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Pauvreté: Trump devra faire la manche

Pauvreté: Trump devra faire la manche

 

Condamné à presque 500 millions d’amendes par la justice pour fraude fiscale et financière, Donald Trump pourrait bien être contraint de faire la manche ou presque. Il envisage notamment de vendre des baskets ‘Trump ». On pourrait aussi imaginer finalement que soit organisée une grande collecte nationale pour éviter une situation de pauvreté au candidat républicain.

 

Les avocats de Trump ont expliqué que leur client avait contacté en vain plus de trente compagnies de prêts pour garantir cette somme, qui doit être versée à la fin du mois. «Pour une société telle que la Trump Organization, dont la plupart des actifs sont investis dans l’immobilier, l’obtention d’une garantie pour 454 millions de dollars est pratiquement impossible dans les circonstances actuelles, ont écrit ses avocats.

À moins évidemment qu’il vende une partie de son empire immobilier.

 

Pourquoi Macron devra partir ?

Pourquoi macron devra partir ?

Une récente étude montre que les trois quarts des Français sont très inquiets pour l’avenir du pays. Ils ont sans doute raison car l’entêtement de Marcon le pays droit dans le mur sur tous les plans sociaux, économiques et politiques..Dans les milieux bien « informés » ( en fait qui soutiennent le pouvoir), on affirme que la réforme des retraites est indispensable pour donner confiance aux marchés financiers et éviter une hausse des taux d’intérêt sur nos emprunts. En réalité, cette réforme risque de créer une telle instabilité politique qu’elle risque de provoquer aussi une crise économique et sociale qui sera encore plus préjudiciable à la crédibilité de la France pour les marchés financiers. On est donc en droit de s’interroger sur l’idéologie de Macron. Pour trouver l’origine assez confuse de l’idéologie de Macron, il faut notamment se tourner vers Machiavel et le théâtre. Machiavel qui fut l’un des sujets de sa thèse et le théâtre qui lui permit de passer de l’adolescence à la majorité. Pour le reste, son idéologie est une espèce de patchwork qui repose d’abord sur le renvoi d’ascenseur aux grands financiers, sur un ego démesuré et sur une vision très américaine de la société. Il devient urgent de chasser Macron qui devient le pire danger du pays.

L’imposture commence avec sa candidature à la présidence de la république où grâce avec l’appui des financiers, il a réussi à s’imposer et à neutraliser François Hollande et le PS

Certains objecteront qu’un autre responsable, assez apprécié celui-là, à savoir Georges Pompidou, est lui aussi venu directement d’une banque. Cependant, c’était le choix de De Gaulle. Macron, lui, est le choix des financiers et de leurs experts courtisans.

Évidemment un groupe de pressions, sorte de lobby, qui n’agit que dans la coulisse. Il n’a jamais été possible d’analyser les conditions de financement de la campagne de Macron, la justice a enterré la question.

L’autre soutien déterminant est celui des socialistes nombreux qui avaient l’impression que Macron pourraient les représenter. Là aussi une immense imposture entre les déclarations électorales de l’intéressé fondé sur des positions de gauche et une gestion désormais nettement orientée à droite.

L’imposture confuse a entraîné le pays vers un déclin catastrophique tente en politique intérieure qu’en politique étrangère. En matière de politique étrangère, on peut prendre deux exemples pour illustrer le flou de Macron.

D’abord ces conversations indécentes avec le dictateur Poutine. Ce qui nous a fâché avec la moitié de l’Europe mais aussi avec l’Ukraine. Puis son revirement à 180° en faveur de l’Ukraine. L’hubris est sa boussole. Macron se pensait pendant un moment comme le nouveau dirigeant du monde. Autre exemple assez lamentable celui de l’Afrique où la France est progressivement chassée par des dictatures du fait de l’insuffisance de volonté politique et de moyens militaires.

En politique intérieure, la France se dirige tout droit vers la catastrophe. Tout les grands équilibres financiers sont dans le rouge, les budgets et la dette n’ont jamais affiché de chiffres aussi inquiétants.

En dépit de cette politique budgétaire en pleine dérive, la situation des grandes fonctions régaliennes est particulièrement lamentables

D’abord sans doute la question de la sécurité qui se caractérise notamment par l’abandon des banlieues aux trafiquants de drogue. Une drogue qui touche maintenant toutes les couches de la société. Il y a longtemps que la justice et la police ont renoncé à prendre en charge réellement cette question. Tout juste quelques opérations spectaculaires de temps en temps.

Il y a évidemment aussi et peut-être surtout dans le domaine économique le massacre de la politique énergétique. La France qui pouvait s’enorgueillir de disposer de l’énergie électrique la moins chère du monde a fini par accepter de jeter dans le marché des centaines d’intermédiaires qui se sont engraissés au détriment d’EDF et du nucléaire. L’affaire de Nicolas Hulot illustre l’incompétence politique et la mauvaise foi du pouvoir qui a renié ses convictions pour quelques voix écolo.

Deux autres domaines touchent aussi à la catastrophe, celui du système sanitaire et l’école. Un système sanitaire certes performant mais à bout de souffle concernant les moyens. Quant à l’école on mesure son déclin au fait que la France est renvoyée dans le fond des classements internationaux concernant l’évaluation des élèves.

La dernière imposture récente est évidemment celle de la réforme des retraites avec cette folie d’écraser toutes les institutions intermédiaires: Parlement, syndicat et autres organisations. Cela pour leur substituer de pseudos conventions citoyennes bien choisies « au hasard » afin de mieux les manipuler. Ou encore pour leur substituer des comités plus ou moins bidon.

80 % des Français dénoncent globalement la politique économique et sociale d’un président qui n’est plus soutenu que par 30 % à peine de l’opinion.

Parmi les grandes faiblesses de la France, il faut aussi souligner l’extrême pauvreté de nos armées qui d’après les experts ne tiendraient qu’une quinzaine de jours tout au plus en Ukraine. Pour preuve, la France pas même capable de tenir ses positions en Afrique et qui soutient au compte-gouttes l’Ukraine. Et ce n’est pas le ridicule service national universel–de quelques jours–qui va changer la donne d’autant qu’on y parle même pas de défense.

Jusqu’à quand va durer cette imposture ? Personne ne le sait tant qu’une respiration démocratique redonnant la parole aux électeurs ne sera pas permise.

Le Parlement devra plier devant l’opinion (CFDT)

Le Parlement devra plier devant l’opinion (CFDT)

Le leader de la CFDT Laurent Berger n’a cessé d’attirer l’attention sur le caractère injuste et inefficace d’une réforme seulement paramétrique. Lui et son organisation étaient favorables à une véritable réforme universelle avec un régime unique plus juste et plus progressif.

Au-delà de la brutalité du gouvernement, la CFDT dénonce aussi la méthode Macron qui consiste à s’asseoir complètement sur les organisations et institutions intermédiaires pour imposer une sorte de volonté monarchique. Laurent Berger met aussi en garde le gouvernement sur les conséquences politiques de son entêtement. Le risque économique est également grand car le mouvement pourrait dévier dans des formes de révoltes corporatistes dures incluant aussi la jeunesse qui seraient alors difficilement maîtrisables.

«La population est très défavorable au projet, et cet avis tend à prendre de l’ampleur», affirme le leader du premier syndicat français, à trois jours d’une nouvelle journée de manifestations partout en France contre la réforme des retraites et le report de l’âge légal à 64 ans. Après les «mobilisations d’ampleur» du 19 janvier (1,12 million de participants selon la police, plus de 2 millions d’après les organisateurs), avec notamment «des gros cortèges dans des villes moyennes», le patron de la CFDT souligne que «l’opinion constitue un élément du rapport de force».

«Il faut que le gouvernement l’écoute, que le Parlement se préoccupe de ce qui se passe partout», ajoute-t-il, alors que le projet de loi sera examiné à l’Assemblée à partir de lundi. Ne pas tenir compte de ce contexte «serait une faute», prévient Laurent Berger, inquiet des conséquences «si le texte passait tel quel, sans aucune inflexion», au risque de générer du «ressentiment» et de favoriser l’extrême droite. «On n’a pas besoin de chaos démocratique», insiste-t-il.

Soucieux de «garder l’opinion» de son côté, il n’appuie pas la stratégie de blocage préconisée par d’autres organisations, jugeant que «le niveau d’efficacité syndicale ne se mesure pas au niveau d’emmerdements concrets pour les citoyens». Pas non plus favorable à une multiplication des journées d’action, car «de nombreux travailleurs ne peuvent pas tenir sur un rythme aussi intense», il estime qu’il «faut encore une ou deux démonstrations de force» pour que l’exécutif «prenne conscience du puissant rejet que son texte suscite».

Politique nucléaire : le pouvoir devra rendre des comptes

Politique nucléaire : le pouvoir devra rendre des comptes

Le véritable fiasco du nucléaire avec les positions invraisemblables de François Hollande et de Macron devrait faire l’objet d’une commission d’enquête d’après Olivier Marlex.

On se souvient en effet que ce sont bien macron et Hollande qui ont décidé de supprimer 14 réacteurs dont celui effectif de Fessenheim et de mettre entre parenthèses toute la filière nucléaire.

Du coup cette politique et incidents liés au Covid qui ont retardé l’entretien des centrales contraignent la France d’acheter de l’électricité à l’extérieur alors qu’elle était réellement exportatrice de cette énergie.

La question de la responsabilité devrait faire l’objet d’une enquête parlementaire. La commission des affaires économiques a en effet considéré le mercredi 5 octobre que les conditions de la création la création d’une commission d’enquête visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France étaient réunies. Il appartient donc désormais à la conférence des Présidents de prendre acte de la création de cette commission, ce qui devrait être fait le 11 octobre à l’Assemblée nationale.

L’Inde devra choisir son camp

L’Inde devra choisir son camp

 

Le « multi-alignement » indien, qui vise uniquement à défendre les intérêts du pays, ménage aussi bien Moscou que Washington. Mais ce subtil équilibre devient de plus en plus difficile à tenir, analyse Guillaume Lagane, maître de conférences à Sciences Po Paris, dans une tribune au « Monde ».

 

Invité comme membre (depuis 2017) de l’Organisation de coopération de Shanghaï (OCS) au sommet de Samarcande (Ouzbékistan), les 15 et 16 septembre, le premier ministre indien, Narendra Modi, a indiqué à Vladimir Poutine que « l’heure [n’était] pas à la guerre » sans pour autant condamner l’invasion russe de l’Ukraine. Cette position de neutralité, accompagnée d’une abstention à l’ONU lors du vote de l’Assemblée générale condamnant la Russie, s’explique par la longue tradition locale de non-alignement comme par la proximité de Moscou et de New Delhi, mais elle pourrait se révéler dommageable sur le long terme pour la puissance indienne.

Le choix du non-alignement a été fait par Nehru peu après l’indépendance de l’Inde, en 1947. Nourri par l’anticolonialisme et la pensée gandhienne de non-violence, il impliquait le refus d’entrer dans les alliances que les Etats-Unis multipliaient alors contre l’URSS, mais pas celui de forger des liens privilégiés avec d’autres Etats anti-impérialistes, comme l’a montré la conférence de Bandung (Indonésie) en 1955 à laquelle New Delhi participe aux côtés de l’Indonésie ou de l’Egypte. A une époque de décolonisation, cette critique de l’Occident rapproche déjà les non-alignés du bloc de l’Est. La fin de l’URSS ne met pas fin à cette relation spéciale : l’Inde achète toujours la moitié de ses armes à la Russie actuelle.

Le déclenchement de la guerre en Ukraine n’a pas modifié ces priorités indiennes. Narendra Modi est soucieux de maintenir ses capacités de défense : il a conservé un lien privilégié avec Moscou, l’armée indienne participant, dans l’Extrême-Orient russe, aux manœuvres Vostok 2022. L’économie indienne veut profiter des ressources énergétiques russes : en 2022, la Russie a remplacé l’Arabie saoudite comme premier fournisseur du pays. Les achats d’engrais russes ont été multipliés par huit. Ce choix de neutralité s’inscrit, en outre, dans une diplomatie purement réaliste, cherchant uniquement à défendre les intérêts indiens et théorisée, sous le nom de « multi-alignement », par le ministre des affaires étrangères Subrahmanyam Jaishankar.

Ce choix peut, bien sûr, se défendre au regard du poids de l’Inde, qui n’a jamais été aussi grand. Narendra Modi peut légitimement penser qu’aucun pays occidental ne voudra se fâcher avec ce qui sera l’une des superpuissances du XXIe siècle. La population indienne est en passe de devenir la première du monde, dépassant la Chine par son dynamisme : en 2021, 24 millions de bébés indiens sont nés. En trois ans, naissent presque autant d’Indiens qu’il existe de Français. En 2022, le PIB de l’Inde a dépassé celui de l’ancien colonisateur britannique, faisant du pays la cinquième économie mondiale. Enfin, l’armée indienne (1,3 million de soldats) est jugée, par Washington, indispensable à l’équilibre des forces en Asie face à la Chine.

Affaire Tapie : il devra rembourser : mais quand ?

Affaire Tapie : il  devra rembourser : mais quand ?

 

Sans doute un peu bousculée par les réactions négatives  suscitées par la verdict surprise du verdict concernant l’affaire Tapie, la ministre de la Justice Nicole Belloubet a confirmé mercredi 10 juillet que tout sera mis en œuvre pour récupérer les millions d’euros dus par l’homme d’affaires. Le problème est de savoir quand. En effet sur le plan civil, Tapie  a été condamné à rembourser les 400 millions obtenus frauduleusement. Mais depuis cette date, il n’a cessé de multiplier les procédures pour retarder l’échéance. Il faut dire aussi que les pouvoirs publics n’ont pas manifesté un grand dynamisme pour obtenir ce remboursement.  Complices, certains tribunaux de commerce ou même estimé que ce remboursement n’était pas possible sans mettre en péril l’existence d’entreprises que possède Tapie ! Notons cependant que Tapie possède une solide fortune personnelle évaluée autour de 200 millions en plus de ces entreprises. Les obstacles procéduriers retenus par les tribunaux de commerce concernant les sociétés de Tapie ne sauraient pour autant faire obstacle à la récupération de l’autre partie de la fortune personnelle de l’intéressé. Sans doute comme dans toutes les affaires politico financières, les bénéficiaires, les complices et les intermédiaires comptent sur le temps pour enterrer le dossier. Cela d’autant plus que nombre de représentants de l’État et de politiques sont aussi mouillés dans cette affaire. Le fait que la ministre de la justice indique que l’État ne fera pas appel de la décision en correctionnelle témoigne évidemment de la complicité des pouvoirs publics qui souhaitent entendre parler le moins possible de ce dossier judiciaire pourri. On peut s’interroger quand la ministre de la justice déclare “L’État se mettra en position de récupérer ce qui lui est dû. L’affaire étant terminée, l’État mettra en œuvre les moyens”, a déclaré la Garde des Sceaux sur France 2 !

Bernard Tapie devra rembourser : mais quand ?

Bernard Tapie devra rembourser : mais quand ?

 

Sans doute un peu bousculée par les réactions négatives  suscitées par la verdict surprise du verdict concernant l’affaire Tapie, la ministre de la Justice Nicole Belloubet a confirmé mercredi 10 juillet que tout sera mis en œuvre pour récupérer les millions d’euros dus par l’homme d’affaires. Le problème est de savoir quand. En effet sur le plan civil, Tapie  a été condamné à rembourser les 400 millions obtenus frauduleusement. Mais depuis cette date, il n’a cessé de multiplier les procédures pour retarder l’échéance. Il faut dire aussi que les pouvoirs publics n’ont pas manifesté un grand dynamisme pour obtenir ce remboursement.  Complices, certains tribunaux de commerce ou même estimé que ce remboursement n’était pas possible sans mettre en péril l’existence d’entreprises que possède Tapie ! Notons cependant que Tapie possède une solide fortune personnelle évaluée autour de 200 millions en plus de ces entreprises. Les obstacles procéduriers retenus par les tribunaux de commerce concernant les sociétés de Tapie ne sauraient pour autant faire obstacle à la récupération de l’autre partie de la fortune personnelle de l’intéressé. Sans doute comme dans toutes les affaires politico financières, les bénéficiaires, les complices et les intermédiaires comptent sur le temps pour enterrer le dossier. Cela d’autant plus que nombre de représentants de l’État et de politiques sont aussi mouillés dans cette affaire. Le fait que la ministre de la justice indique que l’État ne fera pas appel de la décision en correctionnelle témoigne évidemment de la complicité des pouvoirs publics qui souhaitent entendre parler le moins possible de ce dossier judiciaire pourri. On peut s’interroger quand la ministre de la justice déclare “L’État se mettra en position de récupérer ce qui lui est dû. L’affaire étant terminée, l’État mettra en œuvre les moyens”, a déclaré la Garde des Sceaux sur France 2.

 

 

Macron devra se séparer et des élus douteux et des vieux crocodiles de la politique

Macron devra se séparer et des élus douteux et des vieux crocodiles de la politique

Après l’affaire Ferrand, et la nouvelle affaire concernant le MoDem de François Bayrou il sera sans doute nécessaire que Macron fasse rapidement le ménage chez les vieux crocodiles de la politique qui lui ont apporté son soutien. On comprend qu’il ne puisse le faire immédiatement car nous sommes en pleine campagne électorale. Cependant,  il devra le faire prochainement afin d’éviter que la gangrène politique garde ne gagne le mouvement « en marche ». Macon s’il veut être crédible doit se débarrasser des vieilles combines des anciens partis,  des vieux politicards et des élus douteux. Il ne manque sans doute pas de nouveaux élus de talent honnêtes pour les remplacer Pour l’instant ces affaires n’affectent pas l’audience de Macron et de ses candidats toutefois les difficiles réalités du pouvoir vont contraindre le nouveau président à mettre en œuvre concrètement les principes théoriques qu’il défend. En attendant le  parquet de Paris a ouvert vendredi une enquête préliminaire afin de faire la lumière sur les soupçons d’emplois fictifs du MoDem au Parlement européen, potentiellement nocifs pour le gouvernement à deux jours du premier tour des législatives. Cette enquête pour abus de confiance et recel a été lancée à la suite, notamment, du signalement mercredi d’un ex-salarié du parti centriste, qui dit avoir été en partie payé en 2010-2011 par des fonds normalement alloués au travail parlementaire, précise le parquet dans un communiqué. Ces soupçons visent une formation alliée au chef de l’Etat, Emmanuel Macron, et représentée au gouvernement par François Bayrou (Justice) et Marielle de Sarnez (Affaires européennes). Un troisième ministre, Sylvie Goulard (Défense), avait été élu au Parlement européen sous la bannière du MoDem en 2009 et réélue sous l’étiquette UDI-MoDem en 2014. Le Premier ministre, Edouard Philippe, a estimé sur Europe 1 que la position de François Bayrou, qui s’est érigé en avocat de la moralisation de la vie politique et prépare une loi en ce sens, n’était pas « fragilisée ». Le MoDem s’est pour sa part défendu en affirmant dans un communiqué publié jeudi avoir « respecté toutes les règles et toutes les obligations d’un employeur ». Son porte-parole, Yann Wehrling, qui accuse un membre de l’équipe municipale de Paris d’être l’auteur du signalement de mercredi au Parquet de Paris, y voit pour sa part une manoeuvre « cousue de fil blanc », au moment où des candidats du MoDem aux législatives « menacent des députés sortants socialistes ». L’affaire a démarré par une dénonciation, en mars, de Sophie Montel, eurodéputée du Front national, parti lui-même soupçonné d’avoir mis sur pied un système de rémunération frauduleuse de ses salariés avec de l’argent du Parlement européen.

Macron devra se séparer des vieux crocodiles de la politique

Macron devra se séparer des vieux crocodiles de la politique

Publié le 10 juin, 2017

Après l’affaire Ferrand, et la nouvelle affaire concernant le MoDem de François Bayrou il sera sans doute nécessaire que Macron fasse rapidement le ménage chez les vieux crocodiles de la politique qui lui ont apporté son soutien. On comprend qu’il ne puisse le faire immédiatement car nous sommes en pleine campagne électorale. Cependant,  il devra le faire prochainement afin d’éviter que la gangrène politique garde ne gagne le mouvement « en marche ». Macon s’il veut être crédible doit se débarrasser des vieilles combines des anciens partis et des vieux politicards. Il ne manque sans doute pas de nouveaux élus de talent pour les remplacer Pour l’instant ces affaires n’affectent pas l’audience de Macron et de ses candidats toutefois les difficiles réalités du pouvoir vont contraindre le nouveau président à mettre en œuvre concrètement les principes théoriques qu’il défend. En attendant le  parquet de Paris a ouvert vendredi une enquête préliminaire afin de faire la lumière sur les soupçons d’emplois fictifs du MoDem au Parlement européen, potentiellement nocifs pour le gouvernement à deux jours du premier tour des législatives. Cette enquête pour abus de confiance et recel a été lancée à la suite, notamment, du signalement mercredi d’un ex-salarié du parti centriste, qui dit avoir été en partie payé en 2010-2011 par des fonds normalement alloués au travail parlementaire, précise le parquet dans un communiqué. Ces soupçons visent une formation alliée au chef de l’Etat, Emmanuel Macron, et représentée au gouvernement par François Bayrou (Justice) et Marielle de Sarnez (Affaires européennes). Un troisième ministre, Sylvie Goulard (Défense), avait été élue au Parlement européen sous la bannière du MoDem en 2009 et réélue sous l’étiquette UDI-MoDem en 2014. Le Premier ministre, Edouard Philippe, a estimé sur Europe 1 que la position de François Bayrou, qui s’est érigé en avocat de la moralisation de la vie politique et prépare une loi en ce sens, n’était pas « fragilisée ». Le MoDem s’est pour sa part défendu en affirmant dans un communiqué publié jeudi avoir « respecté toutes les règles et toutes les obligations d’un employeur ». Son porte-parole, Yann Wehrling, qui accuse un membre de l’équipe municipale de Paris d’être l’auteur du signalement de mercredi au Parquet de Paris, y voit pour sa part une manoeuvre « cousue de fil blanc », au moment où des candidats du MoDem aux législatives « menacent des députés sortants socialistes ». L’affaire a démarré par une dénonciation, en mars, de Sophie Montel, eurodéputée du Front national, parti lui-même soupçonné d’avoir mis sur pied un système de rémunération frauduleuse de ses salariés avec de l’argent du Parlement européen.

Macron devra se séparer des vieux crocodiles de la politique

Macron devra se séparer des vieux crocodiles de la politique

Après l’affaire Ferrand, et la nouvelle affaire concernant le MoDem de François Bayrou il sera sans doute nécessaire que Macron fasse rapidement le ménage chez les vieux crocodiles de la politique qui lui ont apporté son soutien. On comprend qu’il ne puisse le faire immédiatement car nous sommes en pleine campagne électorale. Cependant,  il devra le faire prochainement afin d’éviter que la gangrène politique garde ne gagne le mouvement « en marche ». Macon s’il veut être crédible doit se débarrasser des vieilles combines des anciens partis et des vieux politicards. Il ne manque sans doute pas de nouveaux élus de talent pour les remplacer Pour l’instant ces affaires n’affectent pas l’audience de Macron et de ses candidats toutefois les difficiles réalités du pouvoir vont contraindre le nouveau président à mettre en œuvre concrètement les principes théoriques qu’il défend. En attendant le  parquet de Paris a ouvert vendredi une enquête préliminaire afin de faire la lumière sur les soupçons d’emplois fictifs du MoDem au Parlement européen, potentiellement nocifs pour le gouvernement à deux jours du premier tour des législatives. Cette enquête pour abus de confiance et recel a été lancée à la suite, notamment, du signalement mercredi d’un ex-salarié du parti centriste, qui dit avoir été en partie payé en 2010-2011 par des fonds normalement alloués au travail parlementaire, précise le parquet dans un communiqué. Ces soupçons visent une formation alliée au chef de l’Etat, Emmanuel Macron, et représentée au gouvernement par François Bayrou (Justice) et Marielle de Sarnez (Affaires européennes). Un troisième ministre, Sylvie Goulard (Défense), avait été élue au Parlement européen sous la bannière du MoDem en 2009 et réélue sous l’étiquette UDI-MoDem en 2014. Le Premier ministre, Edouard Philippe, a estimé sur Europe 1 que la position de François Bayrou, qui s’est érigé en avocat de la moralisation de la vie politique et prépare une loi en ce sens, n’était pas « fragilisée ». Le MoDem s’est pour sa part défendu en affirmant dans un communiqué publié jeudi avoir « respecté toutes les règles et toutes les obligations d’un employeur ». Son porte-parole, Yann Wehrling, qui accuse un membre de l’équipe municipale de Paris d’être l’auteur du signalement de mercredi au Parquet de Paris, y voit pour sa part une manoeuvre « cousue de fil blanc », au moment où des candidats du MoDem aux législatives « menacent des députés sortants socialistes ». L’affaire a démarré par une dénonciation, en mars, de Sophie Montel, eurodéputée du Front national, parti lui-même soupçonné d’avoir mis sur pied un système de rémunération frauduleuse de ses salariés avec de l’argent du Parlement européen.

Air France-KLM: La compagnie « Boost » devra se faire

Air France-KLM: La compagnie « Boost » devra se faire

 

 

Le syndicat corpo des pilotes d’Air France, le SNPL, aurait sans doute bien te de continuer à s’opposer à la création de la compagnie Boost. Compagnie dont le principe a reçu l’approbation du personnel par référendum contre l’avis dudit syndicat. Le patron d’Air France a clairement déclaré que cette compagnie sera créée. Si l’opposition du syndicat des pilotes devait continuer, il n’est pas exclu que la nouvelle compagnie puisse être créée sous pavillon étranger, par exemple  près de KLM. Air France espère donc  lancer l’hiver prochain « Boost », compagnie aux coûts réduits de 15% à 18% dotée de 28 avions, afin de sauvegarder des lignes lourdement déficitaires, mais doit d’abord obtenir l’aval de ses pilotes. La croissance de KLM, plus forte que celle d’Air France ces dernières années, a déséquilibré l’accord passé entre les deux compagnies lors de leur fusion en 2004 pour répartir les heures de vol de leurs pilotes respectifs en fonction du poids de chacune, a-t-il estimé. « L’objectif de ‘Boost’ est de donner les moyens à Air France de croître plus (…) et absolument pas de gêner, de ralentir ou de freiner la croissance de KLM », a martelé Jean-Marc Janaillac lors de l’assemblée générale des actionnaires d’Air France-KLM, démentant une information du quotidien néerlandais De Telegraaf. Jean-Marc Janaillac, qui a également pris la présidence d’Air France, a déclaré que seule « Boost » permettrait de respecter l’équilibre entre les deux compagnies soeurs. « ‘Boost’ devra se faire d’une manière ou d’une autre », a-t-il dit à la veille du conseil du Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), majoritaire chez Air France et très critique à l’égard du projet.

Sapin devra rembourser l’indemnité qu’il s’était accordé

Sapin devra rembourser l’indemnité qu’il s’était accordé

Le tribunal administratif de Limoges a enjoint la commune d’Argenton-sur-Creuse (Indre) de réclamer les 80.000 à 100.000 euros touchés par l’ensemble de l’ancienne équipe municipale dirigée par le ministre de l’Économie et des Finances. Durant son mandat entre 2009 et 2012, Michel Sapin a bénéficié d’une majoration de 25% de l’indemnité municipale qui était attribuée à tous les élus. Cette hausse s’appuyait sur des dispositions prévues au titre des villes dites « touristiques ». Seulement, l’opposition a découvert en 2014 que ce statut n’avait pas été confirmé par un arrêté préfectoral pour Argenton-sur-Creuse. Michel Sapin, tout en reconnaissant avoir commis « une erreur purement administrative et involontaire » se défend toutefois d’avoir vidé les caisses de la municipalité : « Les décisions prises à l’époque (…) fixaient le montant des indemnités dues aux élus à un niveau inférieur à celui qu’autorisaient alors les textes et ainsi aucun préjudice réel n’a été subi par la commune d’Argenton-sur-Creuse ». Le ministre ajoute par ailleurs que la décision du tribunal administratif ne le cite pas expressément et ne le condamne pas directement « à rembourser quelque somme que ce soit ». Le nouveau maire de la commune de 5.300 habitants, Vincent Millan, après avoir reconnu une erreur, avait fait adopter par la majorité municipale une délibération renonçant au recouvrement de ces sommes indues. Mais c’est cette délibération que l’opposition, par son chef de file Ludovic Livernette, avait attaquée devant le tribunal de Limoges. Ainsi, les juges ont prononcé l’annulation pure et simple de cette délibération. Il appartient désormais « à la commune d’Argenton, et à elle seule, d’apprécier s’il convient, comme elle en a le droit, de faire appel de cette décision », a souligné Michel Sapin, assurant que les élus de l’époque, dont lui-même, respecteraient « scrupuleusement les décisions de la justice administrative ».

Brexit : la Grande-Bretagne devra payer cher (Macron)

Brexit : la Grande Bretagne devra payer cher (Macron)

 

En cas de Brexit le Royaume-Uni devra payer cher, très cher même s’il souhaite un traité commercial d’accès aux marchés européens indique clairement Macron. Le ministre de l’économie de ce point de vue rejoint l’avis du ministre des finances allemand qui lui aussi avait prévenu qu’on ne pouvait quitter l’union européenne et obtenir en même temps les avantages des membres. D’une certaine façon ces  différentes prises de position témoignent d’un certain agacement à l’égard des ambiguïtés permanentes de la Grande-Bretagne à l’égard de l’union économique. De ce point de vue le Royaume-Uni à toujours entretenu une position très ambiguë avec une philosophie : un pied dedans, un pied dehors ». Une philosophie qui d’ailleurs lui a réussi puisqu’elle a toujours obtenu des contreparties politiques et financières outrancières par rapport aux autres membres de l’union économique. D’un certain point de vue les revendications nationalistes de la Grande-Bretagne ont aussi nourri la montée des nationalismes ailleurs. Pas étonnant si les parties d’extrême-droites partout en Europe se réjouissent d’un éventuel Brexit. La facture risque en effet d’être lourde pour le Royaume-Uni qui pourrait voir sa croissance déjà en nette tassements faiblir encore avec aussi des risques très sérieux sur la valeur de la livre. À cet égard les incertitudes relatives à l’économie britannique vont se perpétuer pendant plusieurs années, c’est-à-dire le temps nécessaire à la négociation d’un nouveau traité commercial. Or les marchés financiers détestent les incertitudes La Grande-Bretagne devra être sommée de clarifier au plus vite ses intentions en cas de victoire des partisans du Brexit au référendum de jeudi, notamment si elle souhaite conserver un accès au marché européen, ce qui l’obligerait à continuer de contribuer au budget de l’UE, avertit donc Emmanuel Macron. « On est dedans ou dehors », déclare le ministre français de l’Economie dans une interview publiée dans Le Monde du week-end, « On ne peut pas, dans l’intérêt de l’UE, laisser quelque ambiguïté planer et trop de temps s’écouler ». Pour cela, il estime que le Conseil européen du 28 juin devra « lancer un ultimatum » à Londres pour lui demander de clarifier ses intentions, ajoutant : « Le président de la République sera très clair à cet égard ». »Si le Royaume-Uni veut un traité commercial d’accès au marché européen, les Britanniques devront contribuer au budget européen comme les Norvégiens ou les Suisses. Si Londres ne le souhaite pas, ce doit être une sortie totale », dit-il. Emmanuel Macron souligne notamment que, « le jour après la sortie, il n’y aura plus de passeport financier pour les établissements britanniques », leur permettant de proposer librement leurs produits dans l’Union. Emmanuel Macron estime cependant qu’il faut redonner un dynamisme alors « retrouver une ambition pour l’UE tout entière sur les sujets de défense et de sécurité, de transition énergétique et de numérique car l’Europe est le meilleur moyen de répondre à ces grands défis. » « Et puis il faut avoir un projet de plus forte intégration qui permet une véritable convergence à quelques-uns au sein de la zone euro (…) Le socle doit être Paris et Berlin, Rome certainement aussi. Les instruments, ce sont un budget de la zone euro, un commissaire et un Parlement de la zone euro. » « Aujourd’hui, nous sommes bloqués par deux tabous : un tabou français, qui est le transfert de souveraineté, et un tabou allemand, celui des transferts financiers ou de solidarité. On ne peut pas avancer sans les faire sauter ».

(Avec Reuters)

Justice : Tapie devra rembourser 404 millions d’euros

Justice : Tapie devra rembourser 404 millions d’euros

 

Tapie a été  été condamnés jeudi à rembourser les 404 millions d’euros perçus en vertu de l’arbitrage qui a soldé en 2008 leur litige avec le Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas, a annoncé la cour d’appel de Paris.  Ils devront également rembourser les coûts de la procédure d’arbitrage, et payer 300.000 euros au titre des frais de justice, précise la cour dans son arrêt dont Reuters a eu copie. Plus de vingt ans après les faits, la cour d’appel de Paris a rejugé le fond de l’affaire après avoir annulé le 17 février dernier la sentence arbitrale, désormais soupçonnée d’avoir été une escroquerie. , »La cour condamne les demandeurs à restituer l’intégralité des sommes qui leur avaient été octroyées par la sentence rétractée », peut-on lire dans un communiqué de la cour. « Elle rejette les demandes des époux Tapie, des sociétés de leur groupe et des liquidateurs, sauf celle présentée au titre du préjudice moral pour laquelle est alloué l’euro symbolique de dommages-intérêts », ajoute ce texte. Le ministre des Finances Michel Sapin, qui avait salué l’annulation de l’arbitrage en début d’année, a dit voir dans cette nouvelle décision la preuve « que l’Etat avait raison de considérer que le recours à l’arbitrage n’était pas la bonne manière de défendre les intérêts de l’Etat ». La décision de recourir à l’arbitrage avait été prise pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy. L’avocat de Bernard Tapie, Me Emmanuel Gaillard, avait demandé le 29 septembre dernier entre 516 millions et 1,174 milliard d’euros de réparation au titre du préjudice matériel, et 50 millions d’euros pour le préjudice moral.

Volkswagen devra rembourser l’Etat français

Volkswagen devra rembourser l’Etat français

Le gouvernement a annoncé qu’il comptait demander à Volkswagen de rembourser les aides publiques versées pour l’achat de véhicules présentés comme propres… mais qui ne l’étaient pas. «Lorsque l’achat de véhicules soi-disant propres a donné lieu à des versements d’aides publiques, ces aides publiques devront être remboursées», a déclaré hier Ségolène Royal à BFMTV, après le Conseil des ministres.  La ministre a précisé que ses services étaient «en train d’évaluer» le montant de ces aides, précisant néanmoins que les bonus écologiques «n’ont pas forcément porté sur tous» les véhicules truqués, «cela dépend des années d’achat».. La semaine dernière, la ministre avait dénoncé «une forme de vol du contribuable et de l’État» après la révélation de la fraude du constructeur automobile. Et cela pourrait coûter cher au géant allemand. Près d’un million de véhicules sont concernés en France. «On présentera la facture à Volkswagen», a assuré la ministre de l’Écologie. De son côté, Stéphane Le Foll a confirmé qu’il s’agissait de faire rembourser ces aides par Volkswagen, et non par les acheteurs trompés. Les aides atteignent globalement 1.000 euros en moyenne par véhicule, a ajouté le porte-parole du gouvernement, sans pour l’instant connaitre le nombre de voitures Volkswagen qui en avaient bénéficié.  La France n’est pas le premier pays à demander réparation. Le ministère de l’Industrie espagnol a indiqué mardi que Volkswagen avait accepté de restituer les primes versées par l’État. En Australie, le régulateur a indiqué que le géant allemand pourrait se voir infliger jusqu’à 1,1 million de dollars australiens d’amende, soit 687 000 euros, pour chaque moteur truqué.  Volkswagen doit donc se préparer aux répercussions économiques importantes de la révélation du scandale. L’entreprise a imposé un gel des embauches dans sa division financière et a supprimé une équipe dans l’une de ses usines de moteurs. Son image aussi va souffrir. D’après un sondage Odoxa pour Le Parisien-Aujourd’hui en France et France Info, huit Français sur dix jugent l’affaire «grave». 79% des sondés estiment que l’affaire détériore l’image qu’ils avaient de Volkswagen, et 65% considèrent qu’elle pourrait avoir un impact dans le choix de leur prochain achat de voiture. Même en Allemagne, pays du constructeur, les remarques sont acides

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