Archive pour le Tag 'devenus'

Déficits publics publiques : des budgets devenus incontrôlables

Déficits publics publiques : des budgets devenus incontrôlables

Il ne faut guère espérer de changements significatifs dans la structure et le niveau des dépenses publiques en France tellement ces dépenses sont devenus incontrôlables. En réalité on reprend les chiffres de l’année précédente qu’on modifie à la marge, le plus souvent à la hausse, en fonction des demandes des élus,  politiques, de la conjoncture et surtout de la pression des organismes administratifs eux-mêmes.

 

Cela vaut pour l’État, ses satellites mais aussi pour les collectivités locales. La complexité des procédures administratives ajoutées et l’absence de contrôle de gestion créent en fait un budget que personne ne contrôle plus depuis longtemps. D’autant que si on évalue un peu mieux l’incidence de nouvelles dispositions législatives ou réglementaires, on garde à peu près le solde des dispositions antérieures c’est-à-dire plus de 10 000 lois et 100 000 décrets sans parler d’autres documents types circulaires.

Le pays a ainsi créé des hordes d’institutions, de services, d’étagères administratives qui à elles seules absorbent en fonctionnement davantage que les recettes fiscales et nous prive par ailleurs des investissements nécessaires dans les champs régaliens prioritaires. Du coup, la France cumule deux particularités contradictoires d’une part le pays qui affiche le plus haut taux de prélèvement obligatoire (le plus d’impôts) et en même temps le plus de déficit et de dette.

Chaque année par exemple on crée globalement toujours davantage de postes de fonctionnaires surtout dans les collectivités locales ou par exemple des hordes de jardiniers et de services  pour ne citer qu’eux qui  répandent en particulier dans les nouvelles collectivités intercommunales.

Pour remettre en cause le niveau et la structure des dépenses, il faudrait mettre en place un audit approfondi et détaillé de chaque poste ensuite mettre en place un vrai contrôle de gestion ; ce qui nous éviterait de découvrir en quelques jours que le déficit par exemple du budget de l’État a brusquement dépassés les 6 % du PIB !

Dépenses publiques : des budgets devenus incontrôlables

Dépenses publiques : des budgets devenus incontrôlables

Il ne faut guère espérer de changements significatifs dans la structure et le niveau des dépenses publiques en France tellement ces dépenses sont devenus incontrôlables. En réalité on reprend les chiffres de l’année précédente qu’on modifie à la marge le plus souvent à la hausse en fonction des demandes des élus,  politiques, de la conjoncture et surtout de la pression des organismes administratifs eux-mêmes.

 

Cela vaut pour l’État, ses satellites mais aussi pour les collectivités locales. La complexité des procédures administratives ajoutées et l’absence de contrôle de gestion créent en fait un budget que personne ne contrôle plus depuis longtemps. D’autant que si on évalue un peu mieux l’incidence de nouvelles dispositions législatives ou réglementaires, on garde à peu près le solde des dispositions antérieures c’est-à-dire plus de 10 000 lois et 100 000 décrets sans parler d’autres documents types circulaires.

Le pays a ainsi créé des hordes d’institutions, de services, d’étagères administratives qui à elles seules absorbent en fonctionnement davantage que les recettes fiscales et nous prive par ailleurs des investissements nécessaires dans les champs régaliens prioritaires. Du coup, la France cumule deux particularités contradictoires d’une part le pays qui affiche le plus haut taux de prélèvement obligatoire (le plus d’impôts) et en même temps le plus de déficit et de dette.

Chaque année par exemple on crée globalement toujours davantage de postes de fonctionnaires surtout dans les collectivités locales ou par exemple des hordes de jardiniers et de services  pour ne citer qu’eux qui  répandent en particulier dans les nouvelles collectivités intercommunales.

Pour remettre en cause le niveau et la structure des dépenses, il faudrait mettre en place un audit approfondi et détaillé de chaque poste ensuite mettre en place un vrai contrôle de gestion ; ce qui nous éviterait de découvrir en quelques jours que le déficit par exemple du budget de l’État a brusquement dépassés les 6 % du PIB !

Coronavirus Japon et Suède : les anciens modèles devenus mauvais élèves

Coronavirus Japon et Suède : les anciens modèles devenus mauvais élèves

 

Le Japon comme la Suède ont souvent été cité comme des modèles d’efficacité et de liberté par rapport à la crise sanitaire. C’était effectivement le cas lors de la première vague. Malheureusement la tendance s’est complètement inversée dans ces deux pays lors de la seconde vague et à l’amorce de la troisième.la Suède et le Japon  ont opté pour une approche différente de celle de leurs voisins, et ont attribué leur succès initial aux avantages présumés de leurs spécificités nationales. Les deux pays semblent aujourd’hui payer le prix de cette stratégie.

Ces deux gouvernements ont préféré se baser sur le volontariat, la responsabilité individuelle et, surtout, le caractère exceptionnel de leurs citoyens.

 

La Suède n’a ainsi pas ordonné la fermeture de ses bars, restaurants et salles de sport durant la pandémie, pas plus qu’elle n’a imposé le port du masque dans les espaces publics. À l’instar de la Suède, le Japon a choisi l’option sans confinement et refusé d’imposer des restrictions strictes, même si le pays a fermé ses frontières il y a quelques mois. Le problème aujourd’hui c’est que les deux pays sont affrontés à une flambée de contamination qui contredit totalement leur politique sanitaire précédente.

 

«Covid, les couillons qui brassent de l’air sont devenus des ventilateurs…» (Geluck)

«Covid, les couillons qui brassent de l’air sont devenus des ventilateurs…» (Geluck)

La formule est du dessinateur humoristique Philippe Geluck, elle résume bien les contradictions du débat pseudo scientifique sur le Covid 19  tant de la part des journalistes que de la part de certains experts. Des experts qui n’ont sans doute pas grand-chose à dire mais qui entraînés par la logique médiatique se saoulent de leurs propos approximatifs. Les médias raffolent évidemment de c es déclarations incongrues certes contradictoires mais  qui permettent de nourrir toutes les sensibilités de l’opinion qui les suit.

 

Faut-il rappeler que nombre de ces experts ont rejoint l’avis des responsables politiques au départ de la crise pour rappeler que le masque était inutile voire dangereux. La cour de justice de la république s’appuie en particulier sur cette contrevérité pour engager une enquête préliminaire sur la responsabilité de plusieurs membres du gouvernement dans cette affaire.

 

Évidemment par la suite ces experts changé de position. Même chose aussi concernant les tests jugés utiles par certains, inutiles par d’autres. Sans parler évidemment de la polémique concernant les différents traitements. Une polémique indigne quand on sait que beaucoup d’experts sont aussi rémunérés par des laboratoires pharmaceutiques dont ils vantent les produits. En cause notamment , le Remdesevir, produit-phare d’un labo américain Gilead dont le l’OMS aujourd’hui reconnaît qu’il ne sert à rien et qui n’est même plus remboursé par la sécurité sociale.

Un produit-phare très coûteux d de plus de 1000 € opposé à un autre traitement critiqué,  la chloroquine, un produit lui qui ne coûte que quelques euros. Rien de sérieux n’a été produit contre la chloroquine. Inversement la preuve n’a pas encore été fait de son efficacité.

 

Les journalistes, personnalités en vue dans les médias ne se sont pas privées d’alimenter un débat pseudo scientifique mélangeant quelques vérités partielles à des états d’âme personnels sur la santé et plus généralement sur la société. Sans parler de la collusion de certains médias avec de grands labos qui financent leur  publicité ou encore de la complicité avec le pouvoir.

 

La vérité sans doute et c’est toute la difficulté d’un débat pertinent sur le sujet,  c’est que malheureusement la sphère scientifique ignore beaucoup de choses sur le Coronavirus et qu’elle commet une grave faute éthique en voulant voiler son ignorance par des bavardages de bistrot. Mais l’objectif pour certains de ces experts est surtout de profiter du contexte pour se faire connaître et satisfaire ainsi leur carrière et leur ego.

Hollande : « les impôts devenus trop lourds», une belle découverte !

Hollande : « les impôts devenus trop lourds», une belle découverte !

 

La veille même de l’entrée en vigueur du nouveau matraquage fiscal de 2014, Hollande découvre que les impôts sont lourds et même trop lourds. Dommage qu’ils ne s’en soient pas aperçus lors de l’élaboration de ce budget 2014 qui va faire de la France la champion du monde des prélèvements obligatoires. On se demande si c’est de la naïveté ou de l’hypocrisie ; sas doute les deux à la fois ; Il faut quand même se montrer bien inconséquent pour assommer d’impôts  une année comme en 2014 et avant même la mise en vigueur du coup de massue fiscal projeter des économies pour les alléger.  Ou Hollande ne connait pas grand-chose à la gestion ou il se moque du monde, là aussi sans doute les deux. Il a multiplié les prélèvements obligataires de toute natures jusqu’ à étouffer l’économie et subitement il promet l’inverse ; de quoi se demander quelques fois si nos responsables ne devraient régulièrement se soumettre à des examens psychiatriques tellement ils sont affectés par des pathologies de type schizophrénique.




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