Archive pour le Tag 'd’origine'

Développement possible de la filière hydrogène grâce à l’électricité d’origine nucléaire nucléaire

Développement possible de la filière hydrogène grâce à l’électricité d’origine nucléaire nucléaire

La filière hydrogène ne pourra réellement se développer que grâce à l’électricité produite par le nucléaire.

D’après un rapport de l’Office parlementaire français d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), la couverture des besoins actuels de l’industrie au niveau mondial, c’est-à-dire 70 millions de tonnes d’hydrogène renouvelable (soit 420 GW), « conduirait à la mise en service de plus de 1 million de nouvelles éoliennes, ou 5 à 6 millions d’hectares de panneaux photovoltaïques » dédiés. Déchiffrer évidemment impossible atteindre. D’où la décision européenne de considérer comme vers hydrogène produite par l’électricité nucléaire

Aujourd’hui, presque 96% de celui généré en Europe provient directement des combustibles fossiles, via le vaporeformage de la molécule de méthane (CH4) présente dans le gaz, ce qui émet 9 à 10 kg de CO2 par kilogramme d’hydrogène.

Pour créer une version « durable », il faut donc s’y prendre autrement : casser une molécule d’eau (H2O) par un procédé appelé électrolyse, c’est-à-dire séparer l’atome O des deux atomes H grâce à un courant électrique. Mettre au point de l’hydrogène bas carbone suppose donc de disposer d’un surplus d’électricité elle-même bas carbone.

Le nucléaire présente un avantage de taille par rapport aux éoliennes et autres panneaux solaires : en-dehors des périodes de maintenance des réacteurs, il fournit une source d’énergie constante et stable au réseau électrique. Ainsi, le facteur de charge du nucléaire, c’est-à-dire le temps pendant lequel l’installation fournit du courant au réseau, s’élève à 75% en moyenne en France (même s’il devrait être plus bas cette année, contre environ 15% pour le solaire, 22% pour l’éolien terrestre et 38% pour l’éolien en mer.

Or, le point clé pour rendre la filière de l’hydrogène bas carbone rentable par rapport à son homologue « gris » (ou à celui produit à l’étranger), consiste à utiliser de l’électricité très abondante et stable, Ce qui est le cas du nucléaire et pas celui des énergies renouvelables intermittentes

Prisons : 25 % des détenus d’origine étrangère

Prisons : 25 % des détenus d’origine étrangère

La France compte environ 10 % d’étrangers en France. Par contre, le pourcentage est notoirement supérieur en prison ou 25 % des détenus sont d’origine étrangère ( réellement étrangers). On pourrait y ajouter les détenus français d’origine étrangère ( la loi interdit d’effectuer des statistiques de ce type) et là on aboutirait à un pourcentage ainsi dépassant les 50 %.Une grande partie des incarcérations concerne les délits de trafic de drogue et les atteintes à la personne.

Répartition des infraction à la législation: stupéfiants : 18,2 % (9 034 personnes), Atteinte à l’autorité de l’État : 4,7 % (2 333 personnes), Infraction routière (autre que homicide et blessure involontaire) : 6,7 % (3 328 personnes) Violence contre les personnes : 15,6 % (7 723 personnes).( Ces infractions ne donnent pas toute lieue à incarcération mais permettent d’éclairer la question délictuelle)

Au 1er juillet, sur 72.020 détenus, l’administration pénitentiaire comptait 53.952 Français et donc 18.068 détenus étrangers. Le tout pour 60.709 places de prison opérationnelles.

En tête des nationalités les plus représentées en détention, on retrouve celles d’Afrique du nord, avec 3974 Algériens, 2093 Marocains et 1254 Tunisiens. Si ces deux derniers chiffres sont stables, le nombre d’Algériens est en nette progression par rapport à 2021 : ils étaient alors 2750 dans nos prisons. Si l’on rapporte ces données à l’ensemble de la communauté algérienne en France, soit 569.000 ressortissants sans compter les détenus bénéficiant de la double nationalité, leur délinquance est plus de 5 fois supérieure à celle de la communauté portugaise, quasiment aussi nombreuse et qui compte 497 détenus.

Cela démontre à l’évidence les très grandes difficultés d’intégration des valeurs notamment républicaines par certaines populations.

On est loin de l’objectif final qui devrait être l’assimilation progressive. Au contraire on assiste plutôt à une sorte de balkanisation avec l’existence de plusieurs modes de civilisation. Refuser ce constat, c’est en même temps renoncer au projet républicain et à ses valeurs.

Une majorité de viandes d’origine végétale dans 20 ans ?

 

 

 

Majoritairement la viande pourrait être d’origine végétale une vingtaine d’années. Cette question est revenue dans l’actualité avec la tricherie sur des biftecks hachés distribués aux plus pauvres (et financées par les pouvoirs publics) et qui contenait une bonne dose de céréales à la place de la viande. Cet événement avait choqué les médias pourtant dans les plats préparés il y a longtemps que les céréales font en partie ofice de viandes. Les colorants permettant de rendre encore plus confus la distinction entre viande et végétaux. Même dans les biftecks hachés commercialisés par certaines chaînes le goût de ce produit est plus proche du carton que de celui de la viande traditionnelle. En clair on est loin du steak haché 100 % viande. Sur le plan gustatif on n’y perd le plus souvent mais pas forcément sur la valeur nutritive.  Selon une étude du cabinet de conseil américain AT Kearney, se basant sur des entretiens avec de nombreux experts, 60% des viandes que nous mangerons en 2040 ne seront pas issues d’animaux morts. Cette nourriture sera remplacée par de la viande «de culture» (ou in vitro/synthétique/artificielle) (35%), à base de végétaux (25%) voire d’insectes ( très riche en protéines), prévoient les auteurs. Il est clair que l’élevage de nature industrielle des animaux destinés à l’abattoir constitue une aberration écologique voir même nutritive quand les animaux sont notamment gonflés d’alimentation dopante ( OGM, pesticides, substances médicamenteuses). À tout le moins on devrait assister dans un premier temps à une réduction assez drastique de la consommation de viande puis passer progressivement pour des raisons sanitaires et écologiques (bilan carbone, occupation des terres etc.) à une augmentation de la viande d’origine davantage végétale. La transition sera forcément progressive pour tenir compte des habitudes gustatives.




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