Archive pour le Tag 'discrédité'

L’islamisme radical définitivement discrédité par l’horreur des massacres

L’islamisme radical définitivement discrédité par l’horreur des massacres

L’horreur des massacres notamment dans les kibboutz de Kfar Aza et Be’eri discrédite définitivement l’islamisme radical et finalement bestial comme le rapporte Franceinfo. Le résultat de l’endoctrinement des palestiniens par l’idéologie folle des Frères musulmans. Ou quand la vie y compris pour eux-mêmes ne compte plus. Et quand l’humain redevient une bête sauvage.

Samedi, dès l’aube, plusieurs dizaines de terroristes du Hamas – 70 selon l’armée israélienne –, ont pris d’assaut le kibboutz de Be’eri, à quatre kilomètres de la bande de Gaza. Selon un bilan de plusieurs ONG israéliennes, confirmé par la rédaction internationale de Radio France, l’attaque terroriste du Hamas a fait plus de 100 morts dans ce seul village, le plus grand kibboutz proche de Gaza qui comptait 1 200 habitants avant l’attaque.

Les habitants ont été réveillés par des coups de feu et des bruits d’explosion. Les assaillants sont passés de maison en maison : ils y ont exécuté les civils, parfois encore dans leurs lits, à l’arme automatique et ont déclenché des incendies. Les premiers secours décrivent de très nombreux corps, de très nombreux blessés graves ainsi que beaucoup de disparus, dont une jeune femme de 18 ans, probablement emmenée en otage.
Kfar Aza : le nom de cet autre kibboutz , C’est un massacre », expliquait ainsi le major général Itai Veruv, avant que des journalistes n’entrent à Kfar Aza, attaqué, samedi, par des commandos du Hamas.

Comme à Be’eri, des familles entières, enfants compris, passés par les armes, d’autres brûlés à l’intérieur de leurs petites maisons. Au moins 100 civils ont été tués dans ce village d’environ 800 personnes, annoncent certains. Plusieurs dizaines de corps de combattants du Hamas ont été également retrouvés. Et certains médias évoquent des scènes d’horreur : des couples tués dans leur sommeil, des traces de sang massives dans les salons ou les chambres, des lits d’enfants tâchés de sang et des bébés tués, dont certains décapités.

Selon une dépêche de l’AFP, « plusieurs militaires israéliens interrogés font état de plus de 100 morts civils, parfois 150″.

Retraites-Le conseil constitutionnel s’est encore discrédité

Retraites-Le conseil constitutionnel s’est encore discrédité

Il y a déjà longtemps que beaucoup s’interrogent sur cette espèce de conseil hybride que constitue le conseil constitutionnel dont le rôle se situe à mi-chemin entre le conseil d’État et une véritable cour suprême. Pire, qui n’est pas composé de juristes constitutionnalistes

Pas étonnant ce conseil constitutionnel est surtout composé de responsables politiques nommés par des politiques : trois membres sont nommés par le président de la république, trois membres sont nommés par le président de l’assemblée nationale et trois autres par le président du Sénat. On compte même aussi d’anciens ministres et même d’anciens premiers ministre.

Bizarrerie supplémentaire, les membres du conseil constitutionnel ne sont pas véritablement des spécialistes du droit et encore moins des constitutionnalistes.

Ils ont surtout été nommés là pour aller dans le sens des orientations des pouvoirs en place et en général jusque-là ont surtout servi les intérêts des plus puissants.

Avec le jugement inique récent concernant la réforme des retraites, ils ont montré une fois de plus leur bienveillance coupable à l’égard des détournements de la constitution. Ainsi autorise-t-il maintenant qu’une loi rectificative financière sur un sujet puisse être étudiée dans des délais très raccourcis et même sans le vote de l’Assemblée nationale.

Une vision très antidémocratique de la lettre et de l’esprit de la constitution. Ajoutons évidemment à cela qu’ils n’ont pas tenu compte du contexte politique et encore moins du contexte social qui se caractérise par une opposition de près de 80 % au projet de réforme des retraites.

Cette péripétie honteuse s’ajoute au discrédit du système politique tout entier qui montre les accommodements que prend le pouvoir avec la démocratie. Ainsi un pouvoir sans majorité à l’Assemblée nationale, condamné largement dans l’opinion publique, peut-il sans dommage prendre des orientations injustes et au surplus inefficaces sur à peu près tous les sujets.

De toute évidence, il faudra revoir un jour soit la constitution, soit les conditions de son application, pour permettre de donner aux orientations une autre légitimité démocratique, politique et sociale.

Politique-Le conseil constitutionnel définitivement discrédité

Politique-Le conseil constitutionnel définitivement discrédité

Il y a déjà longtemps que beaucoup s’interrogent sur cette espèce de conseil hybride que constitue le conseil constitutionnel dont le rôle se situe à mi-chemin entre le conseil d’État et une véritable cour suprême. Pire, qui n’est pas composé de juristes constitutionnalistes

Pas étonnant ce conseil constitutionnel est surtout composé de responsables politiques nommés par des politiques : trois membres sont nommés par le président de la république, trois membres sont nommés par le président de l’assemblée nationale et trois autres par le président du Sénat. On compte même aussi d’anciens ministres et même d’anciens premiers ministre.

Bizarrerie supplémentaire, les membres du conseil constitutionnel ne sont pas véritablement des spécialistes du droit et encore moins des constitutionnalistes.

Ils ont surtout été nommés là pour aller dans le sens des orientations des pouvoirs en place et en général jusque-là ont surtout servi les intérêts des plus puissants.

Avec le jugement inique récent concernant la réforme des retraites, ils ont montré une fois de plus leur bienveillance coupable à l’égard des détournements de la constitution. Ainsi autorise-t-il maintenant qu’une loi rectificative financière sur un sujet puisse être étudiée dans des délais très raccourcis et même sans le vote de l’Assemblée nationale.

Une vision très antidémocratique de la lettre et de l’esprit de la constitution. Ajoutons évidemment à cela qu’ils n’ont pas tenu compte du contexte politique et encore moins du contexte social qui se caractérise par une opposition de près de 80 % au projet de réforme des retraites.

Cette péripétie honteuse s’ajoute au discrédit du système politique tout entier qui montre les accommodements que prend le pouvoir avec la démocratie. Ainsi un pouvoir sans majorité à l’Assemblée nationale, condamné largement dans l’opinion publique, peut-il sans dommage prendre des orientations injustes et au surplus inefficaces sur à peu près tous les sujets.

De toute évidence, il faudra revoir un jour soit la constitution, soit les conditions de son application, pour permettre de donner aux orientations une autre légitimité démocratique, politique et sociale.

SONDAGE Réforme des retraites :Le gouvernement très largement discrédité

SONDAGE Réforme des retraites : Le gouvernement très largement discrédité

Selon un nouveau sondage Elabe-BFM, seul un Français sur quatre (27%) estime qu’il faudrait relever l’âge de départ. Dans le détail, seulement 18% des personnes interrogées souhaitent que celui-ci soit porté à 64 ans et 9% à 65 ans.

A contrario, ils sont 47% à estimer que cet âge légal devrait rester à 62 ans et même 25% à estimer qu’il faudrait l’abaisser.

Au sein de la population active, ils sont même 49% à souhaiter un maintien à 62 ans et 31% à vouloir même un abaissement de cet âge. Les retraités sont quant à eux plus partagés: 48% veulent que cet âge légal de départ soit augmenté et 44% ne veulent pas qu’il soit modifié.

Également interrogés sur le système de retraites actuel, les Français sont une majorité (64%) à le qualifier d’injuste et de financièrement fragile (55%). Ils sont aussi nombreux (72%) à pointer le faible taux d’emploi des seniors.

Ils sont seulement 31% à estimer que cette réforme permettra de faire des économies pour pouvoir financer d’autres dépenses publiques de protection sociale. En outre, ils jugent le moment inopportun pour faire une réforme des retraites en pleine crise du pouvoir d’achat (60%).

Pour une majorité de sondés (52%), la priorité de l’exécutif doit être mise sur le pouvoir d’achat. Ils estiment par ailleurs que l’exécutif doit mettre la réforme des retaites (21%) derrière l’écologie (22%) en termes de priorité d’action dans les prochains mois.

