Archive pour le Tag 'Diffusion'

Foot ligue 1 : diffusion pirate !

Foot ligue 1 : diffusion pirate !

 Excédés par les tarifs du nouveau diffuseur DAZN, de nombreux fans du ballon rond se tournent vers ces pratiques illicites. 10 % au moins à procéder ainsi. Sans savoir qu’elles profitent à des individus et groupes peu recommandables.

Comment profiter de la Ligue 1 sans dépenser un centime. Un petit tour sur X (ex-Twitter), un clic sur un lien d’une boucle Telegram pirate; autre technique de piratage : l’IPTV (pour «Internet Protocol Television»). «Ces  techniques semblent conquérir un public de plus en plus large depuis l’arrivée cette saison en Ligue 1 du diffuseur DAZN – et de ses tarifs jugés excessifs.

 

Diffusion tennis Nadal-Djokovic: La France se couche devant Amazon

Diffusion tennis Nadal-Djokovic: La France se couche devant Amazon

 

De toute évidence , la nouvelle dirigeante du tournoi de tennis de Roland-Garros confond sport et business sans parler de ses propres intérêts. Certes l’influence de l’argent dans le sport n’est pas nouvelle, il y a longtemps qu’elle a dépassé les limites de la décence. Mais se plier aux exigences d’Amazon laisse songeur sur l’évolution de l’éthique sportive.

Lundi, Amélie Mauresmo, la nouvelle directrice du tournoi de Roland-Garros, a donc tranché. L’ancienne championne de tennis, longtemps consultante pour France Télévisions avant d’être débauchée la saison dernière par Amazon Prime Vidéo, a choisi ce dernier au détriment des antennes du service public pour diffuser le quart de finale opposant Rafael Nadal et Novak Djokovic. Et cette configuration ne plaît pas du tout à Delphine Ernotte, la présidente du groupe audiovisuel public. Selon nos informations, la dirigeante a clairement exprimé son mécontentement mardi matin lors d’un conseil d’administration auquel siégeaient des représentants du Parlement, des ministères du Budget et de la Culture. « Cette décision de la Fédération française de tennis me choque profondément », a-t-elle indiqué.

Ecole: vecteur important de la diffusion de la pandémie

Ecole: vecteur important de la diffusion de la pandémie

 

 

L’envolée des statistiques n’est sans doute pas sans lien avec la rentrée scolaire. Officiellement on aurait enregistré près de 50 000 cas de contamination d’élèves et plus de 5000 cas de contamination chez les enseignants. Des chiffres très sous-estimés mais déjà suffisants pour montrer que l’école diffuse largement le virus. Alors que les enfants et enseignants sont très touchés par l’épidémie de Covid-19 depuis la rentrée, le virologue membre du Conseil scientifique, Bruno Lina,  explique que le variant Omicron est plus facile à transmettre, y compris auprès d’enfants qui étaient « moins sensibles » jusqu’ici. Rien d’étonnant à cela dans la mesure où les pouvoirs publics ont choisi la stratégie de diffusion du virus en espérant une immunité collective avant les élections présidentielles, soit un pari très risqué.

  »Vous avez besoin de moins de virus pour développer la maladie. Dans ces conditions, des personnes qui étaient probablement moins sensibles au virus, comme les enfants, aujourd’hui, deviennent capables d’être affectées de façon très efficace », a développé le virologue Bruno Lina, membre du Conseil scientifique.
Covid:  vecteurs importants de la diffusion de la pandémie dans santé Covid dans santé
« Les enfants, comme énormément de la tranche d’âge de moins de 40 ans, participent de façon très importante à la diffusion du virus (…) on le voit car il y a de la transmission entre enfants et parents, et quelquefois, des foyers de transmission dans les écoles », a ajouté Bruno Lina.
  »Il est environ 80% plus transmissible », a-t-il détaillé à propos du variant Omicron, rappelant qu’il arrive à contourner les réponses immunitaires de ceux qui ont un schéma vaccinal incomplet, et que plus il se diffuse, plus son taux d’infectiosité augmente. « Malgré cette transmissibilité accrue, toutes les mesures d’hygiène sont efficaces », a insisté Bruno Lina.

Jeudi, le taux d’incidence a dépassé en France les 2000 pour la première fois. En tout, une personne sur 50 a été testée positive sur les sept derniers jours.

Covid école : vecteur important de la diffusion de la pandémie

Covid école :  vecteur important de la diffusion de la pandémie

 

 

L’envolée des statistiques n’est sans doute pas sans lien avec la rentrée scolaire. Officiellement on aurait enregistré près de 50 000 cas de contamination d’élèves et plus de 5000 cas de contamination chez les enseignants. Des chiffres très sous-estimés mais déjà suffisants pour montrer que l’école diffuse largement le virus. Alors que les enfants et enseignants sont très touchés par l’épidémie de Covid-19 depuis la rentrée, le virologue membre du Conseil scientifique, Bruno Lina,  explique que le variant Omicron est plus facile à transmettre, y compris auprès d’enfants qui étaient « moins sensibles » jusqu’ici. Rien d’étonnant à cela dans la mesure où les pouvoirs publics ont choisi la stratégie de diffusion du virus en espérant une immunité collective avant les élections présidentielles, soit un pari très risqué.

  »Vous avez besoin de moins de virus pour développer la maladie. Dans ces conditions, des personnes qui étaient probablement moins sensibles au virus, comme les enfants, aujourd’hui, deviennent capables d’être affectées de façon très efficace », a développé le virologue Bruno Lina, membre du Conseil scientifique.
Covid école :  vecteur important de la diffusion de la pandémie dans santé Covid dans santé
« Les enfants, comme énormément de la tranche d’âge de moins de 40 ans, participent de façon très importante à la diffusion du virus (…) on le voit car il y a de la transmission entre enfants et parents, et quelquefois, des foyers de transmission dans les écoles », a ajouté Bruno Lina.
  »Il est environ 80% plus transmissible », a-t-il détaillé à propos du variant Omicron, rappelant qu’il arrive à contourner les réponses immunitaires de ceux qui ont un schéma vaccinal incomplet, et que plus il se diffuse, plus son taux d’infectiosité augmente. « Malgré cette transmissibilité accrue, toutes les mesures d’hygiène sont efficaces », a insisté Bruno Lina.

Jeudi, le taux d’incidence a dépassé en France les 2000 pour la première fois. En tout, une personne sur 50 a été testée positive sur les sept derniers jours.

Football : la ligue de football brade les droits de diffusion à Canal

  • Football : la ligue de football brade les droits de diffusion à Canal
  • Le fiasco de Médiapro qui a oublié de payer les droits de TV profite finalement à Canal plus qui revient à ses premières amours. En outre, les droits ont été bradé à moitié prix tellement les offres  possibles des autres candidats étaient basses.
  • Pour Canal+ c’est un retour aux fondamentaux en quelque sorte car lorsque la chaîne diffusait  le football la moitié de ses abonnés était motivés par la diffusion du football. Depuis Canal+ a pris des virages particulièrement dangereux. Son  audience s’est écroulée du fait des censures successives pour excès d’humour de la part du très réactionnaire Bolloré. ( Qui a encore récemment sanctionné un humoriste de la chaîne C news).
  • Il ne s’agit cependant que d’un accord provisoire jusqu’à la fin de la saison et le problème se reposera sans doute cette fois avec un appel d’offres pour les exercices suivants. De toute manière ,la ligue  de football professionnel ne retrouvera pas ses ressources précédentes car le football français est très dévalorisé par rapport à la qualité des matchs des pays voisins comme en Grande-Bretagne, en Espagne, en Italie ou encore en Allemagne. Ce provoquera nécessairement un grave problème d’équilibre des finances de nombre de clubs dont beaucoup pourraient passer dans les mains d’investisseurs étrangers notamment américains.

Coronavirus: risque de diffusion en Afrique (Éric Delaporte, médecin épidémiologiste)

Coronavirus: risque de diffusion en Afrique (Éric Delaporte, médecin épidémiologiste)

Le coronavirus en Afrique  »est en train de se diffuser de façon massive », a affirmé vendredi 3 avril dans une interview à franceinfo le professeur Éric Delaporte, médecin épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses au CHU de Montpellier.
Est-ce qu’on a une idée très précise de l’épidémie sur le continent africain ?

Éric Delaporte : Précise, non. On a simplement le nombre de cas déclarés qui atteint près de 10 000 cas. C’est bien sûr une sous-estimation puisque c’est basé sur des cas symptomatiques. Ces cas ont été déclarés seulement depuis la fin février. C’est une déclaration relativement récente lorsqu’il y a eu vraiment une sensibilisation internationale. Et puis, ça correspondait également à l’arrivée de beaucoup de personnes vivant en Europe qui sont retournées en Afrique au moment des périodes de confinement, où il y a eu beaucoup de mises en place de tests de dépistage. On sait que, malheureusement, c’est en train de diffuser de façon massive.

On a entendu que le virus résisterait mal à la chaleur et que donc l’Afrique pourrait être épargnée. Est-ce que c’est avéré ?

On ne peut pas encore le constater. C’est vraiment une hypothèse. Et il n’y a rien pour soutenir cette hypothèse. On peut simplement dire qu’un certain nombre d’infections dues au coronavirus sont saisonnières et que lorsque arrivent les beaux jours, elles sont moins fréquentes… Est-ce qu’on va le voir pour le Covid ? On n’en sait strictement rien. En revanche, il peut y avoir d’autres facteurs environnementaux, des facteurs démographiques, qui pourraient faire, mais ça reste vraiment du conditionnel, que l’impact de la diffusion ne soit pas exactement la même chose sur le continent africain qu’ailleurs. Par exemple, la pyramide des âges n’a rien à voir avec notre pyramide en Europe, avec beaucoup de populations jeunes et les plus de 70 ans relativement faiblement représentées. Cela veut dire que les populations jeunes vont être potentiellement rapidement contaminées avec rapidement une séroconversion.

Le fait que ces populations jeunes puissent être rapidement contaminées sans faire de pathologies graves pourrait créer une sorte de frein immunitaire par rapport au reste de la population. Mais encore une fois, c’est une hypothèse.Éric Delaporte, médecin épidémiologiste à franceinfo

Et l’autre impact est très intéressant et très important pour l’Afrique, c’est que dans la mesure où, proportionnellement, il y a beaucoup moins de personnes âgées, et comme on sait que chez nous, c’est malheureusement les personnes les plus âgées, les plus de 70 ans qui ont les formes les plus graves, il pourrait y avoir un impact un peu différent en termes de prise en charge.

Est-ce qu’il faut s’inquiéter des systèmes de santé de certains pays africains qui pourraient être mises en difficulté ?

Alors la réponse est clairement oui. Il y a deux aspects. D’abord d’un point de vue diagnostic, les compétences sont là. Malheureusement, on n’est pas sûr que l’on va pouvoir les livrer en réactifs. Et c’est un vrai cri d’alarme, c’est-à-dire qu’il y a pas mal de tests qui sont mis sur le marché. Et quand on essaye de commander pour l’Afrique, la priorité, ce sont les États-Unis ou c’est l’Europe.

Ça va être très dur, potentiellement pour l’Afrique, de pouvoir s’approvisionner en tests réactifs. Eric Delaporte, médecin épidémiologiste à franceinfo

Ce sont les fournisseurs ou les pays qui leur donnent l’ordre de ne pas exporter et qui prennent la priorité, entre guillemets, nationale. Et donc, là, il y a un vrai souci pour que les pays africains puissent avoir accès eux aussi aux tests commerciaux. Deuxième aspect par rapport au système de santé, c’est la prise en charge. On sait qu’il y a 15% de personnes qui font des formes qui nécessitent une hospitalisation. Cette hospitalisation, on arrive à faire passer le cap de nos patients grâce à des respirateurs, de l’oxygénothérapie. Par exemple à Kinshasa [capitale de la RDC], pour une ville de plus de 10 millions d’habitants, il y a simplement 50 respirateurs. Cela veut dire que pour les formes graves, il va y avoir un vrai problème de prise en charge et c’est là qu’il risque d’y avoir une mortalité importante. Et puis, à côté de ça, il y a toutes les autres maladies. Il ne faut pas oublier que le Sida tue encore 700 000 personnes par an en Afrique. Donc, il y a beaucoup de populations dites vulnérables. Les personnes qui sont infectées par le virus du sida, par exemple, si elles ne sont pas sous traitement, ont un fort risque de faire des formes graves.

Intelligence artificielle : lente diffusion ou rupture ?

Intelligence artificielle : lente diffusion ou rupture ?

Dans une étude France Stratégie (ancien plan, service du Premier Ministre) évoque deux scénarii : l’un d’une diffusion progressive, l’autre d’une rupture. Dans le premier cas, l’intelligence artificielle serait intégrée au fonctionnement des entreprises et des organisations dans la continuité de leur transformation numérique.

Le défi de l’automatisation des tâches

De manière générale, le rapport explique que l’émergence de l’IA dans le monde du travail offrirait une opportunité économique liée à des gains de productivité (baisse des coûts d’opérations automatisées, automatisation des processus de coordination entre différents services et acteurs, optimisation des flux de production…) Ces mêmes gains pourraient constituer des risques pour l’emploi, remplaçant l’humain par la machine. . Les travailleurs pourraient également craindre une dévalorisation de leurs compétences, une surcharge cognitive, une perte d’autonomie, un contrôle accru et une perte de sens du travail liée à l’automatisation des tâches. Mais « , ces mêmes technologies pourraient aussi créer de nouveaux métiers grâce, notamment au traitement massif des données (devenir le superviseur d’une flotte de véhicules autonomes ou de chatbots par exemple). En imaginant que l’IA prenne en charge des tâches routinières et répétitives, on pourrait aussi imaginer que cela soulagerait les actuels travailleurs, qui bénéficieraient d’une amélioration des conditions de travail et une valorisation des activités et des tâches. France Stratégie prend trois exemple celui des transports avec notamment l’accélération de automatisation des tâches dans la logistique, les banques aussi concernées par la numérisation et les restructurations qui s’amplifient enfin le secteur de la santé où la les perspectives d’emplois nouveaux paraissent les plus positifs. Pour les patients, et les professionnels. Enfin, les auteurs de l’étude rappellent qu’il est impératif de sécuriser davantage les parcours professionnels dans les secteurs les plus impactés par l’IA afin d’éviter que le bouleversement annoncé se situe plus du côté du scénario dommageable.

Arrêt de la diffusion de TF1 chez Orange ?

Arrêt de la diffusion de TF1 chez  Orange ?

 

Grosse erreur de stratégie à TFI largement responsable du conflit entre la chaîne et les distributeurs. Des distributeurs qui forcément participent à l’audience de la télé. La vive réaction de Canal qui a brusquement stoppé toute diffusion des chaines TF1  a provoqué un impact immédiat avec la perte environ 1 millions de téléspectateurs. TFI d’une  certaine manière s’est tiré une balle dans le pied car ses recettes de publicité sont nécessairement affectées. L’audience pourrait encore diminuer avec la menace d’autres diffuseurs de ne plus permettre l’accès à TFI. C’est notamment le cas d’Orange.  “Stéphane Richard se dit aujourd’hui ‘prêt à couper TF1’”, écrit le quotidien. “Nous ne voulons pas priver nos clients de TF1”, déclare Stéphane Richard, cité par Le Figaro. Mais “Orange est opposé au principe d’une rémunération pour distribuer des contenus gratuits.” “Nous ne signerons pas un accord comportant une clause de rémunération pour des contenus disponibles gratuitement sur d’autres canaux (la TNT, NDLR)”, poursuit le PDG. “Quelle que soit l’activité, ce n’est pas une bonne option de se fâcher avec ses distributeurs. C’est une grosse prise de risque. Que se passerait-il si Free et Orange coupaient à leur tour le signal ?”Canal+ s’est déclaré le 1er mars contraint d’interrompre la diffusion des chaînes gratuites de TF1 après l’échec de leurs discussions commerciales. Orange souhaite parvenir à un accord avec TF1, a rappelé un porte-parole de l’opérateur télécoms. “On est en discussions avec TF1 mais force est de constater que la posture de TF1 est de refuser toute avancée significative sur ce dossier”, a affirmé le porte-parole. “Donc, hélas, on n’exclut rien.

 

Mondial: pourquoi pas de diffusion sur les chaines publiques ?

Mondial: pourquoi pas de diffusion sur les chaines publiques ?

 

 

On se demande vraiment à quoi servent les chaines publiques, e n effet un événement comme le Mondial devrait être diffusé sur le France 2 ou France 3.On objectera que les droits ont couté 130 millions à TF1 (mais une partie revendus à BeIN) ; finalement pour voir le foot  à  la télévision, il faut  bien entendu payer la redevance obligatoire mai auusi Canal pour le championnat de France et aussi à BeIN pour les matchs non diffusés par les autres. Tout cela faiat beaucoup d’abonnements.. Pas étonnant la quasi totalité du budget passe en frais de fonctionnement sur les chaines publiques notamment pour le personnel (environ 10 000 personnes ! , une véritable gabegie) pour un budget de l’ordre 3 milliards. Après la victoire des Bleus en huitième de finale, TF1 en tout cas fait le carton plein en termes d’audience et de recettes publicitaires. De fait, la première chaine a récolté plus de 40 millions d’euros de recettes publicitaires brutes depuis le début de la compétition, avance Stratégie qui cite des données de Kantar Media. D’après des estimations, ce montant brut, hors partenariats et supports numériques, correspondrait à 22 millions d’euros de recettes pub net. Près de 226 annonceurs ont déjà diffusé des messages publicitaires via les écrans pub de TF1. Apple prend la tête des diffuseurs avec 1,5 million d’euros investi, suivi par le PMU (1,4 million d’euros) et enfin Beiersdorf (1,3 million d’euros), groupe qui détient notamment de la marque Nivea. Dans le top 10 des annonceurs, le secteur automobile prend la tête du classement avec quatre constructeurs (dont Citroën et Peugeot côté français) suivi par le secteur des paris sportifs avec PMU et la FDJ.

Diffusion d’un fichier : un blogueur est condamné à 3000 euros d’amende

Diffusion d’un fichier : un blogueur est condamné à 3000 euros d’amende

La justice, c’est un peu comme la politique, des pratiques obsolètes, un rituel désuet , une ignorance des réalités sociétales et des nouvelles technologies. Du coup on a condamné un blogueur pour avoir diffusé un fichier pourtant accessible sur le net. Les magistrats sont come les politiques, ils sont nt restés à l’ère de la plume d’oie, du minitel ou du mulot de Chirac ce. Un blogueur et patron d’un site d’information a été condamné à 3.000 euros d’amende pour avoir téléchargé des documents de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Sans être confidentiels, ces documents n’auraient jamais dus être accessibles. S’ils se sont retrouvés proposés à l’écran via une simple recherche effectuée par Google, c’est à cause d’une erreur de paramétrage d’un serveur hébergeant une partie des publications de l’Anses. Alors qu’il effectuait des recherches par le moteur de recherche Google, le co-fondateur du site d’information reflets.info était tombé sur des documents de l’Anses. Son téléchargement avait servi à nourrir un article de l’un de ses rédacteurs sur les nano-matériaux. Alertée, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail avait porté plainte, sans pour autant se porter partie civile.  Lors d’un premier procès à Créteil, le tribunal correctionnel avait relaxé le responsable du site. La cour d’appel de Paris a rejugé l’affaire, à la demande du parquet. Et la sanction est tombée mercredi. Le responsable du site a été reconnu coupable de vol, mais toutefois relaxé du chef d’ « accès frauduleux dans un système de traitement automatisé de données« . Le  » trouveur de fichiers » est condamné à 3.000 euros d’amende. Les motivations de la Cour d’appel seront intéressantes à étudier pour éviter le piège du document à lire mais à ne pas télécharger. Dans l’attente de leur disponibilité, la réflexion de l’avocat du blogueur condamné risquent d’effrayer de nombreux internautes. Me Olivier Iteanu se dit consterné :   »On peut être un hacker en faisant une recherche sur Google et en tombant sur des documents qui n’avaient pas à être là » Les internautes devraient donc vérifier qu’ils ne sont pas en présence de fichiers faussement accessibles. Un casse-tête qui a toutes les chances de se retrouver devant la Cour de cassation.

 




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