Archive pour le Tag 'diners'

Macron: Les petits dîners mondains à Bercy !

Macron: Les petits dîners mondains à Bercy !

Ce n’est un secret pour personne que Macron a su cultiver la stratégie des repas avec des personnalités importantes pour se construire un réseau. D’un côté, il y avait les rencontres avec les financiers notamment celles de Londres qui ont été déterminantes pour la désignation du candidat aux élections présidentielles de 2017. Ce sont ces financiers qui ont assuré « la logistique »un candidat par ailleurs sans parti, sans expérience et sans vrai légitimité. La question de ce financement n’a d’ailleurs jamais été éclairée et la justice a enterré la question. La plupart des chèques adressés venait presque des mêmes personnes et des mêmes milieux. Sans compter le financement discret d’entreprises escomptant des retours d’ascenseur ( voir par exemple les relations douteuses entre Alstom et General électric).

Parallèlement le futur candidat à la fonction présidentielle de 2017 a construit progressivement un réseau d’influence dans les milieux dits intellectuels en tout cas les courtisans toujours prêts à se faire reconnaître par le pouvoir en place. Le tout aux frais de la princesse, plus exactement aux frais du budget de Bercy

« Complément d’enquête » explore les relations entre « people et politiques », deux mondes qui ont parfois beaucoup à s’apporter. Cet extrait revient sur des dîners qui, entre 2014 et 2016, ont servi de tremplin à un jeune locataire de Bercy.

Les « dîners de Bercy » : la presse a ainsi baptisé une stratégie mise en œuvre par celui qui a été ministre de l’Economie entre 2014 et 2016. Ces dîners qui l’ont aidé à se constituer un réseau, notamment dans le monde de la culture, se sont tenus dans son appartement de fonction, quai de Bercy. « Un emplacement assez sensationnel » que ce « duplex qui surplombe la Seine et donne vers Notre-Dame », se souvient l’un de ses anciens occupants, l’ex-secrétaire d’Etat au Budget Christian Eckert. On peut même y venir en bateau depuis la place de la Concorde, dans une navette réservée aux ministres. Depuis une entrée privée, un ascenseur conduit les invités directement dans les appartements.

Politique-Les petits dîners de Macron à Bercy !

Politique-Les petits dîners de Macron à Bercy !

Ce n’est un secret pour personne que Macron a su cultiver la stratégie des repas avec des personnalités importantes pour se construire un réseau. D’un côté, il y avait les rencontres avec les financiers notamment celles de Londres qui ont été déterminantes pour la désignation du candidat aux élections présidentielles de 2017. Ce sont ces financiers qui ont assuré « la logistique »un candidat par ailleurs sans parti, sans expérience et sans vrai légitimité. La question de ce financement n’a d’ailleurs jamais été éclairée et la justice a enterré la question. La plupart des chèques adressés venait presque des mêmes personnes et des mêmes milieux. Sans compter le financement discret d’entreprises escomptant des retours d’ascenseur ( voir par exemple les relations douteuses entre Alstom et General électric).

Parallèlement le futur candidat à la fonction présidentielle de 2017 a construit progressivement un réseau d’influence dans les milieux dits intellectuels en tout cas les courtisans toujours prêts à se faire reconnaître par le pouvoir en place. Le tout aux frais de la princesse, plus exactement aux frais du budget de Bercy

« Complément d’enquête » explore les relations entre « people et politiques », deux mondes qui ont parfois beaucoup à s’apporter. Cet extrait revient sur des dîners qui, entre 2014 et 2016, ont servi de tremplin à un jeune locataire de Bercy.

Les « dîners de Bercy » : la presse a ainsi baptisé une stratégie mise en œuvre par celui qui a été ministre de l’Economie entre 2014 et 2016. Ces dîners qui l’ont aidé à se constituer un réseau, notamment dans le monde de la culture, se sont tenus dans son appartement de fonction, quai de Bercy. « Un emplacement assez sensationnel » que ce « duplex qui surplombe la Seine et donne vers Notre-Dame », se souvient l’un de ses anciens occupants, l’ex-secrétaire d’Etat au Budget Christian Eckert. On peut même y venir en bateau depuis la place de la Concorde, dans une navette réservée aux ministres. Depuis une entrée privée, un ascenseur conduit les invités directement dans les appartements.

Discrètement, pendant deux ans, Bercy devient une fête. Apéros et dîners se succèdent, parfois deux dans la même soirée. Combien de personnalités ont-elles été conviées à ces réceptions ? L’animateur Stéphane Bern, qui se décrit comme « le petit nouveau » a eu « le sentiment que c’était des gens que [le futur président] avait l’habitude de fréquenter ». Parmi les noms qui ont circulé dans la presse, les acteurs Fabrice Luchini, Pierre Arditi, Guillaume Gallienne…

Quand Emmanuel Macron démissionne, le 31 août 2016, l’ex-secrétaire d’Etat au Budget découvre que « l’ensemble des crédits de l’année était consommé ». Les frais de représentation, cette enveloppe attribuée au ministre et destinée aux invitations professionnelles, ont été siphonnés : 120 000 euros ont été dépensés en huit mois, comme l’ont révélé Frédéric Says et Marion L’Hour dans leur livre Dans l’enfer de Bercy (éd. JC Lattès).

Recevoir des acteurs, des chanteurs, des auteurs, des autrices est-il en lien direct avec l’activité de ministre de l’Economie ? Pour Marc Endeweld, « en tout cas, c’est une zone grise… » Des accusations battues en brèche par En Marche !, via un communiqué publié le 26 janvier 2017.

Interrogé à l’époque, Emmanuel Macron précise avoir utilisé « 80% des crédits qui [lui] étaient alloués (…) qui permettent de recevoir des entrepreneurs, des femmes et des hommes de la vie française », et assume ces dépenses, totalement légales.
Quelques mois plus tard, Emmanuel Macron annonce officiellement sa candidature à l’élection de 2017, après avoir torpillé celle du président sortant François Hollande. « Bercy et les moyens logistiques d’un ministre de Bercy ont à l’évidence servi, en partie, de piste d’envol pour le candidat Macron », conclut Christian Eckert.

Extrait de « People et politiques, petits services entre amis ? », un document à revoir dans « Complément d’enquête » .

Les petits dîners de Macron à Bercy

Les petits dîners de Macron à Bercy !

Ce n’est un secret pour personne que Macron a su cultiver la stratégie des repas avec des personnalités importantes pour se construire un réseau. D’un côté il y avait les rencontres avec les financiers notamment celle de Londres qui ont été déterminantes pour la désignation du candidat aux élections présidentielles de 2017. Ce sont ces financiers qui ont assuré « la logistique »un candidat par ailleurs sans parti, sans expérience et sans vrai légitimité. La question de ce financement n’a d’ailleurs jamais été éclairée et la justice a enterré la question. La plupart des chèques adressés venait prsque des mêmes personnes et des mêmes milieux. Sans compter le financement discret d’entreprises escomptant des retours d’ascenseur ( voir par exemple les relations douteuses entre Alstom et General électric).

Parallèlement le futur candidat à la fonction présidentielle de 2017 a construit progressivement un réseau d’influence dans les milieux dits intellectuels en tout cas les courtisans toujours prêts à se faire reconnaître par le pouvoir en place. Le tout aux frais de la princesse, plus exactement aux frais du budget de Bercy

« Complément d’enquête » explore les relations entre « people et politiques », deux mondes qui ont parfois beaucoup à s’apporter. Cet extrait revient sur des dîners qui, entre 2014 et 2016, ont servi de tremplin à un jeune locataire de Bercy.

Les « dîners de Bercy » : la presse a ainsi baptisé une stratégie mise en œuvre par celui qui a été ministre de l’Economie entre 2014 et 2016. Ces dîners qui l’ont aidé à se constituer un réseau, notamment dans le monde de la culture, se sont tenus dans son appartement de fonction, quai de Bercy. « Un emplacement assez sensationnel » que ce « duplex qui surplombe la Seine et donne vers Notre-Dame », se souvient l’un de ses anciens occupants, l’ex-secrétaire d’Etat au Budget Christian Eckert. On peut même y venir en bateau depuis la place de la Concorde, dans une navette réservée aux ministres. Depuis une entrée privée, un ascenseur conduit les invités directement dans les appartements.

Discrètement, pendant deux ans, Bercy devient une fête. Apéros et dîners se succèdent, parfois deux dans la même soirée. Combien de personnalités ont-elles été conviées à ces réceptions ? L’animateur Stéphane Bern, qui se décrit comme « le petit nouveau » a eu « le sentiment que c’était des gens que [le futur président] avait l’habitude de fréquenter ». Parmi les noms qui ont circulé dans la presse, les acteurs Fabrice Luchini, Pierre Arditi, Guillaume Gallienne…

Quand Emmanuel Macron démissionne, le 31 août 2016, l’ex-secrétaire d’Etat au Budget découvre que « l’ensemble des crédits de l’année était consommé ». Les frais de représentation, cette enveloppe attribuée au ministre et destinée aux invitations professionnelles, ont été siphonnés : 120 000 euros ont été dépensés en huit mois, comme l’ont révélé Frédéric Says et Marion L’Hour dans leur livre Dans l’enfer de Bercy (éd. JC Lattès).

Recevoir des acteurs, des chanteurs, des auteurs, des autrices est-il en lien direct avec l’activité de ministre de l’Economie ? Pour Marc Endeweld, « en tout cas, c’est une zone grise… » Des accusations battues en brèche par En Marche !, via un communiqué publié le 26 janvier 2017.

Interrogé à l’époque, Emmanuel Macron précise avoir utilisé « 80% des crédits qui [lui] étaient alloués (…) qui permettent de recevoir des entrepreneurs, des femmes et des hommes de la vie française », et assume ces dépenses, totalement légales.
Quelques mois plus tard, Emmanuel Macron annonce officiellement sa candidature à l’élection de 2017, après avoir torpillé celle du président sortant François Hollande. « Bercy et les moyens logistiques d’un ministre de Bercy ont à l’évidence servi, en partie, de piste d’envol pour le candidat Macron », conclut Christian Eckert.

Extrait de « People et politiques, petits services entre amis ? », un document à revoir dans « Complément d’enquête » .

De Rugy : Des diners familiaux royaux aux frais du contribuable

De Rugy : Des diners familiaux royaux aux frais du contribuable

 

 

On se souvient que sitôt nommé président de l’assemblée nationale, de Rugy  s’était signalé par des propos visant à réduire sérieusement le train de vie des députés. Des recommandations qui ne s’appliquaient pas au président de l’Assemblée nationale qui a organisé d’après Mediapart une dizaine de dîners très luxueux à l’hôtel de la C pour sa famille et ses amis Des dîners fastueux, organisés grâce à de l’argent public. D’une certaine manière, de Rugy, comme Macron  d’ailleurs, confond la république avec la monarchie. Le petit aristo s’est d’ailleurs toujours caractérisé par une certaine condescendance vis-à-vis de ses interlocuteurs, aussi une grande incompétence, ce qui n’est pas incompatible. Finalement de Rugy s’ inspire de Macron qui tous les jours utilisent les moyens de l’État pour faire ses campagnes électorales. De Rugy lui utilise les moyens de l’État pour régaler sa famille et ses copains. Selon les informations du média d’investigation, François de Rugy aurait organisé, avec sa femme, Séverine de Rugy, entre octobre 2017 et juin 2018, une dizaine de dîners luxueux à l’hôtel de Lassay, alors qu’il était président de l’Assemblée nationale. Réunissant entre dix et trente convives, principalement des amis du couple, ces repas, composés de plats très onéreux, photos de homards à l’appui, et de vins luxueux directement extraits des caves de l’Assemblée nationale, auraient été financés avec l’argent de l’État.  «J’assume totalement qu’un président de l’Assemblée nationale, comme un ministre, rencontre dans un cadre informel le soir dans des dîners, des responsables d’entreprises, des responsables de la culture, des responsables de l’université», a réagi François de Rugy, ce mercredi, au micro de France Inter. «Je n’accepte pas qu’on nous attaque ma femme et moi, nous n’avons rien à nous reprocher, ni elle ni moi», a-t-il renchéri. Plus tard dans la journée le ministre a mis de l’eau dans son vin en recommençant certains faits mais en les justifiant par sa fonction !

 

Delphine Batho, ancienne ministre de l’Environnement et députée des Deux-Sèvres, a estimé que la «démission» de François de Rugy «s’impose». «Parce que c’est de l’argent public. L’argent public n’est pas fait pour organiser des dîners privés fastueux», a-t-elle voulu rappeler. «On est sur une débauche de moyens pour des dîners avec des amis qu’il qualifie lui-même d’informels. Ce n’est pas de la représentation et d’ailleurs beaucoup de ceux qui ont exercé des fonctions officielles n’ont jamais eu ce type de pratiques aux frais de l’Assemblée nationale et de l’État», a-t-elle dénoncé.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol