers un objectif.

Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Il y a une double provocation des casseurs à l’occasion des grandes manifestations récentes. Une politique critiquée à l’intérieur et à l’étranger. Le ministre de l’intérieur favorise la recherche de contact avec les casseurs justement venus pour provoquer la police.

Pour le JDD, Sébastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « La Nation inachevée – la jeunesse face à l’école et la police », fait le point sur Les erreurs du gouvernement en matière de maintien de l’ordre.


Sommes-nous actuellement face à un échec du maintien de l’ordre en France ?

Le drame est qu’on a l’impression que le ministère de l’Intérieur n’a rien appris. Ils ont eu les Gilets jaunes avec une stratégie de police qui a revigoré le mouvement et la France a été la risée du monde entier. C’est la troisième crise où la France est publiquement et unanimement mise au ban des pays civilisés. Ce n’est pas une position enviable.


Les premières manifestations contre la réforme des retraites se sont déroulées sans heurts. Était-ce une volonté du gouvernement d’afficher un maintien de l’ordre plus souple ?

Oui, Laurent Nuñez avait tenu les BRAV-M et les Bac en retrait des cortèges, il n’y avait pas d’utilisation de lanceurs de balle de défense. Les instructions semblaient viser à la tranquillité du cortège. Mais cela venait aussi de la nature des manifestations : la coordination interprofessionnelle avait elle aussi un intérêt à ce qu’il y ait le minimum d’incidents parce que la crédibilité d’une force est de ne pas faire usage de la force. La crédibilité des syndicats est de montrer la discipline et la marche vers un objectif.

Les contaminations en Chine doublent tous les jours

Covid: Les contaminations en Chine doublent tous les jours

Covid en Chine: « L’épidémie flambe, le nombre de cas double tous les jours », estime Antoine Flahault

Vous écrivez sur Slate : « En Chine, la sortie du zéro Covid fait craindre une hécatombe ». Pourquoi ?
Antoine Flahault : La sortie du zéro Covid avait été très bien négociée l’année dernière par certains pays comme la Nouvelle-Zélande, l’Australie ou le Japon, au moment de l’arrivée d’Omicron. Hong Kong a beaucoup moins bien négocié ce virage : ils ont eu une hécatombe avec des taux de mortalité qui avoisinaient ceux de Wuhan, avant même qu’un vaccin n’existe. Hong Kong avait de très grands atouts pour affronter cette vague et ils ont une hécatombe. Pourquoi ? Parce que leur population de personnes âgées est mal vaccinée. Ils ont des vaccins chinois qui ne sont efficaces que lorsqu’il y a trois doses et trop peu de gens ont leurs trois doses et sont donc à très haut risque de formes graves, y compris avec Omicron. Ce que l’on redoute en Chine, c’est la transposition du modèle de Hong Kong car la population âgée est très mal vaccinée en Chine et risque de faire ces formes graves et d’en mourir.

Même si Pékin semble vouloir inciter la population la plus vieille à se faire vacciner, c’est trop tard ?
Ce n’est pas trop tard, mais ils auraient pu le faire depuis un an. On aurait pu imaginer une sorte de contrat social avec la population. ‘On continue le zéro Covid mais on demande aux personnes âgées de se vacciner’. Il n’y a pas eu ce discours-là. Cette partie du discours n’est arrivée que très récemment. Ça ne va pas être simple. Les personnes âgées sont très réticences à la vaccination. Les médecins eux-mêmes ne veulent pas vacciner les personnes âgées ayant peur de leur donner des effets indésirables qui pourraient les fragiliser. C’est le contraire du discours que nous avons en Europe, c’est le contraire de ce que la science nous dit.

Et qui dit plus grande circulation du virus, dit potentielle apparition de nouveaux variants, c’est une inquiétude ?
Les nouveaux variants arrivent lorsque le virus se réplique chez l’homme. Là, il y a 1 milliard 400 millions de personnes qui n’ont jamais connu, ou presque, le contact du virus et qui vont se trouver exposées. L’épidémie flambe aujourd’hui : on dit que le nombre de cas double tous les jours. On est incapables de les compter. Il est clair que cela va favoriser l’émergence de variants. La seule chose qui semble un peu différente, c’est que comme ils n’ont pas la même immunité que la nôtre, ils se retrouvent plutôt dans une situation qui ressemble à celle que nous avons connue en 2020 ou 2021, quand nous n’avions pas, nous non plus, d’immunité contre le virus. Il n’est donc pas certain que les nouveaux variants que la Chine va produire seront à nouveau des Omicron : ça pourrait être une nouvelle lettre de l’alphabet grec, on ne sait ni sa virulence, ni sa transmissibilité mais on sait que de nouveaux variants risquent très fortement d’émerger de Chine.

Union européenne : Double punition avec inflation et récession en 2023

Union européenne : Double punition avec inflation et récession en 2023

Alors que certains s’interrogent encore sur le choix stratégique à faire entre lutte contre l’inflation et soutien à la croissance, la zone euro pourrait bien connaître à la fois la poursuite de la hausse des prix et la réduction de l’activité économique. C’est donc le double handicap pour la zone euro. Elle voit son inflation s’accélérer à 10,7% sur un an en octobre et sa croissance économique ralentir fortement à +0,2% laissant planer le spectre d’une récession.

L’inflation s’accélère encore en Europe avec +10,7% en octobre sur un an contre 9,9% en septembre (chiffre révisé) dans la zone euro (les 19 pays ayant adopté la monnaie unique), selon les chiffres annoncés, ce lundi, par Eurostat.

Sur le front de la croissance économique, les perspectives sont également peu encourageantes Le PIB de la zone euro a augmenté de 0,2% sur la période juillet-septembre par rapport au trimestre précédent, après avoir déjà mieux résisté que prévu au 2e trimestre (+0,8%).

En France et en Espagne, le PIB a progressé de 0,2% au 3e trimestre, après une hausse respectivement de 0,5% et 1,5% au trimestre précédent, selon des chiffres déjà rendus publics vendredi. En Allemagne, où un recul du PIB était attendu, l’activité de la première économie européenne a en fait progressé de 0,3%, alors que le pays est l’un des plus touchés par la crise énergétique et l’inflation. Quant à l’Italie, le pays a enregistré une croissance de 0,5%, alors que l’ancien gouvernement, dirigé par Mario Draghi, prévoyait un « léger recul » du PIB. De bons résultats qui s’expliquent notamment par la consommation des ménages restée solide cet été en période de vacances et par les mesures de soutien des gouvernements à la demande.
La perspective d’une récession qui inquiète l’Europe depuis plusieurs mois. D’autant que la stratégie de la BCE, pour lutter contre l’inflation en resserrant sa politique monétaire, a pour conséquence de pénaliser la croissance de la zone euro, faisant planer le risque d’une récession.

Une récession cet hiver en zone euro est imminente », ont prévenu les analystes du cabinet Oxford Economics. Le 14 octobre dernier, le vice-président de la BCE, Luis de Guindos, alertait, lui aussi, sur ce risque. Si la croissance du PIB est encore attendue à 3,1% en 2022 en zone euro par l’institution monétaire, la fin de l’année et le début de la suivante offrent « une combinaison très difficile de faible croissance économique, y compris la possibilité d’une récession technique, et d’inflation élevée », avait-il déclaré.

Environnement- le double enterrement par EELV

Environnement- le double enterrement par EELV

Europe écologie les Verts avec un score anecdotique de 5 % ou le double enterrement.

Paradoxalement la cause environnementale aura presque disparu de la campagne électorale présidentielle française. En cause, sans doute d’abord la crise en Ukraine qui va remettre au centre des préoccupations la compétitivité souvent au détriment de la qualité de l’environnement. En outre, une crise qui va durer peut-être des mois et même des années avec des effets négatifs sur l’inflation et plus généralement sur l’environnement. Non seulement la croissance sera remise en question au plan mondial mais son contenu productiviste et gaspilleur sera encouragé pour  compenser la hausse des coûts.

Mais il s’agit d’un double enterrement, celui évoqué par la guerre menée par la Russie mais tout autant sans doute par l’incohérence totale du parti Europe écologie les Verts qui a démontré toutes ses limites et ses contradictions et d’une certaine manière a largement discrédité la cause environnementale. La plupart des dirigeants d’Europe écologie les Verts sont d’ailleurs plus proches politiquement des communistes ou  de Mélenchon que d’un parti réellement écolo. Et ne parlons pas des délires des gauchistes de culture woke; Sandrine Rousseau illustrant jusqu’à la caricature l’extrémisme d’Europe écologie les Verts dans tous les domaines : économique, écologique, social et sociétal. On objectera que chaque parti  a ses  fous ; exemples:  Morano pour les républicains, Ségolène Royal pour le parti socialiste ou encore Taubira pour la gauche bobo. N’empêche qu’avec un score d’environ 5 % le représentant politique des écolos renvoie la cause environnementale à beaucoup plus tard : au moins cinq ans sinon plus! Heureusement cette cause est sans doute mieux servie par des écologistes indépendants des doctrines extrémistes gauchistes.

Environnement- Europe écologie les Verts: Un double enterrement

Environnement- Europe écologie les Verts: Un double enterrement

Europe écologie les Verts avec un score anecdotique de 5 % ou le double enterrement.

Paradoxalement la cause environnementale aura presque disparu de la campagne électorale présidentielle française. En cause, sans doute d’abord la crise en Ukraine qui va remettre au centre des préoccupations la compétitivité souvent au détriment de la qualité de l’environnement. En outre, une crise qui va durer peut-être des mois et même des années avec des effets négatifs sur l’inflation et plus généralement sur l’environnement. Non seulement la croissance sera remise en question au plan mondial mais son contenu productiviste et gaspilleur sera encouragé pour  compenser la hausse des coûts.

Mais il s’agit d’un double enterrement, celui évoqué par la guerre menée par la Russie mais tout autant sans doute par l’incohérence totale du parti Europe écologie les Verts qui a démontré toutes ses limites et ses contradictions et d’une certaine manière a largement discrédité la cause environnementale. La plupart des dirigeants d’Europe écologie les Verts sont d’ailleurs plus proches politiquement des communistes ou  de Mélenchon que d’un parti réellement écolo. Et ne parlons pas des délires des gauchistes de culture woke; Sandrine Rousseau illustrant jusqu’à la caricature l’extrémisme d’Europe écologie les Verts dans tous les domaines : économique, écologique, social et sociétal. On objectera que chaque partie assez folle ( ou ses) exemples Morano pour les républicains, Ségolène Royal pour le parti socialiste ou encore Taubira pour la gauche bobo. N’empêche qu’avec un score d’environ 5 % le représentant politique des écolos renvoie la cause environnementale à beaucoup plus tard : au moins cinq ans sinon plus! Heureusement cette cause est sans doute mieux servie par des écologistes indépendants des doctrines extrémistes gauchistes

Europe écologie les Verts: Un double enterrement

Europe écologie les Verts: Un double enterrement

Europe écologie les Verts avec un score anecdotique de 5 % ou le double enterrement.

Paradoxalement la cause environnementale aura presque disparu de la campagne électorale présidentielle française. En cause, sans doute d’abord la crise en Ukraine qui va remettre au centre des préoccupations la compétitivité souvent au détriment de la qualité de l’environnement. En outre, une crise qui va durer peut-être des mois et même des années avec des effets négatifs sur l’inflation et plus généralement sur l’environnement. Non seulement la croissance sera remise en question au plan mondial mais son contenu productiviste et gaspilleur sera encouragé pour  compenser la hausse des coûts.

Mais il s’agit d’un double enterrement, celui évoqué par la guerre menée par la Russie mais tout autant sans doute par l’incohérence totale du parti Europe écologie les Verts qui a démontré toutes ses limites et ses contradictions et d’une certaine manière a largement discrédité la cause environnementale. La plupart des dirigeants d’Europe écologie les Verts sont d’ailleurs plus proches politiquement des communistes ou  de Mélenchon que d’un parti réellement écolo. Et ne parlons pas des délires des gauchistes de culture woke; Sandrine Rousseau illustrant jusqu’à la caricature l’extrémisme d’Europe écologie les Verts dans tous les domaines : économique, écologique, social et sociétal. On objectera que chaque partie assez folle ( ou ses) exemples Morano pour les républicains, Ségolène Royal pour le parti socialiste ou encore Taubira pour la gauche bobo. N’empêche qu’avec un score d’environ 5 % le représentant politique des écolos renvoie la cause environnementale à beaucoup plus tard : au moins cinq ans sinon plus! Heureusement cette cause est sans doute mieux servie par des écologistes indépendants des doctrines extrémistes gauchistes

Ecologie politique: Un double enterrement

Ecologie politique: Un double enterrement

Paradoxalement la cause environnementale aura presque disparu de la campagne électorale présidentielle française. En cause, sans doute d’abord la crise en Ukraine qui va remettre au centre des préoccupations la compétitivité souvent au détriment de la qualité de l’environnement. En outre, une crise qui va durer peut-être des mois et même des années avec des effets négatifs sur l’inflation et plus généralement sur l’environnement. Non seulement la croissance sera remise en question au plan mondial mais son contenu productiviste et gaspilleur sera encouragé pour  compenser la hausse des coûts.

Mais il s’agit d’un double enterrement, celui évoqué par la guerre menée par la Russie mais tout autant sans doute par l’incohérence totale du parti Europe écologie les Verts qui a démontré toutes ses limites et ses contradictions et d’une certaine manière a largement discrédité la cause environnementale. La plupart des dirigeants d’Europe écologie les Verts sont d’ailleurs plus proches politiquement des communistes ou  de Mélenchon que d’un parti réellement écolo. Et ne parlons pas des délires des gauchistes de culture woke; Sandrine Rousseau illustrant jusqu’à la caricature l’extrémisme d’Europe écologie les Verts dans tous les domaines : économique, écologique, social et sociétal. On objectera que chaque partie assez folle ( ou ses) exemples Morano pour les républicains, Ségolène Royal pour le parti socialiste ou encore Taubira pour la gauche bobo. N’empêche qu’avec un score d’environ 5 % le représentant politique des écolos renvoie la cause environnementale à beaucoup plus tard : au moins cinq ans sinon plus! Heureusement cette cause est sans doute mieux servie par des écologistes indépendants des doctrines extrémistes gauchistes

Environnement : double crise

Environnement  : double crise 

Les philosophes Joëlle Zask et Eric Pommier affirment, dans leurs essais respectifs et complémentaires « Ecologie et démocratie » et « La Démocratie environnementale », la nécessité d’approfondir la démocratie pour répondre aux défis environnementaux.

 

 

« Ecologie et démocratie », de Joëlle Zask, Premier Parallèle, 232 p., 20 €, numérique 12 €.

« La Démocratie environnementale. Préserver notre part de nature », d’Eric Pommier, PUF, « L’écologie en questions », 268 p., 22 €, numérique 18 €.

analyse ( Le Monde)

C’est le tragique paradoxe de notre temps : face à l’urgence écologique, les réponses tardent à se concrétiser. Comment l’expliquer ? Depuis les années 1970, la démocratie est mise en cause, sous des angles opposés. Pour les uns, le système représentatif n’étant que le paravent des lobbys et du capital, le salut viendra d’une démocratie directe. Pour d’autres, la démocratie serait par essence incapable de prendre des mesures impopulaires : s’imposerait donc, afin d’agir efficacement, un Etat fort, sinon dictatorial.

Des travaux renouvellent ce sujet aujourd’hui. Après un colloque de Cerisy, dont les actes viennent d’être publiés (La Démocratie écologique. Une pensée indisciplinée, Hermann, 432 p., 24 €), des essais explorent le lien entre démocratie et écologie, notamment ceux d’Eric Pommier, La Démocratie environnementale, et de Joëlle Zask, Ecologie et démocratie. Différents dans leur style philosophique et leurs propositions, ils se complètent toutefois pour soutenir, contre les tentations autoritaires, qu’une démocratie bien comprise est moins le problème que la solution.

Le livre d’Eric Pommier part du constat que l’éthique environnementale, notamment celle consignée dans Le Principe responsabilité (1979 ; Cerf, 1990), du philosophe Hans Jonas (1903-1993), a échoué à transformer les sociétés dans un sens écologique. Pourtant, ce grand classique avait effectué une percée en reformulant l’éthique à l’aune des défis technologiques et de la responsabilité envers les générations futures et la nature. Sa formule reste une boussole précieuse : « Agis de façon que les effets de ton action soient compatibles avec la permanence d’une vie authentiquement humaine sur Terre. »

Sauf que sa traduction politique n’est pas évidente. Comparant les régimes démocratiques capitalistes et leurs adversaires communistes, Jonas n’offrait aucune réponse claire. Pis, on lui a reproché de justifier un Etat autoritaire chargé du long terme. Si l’exégèse de Pommier soutient que ces critiques sont en partie injustes – car une existence « authentiquement humaine », donc capable de vigilance morale, ne peut être celle de somnambules assujettis à un pouvoir tutélaire –, elle indique aussi les moyens de sortir des perplexités de Jonas.

Problématique environnementale : un double enterrement

Problématique environnementale : un double enterrement

 

Paradoxalement la cause environnementale aura presque disparu de la campagne électorale présidentielle française. En cause, sans doute d’abord la crise en Ukraine qui va remettre au centre des préoccupations la compétitivité souvent au détriment de la qualité de l’environnement. En outre, une crise qui va durer peut-être des mois et même des années avec des effets négatifs sur l’inflation et plus généralement sur l’environnement. Non seulement la croissance sera remise en question au plan mondial mais son contenu productiviste et gaspilleur sera encouragé pour  compenser la hausse des coûts.

Mais il s’agit d’un double enterrement, celui évoqué par la guerre menée par la Russie mais tout autant sans doute par l’incohérence totale du parti Europe écologie les Verts qui a démontré toutes ses limites et ses contradictions et d’une certaine manière a largement discrédité la cause environnementale. La plupart des dirigeants d’Europe écologie les Verts sont d’ailleurs plus proches politiquement des communistes ou  de Mélenchon que d’un parti réellement écolo. Et ne parlons pas des délires des gauchistes de culture woke; Sandrine Rousseau illustrant jusqu’à la caricature l’extrémisme d’Europe écologie les Verts dans tous les domaines : économique, écologique, social et sociétal. On objectera que chaque partie assez folle ( ou ses) exemples Morano pour les républicains, Ségolène Royal pour le parti socialiste ou encore Taubira pour la gauche bobo. N’empêche qu’avec un score d’environ 5 % le représentant politique des écolos renvoie la cause environnementale à beaucoup plus tard : au moins cinq ans sinon plus! Heureusement cette cause est sans doute mieux servie par des écologistes indépendants des doctrines extrémistes gauchistes

Environnement et politique : double crise

Environnement et politique : double crise 

Les philosophes Joëlle Zask et Eric Pommier affirment, dans leurs essais respectifs et complémentaires « Ecologie et démocratie » et « La Démocratie environnementale », la nécessité d’approfondir la démocratie pour répondre aux défis environnementaux.

 

 

« Ecologie et démocratie », de Joëlle Zask, Premier Parallèle, 232 p., 20 €, numérique 12 €.

« La Démocratie environnementale. Préserver notre part de nature », d’Eric Pommier, PUF, « L’écologie en questions », 268 p., 22 €, numérique 18 €.

analyse ( Le Monde)

C’est le tragique paradoxe de notre temps : face à l’urgence écologique, les réponses tardent à se concrétiser. Comment l’expliquer ? Depuis les années 1970, la démocratie est mise en cause, sous des angles opposés. Pour les uns, le système représentatif n’étant que le paravent des lobbys et du capital, le salut viendra d’une démocratie directe. Pour d’autres, la démocratie serait par essence incapable de prendre des mesures impopulaires : s’imposerait donc, afin d’agir efficacement, un Etat fort, sinon dictatorial.

Des travaux renouvellent ce sujet aujourd’hui. Après un colloque de Cerisy, dont les actes viennent d’être publiés (La Démocratie écologique. Une pensée indisciplinée, Hermann, 432 p., 24 €), des essais explorent le lien entre démocratie et écologie, notamment ceux d’Eric Pommier, La Démocratie environnementale, et de Joëlle Zask, Ecologie et démocratie. Différents dans leur style philosophique et leurs propositions, ils se complètent toutefois pour soutenir, contre les tentations autoritaires, qu’une démocratie bien comprise est moins le problème que la solution.

Le livre d’Eric Pommier part du constat que l’éthique environnementale, notamment celle consignée dans Le Principe responsabilité (1979 ; Cerf, 1990), du philosophe Hans Jonas (1903-1993), a échoué à transformer les sociétés dans un sens écologique. Pourtant, ce grand classique avait effectué une percée en reformulant l’éthique à l’aune des défis technologiques et de la responsabilité envers les générations futures et la nature. Sa formule reste une boussole précieuse : « Agis de façon que les effets de ton action soient compatibles avec la permanence d’une vie authentiquement humaine sur Terre. »

Sauf que sa traduction politique n’est pas évidente. Comparant les régimes démocratiques capitalistes et leurs adversaires communistes, Jonas n’offrait aucune réponse claire. Pis, on lui a reproché de justifier un Etat autoritaire chargé du long terme. Si l’exégèse de Pommier soutient que ces critiques sont en partie injustes – car une existence « authentiquement humaine », donc capable de vigilance morale, ne peut être celle de somnambules assujettis à un pouvoir tutélaire –, elle indique aussi les moyens de sortir des perplexités de Jonas.

