L’islamisme radical définitivement discrédité par l’horreur des massacres
L’horreur des massacres notamment dans les kibboutz de Kfar Aza et Be’eri discrédite définitivement l’islamisme radical et finalement bestial comme le rapporte Franceinfo. Le résultat de l’endoctrinement des palestiniens par l’idéologie folle des Frères musulmans. Ou quand la vie y compris pour eux-mêmes ne compte plus. Et quand l’humain redevient une bête sauvage.
Samedi, dès l’aube, plusieurs dizaines de terroristes du Hamas – 70 selon l’armée israélienne –, ont pris d’assaut le kibboutz de Be’eri, à quatre kilomètres de la bande de Gaza. Selon un bilan de plusieurs ONG israéliennes, confirmé par la rédaction internationale de Radio France, l’attaque terroriste du Hamas a fait plus de 100 morts dans ce seul village, le plus grand kibboutz proche de Gaza qui comptait 1 200 habitants avant l’attaque.
Les habitants ont été réveillés par des coups de feu et des bruits d’explosion. Les assaillants sont passés de maison en maison : ils y ont exécuté les civils, parfois encore dans leurs lits, à l’arme automatique et ont déclenché des incendies. Les premiers secours décrivent de très nombreux corps, de très nombreux blessés graves ainsi que beaucoup de disparus, dont une jeune femme de 18 ans, probablement emmenée en otage.
Kfar Aza : le nom de cet autre kibboutz , C’est un massacre », expliquait ainsi le major général Itai Veruv, avant que des journalistes n’entrent à Kfar Aza, attaqué, samedi, par des commandos du Hamas.
Comme à Be’eri, des familles entières, enfants compris, passés par les armes, d’autres brûlés à l’intérieur de leurs petites maisons. Au moins 100 civils ont été tués dans ce village d’environ 800 personnes, annoncent certains. Plusieurs dizaines de corps de combattants du Hamas ont été également retrouvés. Et certains médias évoquent des scènes d’horreur : des couples tués dans leur sommeil, des traces de sang massives dans les salons ou les chambres, des lits d’enfants tâchés de sang et des bébés tués, dont certains décapités.
Selon une dépêche de l’AFP, « plusieurs militaires israéliens interrogés font état de plus de 100 morts civils, parfois 150″.