Archive pour le Tag 'diminuent !'

Habillement : pouvoir d’achat et chaleur diminuent nettement les achats

Habillement : pouvoir d’achat et chaleur diminuent nettement les achats

Selon le Panel Retail de l’Alliance du Commerce qui mesure le niveau de ventes auprès de 60 enseignes d’habillement représentant plus de 10.000 magasins, le chiffre d’affaires du secteur de l’habillement s’est contracté de 15,6% en septembre par rapport au même mois de 2022.

Une forte baisse de la consommation d’habillement qui concerne tous les segments de marché (homme, femme, enfant, chaussures…) et tous les niveaux de gamme (de l’entrée de gamme au premium), précise l’Alliance du Commerce.

En septembre, les clients se sont moins rendus en magasin avec une fréquentation en baisse de 13,8% par rapport au même mois de 2022, ont moins acheté en ligne (-11%) et ont moins dépensé quand ils ont consenti à s’équiper (-2% pour le panier moyen).

Pour l’Alliance du Commerce, c’est la conjonction de plusieurs phénomènes qui explique cette situation.

« Ce mois de septembre, le plus chaud jamais observé en métropole d’après Météo France, avec des températures moyennes très largement au-dessus des normales (+3,6°C), n’a pas incité à acheter la collection automne-hiver actuellement en vente », précise l’Alliance du Commerce.

Ensuite, la confiance émoussée des ménages en cette rentrée qui appréhendent la situation économique future en ce qui concerne leur pouvoir d’achat et le chômage. Après une remontée entre mars et août, la confiance des ménages mesurée par l’Insee a de nouveau fléchi en septembre.

Augmentation de la pauvreté : des Français diminuent ou suppriment des repas

Augmentation de la pauvreté : des Français diminuent ou suppriment des repas

Du fait de l’envolée des prix de l’alimentaire officiellement de 15 % mais bientôt qui va dépasser 20 %, la moitié des pauvres reconnaissent avoir réduit les quantités de nourriture et 42 % d’entre ont été contraint de supprimer un repas.

Basé sur les réponses d’un échantillon de 1007 Français gagnant le Smic ou moins, une étude ( parue dans le Figaro) met en lumière les conséquences, dans l’assiette des Français, de la hausse significative des prix (+5,6% en mars sur un an, selon l’Insee). Si elle a ralenti le mois dernier, elle a encore accéléré dans l’alimentaire (+15,8% après +14,8% en février).

Plus d’un Français modeste sur deux (53%) dit avoir réduit les portions consommées lors des repas. Des comportements de privation qui concernent toutes les catégories de ménages les plus précaires, rapporte Le Parisien : étudiants, retraités, familles, célibataires…

52% des sondés confient qu’ils s’en offrent moins de fruits et légumes qu’avant la période d’inflationniste. A

D’autres sondages ont montré une évolution similaire en ce qui concerne la consommation de viande. Le plus récent, réalisé par Harris Interactive pour le Réseau action climat et publié la semaine dernière, montre que 57% des Français disent consommer moins de viande

Pauvreté : des Français diminuent ou suppriment des repas

Pauvreté : des Français diminuent ou suppriment des repas

Du fait de l’envolée des prix de l’alimentaire officiellement de 15 % mais bientôt qui va dépasser 20 %, la moitié des pauvres reconnaissent avoir réduit les quantités de nourriture et 42 % d’entre ont été contraint de supprimer un repas.

Basé sur les réponses d’un échantillon de 1007 Français gagnant le Smic ou moins, une étude ( parue dans le Figaro) met en lumière les conséquences, dans l’assiette des Français, de la hausse significative des prix (+5,6% en mars sur un an, selon l’Insee). Si elle a ralenti le mois dernier, elle a encore accéléré dans l’alimentaire (+15,8% après +14,8% en février).

Plus d’un Français modeste sur deux (53%) dit avoir réduit les portions consommées lors des repas. Des comportements de privation qui concernent toutes les catégories de ménages les plus précaires, rapporte Le Parisien : étudiants, retraités, familles, célibataires…

52% des sondés confient qu’ils s’en offrent moins de fruits et légumes qu’avant la période d’inflationniste. A

D’autres sondages ont montré une évolution similaire en ce qui concerne la consommation de viande. Le plus récent, réalisé par Harris Interactive pour le Réseau action climat et publié la semaine dernière, montre que 57% des Français disent consommer moins de viande

Vie chère: les plus pauvres diminuent les repas

Vie chère: les plus pauvres diminuent les repas


Du fait de l’envolée des prix de l’alimentaire officiellement de 15 % mais bientôt qui va dépasser 20 %, la moitié des pauvres reconnaissent avoir réduit les quantités de nourriture et 42 % d’entre ont été contraint de supprimer un repas.

Basé sur les réponses d’un échantillon de 1007 Français gagnant le Smic ou moins, une étude ( parue dans le Figaro) met en lumière les conséquences, dans l’assiette des Français, de la hausse significative des prix (+5,6% en mars sur un an, selon l’Insee). Si elle a ralenti le mois dernier, elle a encore accéléré dans l’alimentaire (+15,8% après +14,8% en février).

Plus d’un Français modeste sur deux (53%) dit avoir réduit les portions consommées lors des repas. Des comportements de privation qui concernent toutes les catégories de ménages les plus précaires, rapporte Le Parisien : étudiants, retraités, familles, célibataires…

52% des sondés confient qu’ils s’en offrent moins de fruits et légumes qu’avant la période d’inflationniste. A

D’autres sondages ont montré une évolution similaire en ce qui concerne la consommation de viande. Le plus récent, réalisé par Harris Interactive pour le Réseau action climat et publié la semaine dernière, montre que 57% des Français disent consommer moins de viande

Pouvoir d’achat : les Français diminuent les dépenses d’alimentation de 10%

Pouvoir d’achat : les Français diminuent les dépenses d’alimentation de 10%


Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on assiste à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation qui diminue de presque 10% en francs constant. .

Après la crise du Covid-19 qui a renforcé les achats en ligne, l’inflation vient à son tour modifier les habitudes de consommation des Français. C’est ce qui transparaît du baromètre Digital; Payments publié ce mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis. L’étude, qui se base sur 20 millions de cartes bancaires pour analyser les achats de leurs détenteurs, met en évidence le fait que « les Français cherchent à optimiser leur budget » et font des choix sur leurs dépenses, résume Myriam Dassa, directrice du Baromètre Digital.

Avec une inflation moyenne de 5,2% en 2022, dont des pics à 6,2% sur un an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Premier enseignement : si l’ensemble des dépenses moyennes des Français reste stable en 2022, sans surprise le budget alloué au carburant a augmenté de 29% en 2022 d’après le baromètre. « Cela vient d’une mobilité accrue l’année dernière par rapport à 2021 mais aussi et surtout de la hausse des prix de l’essence », précise Myriam Dassa.

A l’inverse, les consommateurs ont réduit leurs dépenses pour l’alimentation, qui reste néanmoins le plus gros poste de dépense des ménages (13% de leur budget total). Ainsi, alors même que l’inflation des produits de supermarchés s’est établie à 12% sur un an en décembre d’après l’institut IRI, le baromètre BPCE recense une baisse de 9% des dépenses alimentaires dans les magasins avec un panier moyen qui diminue de 4,6%.

En effet la décroissance a même été encore plus forte si on retire les effets de l’inflation sur la valeur des produits achetés. Aux prix de l’année précédente, on constate alors une baisse non plus de 4,6 mais de 9,1% en 2022

La baisse est encore plus marquée dans les enseignes bio qui ont subi une baisse de la dépense de leurs clients de 10%. « On a bien vu ce phénomène de baisse de la consommation alimentaire avec la crise du bio ces derniers mois », rappelle Yves Tyrode, directeur général Digital & Payments de BPCE.

Dans la même logique d’une recherche d’économies face à la hausse du coût de la vie, « les consommateurs ont cherché à faire jouer la concurrence dans les télécoms », ajoute Myriam Dassa. Ainsi le budget alloué aux forfaits de téléphone et d’internet a diminué de 3% en 2022.

Les ménages sont, en revanche, moins enclins à se priver sur leurs « achats plaisir ». Ainsi, les dépenses dans les restaurants sont en hausse de 44% par rapport à 2021, de 33% par rapport à 2019. Celles dans les bars progressent de 24% sur un an, de 34% sur trois ans. « Cela peut s’expliquer en partie par la réouverture de ces commerces l’année dernière mais pas uniquement puisque, pour les bars, on observe un bond de 35% du nombre de transactions entre 2019 et 2022, ce qui montre bien que les Français ont répondu à leurs envies de convivialités l’année dernière », analyse la directrice du Baromètre.

De même, les dépenses dans les enseignes de beauté ont augmenté de 15%, celles en séances de cinéma de 66% et celles dans les agences de voyage de 154% entre 2022 et 2021, suite à la réouverture des frontières.

Le baromètre montre aussi la bonne résilience de la consommation sur internet. Alors que la fin des mesures sanitaires faisait craindre un effondrement de la consommation en ligne, il semblerait que ce ne soit pas le cas. Si l’on peut noter un ralentissement de la croissance des marketplaces (Amazon, Cdiscount), affichant +5% en 2022 après +29% en 2021 et +32% en 2020, « rares sont les catégories où le commerce physique a regagné du terrain », indique BPCE dans un communiqué.

Inflation : les Français diminuent les dépenses d’alimentation de 10%

Inflation : les Français diminuent les dépenses d’alimentation de 10%


Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on assiste à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation qui diminue de presque 10% en francs constant?. .

Après la crise du Covid-19 qui a renforcé les achats en ligne, l’inflation vient à son tour modifier les habitudes de consommation des Français. C’est ce qui transparaît du baromètre Digital & Payments publié ce mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis. L’étude, qui se base sur 20 millions de cartes bancaires pour analyser les achats de leurs détenteurs, met en évidence le fait que « les Français cherchent à optimiser leur budget » et font des choix sur leurs dépenses, résume Myriam Dassa, directrice du Baromètre Digital.

Avec une inflation moyenne de 5,2% en 2022, dont des pics à 6,2% sur un an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Premier enseignement : si l’ensemble des dépenses moyennes des Français reste stable en 2022, sans surprise le budget alloué au carburant a augmenté de 29% en 2022 d’après le baromètre. « Cela vient d’une mobilité accrue l’année dernière par rapport à 2021 mais aussi et surtout de la hausse des prix de l’essence », précise Myriam Dassa.

A l’inverse, les consommateurs ont réduit leurs dépenses pour l’alimentation, qui reste néanmoins le plus gros poste de dépense des ménages (13% de leur budget total). Ainsi, alors même que l’inflation des produits de supermarchés s’est établie à 12% sur un an en décembre d’après l’institut IRI, le baromètre BPCE recense une baisse de 9% des dépenses alimentaires dans les magasins avec un panier moyen qui diminue de 4,6%.

En effet la décroissance a même été encore plus forte si on retire les effets de l’inflation sur la valeur des produits achetés. Aux prix de l’année précédente, on constate alors une baisse non plus de 4,6 mais de 9,1% en 2022

La baisse est encore plus marquée dans les enseignes bio qui ont subi une baisse de la dépense de leurs clients de 10%. « On a bien vu ce phénomène de baisse de la consommation alimentaire avec la crise du bio ces derniers mois », rappelle Yves Tyrode, directeur général Digital & Payments de BPCE.

Dans la même logique d’une recherche d’économies face à la hausse du coût de la vie, « les consommateurs ont cherché à faire jouer la concurrence dans les télécoms », ajoute Myriam Dassa. Ainsi le budget alloué aux forfaits de téléphone et d’internet a diminué de 3% en 2022.

Les ménages sont, en revanche, moins enclins à se priver sur leurs « achats plaisir ». Ainsi, les dépenses dans les restaurants sont en hausse de 44% par rapport à 2021, de 33% par rapport à 2019. Celles dans les bars progressent de 24% sur un an, de 34% sur trois ans. « Cela peut s’expliquer en partie par la réouverture de ces commerces l’année dernière mais pas uniquement puisque, pour les bars, on observe un bond de 35% du nombre de transactions entre 2019 et 2022, ce qui montre bien que les Français ont répondu à leurs envies de convivialités l’année dernière », analyse la directrice du Baromètre.

De même, les dépenses dans les enseignes de beauté ont augmenté de 15%, celles en séances de cinéma de 66% et celles dans les agences de voyage de 154% entre 2022 et 2021, suite à la réouverture des frontières.

Le baromètre montre aussi la bonne résilience de la consommation sur internet. Alors que la fin des mesures sanitaires faisait craindre un effondrement de la consommation en ligne, il semblerait que ce ne soit pas le cas. Si l’on peut noter un ralentissement de la croissance des marketplaces (Amazon, Cdiscount), affichant +5% en 2022 après +29% en 2021 et +32% en 2020, « rares sont les catégories où le commerce physique a regagné du terrain », indique BPCE dans un communiqué.

Les banquises diminuent de volume

Les banquises diminuent de volume

 

 

Le cycle normal de la banquise, en Arctique comme en Antarctique, est qu’elle fond l’été et se reforme l’hiver. La banquise antarctique ne s’était reformée en juillet (mois de l’hiver pour l’hémisphère sud) que sur 15,3 millions de kilomètres carrés en moyenne. C’est 7% de moins que la moyenne pour ce mois entre 1991 et 2020, ont constaté les scientifiques de Copernicus (C3S).

A la fin de l’été austral, en février, la banquise avait rétréci à son plus bas historique, affolant les scientifiques. Elle était 30% plus petite que la moyenne sur trois décennies entre 1981 et 2010. Depuis février, elle était restée inférieure aux moyennes de saison, selon le C3S. Et en juin déjà, elle avait atteint son plus bas historique pour le mois.

La banquise étant la glace qui flotte sur l’océan, sa fonte ne fait pas monter le niveau de la mer mais contribue indirectement au réchauffement climatique, car l’océan découvert absorbe plus de chaleur.

Illustrant la compréhension imparfaite du phénomène de réchauffement en Antarctique, Copernicus rappelle que la banquise y était à l’inverse supérieure à la moyenne il y a un an, en juillet 2021.

Dans l’Arctique, la superficie de la banquise était, elle, inférieure de 4% à la moyenne en juillet, selon Copernicus, soit la 12e plus faible étendue jamais enregistrée en juillet.

L’année 2022 cumule les records climatiques dans le monde. Le mois de juillet a été l’un des trois plus chauds jamais enregistrés dans le monde, selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM), une agence spécialisée de l’ONU basée à Genève.

 

Budget européen : la pauvreté augmente mais les dépenses diminuent !

Budget européen : la pauvreté augmente mais les dépenses diminuent !

 

Comment s’étonner de la montée de l’euroscepticisme, l’Europe se réduit de plus en plus à une vaste zone de libre échange sans régulation et sans solidarité ; Après le Mali, c’est à la pauvreté den faire les frais. L’Europe reste une belle idée mais elle se vide de sens en même temps que son élargissement. Les craintes des associations venant en aide aux défavorisés se sont concrétisées. Le projet de budget de l’Union européenne pour 2014-2020 préserve certes le principe de l’aide alimentaire, mais son montant en est fortement réduit. Il sera de 2,1 milliards d’euros, soit 1,4 milliard de moins que sur la période 2007-2013.  Rien que sur l’année 2011, la France a reçu 72 millions, qui ont permis aux Restos du Cœur, aux Banques alimentaires, à la Croix rouge française et au Secours populaire de distribuer 130 millions de repas distribués. Au total, 18 millions d’Européens se nourrissent chaque année grâce au Programme européen d’aide aux plus démunis (PEAD).   Xavier Beulin, président de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles, a annoncé ce vendredi la création d’une structure pour palier la baisse de l’aide alimentaire. « Nous allons nous mobiliser de notre côté, nous allons transformer ce manque à gagner par une forme d’aide directe, sans doute une forme de fondation qui nous permettra d’intervenir auprès des associations« , a-t-il déclaré sur RTL. Le PEAD a été créé en 1987 pour redistribuer aux populations pauvres de l’Union européenne une partie des surplus agricoles communautaires. La disparition de ces derniers pose la question de la survie de ce programme, contesté en outre par des pays comme l’Allemagne, le Royaume-Uni et les Pays-Bas, qui estiment que ce type d’aide ne relève pas des compétences communautaires.

 




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