Archive pour le Tag 'dictateur'

Biélorussie : Le successeur potentiel du dictateur meurt de la « maladie russe »

Biélorussie : Le successeur potentiel dictateur meurt de la « maladie » russe

Comme en Russie, l’un des plus hauts responsables politiques de Biélorussie meurt subitement. La cause serait inconnue mais on pourrait parler sans doute de la maladie russe qui consiste notamment empoisonner les personnages gênants.

Vladimir Makeï, Ministre des affaires étrangères de Biélorussie, n’avait pas caché ses opinions anti russe. Or Moscou compte beaucoup Loukachenko- le dictateur de Biélorussie- qui a trafiqué les élections- pour conforter son pouvoir sur les pays voisins.

En poste depuis 2012, Vladimir Makeï devait rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov ce lundi. Les raisons de son décès sont inconnues.Il aurait pu être atteint par la « maladie russe » qui consiste tout simplement à supprimer tout opposant à la politique russe.

Le ministre des Affaires étrangères biélorusse, Vladimir Makeï, est décédé à l’âge de 64 ans, a rapporté ce samedi 26 novembre l’agence de presse nationale Belta. «Le ministre des Affaires étrangères Vladimir Makeï est décédé subitement», a rapporté Belta. Il occupait son poste depuis 2012. Les raisons du décès sont encore inconnues.

Il avait participé à une conférence de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) – une alliance militaire de plusieurs États post-soviétiques – à Erevan en début de semaine et devait rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov lundi 28 novembre.

Sur Twitter, le directeur de l’Observatoire franco-russe à Moscou Arnaud Dubien rappelle que «le Kremlin voyait en lui un opposant à l’alignement [biélorusse] sur Moscou».
«Nous sommes choqués par les informations sur le décès du chef du ministère des Affaires étrangères de la République de la Biélorussie Vladimir Makeï», a, de son côté, posté la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova sur son canal Telegram. «Les condoléances officielles seront publiées prochainement».
En février, Vladimir Makeï avait assuré que «pas un seul» soldat russe ne resterait en Biélorussie après des manoeuvres conjointes avec Moscou à la frontière ukrainienne, quelques semaines avant l’offensive.

Manifs en Iran : » mort au dictateur »

Manifs en Iran : » mort au dictateur »

Les protestations des femmes en Iran visaient la remise en cause des libertés et l’assassinat d’une jeune iranienne pour port d’un voile non conforme.

Depuis, les manifestations se multiplient dans les différentes couches de la société et en particulier chez les jeunes. Globalement il y a un rejet de la dictature des mollahs mais aussi une protestation contre des conditions économiques de plus en plus dégradées compte tenu en particulier de l’isolement de l’Iran.

Dans une vidéo vérifiée par l’AFP, des jeunes filles, la tête non voilée, scandent « Mort au dictateur », en référence au guide suprême Ali Khamenei, lundi dans une école de Karaj, à l’ouest de Téhéran. Un autre groupe de filles scande « Femme, vie, liberté » en défilant dans une rue. D’autres vidéos publiées en ligne montrent des écolières quittant les salles de classe pour défiler dans divers endroits de la ville lors de manifestations éclair, afin d’éviter d’être repérées. L’AFP n’a pas été en mesure de vérifier ces images de manière indépendante.
Au moins 92 morts depuis le 16 septembre.

« Ce sont des scènes vraiment extraordinaires. Si ces manifestations doivent aboutir à quelque chose, ce sera grâce aux écolières », a déclaré Esfandyar Batmanghelidj, du site d’information et d’analyse Bourse&Bazaar. Au moins 92 personnes ont été tuées depuis le 16 septembre, selon l’ONG Iran Human Rights, basée à Oslo (Norvège)

Poutine : l’agonie meurtrière d’un dictateur fou ?

Poutine : l’agonie meurtrière  d’un dictateur fou 

 

La puissance de Poutine en Russie est aujourd’hui incontestable. Il règne en maître et même en Tsar car aucune contestation n’est tolérée, la démocratie est complètement étouffée, les opposant neutralisés, mis en prison voire empoisonnés. Le problème du dictateur, c’est qu’il est de plus en plus enfermé dans sa paranoïa sachant pertinemment que sa légitimité est de plus en plus contestée. En matière de politique intérieure , Poutine n’est plus soutenu en effet que par environ 25 % de l’opinion publique.

Il faut dire que le contexte économique et social s’est fortement dégradé sous la direction de son gouvernement. Régulièrement, la Russie a reculé dans les classements économiques ne figurant plus qu’au 50e rang en matière de richesse par habitant. Bref presque un pays sous-développé. Poutine ne peut s’appuyer sur aucune philosophie idéologique un peu consistante. Il n’a pas l’appui de l’équivalent de l’ancien parti communiste.

Bref , il est seul d’autant plus qu’il s’est régné la terreur parmi son entourage. Ce régime de dictateur est appelé à disparaître un jour ou l’autre, dans un an, dans 10 ans, plus tard ? Mais il finira avec Poutine peut-être même dans la violence quand les Russes auront compris que le pire  obstacle au développement et à la paix est Poutine lui-même. Un scénario possible car évidemment la Russie est un grand pays ,  produit d’une grande histoire et d’une grande culture. Certes il n’a  n’a jamais vraiment connu la démocratie mais notamment grâce à Internet, il  peut mesurer le décalage énorme entre son niveau de développement et celui de pays voisins qui ont bien davantage réussi.

Le problème, c’est que le dictateur , conscient de ses échecs autant que du mépris qu’il suscite et qu’il pourrait réagir comme une bête blessée par des actes inconsidérés qui précipiteraient même le suicide de son pays.Poutine va sans doute écraser l’Ukraine mais en vain car la guerre sera longue et meurtrière dans les deux camps. Une sorte  d’Afghanistan. Cette invasion insensée va se traduire par une adhésion précipitée des autres anciennes républiques soviétiques vers l’OTAN et l’union européenne. Un bilan géostratégique et humain dramatique y compris pour la Russie qui un jour ou l’autre devra se débarrasser de son dictateur.

 

Ukraine : le dictateur nord-coréen se réveille aussi

Ukraine : le dictateur nord-coréen se réveille aussi

L’autre dictateur fou de Corée du Nord ajoute sa touche personnelle au climat de guerre avec la reprise de tirs.

En janvier, la Corée du Nord avait effectué sept tirs, un nombre record en un mois, y compris celui de son plus puissant missile depuis 2017, alors que les négociations avec les États-Unis sont au point mort.

 

«Ils relancent la machine», a déclaré à l’AFP Shin Beom-chul, chercheur au Research Institute for Economy and Society.

«Ils se sont retenus de toute provocation pendant les Jeux de Pékin pour ménager leurs relations avec la Chine. Mais alors que l’intérêt des États-Unis s’est tourné vers l’Europe avec la crise en Ukraine et que le Conseil de sécurité s’avère incapable de fonctionner, Pyongyang a saisi l’occasion», a expliqué cet analyste.

Samedi, la Corée du Nord a jugé les États-Unis responsables de la guerre en Ukraine, dans sa première réaction officielle après l’invasion russe. «La cause profonde de la crise ukrainienne réside (…) dans l’autoritarisme et l’arbitraire des États-Unis», a affirmé un message publié sur le site du ministère nord-coréen des Affaires étrangères.

 

Poutine : la folie meurtrière d’un dictateur condamné

Poutine : la folie  meurtrière  d’un dictateur condamné

 

Il n’est nul besoin d’être un grand psychologue pour vérifier la folie de Poutine. Ce pur produit KGB ne connaît que la violence et le meurtre et son visage reflète les maladies mentales de l’intéressé. En même temps, il fait la preuve d’une intelligence limitée car cette guerre en Ukraine sonnera un jour ou l’autre la fin d’un régime totalitaire au seul service de Poutine. La puissance de Poutine en Russie est aujourd’hui incontestable. Il règne en maître et même en Tsar car aucune contestation n’est tolérée, la démocratie est complètement étouffée, les opposant neutralisés, mis en prison voire empoisonnés. Le problème du dictateur, c’est qu’il est de plus en plus enfermé dans sa paranoïa sachant pertinemment que sa légitimité est de plus en plus contestée. En matière de politique intérieure , Poutine n’est plus soutenu en effet que par environ 25 % de l’opinion publique.

Il faut dire que le contexte économique et social s’est fortement dégradé sous la direction de son gouvernement. Régulièrement, la Russie a reculé dans les classements économiques ne figurant plus qu’au 50e rang en matière de richesse par habitant. Bref presque un pays sous-développé. Poutine ne peut s’appuyer sur aucune philosophie idéologique un peu consistante. Il n’a pas l’appui de l’équivalent de l’ancien parti communiste.

Bref ,il est seul d’autant plus qu’il s’est régné la terreur parmi son entourage. Ce régime de dictateur est appelé à disparaître un jour ou l’autre, dans un an, dans 10 ans, plus tard ? Mais il finira avec Poutine peut-être même dans la violence quand les Russes auront compris que le pire  obstacle au développement et à la paix est Poutine lui-même. Un scénario possible car évidemment la Russie est un grand pays ,  produit d’une grande histoire et d’une grande culture. Certes il n’a  n’a jamais vraiment connu la démocratie mais notamment grâce à Internet, il  peut mesurer le décalage énorme entre son niveau de développement et celui de pays voisins qui ont bien davantage réussi.Le problème, c’est que le dictateur , conscient de ses échecs autant que du mépris qu’il suscite et qu’il pourrait réagir comme une bête blessée par des actes inconsidérés qui précipiteraient même le suicide de son pays.

 

Russie -Poutine : l’agonie meurtrière d’un dictateur fou

Russie  -Poutine : l’agonie meurtrière  d’un dictateur fou 

 

La puissance de Poutine en Russie est aujourd’hui incontestable. Il règne en maître et même en Tsar car aucune contestation n’est tolérée, la démocratie est complètement étouffée, les opposant neutralisés, mis en prison voire empoisonnés. Le problème du dictateur, c’est qu’il est de plus en plus enfermé dans sa paranoïa sachant pertinemment que sa légitimité est de plus en plus contestée. En matière de politique intérieure , Poutine n’est plus soutenu en effet que par environ 25 % de l’opinion publique.

Il faut dire que le contexte économique et social s’est fortement dégradé sous la direction de son gouvernement. Régulièrement, la Russie a reculé dans les classements économiques ne figurant plus qu’au 50e rang en matière de richesse par habitant. Bref presque un pays sous-développé. Poutine ne peut s’appuyer sur aucune philosophie idéologique un peu consistante. Il n’a pas l’appui de l’équivalent de l’ancien parti communiste.

Bref ,il est seul d’autant plus qu’il s’est régné la terreur parmi son entourage. Ce régime de dictateur est appelé à disparaître un jour ou l’autre, dans un an, dans 10 ans, plus tard ? Mais il finira avec Poutine peut-être même dans la violence quand les Russes auront compris que le pire  obstacle au développement et à la paix est Poutine lui-même. Un scénario possible car évidemment la Russie est un grand pays ,  produit d’une grande histoire et d’une grande culture. Certes il n’a  n’a jamais vraiment connu la démocratie mais notamment grâce à Internet, il  peut mesurer le décalage énorme entre son niveau de développement et celui de pays voisins qui ont bien davantage réussi.Le problème, c’est que le dictateur , conscient de ses échecs autant que du mépris qu’il suscite et qu’il pourrait réagir comme une bête blessée par des actes inconsidérés qui précipiteraient même le suicide de son pays.

 

Politique -Poutine : l’agonie programmée et dangereuse d’un dictateur

Politique -Poutine : l’agonie programmée et dangereuse  d’un dictateur

 

La puissance de Poutine en Russie est aujourd’hui incontestable. Il règne en maître et même en Tsar car aucune contestation n’est tolérée, la démocratie est complètement étouffée, les opposant neutralisés, mis en prison voire empoisonnés. Le problème du dictateur, c’est qu’il est de plus en plus enfermé dans sa paranoïa sachant pertinemment que sa légitimité est de plus en plus contestée. En matière de politique intérieure , Poutine n’est plus soutenu en effet que par environ 25 % de l’opinion publique.

Il faut dire que le contexte économique et social s’est fortement dégradé sous la direction de son gouvernement. Régulièrement, la Russie a reculé dans les classements économiques ne figurant plus qu’au 50e rang en matière de richesse par habitant. Bref presque un pays sous-développé. Poutine ne peut s’appuyer sur aucune philosophie idéologique un peu consistante. Il n’a pas l’appui de l’équivalent de l’ancien parti communiste.

Bref ,il est seul d’autant plus qu’il s’est régné la terreur parmi son entourage. Ce régime de dictateur est appelé à disparaître un jour ou l’autre, dans un an, dans 10 ans, plus tard ? Mais il finira avec Poutine peut-être même dans la violence quand les Russes auront compris que le pire  obstacle au développement et à la paix est Poutine lui-même. Un scénario possible car évidemment la Russie est un grand pays ,  produit d’une grande histoire et d’une grande culture. Certes il n’a  n’a jamais vraiment connu la démocratie mais notamment grâce à Internet, il  peut mesurer le décalage énorme entre son niveau de développement et celui de pays voisins qui ont bien davantage réussi.Le problème, c’est que le dictateur , conscient de ses échecs autant que du mépris qu’il suscite et qu’il pourrait réagir comme une bête blessée par des actes inconsidérés qui précipiteraient même le suicide de son pays.

