Archive pour le Tag 'd’investissements'

Microsoft : 4 milliards d’investissements en France

Microsoft : 4 milliards d’investissements en France

«Microsoft va investir 4 milliards d’euros en France au service l’intelligence artificielle et de la croissance économique du pays», promet au Figaro Brad Smith, le président du groupe informatique.

 

C’est de loin le plus gros des investissements annoncés dans le cadre du sommet Choose France 2024, programmé ce lundi à Versailles. Pour célébrer cette annonce, Emmanuel Macron a d’ailleurs choisi de consacrer sa première visite de la semaine à Brad Smith, lundi matin au siège de Microsoft France. Cet investissement massif du géant américain sera déployé d’ici fin 2027 et se déclinera en trois piliers : la construction d’une infrastructure de pointe, la formation des Français et le soutien à l’écosystème national des start-up. «Vous ne pouvez pas réaliser des investissements d’une telle échelle sans un important soutien des pouvoirs publics, reconnaît le dirigeant américain.

Technologies « écologiques » : manque d’investissements

Technologies « écologiques » : manque d’investissements

 

80 % ! Telle est la part des investissements industriels mondiaux réalisés en Asie et en Amérique en 2023. Loin derrière, notre vieux continent ne pèse que pour 6 %, en dépit de ses ambitions pour accoucher d’une « croissance verte ». La France a arrêté un plan d’investissement de 11 milliards par an pendant cinq ans, France 2030, destiné à « accélérer la transformation des secteurs clés de notre économie » et à se positionner « en leader du monde de demain ». À titre de comparaison, la Corée du Sud s’apprête à investir 12 milliards par an pendant vingt ans sur le seul cluster industriel des semi-conducteurs ! Certes, France 2030 ne résume pas l’ensemble des investissements innovants accomplis en France et l’Europe n’est pas restée inactive, mais la course technologique se joue puissance contre puissance ; et à la fin, c’est l’Asie ou l’Amérique qui gagne.

 

Par Louis Gallois et Pierre-André de Chalendar (*) dans la Tribune

Cette concurrence mortifère est particulièrement âpre pour des industries directement liées aux enjeux de la transition écologique. Comment y faire face ? Tout d’abord, être au meilleur niveau technologique : autrement dit, accentuer le soutien à l’effort de recherche et d’innovation. À cet égard, le CIR joue en France un rôle essentiel. Le programme France 2030 cible avec raison certaines des technologies les plus sensibles à l’avenir pour notre industrie. Il faudrait aller plus loin et porter l’effort national de recherche de 2,2 % à 3 % du PIB, objectif fixé il y a plus de vingt ans à Lisbonne et que dépassent les États-Unis, la Corée, le Japon, ou l’Allemagne.

Le deuxième impératif est celui de la compétitivité de l’appareil industriel. Les industries liées à la transition énergétique reçoivent aux États-Unis un soutien massif avec l’IRA. La Chine assure de facto la quasi-exclusivité de son immense marché et de ses programmes étatiques à son industrie domestique, à qui elle offre ainsi une rampe de lancement à son offensive mondiale. On l’a vu pour le photovoltaïque ; l’histoire risque de se reproduire pour les éoliennes ou les batteries automobiles. L’Europe ne peut pas rester inerte. La France est à l’origine des Projets importants d’intérêt européen commun (PIEEC) qui ont par exemple porté les premières usines de batteries européennes. La Commission a heureusement assoupli sa position sur les aides d’État, comme le montre sa récente autorisation de la subvention allemande de 740 millions d’euros, au profit du suédois Northvolt, pour éviter que ce dernier n’implante son usine de batteries aux États-Unis. Pourrait-on imaginer que l’Europe, comme elle l’a fait pour le Covid, mobilise sur son crédit des financements permettant à l’industrie européenne de faire sa mutation vers un monde décarboné en restant compétitive ?

Face aux protectionnismes, oser la riposte

Mais une question se pose : la Chine n’est pas un marché ouvert et les États-Unis développent des politiques ouvertement protectionnistes : quelle peut être la réponse de l’Europe ? À tout le moins, deux ripostes sont possibles, sans remettre en cause le principe d’ouverture des frontières. La première, c’est la prise en compte du contenu carbone des produits importés. Le système d’ajustement carbone aux frontières récemment mis en place ne résout que très partiellement la question et présente même des risques car il peut peser sur la compétitivité des productions européennes. La mesure mise en œuvre en France conditionnant le bonus à l’achat des véhicules électriques au respect d’un seuil de contenu carbone, elle, est au contraire exemplaire, même si elle est ponctuelle.

La deuxième riposte, c’est l’application, concrète et stricte, du principe de réciprocité lorsque l’industrie européenne se heurte pour exporter à un protectionnisme direct ou indirect. L’Europe reconnaît le principe de réciprocité, mais elle a été jusqu’à présent frileuse dans sa mise en œuvre, craignant des rétorsions. La situation de concurrence sur certaines industries justifierait de l’activer plus franchement.

Enfin, faut-il exclure, sur des industries non encore stabilisées et sur des marchés nouveaux adossés à des politiques publiques et liés à la transition écologique, des mesures européennes de limitation temporaire des importations ? Il s’agit de permettre à nos industries naissantes ou adolescentes de gagner en maturité sans être, dès le départ, submergées par une concurrence extérieure qui s’appuie elle-même sur des marchés de fait protégés. La question peut se poser à brève échéance pour les éoliennes ou les batteries d’origine chinoise. Le précédent du photovoltaïque doit nous conduire au moins à ne pas l’éluder.

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(*) Louis Gallois : Diplômé de l’Ecole des hautes études commerciales et de l’Ecole nationale d’administration (promotion Charles de Gaulle), après une carrière dans l’administration publique, il devient successivement PDG de la Snecma (1989), d’Aérospatiale (1992), président de la SNCF (1996), et président exécutif d’EADS N.V. (2007), président du conseil de surveillance de PSA (2014-2021). Il est co-président de La Fabrique de l’industrie depuis sa création en 2011.

Pierre-André de Chalendar : Diplômé de l’ESSEC et ancien élève de l’Ecole Nationale d’Administration, ancien Inspecteur des Finances, il est, depuis juillet 2021, Président du Conseil d’administration de la Compagnie de Saint-Gobain. Pierre-André de Chalendar est par ailleurs administrateur de BNP Paribas et de Veolia ainsi que et Vice-Président d’Entreprises pour l’Environnement, qu’il présida de 2012 à 2015. Depuis juillet 2017 il est co-président de La Fabrique de l’industrie et Président du Conseil de surveillance de l’ESSEC depuis février 2019.

100 milliards d’euros d’investissements dans le transport ferroviaire d’ici 2040 ?

100 milliards d’euros d’investissements dans le transport ferroviaire d’ici 2040 ?

Cela semble répond à l’estimation des besoins réalisée par la SNCF. Sauf que ce dernier donnait un horizon de 15 ans et que cette enveloppe n’est pas entièrement destinée à la SNCF.

Première observation, on ne connaît rien du contenu de cette orientation stratégique qui évidemment ne peut se résumer à la seule question des infrastructures.

Une orientation qui s’insérerait dans la « de planification écologique et dont on dit seulement qu’il serait abondé par l’État et les collectivités territoriales. Comment, pourquoi, dans quels domaines prioritaires et à partir de quelles planifications financières ?

La Première ministre annonce 100 milliards pour le transport ferroviaire mais des milliards qui seront en priorité pour le développement de métro en province.

L’objectif est de moderniser le réseau ferré ainsi que les transports du quotidien, tout en œuvrant pour le report modal et la décarbonation. Bref l’auberge Espagnole qui reprend les objectifs très flous d’une planification écologique évasive, sans stratégie précise et sans moyens.

De toute manière l’objectif est fixé à 2040, il y a longtemps que la première ministre aura disparu du paysage politique.

À noter aussi qu’on risque de dépenser des milliards pour des métros inutiles. Les besoins pourraient être nettement mieux satisfaits et moins chers avec des Trams et-ou des bus électriques en site propre et ou protégés.

Transport ferroviaire »: pour un un plan d’investissements de 100 milliards d’euros en dix ans

Transport ferroviaire »: pour un un plan d’investissements de 100 milliards d’euros en dix ans

Les présidents de régions réclament un investissement massif de 10 milliards par an pendant 10 ans au profit du ferroviaire pour accompagner la transition écologique.Un objectif qui malheureusement ne figure nullement dans la micro planification écologique annoncée il y a deux jours par la première ministre. Or rien ne changera fondamentalement dans le transport de personnes sans un soutien significatif des transports collectifs et notamment du ferroviaire.

« C’est un ‘new deal’ ferroviaire, à la mesure des crises et des défis de nos générations, et du changement climatique. » Seize présidents de régions et de collectivités territoriales appellent à « un plan national de modernisation et d’équipement ferroviaire » en France, avec un plan d’investissements à hauteur de 100 milliards d’euros sur dix ans, dans une tribune publiée par le journal Le Monde, samedi 22 octobre.

La tribune a pour signataires, entre autres, le président de la région Hauts-de-France Xavier Bertrand, Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France et Jean Rottner, à la tête de la région Grand Est, ou encore Serge Letchimy, président de la collectivité territoriale de Martinique.

« Agissons ensemble, c’est notre responsabilité collective », lancent encore les signataires du texte. Ces derniers s’adressent notamment à Bruxelles « pour investir massivement dans les réseaux de transport ». « C’est le sens du mécanisme pour l’interconnexion en Europe, dans le droit fil des objectifs du pacte vert européen. C’est également un puissant levier de la reconquête de la souveraineté énergétique européenne », défendent-ils.

Dans cette tribune, les présidents de régions rappellent que le réseau ferroviaire français « requiert, selon Jean-Pierre Farandou, le PDG de la SNCF lui-même, un investissement de 100 milliards d’euros sur quinze ans, pour sa remise à niveau immédiate et pour atteindre la neutralité carbone en 2050″. Pour les signataires, « l’innovation doit être au cœur de ce chantier ». « Le ferroviaire, c’est le développement économique », soulignent-ils.

Ces derniers pointe les bienfaits d’un tel plan pour « la relocalisation de notre industrie », qui passerait notamment « par la relance des autoroutes ferroviaires de fret, la fin des tergiversations autour du tracé du Lyon-Turin ou la modernisation de la ligne des primeurs Perpignan-Rungis (Val-de-Marne). »

Crise de l’industrie pharmaceutique en France : la faute à un manque d’investissements

Crise de l’industrie pharmaceutique en France : la faute à un manque d’investissements

L’économiste Frédéric Bizard propose, dans une tribune au « Monde », de rompre avec les stratégies publiques et privées actuelles.

Tribune. Parmi les cinq pays membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, la France, pays inventeur du vaccin, est le seul à ne pas avoir trouvé un vaccin contre le Covid-19. Signe d’un déclin irréversible de la recherche médicale française pour les uns, accident de parcours lié à tout processus de recherche pour les autres, cette situation révèle des dysfonctionnements qui peuvent être corrigés.

Alors que la France dispose déjà d’un budget global public de la recherche plus faible que nos voisins (2 % du PIB contre 3 % en Allemagne), le pays a fait le choix étonnant de diminuer la part de ce budget consacrée au secteur de la santé (– 28 % de 2011 à 2018). C’est une erreur stratégique dans une période de transition technologique entre la chimie, la biologie et la génomique. Un médicament innovant sur deux est aujourd’hui issu des biotechnologies. C’est la qualité de la recherche fondamentale qui conditionne les chances de succès du processus d’innovation.

La création de l’Agence nationale de recherche, en 2005, n’a pas créé l’élan attendu pour dynamiser l’innovation, non pas simplement par manque de moyens, mais à cause d’une articulation mal pensée avec les institutions existantes (Inserm, CNRS). La coopération insuffisante entre universités et entreprises est aussi une faiblesse française. La France figurait en 2017 au 35e rang mondial du classement de la Banque mondiale dans ce domaine.

Les compétences en biotechnologies étant insuffisantes dans les big pharma, la clé du succès se trouve aujourd’hui dans les sociétés de biotech. Or, 72 % des biotechs françaises recherchaient en 2019 des fonds en France, mais le marché du capital-risque y est trop peu développé. Le secteur se caractérise en effet par un besoin en capital initial très élevé, pour une durée longue de développement (plus de dix ans) et un risque d’échec élevé (supérieur à 95 %). Aux Etats-Unis, 82 % du capital des biotechs viennent des fonds nationaux, contre 11 % en France.

Ces failles sont un véritable gâchis tant la France a été pionnière en génomique. De Jacques Monod, découvreur de l’ARN messager, à Emmanuelle Charpentier en passant par Jean Dausset, la France dispose des trois Prix Nobel qui ont charpenté la recherche génomique mondiale. Le talent de nos chercheurs, la ressource la plus rare et la plus longue à construire pour innover, est un facteur essentiel d’espoir pour rebondir.

L’industrie, de son côté, fait face, depuis les années 2000, à une évolution radicale de son modèle d’affaires. Le premier modèle (dit du « blockbuster ») s’est développé depuis les années 1980 par la production massive et standardisée de médicaments innovants à base chimique protégés par des brevets mondiaux. Le second (dit du « custombuster ») se caractérise par l’usage de procédés biologiques et génétiques pour personnaliser le médicament de façon à cibler les patients les plus réactifs. Cette évolution s’est accompagnée d’une très forte hausse des coûts de recherche et développement (R & D), multipliés par trois depuis 2003 (de 800 millions à 2 558 millions de dollars par médicament). Or, la progression des investissements en R & D s’est ralentie en France : le ratio dépenses R & D sur chiffre d’affaires est passé de 12,5 % à 9,8 % entre 2008 et 2017.

Industrie pharmaceutique en France : la faute à un manque d’investissements

Industrie pharmaceutique en France : la faute à un manque d’investissements

L’économiste Frédéric Bizard propose, dans une tribune au « Monde », de rompre avec les stratégies publiques et privées actuelles.

Tribune. Parmi les cinq pays membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, la France, pays inventeur du vaccin, est le seul à ne pas avoir trouvé un vaccin contre le Covid-19. Signe d’un déclin irréversible de la recherche médicale française pour les uns, accident de parcours lié à tout processus de recherche pour les autres, cette situation révèle des dysfonctionnements qui peuvent être corrigés.

Alors que la France dispose déjà d’un budget global public de la recherche plus faible que nos voisins (2 % du PIB contre 3 % en Allemagne), le pays a fait le choix étonnant de diminuer la part de ce budget consacrée au secteur de la santé (– 28 % de 2011 à 2018). C’est une erreur stratégique dans une période de transition technologique entre la chimie, la biologie et la génomique. Un médicament innovant sur deux est aujourd’hui issu des biotechnologies. C’est la qualité de la recherche fondamentale qui conditionne les chances de succès du processus d’innovation.

La création de l’Agence nationale de recherche, en 2005, n’a pas créé l’élan attendu pour dynamiser l’innovation, non pas simplement par manque de moyens, mais à cause d’une articulation mal pensée avec les institutions existantes (Inserm, CNRS). La coopération insuffisante entre universités et entreprises est aussi une faiblesse française. La France figurait en 2017 au 35e rang mondial du classement de la Banque mondiale dans ce domaine.

Les compétences en biotechnologies étant insuffisantes dans les big pharma, la clé du succès se trouve aujourd’hui dans les sociétés de biotech. Or, 72 % des biotechs françaises recherchaient en 2019 des fonds en France, mais le marché du capital-risque y est trop peu développé. Le secteur se caractérise en effet par un besoin en capital initial très élevé, pour une durée longue de développement (plus de dix ans) et un risque d’échec élevé (supérieur à 95 %). Aux Etats-Unis, 82 % du capital des biotechs viennent des fonds nationaux, contre 11 % en France.

Ces failles sont un véritable gâchis tant la France a été pionnière en génomique. De Jacques Monod, découvreur de l’ARN messager, à Emmanuelle Charpentier en passant par Jean Dausset, la France dispose des trois Prix Nobel qui ont charpenté la recherche génomique mondiale. Le talent de nos chercheurs, la ressource la plus rare et la plus longue à construire pour innover, est un facteur essentiel d’espoir pour rebondir.

L’industrie, de son côté, fait face, depuis les années 2000, à une évolution radicale de son modèle d’affaires. Le premier modèle (dit du « blockbuster ») s’est développé depuis les années 1980 par la production massive et standardisée de médicaments innovants à base chimique protégés par des brevets mondiaux. Le second (dit du « custombuster ») se caractérise par l’usage de procédés biologiques et génétiques pour personnaliser le médicament de façon à cibler les patients les plus réactifs. Cette évolution s’est accompagnée d’une très forte hausse des coûts de recherche et développement (R & D), multipliés par trois depuis 2003 (de 800 millions à 2 558 millions de dollars par médicament). Or, la progression des investissements en R & D s’est ralentie en France : le ratio dépenses R & D sur chiffre d’affaires est passé de 12,5 % à 9,8 % entre 2008 et 2017.

 

Ayrault annonce 40 milliards d’euros d’investissements en plus

Ayrault annonce 40 milliards d’euros d’investissements en plus

Jean-Marc Ayrault a finalement décidé de s’exprimer à l’issue du déjeuner réunissant ses ministres à propos des économies budgétaires pour 2013 et 2014. Alors que le pouvoir doit gérer les conséquences de la révision à la baisse des prévisions de croissance pour 2013, le chef du gouvernement a voulu passer à la contre-offensive.  « Nous allons réviser notre prévision de croissance de façon ordonnée« , a-t-il annoncé. Le cap du gouvernement « reste bien l’équilibre des comptes publics en 2017« , a-t-il rappelé ensuite. « Nous devons réduire le déficit, réduire le poids de notre dette, car la dette réduit nos marges de manoeuvre« . Il a également affirmé qu’il n’était pas question de tuer la croissance par des mesures de rigueur excessives, comme l’avait déjà fait François Hollande la semaine dernière après la publication du rapport de la Cour des comptes. « Notre cap, c’est aussi le soutien à la croissance, sans laquelle on ne peut pas redresser durablement les comptes publics et notre pays. Notre responsabilité, c’est de ne pas dégrader la croissance pour 2013« .  Il a aussi annoncé 40 milliards d’euros d’investissements nouveaux : 20 milliards sur 5 ans pour les investissements des collectivités locales, transports, assainissement, rénovation thermique… Et 20 milliards, cette fois d’argent public et privé pour connecter 100% des foyers français au très haut débit d’ici à 10 ans. Le chef de l’Etat doit d’ailleurs intervenir sur le numérique ce mercredi 20 février.  Le Premier ministre a également affirmé vouloir « sauver notre modèle social », mais en le réformant. Référence aux réflexions sur la réforme des prestations familiales et des retraites mal perçues par l’opinion.  Jean-Marc Ayrault a également rappelé la mise en place, jeudi 21 février, de la Banque publique d’investissement. Tout en mettant en avant les mesures en faveur de la compétitivité avec la création du crédit d’impôt.




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