Échantillon de 1005 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet du 3 au 4 janvier 2023.

Grève CGT: une action qui discrédite encore un peu plus le mouvement syndical

Grève CGT: une action qui discrédite encore un peu plus le mouvement syndical

Une nouvelle fois l’action irresponsable des syndicats de l’ultra gauche contribueà discréditer le mouvement syndical. Non seulement la manifestation de mardi a été peu suivie (autour de 100 000 personnes en France) mais le nombre de grévistes a été assez insignifiant.Soit un deuxième échec après celui de la manifestation de Mélenchon

Du coup il s’agit davantage d’une action éteignoire que d’une action de lancement d’une grève générale.

Le problème fondamental c’est que pour ces organisations de l’ultra gauche l’objectif politique à caractère pseudo révolutionnaire domine et de très loin l’objectif social.

Le phénomène n’est pas nouveau mais la sociologie des salariés évolue progressivement. Des salariés de plus en plus éduqués, de plus en plus qualifiés, de plus en plus informés et qui donnent leur préférence au syndicat réformiste comme la CFDT, l’ UNSA ou encore la CGC. La CGT a d’ailleurs perdu son monopole de représentation de ce fait et la CFDT est devenue le premier syndicat en France.

Le sondage Elabe pour BFMTV publié mardi matin sur le climat social Confirme la méfiance de l’opinion vis-à-vis de l’ultra gauche syndicale et politique. Selon l’enquête, 49 % des Français désapprouvent cette mobilisation interprofessionnelle et 39 % approuvent.

Pour autant, les Français soutiennent largement l’urgence de la revalorisation des salaires par rapport à l’inflation. Mais ils ne sont pas prêts pourtant à se jeter dans les bras de ceux qui promettent le grand soir. Promesse déjà faite dans le passé qui aboutit à donner le pouvoir à la gauche et qui rapidement fait une politique de droite. Et ils sont encore moins prêts à se faire d’illusion sur l’avènement d’un régime révolutionnaire qui dans tous les pays a d’ailleurs abouti à des dictatures.

Eolien: L’agence de Maîtrise de l’énergie se discrédite

Eolien: L’agence de Maîtrise de l’énergie se discrédite

 

À l’origine l’agence d’État (Ademe) a fait un gros travail de sensibilisation sur la problématique environnementale et contribuéà engager dans le pays un processus de transition.

Depuis quelques années déjà, l’Ademe s’est transformée en cercle écolos bobos pour soutenir tout et n’importe quoi afin de conserver son hégémonie culturelle sur les questions environnementales.

Ainsi l’ADEME vient-elle de se mettre en contradiction avec le gouvernement à propos du ralentissement des éoliennes au motif notamment que cette nouvelle énergie ne pèserait pas significativement sur la baisse des prix de l’immobilier. Une étude bidon si l’on se réfère réellement et sur longue période à l’évolution des prix de l’immobilier à proximité des éoliennes.

Dans un avis rendu mercredi 1er juin, l’établissement public appelle au contraire à accélérer la cadence, et s’appuie notamment sur une étude montrant l’impact minime des parcs éoliens sur les prix de l’immobilier alentour.

A l’heure de choix structurants pour l’avenir énergétique du pays, plusieurs visions s’affrontent en la matière…y compris au sein de l’appareil d’Etat. Et pour cause, tandis que la nouvelle ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, a confirmé fin mai la volonté du gouvernement de freiner sur les éoliennes terrestres au profit de leurs homologues en mer, l’Ademe, placée entre autres sous sa tutelle, s’accroche à l’ambition d’un déploiement massif des géants à pales sur le territoire.

Car leur « potentiel technique » reste « largement sous-exploité », fait valoir l’agence dans un avis rendu mercredi 1er mai. Autrement dit, alors que la France accuse déjà un retard sur ses objectifs, l’exécutif ne doit pas s’asseoir sur la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) adoptée en 2019, qui prévoit un doublement du rythme actuel d’implantation des parcs terrestres d’ici à 2028, défend l’Ademe bec et ongle. « Le cap est clair », assure-t-on dans ses rangs : « il faut poursuivre la pénétration des énergies renouvelables, qui deviendront la principale source d’énergie ».

Sondage gouvernement Borne : déjà discrédité

Sondage gouvernement Borne : déjà discrédité

 

Elabe pour BFMTV et L’Express en partenariat avec SFR. 58% des répondants se disent mécontents de la composition du nouvel exécutif. Emmanuel Macron avait promis « un renouvellement complet » lors d’un meeting de l’entre-deux-tours à Marseille. Mais les débuts de son nouveau quinquennat se placent plutôt sous le sceau de la continuité. Il a par exemple fait le choix de reconduire ses fidèles comme Gérald Darmanin à l’Intérieur ou Bruno Le Maire à Bercy.

Seule vraie surprise de ce gouvernement: l’arrivée de l’historien spécialiste des États-Unis Pap Ndiaye à l’Éducation nationale, et antithèse de son prédécesseur Jean-Michel Blanquer.

De quoi faire dire à 70% des personnes interrogées dans ce sondage Elabe que le gouvernement n’incarne pas la nouveauté, tout en se félicitant à 38% de la parité homme-femme sur les bancs du Conseil des ministres.

Un gouvernement incompétent face à la hausse des prix

65% des Français pensent que ce nouvel exécutif ne sera pas efficace pour répondre aux problèmes du pays.

Conscient de l’urgence économique alors que les prix de l’alimentaire pourraient augmenter de 5% d’ici l’été dans les supermarchés, la porte-parole du gouvernement Olivia Grégoire a promis lundi qu’un projet de loi sur le pouvoir d’achat serait présenté avant les législatives. Elle a finalement rétropédalé ce mardi.En fait le projet de loi pourrait n’être adopté qu’après les législatives. Sur plusieurs sujets la nouvelle porte-parole du gouvernement s’est déjà prie les pieds dans le tapis

Quant au choix de nommer deux ministres dédiées à la lutte contre le réchauffement climatique, elle laisse également dubitatif. 68% des personnes interrogées doutent que le gouvernement soit efficace en la matière.Rien d’étonnant à cela puisque les deux énarques nommés n’ont jamais manifesté la moindre compétence et le moindre intérêt à la problématique environnementale

Ce sondage a été réalisé sur un échantillon de 1001 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgée de 18 ans et plus avec la méthode des quotas. Le recueil des informations s’est fait en ligne du 23 au 24 mai 2022.

Affaire Tavares : le scandale qui discrédite le capitalisme

Affaire Tavares : le scandale qui discrédite le capitalisme

 

Le scandale provoqué par les 66 millions d’euros de rémunération du PDG de Stellantis relève moins de son montant que de l’impossibilité pour les salariés du groupe et les pouvoirs publics d’avoir leur mot à dire, analyse, dans une tribune au « Monde », Pierre Liret, entrepreneur et militant du mouvement coopératif Coopaname.

 

Tribune.

 

 Interrogé sur BFM-TV à propos des 66 millions d’euros de rémunération du PDG du constructeur automobile Stellantis, Carlos Tavares, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a considéré que Stellantis est une entreprise privée et qu’« à la fin, ce sont les actionnaires qui décident et qui votent » [le 13 avril].

Il a eu beau expliquer ensuite que le gouvernement souhaite favoriser un meilleur partage de la valeur avec les salariés dans les entreprises qui versent de gros dividendes, le président de la République a eu beau rectifier le lendemain, en déclarant au micro de France Info qu’il jugeait ce montant « excessif et choquant », son porte-parole a ainsi fait aveu d’impuissance, laquelle s’est confirmée dans les faits : l’Etat actionnaire a voté contre la rémunération, mais le PDG est passé outre en s’appuyant sur le vote majoritaire de son conseil d’administration.

Ainsi a-t-on un nouvel exemple du gouffre entre les discours des élites sur le capitalisme responsable et leurs pratiques féodales dans les grandes entreprises.

Car, vraiment, peut-on considérer qu’au XXIe siècle, une entreprise, comme au temps de l’économiste Adam Smith (1723-1790) et des grands entrepreneurs qui prenaient des risques considérables à financer les grandes découvertes, ne doit des comptes qu’à ses actionnaires ? Doit-on considérer d’ailleurs que les actionnaires sont propriétaires de l’entreprise, ou uniquement de leurs actions et de leurs parts sociales ?

Dans une économie composée d’entreprises toujours plus grandes et aux enjeux toujours plus gigantesques, une entreprise n’a-t-elle pas des comptes à rendre et des responsabilités envers ses salariés, ses clients, ses fournisseurs, sans oublier les pouvoirs publics ? A l’évidence oui, et la société le reconnaît de plus en plus avec l’essor des pratiques de responsabilité sociale et environnementale (RSE), des critères d’évaluation environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) et les objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU, sur lesquels les entreprises sont enjointes de s’aligner.

La conséquence logique de cette responsabilité n’est-elle pas de reconnaître que toutes les parties prenantes d’une entreprise sont impactées par son activité, et que les plus impactées d’entre elles – salariés, clients, sous-traitants, pouvoirs publics – devraient avoir un droit à la consultation et/ou à la décision au même titre que les actionnaires, qu’elles soient détentrices ou non de parts sociales ?

Société et politique : L’oligarchie qui discrédite la démocratie

Société et politique  : L’oligarchie qui discrédite la démocratie

 

 

 

Beaucoup s’interrogent en France  à  propos de la démocratie en particulier sur l’intérêt ou non de participer au rituel   qui désigne nos représentants à tous les échelons et en particulier au plan national. En effet d’après des sondages , au moins la moitié des sélecteurs potentiels pourraient ne pas voter lors des présidentielles de 2022. Si l’on ajoute les non-inscrits sur les listes, la population des protestataires anti vote est largement majoritaire.

 En cause , évidemment le décalage permanent entre des discours truffés de promesses impossibles et de contradictions notoires avec ensuite une gestion qui contredit les propos qui ont permis d’être élus. Ainsi en est-il de la modernisation économique en particulier dans l’industrie, des hausses de la fiscalité, de l’étatisme toujours rampant alors que des grandes fonctions régaliennes manifestent parallèlement de grandes faiblesses.

 Pour beaucoup, le vote ne change rien; pire, il légitime l’hypocrisie collective autant que l’incompétence.

 Par ailleurs et peut-être surtout , la culture dominante qui vaut pour toutes les élections s’inspire d’une philosophie de type sophiste  qui de près ou de loin se nourrit de la dialectique creuse de l’ENA. Beaucoup sont issus de l’école incontournable pour accéder au plus haut niveau quant aux autres issus seulement d’instituts politiques, de l’université ou d’ailleurs, ils  copient lamentablement cette rhétorique pseudo scientifique mais réellement technocratique.Bref, une sorte d’oligarchie qui neutralise voire paralyse la démocratie vivante. 

 La démocratie n’a pas avancé d’un pouce depuis plusieurs siècles se réduisant au dépôt d’un bulletin de vote pour donner un pouvoir quasi totalitaire à une oligarchie paresseuse, démagogique et incompétente.

 L’un des remèdes serait évidemment de mettre en place une véritable démocratie participative non pas en réunissant ici ou là seulement quelques experts ou quelques citoyens utilisés comme  alibis et finalement qui servent surtout la soupe au pouvoir.

 L’objectif serait d’associer les acteurs, les citoyens, les organisations intermédiaire  d’abord à l’analyse de situations de plus en plus complexes ensuite à la formulation de propositions. La décision finale qui appartient aux élus aurait alors une autre légitimité et aussi une autre efficacité puisque plus pertinente mieux comprise et mieux appropriée.

Société : L’oligarchie qui discrédite la démocratie

Société : L’oligarchie qui discrédite la démocratie

 

 

 

Beaucoup s’interrogent en France  à  propos de la démocratie en particulier sur l’intérêt ou non de participer au rituel   qui désigne nos représentants à tous les échelons et en particulier au plan national. En effet d’après des sondages , au moins la moitié des sélecteurs potentiels pourraient ne pas voter lors des présidentielles de 2022. Si l’on ajoute les non-inscrits sur les listes, la population des protestataires anti vote est largement majoritaire.

 En cause , évidemment le décalage permanent entre des discours truffés de promesses impossibles et de contradictions notoires avec ensuite une gestion qui contredit les propos qui ont permis d’être élus. Ainsi en est-il de la modernisation économique en particulier dans l’industrie, des hausses de la fiscalité, de l’étatisme toujours rampant alors que des grandes fonctions régaliennes manifestent parallèlement de grandes faiblesses.

 Pour beaucoup, le vote ne change rien; pire, il légitime l’hypocrisie collective autant que l’incompétence.

 Par ailleurs et peut-être surtout , la culture dominante qui vaut pour toutes les élections s’inspire d’une philosophie de type sophiste  qui de près ou de loin se nourrit de la dialectique creuse de l’ENA. Beaucoup sont issus de l’école incontournable pour accéder au plus haut niveau quant aux autres issus seulement d’instituts politiques, de l’université ou d’ailleurs, ils  copient lamentablement cette rhétorique pseudo scientifique mais réellement technocratique.Bref, une sorte d’oligarchie qui neutralise voire paralyse la démocratie vivante. 

 La démocratie n’a pas avancé d’un pouce depuis plusieurs siècles se réduisant au dépôt d’un bulletin de vote pour donner un pouvoir quasi totalitaire à une oligarchie paresseuse, démagogique et incompétente.

 L’un des remèdes serait évidemment de mettre en place une véritable démocratie participative non pas en réunissant ici ou là seulement quelques experts ou quelques citoyens utilisés comme  alibis et finalement qui servent surtout la soupe au pouvoir.

 L’objectif serait d’associer les acteurs, les citoyens, les organisations intermédiaire  d’abord à l’analyse de situations de plus en plus complexes ensuite à la formulation de propositions. La décision finale qui appartient aux élus aurait alors une autre légitimité et aussi une autre efficacité puisque plus pertinente mieux comprise et mieux appropriée.

Politique et société – L’oligarchie qui discrédite la démocratie

Politique et société – L’oligarchie qui discrédite la démocratie

 

 

 

Beaucoup s’interrogent en France  en particulier sur l’intérêt ou non de participer au rituel   qui désigne nos représentants à tous les échelons et en particulier au plan national. En effet d’après des sondages ,au moins la moitié des sélecteurs potentiels pourraient ne pas voter lors des présidentielles de 2022. Si l’on ajoute les non-inscrits sur les listes, la population des protestataires anti vote est largement majoritaire.

 En cause évidemment le décalage permanent entre des discours truffés de promesses impossibles et de contradictions notoires avec ensuite une gestion qui contredit les propos qui ont permis d’être élus. Ainsi en est-il de la modernisation économique en particulier dans l’industrie, des hausses de la fiscalité, de l’étatisme toujours rampant alors que les grandes fonctions régaliennes manifestent parallèlement de grandes faiblesses.

 Pour beaucoup le vote ne change rien, pire il légitime l’hypocrisie collective autant que l’incompétence.

 Par ailleurs et peut-être surtout , la culture dominante qui vaut pour toutes les élections s’inspire d’une philosophie de type sophiste  qui de près ou de loin se nourrit de la dialectique creuse de l’ENA. Beaucoup sont issus de l’école incontournable pour accéder au plus haut niveau quant aux autres issus seulement d’instituts politiques, de l’université ou d’ailleurs copient lamentablement cette rhétorique pseudo scientifique mais réellement technocratique.Bref, une sorte d’oligarchie qui neutralise voire paralyse la démocratie vivante. 

 La démocratie n’a pas avancé d’un pouce depuis plusieurs siècles se réduisant au dépôt d’un bulletin de vote pour donner un pouvoir quasi totalitaire à une oligarchie paresseuse, démagogique et incompétente.

 L’un des remèdes serait évidemment de mettre en place une véritable démocratie participative non pas en réunissant ici ou là seulement quelques experts ou quelques citoyens utilisés comme  alibis et finalement qui servent surtout la soupe au pouvoir.

 L’objectif serait d’associer les acteurs, les citoyens, les organisations intermédiaire  d’abord à l’analyse de situations de plus en plus complexes ensuite à la formulation de propositions. La décision finale qui appartient aux élus aurait alors une autre légitimité et aussi une autre efficacité puisque mieux comprise et mieux appropriée.

Politique-L’oligarchie qui discrédite la démocratie

Politique-L’oligarchie qui discrédite la démocratie

 

 

 

Beaucoup s’interrogent en France  en particulier sur l’intérêt ou non de participer au rituel   qui désigne nos représentants à tous les échelons et en particulier au plan national. En effet d’après des sondages ,au moins la moitié des sélecteurs potentiels pourraient ne pas voter lors des présidentielles de 2022. Si l’on ajoute les non-inscrits sur les listes, la population des protestataires anti vote est largement majoritaire.

 En cause évidemment le décalage permanent entre des discours truffés de promesses impossibles et de contradictions notoires avec ensuite une gestion qui contredit les propos qui ont permis d’être élus. Ainsi en est-il de la modernisation économique en particulier dans l’industrie, des hausses de la fiscalité, de l’étatisme toujours rampant alors que les grandes fonctions régaliennes manifestent parallèlement de grandes faiblesses.

 Pour beaucoup le vote ne change rien, pire il légitime l’hypocrisie collective autant que l’incompétence.

 Par ailleurs et peut-être surtout , la culture dominante qui vaut pour toutes les élections s’inspire d’une philosophie de type sophiste  qui de près ou de loin se nourrit de la dialectique creuse de l’ENA. Beaucoup sont issus de l’école incontournable pour accéder au plus haut niveau quant aux autres issus seulement d’instituts politiques, de l’université ou d’ailleurs copient lamentablement cette rhétorique pseudo scientifique mais réellement technocratique.Bref, une sorte d’oligarchie qui neutralise voire paralyse la démocratie vivante. 

 La démocratie n’a pas avancé d’un pouce depuis plusieurs siècles se réduisant au dépôt d’un bulletin de vote pour donner un pouvoir quasi totalitaire à une oligarchie paresseuse, démagogique et incompétente.

 L’un des remèdes serait évidemment de mettre en place une véritable démocratie participative non pas en réunissant ici ou là seulement quelques experts ou quelques citoyens utilisés comme  alibis et finalement qui servent surtout la soupe au pouvoir.

 L’objectif serait d’associer les acteurs, les citoyens, les organisations intermédiaire  d’abord à l’analyse de situations de plus en plus complexes ensuite à la formulation de propositions. La décision finale qui appartient aux élus aurait alors une autre légitimité et aussi une autre efficacité puisque mieux comprise et mieux appropriée.

L’oligarchie qui discrédite la démocratie

L’oligarchie qui discrédite la démocratie

 

 

 

Beaucoup s’interrogent en France  en particulier sur l’intérêt ou non de participer au rituel   qui désigne nos représentants à tous les échelons et en particulier au plan national. En effet d’après des sondages ,au moins la moitié des sélecteurs potentiels pourraient ne pas voter lors des présidentielles de 2022. Si l’on ajoute les non-inscrits sur les listes, la population des protestataires anti vote est largement majoritaire.

 En cause évidemment le décalage permanent entre des discours truffés de promesses impossibles et de contradictions notoires avec ensuite une gestion qui contredit les propos qui ont permis d’être élus. Ainsi en est-il de la modernisation économique en particulier dans l’industrie, des hausses de la fiscalité, de l’étatisme toujours rampant alors que les grandes fonctions régaliennes manifestent parallèlement de grandes faiblesses.

 Pour beaucoup le vote ne change rien, pire il légitime l’hypocrisie collective autant que l’incompétence.

 Par ailleurs et peut-être surtout , la culture dominante qui vaut pour toutes les élections s’inspire d’une philosophie de type sophiste  qui de près ou de loin se nourrit de la dialectique creuse de l’ENA. Beaucoup sont issus de l’école incontournable pour accéder au plus haut niveau quant aux autres issus seulement d’instituts politiques, de l’université ou d’ailleurs copient lamentablement cette rhétorique pseudo scientifique mais réellement technocratique.Bref, une sorte d’oligarchie qui neutralise voire paralyse la démocratie vivante. 

 La démocratie n’a pas avancé d’un pouce depuis plusieurs siècles se réduisant au dépôt d’un bulletin de vote pour donner un pouvoir quasi totalitaire à une oligarchie paresseuse, démagogique et incompétente.

 L’un des remèdes serait évidemment de mettre en place une véritable démocratie participative non pas en réunissant ici ou là seulement quelques experts ou quelques citoyens utilisés comme  alibis et finalement qui servent surtout la soupe au pouvoir.

 L’objectif serait d’associer les acteurs, les citoyens, les organisations intermédiaire  d’abord à l’analyse de situations de plus en plus complexes ensuite à la formulation de propositions. La décision finale qui appartient aux élus aurait alors une autre légitimité et aussi une autre efficacité puisque mieux comprise et mieux appropriée.

Intox : une fausse agence de communication russe discrédite le vaccin Pfizer .

Intox : une fausse agence de communication russe discrédite le vaccin Pfizer .

 

Dans un échange de mails que franceinfo a pu consulter, l’agence de communication demande à un autre influenceur d’affirmer que les médias dissimulent des informations au public et que l’Union européenne a favorisé le vaccin Pfizer. Ces messages sont signés de l’agence Fazze, domiciliée au Royaume-Uni mais qui n’est pas inscrite au registre des sociétés britanniques. Son adresse à Londres est fausse et ses quelques employés, Russes ou ayant fait leurs études en Russie, suppriment leurs comptes sur les réseaux sociaux depuis que l’affaire est sortie.

Trump : destitué ou discrédité ?

Trump : destitué ou discrédité ?

 

Le président Trump  après son incitation à envahir le Capitole est menacé de destitution par les démocrates désormais majoritaires au Sénat comme à la chambre des représentants. Compte tenu des délais, il paraît cependant peu vraisemblable que le 25e amendement puisse être sollicité pour obtenir la démission de Trump. Pire peut-être que la destitution sera sans doute son discrédit qui restera inscrit dans l’histoire.

Cette affaire d’invasion du Capitole restera dans les annales d’autant qu’il a fait cinq morts pour rien. Pelosi, leader des démocrates a demandé de rédiger un projet de loi visant à invoquer le 25e amendement de la Constitution américaine, qui permet la révocation d’un président incapable de remplir les fonctions de la fonction.

Trump « a fait quelque chose de si grave – qu’il devrait y avoir des poursuites contre lui », a déclaré Pelosi à « 60 Minutes » de CBS selon un premier extrait de l’interview.

L’intensification des efforts pour évincer Trump de la Maison Blanche a attiré un soutien dispersé des républicains, dont le parti a été brisé par les actions du président. Les démocrates ont pressé le vice-président Mike Pence de considérer le 25e amendement, mais un conseiller de Pence a déclaré qu’il s’opposait à l’idée.

Les chances que Trump soit effectivement destitué avant le 20 janvier, lorsque le président élu Joe Biden sera assermenté, restent longues. Toute mise en accusation à la Chambre déclencherait un procès au Sénat contrôlé par les républicains, qui devrait être suspendu jusqu’au 19 janvier et qui a déjà acquitté Trump une fois auparavant.

Trump a déclaré qu’il ne serait pas à l’inauguration de Biden, mais Pence y assistera, a déclaré samedi un haut responsable de l’administration.

Le chef de la majorité, Mitch McConnell, a envoyé une note à ses collègues sénateurs républicains suggérant qu’un procès ne commencerait pas avant que Trump ne soit démis de ses fonctions, a déclaré une source proche du document. Une condamnation au Sénat nécessite un vote des deux tiers.

Les démocrates prendront le contrôle du Sénat plus tard ce mois-ci, après que la Géorgie ait certifié deux élections au second tour remportées par des challengers démocrates.

Trump me sera sans doute pas destitué mais il y aura de lourdes conséquences pour lui. Sans doute des suites judiciaires pour sanctionner sa responsabilité dans la tentative d’insurrection, aussi le souvenir indélébile d’un président devenu fou pour n’avoir pas accepté sa défaite.

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