 

 

Poutine : l’agonie programmée d’un dictateur

Poutine : l’agonie programmée et dangereuse  d’un dictateur

 

La puissance de Poutine en Russie est aujourd’hui incontestable. Il règne en maître et même en Tsar car aucune contestation n’est tolérée, la démocratie est complètement étouffée, les s’opposant neutralisés, mis en prison voire empoisonnés. Le problème du dictateur, c’est qu’il est de plus en plus enfermé dans sa paranoïa sachant pertinemment que sa légitimité est de plus en plus contestée. En matière de politique intérieure , Poutine n’est plus soutenu en effet que par environ 25 % de l’opinion publique.

Il faut dire que le contexte économique et social s’est fortement dégradé sous la direction de son gouvernement. Régulièrement, la Russie a reculé dans les classements économiques ne figurant plus qu’au 50e rang en matière de richesse par habitant. Bref presque un pays sous-développé. Poutine ne peut s’appuyer sur aucune philosophie idéologique un peu consistante. Il n’a pas l’appui de l’équivalent de l’ancien parti communiste.

Bref il est seul d’autant plus qu’il s’est régné la terreur parmi son entourage. Ce régime de dictateur est appelé à disparaître un jour ou l’autre, dans un an, dans 10 ans, plus tard ? Mais il finira avec Poutine peut-être même dans la violence quand les Russes auront compris que le pire  obstacle au développement et à la paix est Poutine lui-même. Un scénario possible car évidemment la Russie est un grand pays ,  produit d’une grande histoire et d’une grande culture. Certes il n’a  n’a jamais vraiment connu la démocratie mais notamment grâce à Internet, il  peut mesurer le décalage énorme entre son niveau de développement est celui de pays voisins qui ont bien davantage réussi.Le problème, c’est que le dictateur , conscient de ses échecs autant que du mépris qu’il suscite et qu’il pourrait réagir comme une bête blessée par des actes inconsidérés qui précipiteraient même le suicide de son pays.

 

 

Ukraine : le dictateur vénézuélien d’accord avec Poutine !

Ukraine : le dictateur vénézuélien d’accord avec Poutine !

 

 Un soutien assez lamentable de l’autre dictateur du Venezuela à Poutine à propos de l’Ukraine. Une sorte de solidarité du syndicat des dictateurs. Les deux partagent en effet le fait d’avoir une opinion publique contre et d’étrangler l’opposition pour empêcher l’alternance démocratique. Les deux, et d’autres, partagent aussi en commun d’être responsables d’une situation économique assez catastrophique.«Le Venezuela est avec Poutine, il est avec la Russie. Il est avec les causes courageuses et justes dans le monde», a déclaré le président Maduro à la télévision lors du conseil des ministres, alors que le Parlement russe a donné son feu vert mardi à une opération militaire en Ukraine.

Maduro a rappelé que son prédécesseur et mentor Hugo Chavez (1999-2013) avait soutenu la Russie quand celle-ci avait reconnu en 2008 l’indépendance de l’Ossetie du sud lors du conflit avec la Géorgie. «Toujours le Venezuela, toujours la révolution chaviste avec Poutine, avec la Russie, avec le peuple russe», a ajouté le président Maduro estimant que les Etats-Unis et «l’OTAN entendent par des moyens militaires en finir avec la Russie».

Le vice-Premier ministre russe Iouri Borissov, qui était à Caracas vendredi, avait souligné que Caracas était un «partenaire stratégique de la Russie (…) dans cette situation d’instabilité croissante.» De quoi se demander si ces dictature ne vivent pas dans un autre monde !

Comme en Chine, le dictateur Poutine réécrit l’histoire du pays.

 

 

Comme en Chine, le dictateur Poutine réécrit l’histoire du pays.

 

Après la liquidation deL’ONG russe Memorial , Poutine va continuer de réécrire l’histoire de son pays pour donner une légitimité à sa dictature.( un papier du Monde, extrait)

 

.

 

La boucle est bouclée. Née à la fin des années 1980, au sein de la société civile, à la faveur de l’ouverture tentée par le dernier numéro un soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, l’association russe de défense des droits de l’homme Memorial a été dissoute mardi 28 décembre à Moscou par une Cour suprême aux ordres du Kremlin et de Vladimir Poutine. Plus qu’un symbole, c’est un tournant dans l’histoire de la Russie post-soviétique.

