Archive pour le Tag 'devant la'

Cirque juridique: DUPOND-MORETTI devant la cour de justice de la république

Cirque juridique: DUPOND-MORETTI devant la cour de justice de la république

Les règlements de compte entre certains membres de la justice et le ministre continuent avec la décision récente de renvoyer Éric Dupont Moretti devant la cour de justice de la république. Faut-il rappeler que cette cour de justice constitue une institution un peu particulière pour juger des délits des ministres et qu’elle est composée d’une majorité de politiques. Dans cette affaire tout le monde ce ridiculise : les magistrats, le ministre est au-delà de la justice tout entière

Pour preuve d’ailleurs la CJR n’a jamais prononcé de peine très grave. Un seul exemple lorsque Christine Lagarde est comparue pour l’affaire Tapie lui, on a jugé que l’octroi illégal de 400 millions à Tapie valait seulement un rappel à l’ordre de l’ancienne ministre des finances.

Il en sera de même évidemment avec le ministre de la justice d’autant qu’il s’agit d’une affaire complexe de règlements de comptes de procédures judiciaires. De quoi déconsidérer globalement encore un peu plus la justice.

Le futur procès du garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti pour prise illégale d’intérêts devant la Cour de justice de la République (CJR) est une situation « inédite » qui le « décrédibilise » et qui « par ricochet, affaiblit l’institution judiciaire toute entière », ont estimé vendredi les deux principaux syndicats de magistrats.

Eric Dupond-Moretti est soupçonné d’avoir profité de sa fonction de ministre pour régler des comptes avec des magistrats auxquels il s’était opposé dans sa première vie d’avocat.

Tapie : Lagarde ( FMI) devant la justice

Tapie : Lagarde ( FMI) devant la justice

 

.  Après avoir vu son domicile parisien perquisitionné le 20 mars dernier, l’actuelle directrice générale du FMI pourrait être entendue dans le cadre d’une procédure pour «complicité de détournement de fonds publics et de faux». Dans le viseur des juges : l’arbitrage décidé en 2007 par celle qui était alors ministre de l’Economie et des Finances. Celui-ci s’était soldé par une indemnisation de 403 M€ en faveur de Bernard Tapie. Or, la justice estime «contestable» ce recours à l’arbitrage. De plus, selon  la Cour, Christine Lagarde s’est impliquée «personnellement» dans un processus comportant «de nombreuses anomalies et irrégularités». A l’inverse, la patronne du FMI a elle toujours justifié ce recours pour mettre fin à une procédure, selon elle longue et coûteuse. Pour l’heure, le FMI n’a pas souhaité faire de commentaires. Fin mars, l’institution basée à Washington avait indiqué continuer d’apporter sa «confiance» à Christine Lagarde, quelques jours après une perquisition policière menée le 20 mars à son domicile parisien dans le cadre de la même affaire. Le Fonds monétaire international avait également souligné que son conseil d’administration avait été informé de cette affaire avant sa nomination à sa tête en juillet 2011 en remplacement de Dominique Strauss-Kahn.

Elections UMP : devant la justice

Elections UMP : devant la justice

 

Suspicion, discrédit et éclatement, le processus est irrémédiable Copé continue son coup de force au risque d’une explosion de son parti. Il refuse en faiat la médiation de Hupé par peur de perdre le contrôle de l’appareil. De son coté Fillon va saisir la justice. Un grand déballage qui aboutira à l’éclatement. La médiation d’Alain Juppé dans la crise déclenchée à l’UMP par l’élection contestée à la présidence du parti a donc échoué dimanche et le conflit entre Jean-François Copé et François Fillon menace de s’aggraver lourdement en arrivant devant les tribunaux. François Fillon, ancien Premier ministre, a en effet annoncé qu’il allait demander aux tribunaux de « rétablir la vérité des résultats », un litige judiciaire concernant un grand parti de gouvernement sans précédent en France et qui pourrait préluder à un éclatement du principal parti d’opposition français. Président-fondateur de l’UMP en 2002, Alain Juppé a annoncé peu après le début d’une réunion avec les deux rivaux à l’Assemblée nationale vers 19h00 que les conditions de sa médiation n’étaient pas réunies et que sa mission était terminée. Jean-François Copé a annoncé à la presse ensuite qu’il s’en tenait à l’examen du litige par la commission des recours internes à l’UMP, une instance dont François Fillon conteste la légitimité. « Il n’y a à ce stade pas de médiation en tant que telle, la médiation viendrait plutôt ultérieurement, après la proclamation des résultats par la commission », a-t-il dit. François Fillon a répliqué par un communiqué au ton très dur dans lequel il estime que son rival « porte seul la responsabilité d’un échec qui touche (le) parti et compromet au-delà, l’image de l’action politique ». « Soucieux de sortir de l’impasse dans laquelle les coups de force successifs de Jean-François Copé ont plongé notre parti, je saisirai la justice pour rétablir la vérité des résultats et rendre la parole aux militants », ajoute François Fillon. Nicolas Sarkozy était auparavant intervenu pour la première fois en faisant savoir qu’il s’était entretenu par téléphone avec Alain Juppé et qu’il était « favorable à toute initiative qui peut permettre de régler la situation », a dit son entourage à l’Agence France-Presse.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol