Archive pour le Tag 'd’octobre !'

Chômage : baisse de l’indemnisation à partir d’octobre

Chômage : baisse de l’indemnisation à partir d’octobre

Le Premier ministre a annoncé la couleur pour tenter de faire face aux dérives financières : il va diminuer les dépenses sociales notamment l’indemnisation du chômage. La durée de l’indemnisation pourrait être réduite à un an au lieu de 18 mois actuellement.

 
La durée d’indemnisation du chômage qui peut aller aujourd’hui jusqu’à 18 mois. « L’une des pistes est de la réduire de plusieurs mois »,a-t-il dit en fixant un plancher : ne pas aller en« dessous de 12 mois ».
Gabriel Attal a par ailleurs souhaité, pour « désmicardiser » la France, « revoir le système des allégements de cotisations » pour que cela incite « davantage à augmenter » les bas salaires.

« On a un système qui fait que, en fait, il n’y a plus beaucoup d’intérêts pour quiconque d’augmenter les salariés qui sont au SMIC. L’employeur, ça lui coûte très cher, le salarié au SMIC, il va à la fin gagner moins », a justifié le Premier ministre. « Il faut avoir des allègements de cotisations qui incitent davantage à augmenter les salariés », a-t-il insisté, indiquant avoir confié une mission « à deux économistes qui vont vous faire des propositions au mois de juin sur le sujet ».

Météo : un mois d’octobre comme en juillet

Météo : un mois d’octobre comme en juillet

 

En juillet le pull-over était de rigueur, fin septembre, on  se baignait  encore un peu partout et en octobre le T-shirt était permis jusqu’à ces derniers jours.

Les températures ont continué à grimper dans la journée, oscillant entre 19 °C et 26 °C selon les régions. Face assez des règlements les météorologistes sont aussi déboussolés et disent un peu n’importe quoi pour faire semblant d’expliquer ce qui semble quand même découler du nouveau général des températures. Témoins les déclarations du météorologue Patrick Galois sur France Info qui déclare à peu près : les périodes de chaud se succèdent les périodes de froid…. et inversement.

Ces températures élevées sont-elles hors du commun ? 

Patrick Galois : Ces températures n’ont rien d’exceptionnel. Ce qui rend ce pic de douceur plus remarquable est que nous sortons d’une séquence de températures fraîches. Mais en soi, cette douceur n’a rien d’extraordinaire pour la saison. Ce type de variations de températures est même tout à fait dans la logique de notre climat hexagonal.

Comment expliquer ces températures quasiment estivales en plein automne ?

Cette situation s’explique par le passage d’un flux de vents venant du sud. Nous avons eu, pendant quelque temps, une dépression sur l’Atlantique qui a fait remonter l’air chaud du sud de l’Europe voire de l’Afrique du Nord. Et cette masse d’air chaud se déplace progressivement vers l’est et le nord du pays.

A la mi-octobre, la température peut encore dépasser les 30 °C dans le Sud-Ouest, dans des villes comme Biarritz. Actuellement, nous sommes autour de 28 °C dans cette région. Alors que du côté de la Méditerranée, les températures sont à peine au-dessus des normales saisonnières. Et dans la capitale, la température est de 23 °C mardi. Les 15 et 16 octobre 2018, le mercure était monté à 26 °C.

Est-ce que cela présage d’un hiver avec des températures plus douces que la normale ?

Nous n’avons pas encore assez d’éléments pour nous prononcer sur les températures hivernales à venir. Nous avions projeté un automne plus doux mais il a commencé en fraîcheur pour atteindre les températures que nous connaissons actuellement.

Bref pour résumer, il fera sans doute plus frais en hiver que l’été dernier ! Et après la pluie le beau temps.

Coronavirus : des municipales au mois d’octobre !

Coronavirus : des  municipales au mois d’octobre !

 

 

 

Après la préparation et les carences du plan de lutte contre le Coronavirus, le gouvernement s’apprête à commettre une énorme bavure démocratique en n’envisageant un report des élections pour le deuxième tour des municipales en octobre. Il est clair qu’un second tour organisé six mois après le premier n’a plus le même sens politique. Il sera forcément influencé par l’environnement sanitaire mais aussi économique et social. Il n’y avait évidemment aucune urgence à organiser l’élection municipale le 16 mars sauf pour le Premier ministre qui d’une certaine manière a commis un acte criminel en appelant à la concentration des électeurs dans les bureaux de vote le jour même il a cité confinement.

Notons que l’abstention record discrédite la légitimité démocratique du premier tour;  certain maires ont pu être élus ainsi avec 25 % des voix ! Le taux d’abstention a été record : 55 %. En outre certaines populations ont été empêché de voter comme dans les EHPAD brutalement fermés et dans les résidents n’ont pu donner de procurations. Le président a évoqué cette hypothèse lors du Conseil des ministres ce mercredi.  Il serait temps que le conseil constitutionnel s’il veut servir à quelque chose se saisisse de cette affaire ridicule au plan politique et démocratique. L’évidence devrait condamner à l’annulation pure et simple du premier tour avec un report en fin d’année voir en 2021 en fonction de l’évolution de la situation sanitaire. On se souvient qu’Édouard Philippe avait instrumentalisé le conseil scientifique pour autoriser l’organisation du premier tour de ces élections municipales. Il s’apprêterait à recommencer cette manipulation




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