L’itinéraire de Memorial, de l’espoir démocratique au bannissement, illustre l’évolution politique de la Russie de ces trois dernières décennies. Créée à l’origine pour faire la lumière sur la répression politique à travers l’histoire de l’URSS et promouvoir la réhabilitation de ses victimes, Memorial comptait parmi ses fondateurs un authentique démocrate, l’académicien et Prix Nobel de la paix Andreï Sakharov, mort en décembre 1989. Après la chute de l’Union soviétique en décembre 1991, Memorial est passée du statut d’organisation dissidente à celui d’association publiquement reconnue.

L’environnement est devenu plus difficile dans les années 2000, après l’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine. Memorial avait étendu son champ d’activité à la défense des droits de l’homme. En 2009, l’une de ses enquêtrices en Tchétchénie, Natalia Estemirova, a été enlevée et assassinée. Pour les archivistes et les chercheurs, collaborer avec Memorial est devenu dangereux.

Mais, surtout, le travail scientifique de Memorial est entré en concurrence avec la volonté de Vladimir Poutine de contrôler le récit historique national. Le président russe a lancé un mouvement en profondeur visant à repolitiser l’histoire de l’Union soviétique, quitte à la réécrire, en glorifiant le rôle de Staline pendant la seconde guerre mondiale. En 2016, l’ONG Memorial a été décrétée « agent de l’étranger », comme toutes les associations bénéficiant de subventions de l’extérieur. La même année, l’un des historiens les plus acharnés de Memorial, Iouri Dmitriev, 65 ans, a été arrêté et accusé d’abus sexuels. Lundi, il a vu sa peine alourdie à quinze ans de prison.

Devant la Cour suprême, le procureur a reproché à Memorial d’avoir « créé une image mensongère de l’URSS comme Etat terroriste » et d’avoir noirci la mémoire du pays pendant la « Grande Guerre patriotique ». Formellement, la décision de dissolution a été justifiée par l’omission de l’ONG de s’identifier comme « agent de l’étranger » dans certains documents.

Ces trois décennies post-URSS ressemblaient de plus en plus à une parenthèse, dont on voyait la fermeture se rapprocher inexorablement. La Russie est aujourd’hui verrouillée : même la mémoire doit y être contrôlée par un pouvoir nostalgique d’une illusoire grandeur passée.

 

Vladimir Poutine tsar dictateur qu’à 85 ans !

Vladimir Poutine tsar dictateur qu’à 85 ans

 

 

 

Il faut évidemment une sacrée dose de mépris de tout concept démocratique à Poutine pour avoir organisé une pseudo modification institutionnelle  qui va lui permettre de demeurer le tsar dictateur de Moscou jusqu’à 85 ans. L’intéressé a en effet 68 ans actuellement et les nouvelles dispositions lui permettent de rester au pouvoir jusqu’en 2036. Normalement son mandat réduit s’achevait en 2024. Le problème est que la Russie n’a jamais connu vraiment la démocratie et que la culture du KGB de Poutine l’autorise à tous les excès anti démocratique. Par ailleurs comme il a muselé complètement toute opposition, que la presse d’opinion n’existe pas, le peuple russe est maintenu dans un état de sous-culture politique dramatique. Ainsi le seul opposant à savoir Navalny d’abord victime d’une tentative d’empoisonnement et est maintenant maintenu en prison dans des conditions qui d’ailleurs menacent à nouveau sa vie.

 

Poutine n’a cure des observations et reproches des occidentaux quant à son rapport à la démocratie, un concept qu’il récuse. Pas étonnant profitant de ses 20 ans de pouvoir Kremlin il a déjà accumulé une immense fortune qui lui a permis de construire un palais démentiel justement révélé par navalny tandis que son peuple vit les conditions d’un pays en développement. Pire Poutine s’évertue en plus à organiser le désordre chaque fois qu’il le peut dans les théâtres de lutte internationale. Par exemple quand il soutient la Syrie ou encore récemment les dictateurs de Birmanie.

Vladimir Poutine: le dictateur prolonge son mandat jusqu’en 2036 !

Vladimir Poutine: le dictateur prolonge son mandat jusqu’en  2036 !

 

Grâce au décret qu’il  vient de signer, Vladimir Poutine pourra se vanter d’avoir régné sans partage sur la Russie pendant près de 36 ans.

Le président russe Vladimir Poutine a 68 ans,. Il pourra donc continuer de diriger la Russie jusqu’à 85 ans ! Tout cela avec la bénédiction du Parlement complètement soumis au pouvoir. En plus avec une pseudo démocratie via un référendum sans opposition. L’un des rares opposants , à savoir Navalny ,ayant été mis en prison après une tentative d’empoisonnement. Bref le produit du KGB s’assoit délibérément sur la constitution qui normalement aurait dû limiter sa responsabilité de président a demanda.