Orpea: Le double scandale et la double peine pour les résidents

Orpea: Le double scandale et la double peine pour les résidents

 

Double scandale et double peine pour les résidents révélés par l’enquête enfin publiée concernant Orpea. D’une part il ce confirme que nombre de résidents ont souffert de malnutrition et cela alors que les prix de pension sont particulièrement exorbitants dans cette organisation sans parler parfois de maltraitance.

 

Pour les personnes âgées, la facture médiane d’un Ehpad s’élevait en 2019 à 2004 euros par mois, d’après les données de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA), qui est le gestionnaire de la branche autonomie de la Sécurité sociale. Selon une autre étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques du ministère de la santé (Drees), publiée en novembre 2018 à partir de données de 2016, le reste à charge médian pour les personnes âgées en maison de retraite (autrement dit le coût de l’établissement moins les allocations reçues) était de 1850 euros.

Mais pour Orpéa, maison de retraite de luxe, les tarifs pouvaient varier de 3000 à 6000 €. De quoi sans doute justifier au moins des repas et autres fournitures corrects.

Mais alors que le groupe Orpea est au coeur d’une nouvelle polémique l’accusant de maltraitances, la question se pose à nouveau. Pourquoi ces structures sont-elles si onéreuses alors que les retraités résidant en France touchaient en moyenne en 2019 une pension de droit direct de 1503 euros brut par mois (1393 euros nets des prélèvements sociaux), là encore selon la Drees?

 

Dix jours après avoir été remis au gouvernement, le rapport de l’Inspection générale des Finances (IGF) et celle des Affaires sociales (Igas) sur Orpea est enfin rendu public. Le gouvernement avait missionné l’IGF et l’IGAS le 1er février dernier, au lendemain de la publication de l’enquête de Victor Castanet,

Le rapport de la « mission sur la gestion des EHPAD du groupe Orpea », qui compte 524 pages, malgré les réticences du gouvernement, a finalement été publié ce mardi matin dans son intégralité, à l’exception de certains éléments chiffrés pour des raisons liées à la concurrence. Il a été rédigé en cinq semaines par neuf membres de l’IGF et six de l’Igas.

Globalement, le rapport final – qui compte six chapitres – reprend l’essentiel des conclusions du pré-rapport. Mais il semble que les réponses apportées par Orpea lors de la phase contradictoire aient permis de relativiser certaines accusations. À commencer par le recours à des auxiliaires de vie faisant fonction d’aides-soignantes. Les inspecteurs évoquent une pratique « répandue » dans de nombreux Ehpad et « mal appréhendée par l’État ». Sans disculper Orpea, ils pointent « les difficultés de recrutement et de fidélisation des personnels soignants » dans l’Hexagone. Même chose sur le taux d’encadrement (61,6 salariés pour 100 lits chez Orpea, contre 62,1 en moyenne dans les Ehpad privés) qui ne semble pas « exceptionnel au sein du secteur », selon les inspecteurs. Le rapport final blanchit l’entreprise sur la faible utilisation de couches. « La mission n’a notamment pas constaté de rationnement sur les protections », indiquent les auteurs. Il s’agissait de l’une des principales accusations contre Orpea portées par le livre de Victor Castanet.

 En revanche, l’organisation « très centralisée » d’Orpea, que le groupe s’est engagé à changer au plus vite, est dénoncée par les inspecteurs. Ils décrivent en détail le fonctionnement du groupe, en particulier l’ « autonomie limitée » des directeurs d’établissements. Tout recrutement doit ainsi être validé par la direction régionale. Le chef d’établissement est par ailleurs soumis à un « reporting budgétaire quotidien » pour « respecter les objectifs qui lui sont fixés en matière de masse salariale, de résultat net ou encore de taux d’occupation ». Une pression qui expliquerait le turnover élevé parmi les directeurs d’établissement : 10 à 15% quittent le groupe chaque année, et un tiers d’entre eux font l’objet de licenciements pour inaptitude.

 

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