Archive pour le Tag 'diminue'

Prix et carburant: La consommation diminue

Prix et carburant: La consommation diminue


L’Union française des industries pétrolières, l’Ufip Mobilités et énergies, indique que la consommation de carburants a diminué de 1,7% depuis début 2023 par rapport à la même période l’année dernière. Une variation similaire (-1,6%) avait déjà été observée entre 2019, dernière année pré-Covid, et 2022. Si l’on compare les sept premiers mois de l’année 2023 avec la même période en 2019, la baisse de la demande de carburants routiers flirte même avec les 4%.

« Depuis plusieurs années, on observe une stagnation voire une légère baisse de la demande de carburants, de l’ordre 1 % par an en France », explique aux Echos Olivier Gantois, le président du syndicat professionnel.

Certains attribueraient cette baisse à une modification de la mobilité et à un moindre recours à l’automobile. En fait, cela pourrait provenir plus simplement de moteurs nettement moins gourmands que les précédents et aux limitations de vitesse

Notons aussi que les véhicules électriques ne constituent encore que 1,5% des voitures en circulation.

Conséquences de l’inflation, la consommation de carburant diminue

Conséquences de l’inflation, la consommation de carburant diminue


L’Union française des industries pétrolières, l’Ufip Mobilités et énergies, indique que la consommation de carburants a diminué de 1,7% depuis début 2023 par rapport à la même période l’année dernière. Une variation similaire (-1,6%) avait déjà été observée entre 2019, dernière année pré-Covid, et 2022. Si l’on compare les sept premiers mois de l’année 2023 avec la même période en 2019, la baisse de la demande de carburants routiers flirte même avec les 4%.

« Depuis plusieurs années, on observe une stagnation voire une légère baisse de la demande de carburants, de l’ordre 1 % par an en France », explique aux Echos Olivier Gantois, le président du syndicat professionnel.

Certains attribueraient cette baisse à une modification de la mobilité et à un moindre recours à l’automobile. En fait, cela pourrait provenir plus simplement de moteurs nettement moins gourmands que les précédents et aux limitations de vitesse

Notons aussi que les véhicules électriques ne constituent encore que 1,5% des voitures en circulation.

Santé–Covid : Niveau d’alerte diminué au plan mondial( OMS)

Santé–Covid : Niveau d’alerte diminué au plan mondial( OMS)

Selon le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, « au moins 20 millions » de personnes sont décédées du Covid-19 mais lacrise sanitaire est désormais suffisamment sous contrôle d’après l’Organisation mondiale de la santé qui a levé, ce vendredi, son plus haut niveau d’alerte sur la pandémie. Cependant la crise n’est pas complètement terminée ; pour preuve, on a constaté en France encorele 5 mai 2023 (Derniers chiffres connus) : 5505 cas supplémentaires et 44 morts en 24 h

De son côté, Maria Van Kerkhove, en charge de la lutte contre le Covid-19 au sein de l’OMS, s’est toutefois montrée prudente. La phase de crise de la pandémie « est passée, mais pas le Covid », a-t-elle rappelé. « La pire chose qu’un pays puisse faire maintenant est d’utiliser cette nouvelle comme une raison de baisser sa garde, de démanteler les systèmes qu’il a construits ou d’envoyer le message à son peuple que le Covid-19 n’a rien d’inquiétant », a renchéri Tedros Adhanom Ghebreyesus.

Si le nombre de morts causées par le Covid nouvellement enregistrées a chuté de 95% depuis janvier, ils étaient encore 16.000 à mourir de cette maladie entre fin mars et fin avril à cause du virus, selon les statistiques de l’OMS. L’organisation juge d’ailleurs prématurée la décision de nombreux pays de faire passer la pandémie à l’arrière-plan avec des tests et la surveillance sanitaire réduits à la portion congrue.

Covid : Niveau d’alerte diminué au plan mondial( OMS)

Covid : Niveau d’alerte diminué au plan mondial( OMS)


Selon le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, « au moins 20 millions » de personnes sont décédées du Covid-19 mais lacrise sanitaire est désormais suffisamment sous contrôle d’après l’Organisation mondiale de la santé qui a levé, ce vendredi, son plus haut niveau d’alerte sur la pandémie.

De son côté, Maria Van Kerkhove, en charge de la lutte contre le Covid-19 au sein de l’OMS, s’est toutefois montrée prudente. La phase de crise de la pandémie « est passée, mais pas le Covid », a-t-elle rappelé. « La pire chose qu’un pays puisse faire maintenant est d’utiliser cette nouvelle comme une raison de baisser sa garde, de démanteler les systèmes qu’il a construits ou d’envoyer le message à son peuple que le Covid-19 n’a rien d’inquiétant », a renchéri Tedros Adhanom Ghebreyesus.

Si le nombre de morts causées par le Covid nouvellement enregistrées a chuté de 95% depuis janvier, ils étaient encore 16.000 à mourir de cette maladie entre fin mars et fin avril à cause du virus, selon les statistiques de l’OMS. L’organisation juge d’ailleurs prématurée la décision de nombreux pays de faire passer la pandémie à l’arrière-plan avec des tests et la surveillance sanitaire réduits à la portion congrue.

Le déficit commercial français diminue en raison de la baisse de croissance en France

Le déficit commercial français diminue en raison de la baisse de croissance en France

La légère amélioration de la balance commerciale est toujours bonne à prendre mais elle résulte essentiellement d’une diminution des importations liées à la baisse de la consommation et de la croissance.

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Après avoir diminué de 0,3 milliard d’euros sur un mois en décembre dernier, le déficit commercial continue de se résorber « à la suite d’une contraction des importations plus forte que celle des exportations », écrit la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) dans son analyse mensuelle disponible sur Internet. En janvier 2023, les importations ont diminué de 0,8 milliard d’euros, pour atteindre 63,6 milliards d’euros. Les exportations ont de leur côté connu une baisse de 0,3 milliard d’euros, s’établissant à 50 milliards d’euros.

Raisons. « L’évolution des importations est portée par la baisse des approvisionnements en produits énergétiques d’une part et non énergétiques d’autre part, respectivement de 0,3 milliard d’euros et 0,5 milliard d’euros », justifie la DGDDI. En ce qui concerne le recul des exportations, les douanes françaises expliquent que « la baisse est due principalement au recul de 0,3 milliard d’euros des exports de biens hors énergie ».

« En cumul sur 12 mois glissants, le solde commercial poursuit sa dégradation et atteint – 169,2 milliards d’euros », rappelle néanmoins la DGDDI.

Covid France : la pression diminue toujours

Covid France : la pression diminue toujours

3871 nouveaux cas de Covid-19 ont été détectés lors des dernières 24 heures. La pression sur l’hôpital continue de décroître, le nombre des personnes hospitalisées étant au plus bas depuis fin octobre, selon les données publiées vendredi par Santé publique France.

Le nombre des personnes actuellement en soins critiques qui traitent les cas les plus graves est de 2163 contre 2245 patients jeudi. Ce chiffre est au plus bas depuis le 22 octobre. 66 personnes ont été admises en 24 heures. Au total, les hôpitaux comptaient 12.712 patients atteints du Covid-19, dont 313 personnes entrées lors des dernières 24 heures. 69 personnes sont mortes à l’hôpital lors des dernières 24 heures, portant le bilan à 83.910.

Sur le front des vaccinations, 29.831.488 personnes ont reçu au moins une injection (soit 44,5% de la population totale) et 13.722.706 personnes ont reçu deux injections (soit 20,5% de la population totale), depuis le début de la campagne vaccinale. 15.405.347 de personnes ont un schéma vaccinal complet. Lors des dernières 24 heures, 740.225 personnes ont été vaccinées: 387.270 ont reçu leur première dose et 352.955 leur deuxième.

Démographie : le rythme diminue (INSEE)

Démographie : le rythme diminue (INSEE)

La France comptait 66,73 millions d’habitants au 1er janvier 2018, rapporte l’Insee. Entre 2013 et 2018, la croissance moyenne de la population a été de 0,4% par an, contre 0,5% par an sur la période de référence précédente.

 

Au 1er janvier 2018, 66 733 000 personnes vivaient en France, hors Mayotte, selon les derniers chiffres du recensement, publiés mardi 29 décembre par l’Insee« Le dynamisme démographique » a faibli entre 2013 et 2018, analyse l’Institut national de la statistique. Au cours de cette période, la croissance moyenne de la population a été de 0,4% par an, soit 233 600 habitants supplémentaires chaque année, contre 0,5% par an en moyenne entre 2008 et 2013. Le nombre d’habitants continue donc de croître, mais à un rythme moins soutenu.

Le solde naturel, la différence entre le nombre de naissances et celui des décès, s’est réduit dans la plupart des régions, entre 2013 et 2018. « Cette baisse est due à la fois au plus grand nombre de décès (avec l’arrivée à des âges élevés des générations nombreuses du baby-boom) et au recul des naissances », détaille l’institut.

 

« De plus en plus de départements ont une population en baisse », relève également l’Insee. Elle a baissé d’au moins 0,2% par an entre 2013 et 2018 dans 20 départements, contre 11 seulement entre 2008 et 2013. Le nombre d’habitants diminue ainsi désormais en Dordogne et dans le Territoire de Belfort ou encore à Paris.

La capitale a perdu chaque année 0,5% de ses habitants entre 2013 et 2018, alors qu’elle en gagnait 0,2% par an durant les cinq années précédentes. Paris enregistre bien plus de naissances que de décès, mais « perd cependant des habitants du fait d’un important déficit migratoire apparent », détaille l’Insee.

Royaume-Uni : La croissance économique diminue encore

Royaume-Uni : La croissance économique diminue encore

La croissance de l’économie britannique ne cesse de diminuer elle atteindra au mieux 1 % sur un an. L’activité a ralenti plus que prévu au troisième trimestre pour tomber, en rythme annuel, à son plus bas niveau depuis près de dix ans, le ralentissement économique mondial et les inquiétudes liées au Brexit ayant affecté les investissements des entreprises et le secteur manufacturier. Ce chiffre, le plus faible depuis le premier trimestre 2010, s’explique principalement par le ralentissement de la production des entreprises en août et en septembre, période durant laquelle les craintes d’une sortie du pays de l’Union européenne sans accord négocié avaient augmenté.

Par rapport aux trois mois précédents, le PIB a augmenté de 0,3% au troisième trimestre après une contraction de 0,2% au deuxième. Cette dernière marquait le contrecoup du mouvement de stockage massif des entreprises fin 2018 et début 2019 en prévision de la sortie du pays de l’Union européenne censée initialement intervenir en mars. Le rebond de juillet-septembre est inférieur à celui de 0,4% attendu par le consensus. A un mois des élections législatives, le ministre des Finances, Sajid Javid, a salué des chiffres qu’il a qualifiés de “solides”, un jugement que ne partage pas l’opposition travailliste.

Crise médias: le nombre de journalistes diminue

Crise médias: le nombre de journalistes diminue

Précarité, faibles salaires et réduction du nombre de salariés caractérisent  la profession de journaliste. En cause, évidemment l’émergence d’innombrables supports sur Internet. Les sources sont d’ailleurs 100 fois plus nombreuses sur le net que sur les médias traditionnels. Cette multiplication de concurrents s’ajoute à la perte de crédibilité des médias classiques comme les journaux, la télé ou encore les sites de ces médias. En cause, surtout le fait que la presque totalité des médias sont aujourd’hui dans les mains des financiers qui n’ont pas investi pour des questions de rentabilité mais surtout pour influencer l’opinion. S’ajoute à cela les problèmes économiques qui freinent le vrai travail d’investigation et d’analyse. les ressources de la vente de journaux ou les ressources de pub diminuent dans nombre de médias classiques et le nombre de journalistes avec. Le pire ennemi c’est sans doute ces lignes éditoriales d’un conformisme déroutant et qui se ressemblent toutes. Pas étonnant, elles sont surtout constituées de reprises quasi intégrales des dépêches d’agence, de celles du gouvernement, des institutions ou des entreprises. L’information est livrée brut de brut sans beaucoup d’approfondissement d’autant qu’on estime qu’un sujet chassant l’autre il est inutile d’affiner l’analyse. Bref partout les mêmes sujets, les mêmes images et les mêmes commentaires avec quand même quelques rares exceptions mais qui ne font que confirmer la règle de l’uniformité. C’est vrai pour la presse écrite mais aussi pour la télévision y compris pour les chaînes d’info continue qui pour à  peu près les mêmes raisons sont plus proche des discussions de bistrot que des fonctions d’information et de débat. L’an dernier, 35.238 cartes de presse ont été attribuées par cette commission, soit un recul de 690 cartes en un an, et de 2.152 depuis le plus haut atteint en 2009. Parmi toutes les cartes attribuées, seules 1.513 étaient des premières demandes de cartes de presse (soit 649 de moins qu’en 2006). Ces jeunes journalistes sont les plus précaires: 72% sont rémunérés à la prestation (pigistes), et seulement 28% sont mensualisés. Certes on objectera juste titre que l’information sur Internet comporte le pire et le meilleur mais avec un peu d’obstination il est toutefois possible d’obtenir des informations autrement plus pertinentes et plus objectives, en tout cas davantage travaillées.

Pourquoi le nombre de journalistes diminue

Pourquoi  le nombre de journalistes diminue

Précarité, faibles salaires et réduction du nombre de salariés caractérisent  la profession de journaliste. En cause, évidemment l’émergence d’innombrables supports sur Internet. Les sources sont d’ailleurs 100 fois plus nombreuses sur le net que sur les médias traditionnels. Cette multiplication de concurrents s’ajoute à la perte de crédibilité des médias classiques comme les journaux, la télé ou encore les sites de ces médias. En cause, surtout le fait que la presque totalité des médias sont aujourd’hui dans les mains des financiers qui n’ont pas investi pour des questions de rentabilité mais surtout pour influencer l’opinion. S’ajoute à cela les problèmes économiques qui freinent le vrai travail d’investigation et d’analyse. les ressources de la vente de journaux ou les ressources de pub diminuent dans nombre de médias classiques et le nombre de journalistes avec. Le pire ennemi c’est sans doute ces lignes éditoriales d’un conformisme déroutant et qui se ressemblent toutes. Pas étonnant, elles sont surtout constituées de reprises quasi intégrales des dépêches d’agence, de celles du gouvernement, des institutions ou des entreprises. L’information est livrée brut de brut sans beaucoup d’approfondissement d’autant qu’on estime qu’un sujet chassant l’autre il est inutile d’affiner l’analyse. Bref partout les mêmes sujets, les mêmes images et les mêmes commentaires avec quand même quelques rares exceptions mais qui ne font que confirmer la règle de l’uniformité. C’est vrai pour la presse écrite mais aussi pour la télévision y compris pour les chaînes d’info continue qui pour à  peu près les mêmes raisons sont plus proche des discussions de bistrot que des fonctions d’information et de débat. L’an dernier, 35.238 cartes de presse ont été attribuées par cette commission, soit un recul de 690 cartes en un an, et de 2.152 depuis le plus haut atteint en 2009. Parmi toutes les cartes attribuées, seules 1.513 étaient des premières demandes de cartes de presse (soit 649 de moins qu’en 2006). Ces jeunes journalistes sont les plus précaires: 72% sont rémunérés à la prestation (pigistes), et seulement 28% sont mensualisés. Certes on objectera juste titre que l’information sur Internet comporte le pire et le meilleur mais avec un peu d’obstination il est toutefois possible d’obtenir des informations autrement plus pertinentes et plus objectives, en tout cas davantage travaillées.

Le taux de chômage aurait diminué de 0.1% en 2015 ! (INSEE)

Le taux de chômage aurait diminué de 0.1% en 2015 ! (INSEE)

 

Miracle statistique !  Alors que Pôle emploi enregistre une augmentation du chômage de 88 000 personnes en  2015, l’ INSEE vient de découvrir que le taux de chômage a diminué de 01 % ;  en fait il s’agit d’un pourcentage calculé sur une population tout à fait aléatoire puis qu’on ne compte pas les chômeurs qui ne rechercheraient pas activement un emploi. Finalement la même méthodologie que celle de Pôle emploi qui consiste à radier des chômeurs dans les décomptes. De quoi lancer un cocorico pour la ministre du travail. L’Insee, l’institut français des statistiques, vient donc de dévoiler les derniers chiffres du chômage et note un léger recul pour l’année 2015. Ainsi, le taux de chômage a baissé à hauteur de 0,1% en métropole pour atteindre 10% de la population active au quatrième trimestre 2015 et 10,3% avec l’Outre-mer. Le nombre de personnes sans travail s’établit selon l’Insee à 2,86 millions, un chiffre en baisse de 1,8% sur un an. Ce recul d’une faible ampleur rassure toutefois la ministre du Travail, Myriam: «C’est un signal encourageant. Ça va dans le bon sens. L’emploi va s’accélérer», a-t-elle déclaré sur France 2. L’indicateur a par ailleurs été revu à la baisse au 3e trimestre, à 10,1% en métropole et à 10,4% en France entière. Ces taux avaient été initialement évalués à 10,2% et 10,6%, des niveaux inédits depuis 1997. Toutes les catégories d’âge ont bénéficié de cette diminution mais les 15-24 ans restent les plus touchés malgré un repli à 24% (-0,3pt). Chez les 50 ans et plus, on note une baisse de 0,1% du taux de chômage qui atteint 6,9%. Ces faibles baisses restent toutefois à relativiser compte tenu du «halo autour du chômage» qui a légèrement augmenté. Celui-ci correspond aux personnes souhaitant travailler mais qui ne sont pas comptabilisées parce qu’elles ne cherchent pas activement ou ne sont pas disponibles immédiatement. Elles étaient 1,4 million fin 2015. Un chiffre en hausse de 23 000 sur le 4ème trimestre. À noter tout de même que le nombre de personnes en sous-emploi, c’est-à-dire qui souhaiteraient travailler davantage, est en léger recul (-0,1 point), à 6,6%. L’indicateur de l’Insee, le seul reconnu à l’international, est moins sévère que celui de Pôle emploi, qui comptabilisait 3,58 millions d’inscrits sans aucune activité en métropole fin décembre, soit 88.200 de plus que fin 2014 (+2,5%).

Le soutien à la taxe à 75% diminue

Le soutien à la taxe à 75% diminue

D’après le sondage de l’Ifop, seules 53% des personnes interrogées souhaitent « que le gouvernement propose un projet de taxe assez similaire tout en tenant compte des remarques du Conseil Constitutionnel car, en période de crise, il est juste que les personnes les plus riches contribuent fortement par leurs impôts au redressement des comptes publics ». En revanche, 47% des sondés attendent que le gouvernement « abandonne ce projet car un niveau d’imposition trop élevé pousse les personnes les plus fortunées et des entrepreneurs à quitter notre pays ». L’Ifop rappelle qu’en septembre, 60% des Français étaient favorables à la taxation à 75%, selon un sondage du même institut pour le quotidien Sud-Ouest.  L’Ifop y voit l’effet de la censure du Conseil constitutionnel et du départ de Gérard Depardieu à l’étranger pour raisons fiscales. L’institut note que cette promesse de François Hollande est particulièrement clivante puisque 81% des sympathisants PS s’y disent favorables, alors que 84% des partisans de l’UMP font part de leur hostilité. Les sympathisants du Front national apparaissent divisés sur cette question: 44% sont en faveur d’un nouveau projet de loi contre 56% qui penchent pour un abandon.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

 

La Fed veut augmenter le plafond de la dette, la BCE le diminue

La Fed veut augmenter le plafond de la dette, la BCE le diminue

 

Deux politiques totalement contradictoires et qui ne semblent pas tellement interroger les observateurs. La Fed veut augmenter le plafond de la dette, dans le même tems l’Europe le diminue avec notamment le nouveau traité. Que signifie cette contradiction, simplement que nous sommes entrés dans la guerre des monnaies. L’Europe va conserver une euro fort mais une économie atone tandis que le dollar (comme le yen) va baisser mais avec une économie soutenue. Le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke a exhorté lundi le Congrès à relever le plafond d’endettement des Etats-Unis pour parer à tout risque de défaut, estiment en outre que les passes d’armes politiques sur le déficit étaient préjudiciables à la situation économique. Il a argué que relever ce plafond légal d’endettement ne revenait pas à autoriser de nouvelles dépenses publiques. « Relever le plafond de la dette, ce que le Congrès doit faire périodiquement, donne au gouvernement la capacité de payer ses factures en cours », a-t-il expliqué lors d’un événement. « Cela ne crée ni nouveaux déficits ni nouvelles dépenses (…) Il est très, très important que le Congrès prenne les décisions qui s’imposent en vue de relever le plafond de la dette afin d’éviter une situation où notre gouvernement ne paierait pas ses factures ». Le Trésor a fait savoir que les Etats-Unis avaient atteint leur plafond d’endettement le 31 décembre et qu’il recourait dorénavant à des dispositions particulières pour permettre au gouvernement de remplir ses obligations financières. Il a ajouté lundi que le pays se trouverait à court de ressources pour éviter un défaut entre la mi-février et le début mars. Le secrétaire au Trésor Timothy Geithner a lui aussi exhorté le Congrès à relever le plafond d’endettement légal de 16.400 milliards de dollars, faute de quoi, le pays risquait des dommages économiques « irréparables ». Les parlementaires ont convenu début janvier de proroger les baisses d’impôt pour les ménages gagnant moins de 450.000 dollars par an mais ils doivent encore s’entendre sur le plafond de la dette, ainsi que sur une réduction des dépenses publiques, dont le déclenchement automatique a été repoussé au 1er mars. Ben Bernanke a également estimé que les Etats-Unis restaient dans une situation de reprise relativement fragile. Il a ajouté, lors de questions et réponses, que les choses évoluaient dans le bon sens pour l’économie américaine « mais pas aussi vite que nous le voudrions ». La Fed a choisi en décembre de poursuivre ses rachats obligataires tant que la situation de l’emploi ne se sera pas nettement améliorée.  

 




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