 

Sorte de démocratie remake  des plus mauvaises caricatures africaines et qui finira sans doute aussi mal un jour ou l’autre. En effet la Russie enregistre non seulement un échec total en matière économique et sociale et reste au rang des pays en voie de développement. En outre , la démocratie est complètement muselée par la dictature d’un seul homme et de ses acolytes.

Cerise sur le gâteau, Poutine a fait introduire dans la constitution une immunité avis pour tous les anciens présidents russes y compris lui-même. Une manière de se protéger contre les énormes détournements des biens de l’État récemment dénoncés par Navalny au profit de Poutine.

Poutine: un des derniers dinosaures, dictateur, mafieux et criminel

Poutine:  un des derniers dinosaures, dictateur, mafieux et criminel

Alors que L’économie russe traverse une très grave crise, on découvre que Poutine depuis une quinzaine d’années se fait construire un immense palais personnel–type Versailles- d’un coût de l’ordre de 100 milliards.La dimension mafieuse le dispute à l’autoritarisme et à la criminalité ( Mise en prison, atteinte aux libertés et plus brutalement empoisonnement des opposants. ( On se souvient que Sarkozy lui-même qui n’est pas un enfant de chœur n’en avait  pas mener bien large devant les menaces directes de Poutine).

Annoncée à la surprise générale en janvier, menée tambour battant et rapidement adoptée par le Parlement, la réforme constitutionnelle voulue par Vladimir Poutine, au pouvoir depuis 20 ans, a été validée avec près de 78% des suffrages par un scrutin organisé du 25 juin au 1er juillet. L’opposition a dénoncé un « énorme mensonge ». Un des points clefs du texte, rajouté en mars alors qu’il n’avait jamais été évoqué, est la remise à zéro des compteurs présidentiels. En 2024, date de la fin de l’actuel mandat, Vladimir Poutine pourra donc à nouveau être candidat à deux sextennats qui le feraient théoriquement rester au Kremlin jusqu’en 2036, année de ses 84 ans.

La crise économique de 2015 marque un coup d’arrêt dans la progression du niveau de vie des russes. Et depuis la Russie s’enfonce dans la dépression.  La forte inflation et les difficultés économiques globales ont fait plonger sur l’année le pouvoir d’achat de 10 % sur un an. Ainsi, à la fin de 2015, un sondage cité dans le Financial Times du 31 décembre que 39 % des ménages russes ont des difficultés pour s’acheter en même temps des vêtements et de la nourriture.

Entre juillet et septembre 2020, le Produit intérieur brut a en effet diminué de façon bien moins importante que lors du deuxième trimestre, marqué par une dégringolade de 8,5% du PIB sur un an. L’estimation de Rosstat du troisième trimestre apparaît légèrement meilleure que celle du ministère de l’Économie, qui avait tablé sur une chute de 3,8% lors de cette période.

Fin octobre, la Banque de Russie a elle revu légèrement à la hausse ses prévisions d’évolution du PIB russe en 2020, estimée désormais à -4,5% annuel (contre une fourchette de -4,50 à -5,50% auparavant). Ces chutes au deuxième et troisième trimestres sont néanmoins brusques par rapport à la croissance du premier (+1,6%).

En 2019, l’économie s’était accélérée en fin d’année après un premier semestre morose, enregistrant une croissance atone de 1,3% pour l’année. L’année 2020 devait être celle de la reprise, le Kremlin ayant lancé des «projets nationaux» — des investissements d’envergure pour raviver l’économie. Mais la crise pétrolière qui a commencé en mars, puis le choc provoqué par l’épidémie de coronavirus ont douché ces espoirs. La Russie a en effet mis en place des mesures de confinement sévères dès fin mars, le mois d’avril ayant été complètement chômé, ainsi que le début du mois de mai.

 

Selon les statistiques officielles (contestées par d’autres sources), le taux de pauvreté s’élève à 14,3 % en 2019, un chiffre en augmentation par rapport à l’année précédente. Les études sociologiques indiquent que 12 % des citoyens russes n’ont pas les moyens de se payer une alimentation suffisante et que 25 % consacrent tous leurs revenus à ce poste de dépense, sans donc pouvoir s’acheter d’habits. Selon l’institut gouvernemental Rosstat, 35 % des foyers ne peuvent acheter à chaque membre de la famille une paire de chaussures par saison, 25 % ne peuvent pas recevoir d’invités faute de moyens, et 11 % ne peuvent acheter des médicaments vitaux. Selon l’institut indépendant Levada, les deux tiers des familles n’auraient aucune épargne, et 44 % d’entre elles auraient des dettes.

Année

Salaire moyen mensuel ($)18

Année

Salaire moyen mensuel ($)19

Année

Salaire moyen mensuel ($)20

1990

2000

+82.33

2010

+711

1991

2001

+115

2011

+797

1992

-23.96

2002

+139

2012

+802

1993

+140.67

2003

+179

2013

+931

1994

-66.85

2004

+234

2014

-847

1995

+130.38

2005

+297

2015

-558

1996

+181.38

2006

+404

2016

+600

1997

-176.58

2007

+529

1998

-80.22

2008

+658

1999

-73.69

2009

+691

En 2020, le salaire médian russe s’élève à 34 000 roubles soit 480€

La fondation de l’opposant Navalny , interpellé dimanche à Moscou, dénonce le luxe et les financements de cette extraordinaire propriété de 17.700 m², qui abrite entre autres un héliport, une patinoire pour le hockey, un casino et une aquadiscothèque.

Avant de quitter Berlin, dimanche, et d’être aussitôt interpellé à son arrivée à l’aéroport Cheremetyevo de Moscou, Alexeï Navalny avait réservé à Vladimir Poutine une petite surprise : une vidéo choc de près de deux heures dans laquelle l’opposant s’en prend aux ultimes tabous en Russie, la fortune du maître du Kremlin et les liens avec sa famille.

 

La vidéo mise en ligne mardi, alors que Navalny achevait sa première journée de détention à la prison moscovite de Matrosskaya Tichina (« Le silence du matelot »), a été visionnée par au moins 50 millions de personnes aujourd’hui essentiellement d’ailleurs des Russes.. La vaste enquête menée par l’équipe de Navalny – rassemblée au sein de sa Fondation contre la corruption (FBK)- tourne autour du « palais de Poutine », un véritable « château de Versailles » de 17 700 mètres carrés édifié près de Gelendjik, dans la région de Krasnodar, sur la côte de la Mer noire.

Ce projet pharaonique, entamé il y a quinze ans et pas encore achevé, aurait coûté 100 milliards .

Russie: Poutine, un des derniers dinosaures, dictateur, mafieux et criminel

Russie: Poutine, un des derniers dinosaures, dictateur, mafieux et criminel

Alors que L’économie russe traverse une très grave crise, on découvre que Poutine depuis une quinzaine d’années se fait construire un immense palais personnel–type Versailles- d’un coût de l’ordre de 100 milliards.La dimension mafieuse le dispute à l’autoritarisme et à la criminalité ( Mise en prison, atteinte aux libertés et plus brutalement empoisonnement des opposants. ( On se souvient que Sarkozy lui-même qui n’est pas un enfant de chœur n’en avait  pas mener bien large devant les menaces directes de Poutine).

Annoncée à la surprise générale en janvier, menée tambour battant et rapidement adoptée par le Parlement, la réforme constitutionnelle voulue par Vladimir Poutine, au pouvoir depuis 20 ans, a été validée avec près de 78% des suffrages par un scrutin organisé du 25 juin au 1er juillet. L’opposition a dénoncé un « énorme mensonge ». Un des points clefs du texte, rajouté en mars alors qu’il n’avait jamais été évoqué, est la remise à zéro des compteurs présidentiels. En 2024, date de la fin de l’actuel mandat, Vladimir Poutine pourra donc à nouveau être candidat à deux sextennats qui le feraient théoriquement rester au Kremlin jusqu’en 2036, année de ses 84 ans.

La crise économique de 2015 marque un coup d’arrêt dans la progression du niveau de vie des russes. Et depuis la Russie s’enfonce dans la dépression.  La forte inflation et les difficultés économiques globales ont fait plonger sur l’année le pouvoir d’achat de 10 % sur un an. Ainsi, à la fin de 2015, un sondage cité dans le Financial Times du 31 décembre que 39 % des ménages russes ont des difficultés pour s’acheter en même temps des vêtements et de la nourriture.

Entre juillet et septembre 2020, le Produit intérieur brut a en effet diminué de façon bien moins importante que lors du deuxième trimestre, marqué par une dégringolade de 8,5% du PIB sur un an. L’estimation de Rosstat du troisième trimestre apparaît légèrement meilleure que celle du ministère de l’Économie, qui avait tablé sur une chute de 3,8% lors de cette période.

