Archive pour le Tag 'disqualifié'

Sondage attentat Préfecture de Paris: Castaner disqualifié

Sondage attentat  Préfecture de Paris: Castaner disqualifié

 

L’attentat semble avoir totalement disqualifié Castaner auprès de l’opinion publique. Sa crédibilité avait déjà été fortement entamée lors du mouvement des gilets jaunes mais là c’est sa compétence et son sérieux qui sont discutés ; Le malheur c’est que l’image de la police (et de la gendarmerie)  se trouve également affectée dans  sa capacité à assurer la protection des Français contre le terrorisme notamment.

 

Selon un sondage réalisé par Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et Franceinfo les 9 et 10 octobre, l’attaque à la préfecture de police de Paris «a entaché la confiance des Français dans les institutions et les politiques censés les protéger».

Pour les trois quarts des Français (73 %), elle n’est pas un acte isolé mais le signe que d’autres services de police et de renseignement en France sont concernés. L’image qu’ils ont de la police, de l’armée et des services de renseignement s’est ainsi détériorée, perdant de 5 à 7 points, par rapport au dernier sondage de juillet 2018, même s’ils gardent très largement confiance en eux.

Cette attaque a en outre «dégradé un peu plus l’image qu’ils avaient du ministre de l’Intérieur», Christophe Castaner. 71 % des sondés ne lui font pas confiance, 69 % l’estimant «pas compétent» et 76 % «pas rassurant». Les deux tiers estiment par ailleurs qu’«il a commis une faute en s’exprimant trop vite sur le sujet».

 

 

Sondage attentat de Paris: Castaner disqualifié

Sondage attentat de Paris: Castaner disqualifié

 

L’attentat semble avoir totalement disqualifié Castaner auprès de l’opinion publique. Sa crédibilité avait déjà été fortement entamé lors du mouvement des gilets jaunes mais là c’est sa compétence et son sérieuse qui sont discutés ; Le malheur c’est que l’image de la police (et de la gendarmerie)  se trouve également affectée dans  sa capacité à assurer la protection des Français contre le terrorisme notamment.

 

Selon un sondage réalisé par Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et Franceinfo les 9 et 10 octobre, l’attaque à la préfecture de police de Paris «a entaché la confiance des Français dans les institutions et les politiques censés les protéger».

Pour les trois quarts des Français (73 %), elle n’est pas un acte isolé mais le signe que d’autres services de police et de renseignement en France sont concernés. L’image qu’ils ont de la police, de l’armée et des services de renseignement s’est ainsi détériorée, perdant de 5 à 7 points, par rapport au dernier sondage de juillet 2018, même s’ils gardent très largement confiance en eux.

Cette attaque a en outre «dégradé un peu plus l’image qu’ils avaient du ministre de l’Intérieur», Christophe Castaner. 71 % des sondés ne lui font pas confiance, 69 % l’estimant «pas compétent» et 76 % «pas rassurant». Les deux tiers estiment par ailleurs qu’«il a commis une faute en s’exprimant trop vite sur le sujet».

2017 : Sarkozy disqualifié par les affaires (Macron)

2017 : Sarkozy disqualifié par les affaires (Macron)

Cette fois Macron ne fait pas dans la dentelle, il descend nombre de responsables politiques notamment Sarkozy qu’il considère comme disqualifié par les affaires. L’ancien président de la République est mis en examen pour trafic d’influence actif, corruption active et recel de violation de secret professionnel dans l’affaire dite des « écoutes » où il aurait proposé de faciliter la promotion d’un juge en échange d’informations sur l’avancement d’une procédure. Le parquet a par ailleurs requis son renvoi en correctionnelle pour financement illégal de sa campagne électorale de 2012 dans le cadre de l’affaire dite « Bygmalion ». « Toutes les fautes ne se valent pas et il y en a qui vous disqualifient radicalement », a affirmé l’ancien ministre de l’Economie en soulignant que les chefs de mises en examen dans la première affaire constituaient des « atteintes à l’autorité de l’Etat », selon le code pénal. « Comment peut-on incarner l’Etat, l’autorité, donner des leçons à tout le monde (…) et envisager en s’étant rendu coupable de continuer d’aller devant les Français pour leur dire qu’on sera le garant de nos règles, qu’on représentera le pays. Ce n’est plus possible », a-t-il ajouté, sous les applaudissements d’un millier de ses partisans. « Le retour n’est pas un droit », a-t-il ajouté à propos de la candidature de l’ancien président à la primaire de la droite et du centre pour l’élection présidentielle de 2017.

(Avec Reuters)




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