Fin octobre, la Banque de Russie a elle revu légèrement à la hausse ses prévisions d’évolution du PIB russe en 2020, estimée désormais à -4,5% annuel (contre une fourchette de -4,50 à -5,50% auparavant). Ces chutes au deuxième et troisième trimestres sont néanmoins brusques par rapport à la croissance du premier (+1,6%).

En 2019, l’économie s’était accélérée en fin d’année après un premier semestre morose, enregistrant une croissance atone de 1,3% pour l’année. L’année 2020 devait être celle de la reprise, le Kremlin ayant lancé des «projets nationaux» — des investissements d’envergure pour raviver l’économie. Mais la crise pétrolière qui a commencé en mars, puis le choc provoqué par l’épidémie de coronavirus ont douché ces espoirs. La Russie a en effet mis en place des mesures de confinement sévères dès fin mars, le mois d’avril ayant été complètement chômé, ainsi que le début du mois de mai.

 

Selon les statistiques officielles (contestées par d’autres sources), le taux de pauvreté s’élève à 14,3 % en 2019, un chiffre en augmentation par rapport à l’année précédente. Les études sociologiques indiquent que 12 % des citoyens russes n’ont pas les moyens de se payer une alimentation suffisante et que 25 % consacrent tous leurs revenus à ce poste de dépense, sans donc pouvoir s’acheter d’habits. Selon l’institut gouvernemental Rosstat, 35 % des foyers ne peuvent acheter à chaque membre de la famille une paire de chaussures par saison, 25 % ne peuvent pas recevoir d’invités faute de moyens, et 11 % ne peuvent acheter des médicaments vitaux. Selon l’institut indépendant Levada, les deux tiers des familles n’auraient aucune épargne, et 44 % d’entre elles auraient des dettes.

Année

Salaire moyen mensuel ($)18

Année

Salaire moyen mensuel ($)19

Année

Salaire moyen mensuel ($)20

1990

 

2000

+82.33

2010

+711

1991

 

2001

+115

2011

+797

1992

-23.96

2002

+139

2012

+802

1993

+140.67

2003

+179

2013

+931

1994

-66.85

2004

+234

2014

-847

1995

+130.38

2005

+297

2015

-558

1996

+181.38

2006

+404

2016

+600

1997

-176.58

2007

+529

   

1998

-80.22

2008

+658

   

1999

-73.69

2009

+691

   

En 2020, le salaire médian russe s’élève à 34 000 roubles soit 480€

La fondation de l’opposant Navalny , interpellé dimanche à Moscou, dénonce le luxe et les financements de cette extraordinaire propriété de 17.700 m², qui abrite entre autres un héliport, une patinoire pour le hockey, un casino et une aquadiscothèque.

Avant de quitter Berlin, dimanche, et d’être aussitôt interpellé à son arrivée à l’aéroport Cheremetyevo de Moscou, Alexeï Navalny avait réservé à Vladimir Poutine une petite surprise : une vidéo choc de près de deux heures dans laquelle l’opposant s’en prend aux ultimes tabous en Russie, la fortune du maître du Kremlin et les liens avec sa famille.

 

La vidéo mise en ligne mardi, alors que Navalny achevait sa première journée de détention à la prison moscovite de Matrosskaya Tichina (« Le silence du matelot »), a été visionnée par au moins 50 millions de personnes aujourd’hui essentiellement d’ailleurs des Russes.. La vaste enquête menée par l’équipe de Navalny – rassemblée au sein de sa Fondation contre la corruption (FBK)- tourne autour du « palais de Poutine », un véritable « château de Versailles » de 17 700 mètres carrés édifié près de Gelendjik, dans la région de Krasnodar, sur la côte de la Mer noire.

Ce projet pharaonique, entamé il y a quinze ans et pas encore achevé, aurait coûté 100 milliards .

Une immunité à vie pour le dictateur le dictateur Poutine

Une immunité à vie  pour le dictateur le dictateur Poutine

Poutine a trouvé la martingale juridique pour se protéger. Après avoir exercé le pouvoir pendant une vingtaine d’années, il s’apprête avec une modification des institutions à gouverner encore pendant une vingtaine d’années. Avec souvent des procédés de voyous. Pour se couvrir ,Poutine vient de sortir une loi qui assure une immunité pour tous les présidents avant et pendant leur mandat. Bref la justice accommodée au régime totalitaire. Une initiative qui pourrait bien faire jurisprudence internationale pour tous les présidents fous qui gouvernent leur pays à coups de triques voire d’assassinats.

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol