Archive pour le Tag 'deuxième'

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Macron-Le Pen au deuxième tour

Macron-Le Pen au deuxième tour

 

 

François Fillon éliminé au premier tour dans deux sondages. Il ne se situerait entre 18 et 20 %  des intentions de vote et serait distancé par Marine peine et Emmanuel Macron. Une tendance sans doute prémonitoire vis-à-vis de la situation catastrophique dans laquelle va se retrouver François Fillon mais aussi la droite des républicains et accessoirement le centre associé à cette droite. Au-delà des risques de plus en plus sérieux de défaite au premier tour des présidentielles, la vague destructrice va surtout concerner les législatives puisque la dynamique présidentielle s’applique pratiquement toujours lors  des élections des députés. De toute évidence la droite a fait une énorme erreur de casting en choisissant Fillon à la place de Juppé. François Fillon est doublement discrédité d’une part par les multiples malversations financières d’autre part par sa fausse posture d’intégrité. Si François Fillon devait cependant être élu son mandat serait immédiatement hypothéqué par les nombreuses affaires financières le concernant. Il serait discrédité aux yeux des Français qui refuseraient une politique d’austérité que Fillon  ne s’est pas appliqué à lui-même. Il serait aussi discrédité au plan international, ce qui est encore plus grave. De toute façon, le feuilleton des affaires le concernant va durer des semaines, des mois et des années. Politiquement et moralement François Fillon est mort. Dans l’hypothèse de son élection comme président de la république le pays se prépare au chaos. Deux sondages publiés lundi mais réalisés avant la conférence de presse dans laquelle François Fillon a présenté ses excuses confirment le statut de challenger d’Emmanuel Macron face à Marine Le Pen pour le second tour de l’élection présidentielle. Les prochains jours diront si les excuses présentées par le candidat de la droite à propos des salaires versés à sa femme et deux de ses enfants par lui-même ou son suppléant à l’Assemblée lui permettront d’inverser la tendance. Selon un sondage effectué du 3 au 5 février par Opinionway pour Radio Classique et les Echos auprès de 1.700 personnes, Emmanuel Macron recueille 23% des intentions de vote au premier tour, derrière la présidente du Front national (26%). François Fillon est crédité de 20% de ces intentions de vote, le candidat socialiste, Benoît Hamon, de 14%, et celui de la « France insoumise », Jean-Luc Mélenchon, de 11%. Au second tour, Emmanuel Macron battrait très largement la candidate d’extrême droite par 65% des voix contre 35%, selon les résultats de ce sondage. Si François Fillon réussissait à se qualifier pour le second tour à la place d’Emmanuel Macron, il battrait aussi largement la présidente du FN, par 61% des voix contre 39%. Les sondés estiment que c’est Emmanuel Macron qui a marqué le plus de points au cours de la semaine passée, avec 35% d’avis positifs. Il est suivi par Benoît Hamon, vainqueur de la primaire à gauche (29%) et, très loin, par Marine Le Pen (15%), François Fillon (7%) et Jean-Luc Mélenchon (6%). Une enquête de l’IFOP pour Paris Match, iTELE et Sud Radio réalisée du 2 au 6 février auprès de 1.433 personnes, incluant l’hypothèse d’une candidature du centriste François Bayrou, crédite par ailleurs Marine Le Pen de 25,5% d’intentions de vote au premier tour et Emmanuel Macron de 20,5%. François Fillon ne recueillerait, selon ce sondage, que 18,5% des suffrages et reste lui aussi stable (mais il a perdu 2,5 points en moins d’une semaine). Marine Le Pen serait, battue au second tour par Emmanuel Macron, qui l’écraserait 63% à 37%, avec un fort report de voix de Benoît Hamon en sa faveur (77%) et un électeur sur deux de François Fillon et Jean-Luc Mélenchon votant pour lui.

Salaire de base : baisse au deuxième trimestre

Salaire de base : baisse au deuxième trimestre

Sur un an la progression pourrait être à peine de  1 % par rapport à l’inflation mais au second trimestre  l’indice du salaire mensuel de base (SMB) dans le secteur privé en France a augmenté de 0,3%, moins vite que les prix (+0,6%), selon des données provisoires du ministère du Travail publiées. Le SMB est un salaire brut, avant déduction des cotisations sociales et versement des prestations sociales. Il ne prend en compte ni les primes, ni les heures supplémentaires. Sur un an, dans les entreprises de 10 salariés ou plus (hors agriculture et emplois publics), il a augmenté de 1,2%. L’indice du salaire horaire de base des ouvriers et des employés (SHBOE) a progressé, comme le SMB, de 0,3% sur trois mois, mais sa hausse est légèrement inférieure sur un an (+1,1%). « Ces évolutions doivent être mises en regard de l’inflation », précise la Dares, le service des statistiques du ministère: les prix à la consommation (hors tabac) ont augmenté de 0,6% sur le trimestre et de 0,2% sur un an.

Croissance Japon : stagnation deuxième trimestre

Croissance Japon : stagnation deuxième trimestre

La croissance pour 2016 sera sans doute très faible pour le Japon en raison notamment de la croissance zéro au second trimestre. En cause, de moins bons résultats du commerce extérieur du fait notamment du tassement économique en Chine Le Japon a vu son économie stagner au deuxième trimestre 2016 par rapport au premier, qui avait connu une hausse de 0,5%, selon des données préliminaires publiées, ce matin, par le gouvernement, sur fond de frilosité des entreprises à investir. Entre avril et juin, le Produit intérieur brut (PIB) a fait du surplace, une statistique inférieure aux attentes. Les analystes interrogés par l’agence financière Bloomberg News tablaient sur une croissance de 0,2%. En rythme annualisé – c’est-à-dire si l’évolution du trimestre se prolongeait sur une année -, le PIB ressort cependant en progression, modeste (+0,2%). La troisième économie mondiale a souffert d’un nouveau recul des investissements non résidentiels des entreprises (-0,4%) et d’une contribution négative du commerce extérieur, alors que les exportations ont chuté de 1,5%, dans un contexte de croissance mondiale poussive et de ralentissement des pays émergents. Le récent renforcement du yen, valeur refuge qui a les faveurs des cambistes en période d’incertitudes, alourdit en outre le climat, en pénalisant durement les entreprises exportatrices.

France : Croissance zéro au deuxième trimestre

France : Croissance zéro  au deuxième trimestre

Les inquiétudes manifestées dans les différentes enquêtes d’opinion des chefs d’entreprise, des investisseurs et des ménages se confirment avec l’annonce par l’INSEE d’une croissance zéro au second trimestre. En cause,  évidemment le tassement général de la croissance mondiale mais aussi des causes spécifiques à la France. En particulier les effets  très négatifs des grèves, manifestations et autres blocages. Du coup les perspectives de croissance globale pour l’année en cours pourraient être remises en cause. Le gouvernement tablait sur une augmentation du PIB de 1,5 % en 2016 mais cette prévision pourrait être ramenée entre 1,1 % a, comme le prévoit le fonds monétaire international. En outre, il faudra intégrer pour les trimestres suivants les conséquences du brexit, conséquence encore difficile à évaluer mais qui pourrait faire diminuer le PIB  d’environ 0,3 % en 2017. Autant dire que l’emploi sera également mécaniquement affecté. En France, la croissance a donc  été nulle au deuxième trimestre alors qu’elle était attendue en hausse de 0,3%. Seule bonne nouvelle dans ce domaine ce matin, la légère révision à la hausse de la croissance au premier trimestre, à +0,7% contre +0,6%.  Dans un communiqué, le ministre des Finances Michel Sapin reconnaît que le chiffre de la croissance du dernier trimestre est « décevant » mais assure qu’ »au-delà des à-coups d’un trimestre à l’autre, l’économie française reste sur une dynamique de reprise qui ne remet pas en cause la prévision de croissance de 1,5% en 2016″. Parmi les explications de ce résultat, le recul de 0,2% de la production en biens et services, « du fait principalement de la chute de la production dans les raffineries, affectées par des mouvement sociaux en mai et juin ».

 

Croissance zone euro : tassement au deuxième trimestre

Croissance zone euro : tassement au deuxième trimestre

 

 

 

En raison notamment d’un environnement mondial caractérisé par une activité relativement déprimée (en Chine par exemple mais aussi aux États-Unis), la croissance de la zone euro va sans doute se tasser au second trimestre par rapport au premier. Ce que confirme l’enquête mensuelle Markit auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI composite de la région a atteint 53,1 en mai, dépassant l’estimation « flash » publiée le 23 mai et l’indice définitif de 53,0 du mois d’avril. Mais seulement 50.9 pour la France victime en particuliers des désordres liés aux grèves et blocages contre la loi travail.  Il dépasse depuis la mi-2013 le seuil de 50 séparant contraction et expansion. Le PMI du seul secteur des services est passé à 53,3 contre 53,1 en avril et en première estimation.   »Les résultats de l’enquête suggèrent une hausse de 0,3% du PIB au deuxième trimestre, donc que la poussée de croissance du début de l’année se révélera hélas de courte durée. » Le PIB de la zone euro a crû de 0,5% sur janvier-mars. L’enquête Markit montre aussi que les entreprises ont continué de réduire leurs prix en mai, cette composante, à 49,3 après 48,3 en avril, restant inférieure à 50. En ALLEMAGNE, la croissance du secteur privé s’est accélérée en mai pour atteindre son rythme le plus élevé depuis janvier, ce qui suggère que la vigueur de la première économie d’Europe en début d’année se prolongera au deuxième trimestre. L’indice PMI composite, qui combine activité manufacturière et services, a augmenté, à 54,5 contre 53,6 en avril. Ce chiffre est inférieur à l’estimation « flash » qui était à 54,7 mais il se maintient confortablement au-dessus du seuil de 50 qui sépare la contraction de la croissance. L’indice des seuls services est en hausse également, à 55,2 en mai contre 54,5 en avril. Les sociétés de services ont continué à embaucher, avec un rythme de créations d’emploi à son plus haut niveau depuis le début de l’année. Ces données suggèrent que la croissance de l’économie allemande pourrait être de 0,5% au deuxième trimestre, analyse Oliver Kolodseike, économiste de Markit, qui a qualifié ces résultats de « bons mais pas spectaculaires ». L’indice des nouveaux contrats a connu son rythme de croissance le plus lent des dix derniers mois, a-t-il noté. La première estimation officielle donne une croissance du produit intérieur brut (PIB) à 0,7% pour le premier trimestre par rapport au trimestre précédent, contre 0,3% au quatrième trimestre 2015, ce qui conforte le rôle de l’Allemagne comme locomotive de la croissance en zone euro. Le gouvernement allemand table sur une croissance du PIB de 1,7% en 2016, au même rythme que l’an dernier. En FRANCE, l’activité dans le secteur des services a progressé en mai pour un deuxième mois consécutif, atteignant un plus haut de sept mois. L’indice des services s’est établi à 51,6 le mois dernier après 50,6 en avril, se maintenant au-dessus du seuil de 50. Il a été révisé en légère baisse par rapport à la première estimation de 51,8 publiée le 23 mai. L’indice composite, qui associe des éléments de l’indice des services et de celui du secteur manufacturier, dont l’activité s’est à nouveau contractée en mai, a progressé à 50,9 après 50,2 en avril. En ITALIE, l’activité dans le secteur des services s’est contractée de manière inattendue en mai, pour la première fois depuis quasiment un an et demi. L’indice PMI des services est tombé à 49,8 le mois dernier contre 52,1 en avril, alors que les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à un recul limité à 51,5. Cet indice n’était plus passé depuis décembre 2014 sous 50. L’indice composite rassemblant les secteurs tertiaire et manufacturier est lui aussi tombé à un creux depuis décembre 2014, passant de 53,1 en avril à 50,8 en mai. En ESPAGNE, la croissance est restée soutenue en mai dans le secteur des services, signe que la reprise économique devrait se poursuivre en Espagne malgré le ralentissement constaté dans le secteur manufacturier. L’indice PMI des directeurs d’achat auprès des entreprises de services a progressé à 55,4 le mois dernier après 55,1 en avril. Il s’agit du rythme le plus rapide depuis novembre et d’un 31e mois consécutif de progression de l’activité dans le tertiaire. La progression des nouveaux contrats a aussi accéléré en mai et les entreprises ont davantage embauché. « Après les chiffres décevants du secteur manufacturier mercredi, ces indicateurs sur le secteur des services sont une sorte de soulagement », a réagi Andrew Harker, économiste chez Markit. L’indice PMI manufacturier a reculé à 51,8 après 53,5 en avril en Espagne.

 

La croissance : ralentissement au deuxième trimestre ?

La croissance : ralentissement au deuxième trimestre ?

 

 

D’après la Banque de France, la croissance pourrait se tasser au second trimestre, elle n’atteindrait que 0,3 % au lieu de 0,5 % au premier trimestre. En cause surtout le recul de l’activité industrielle depuis mars. Du coup comme les exportations sont assez peu dynamiques, la croissance reposera surtout sur l’investissement des entreprises et sur la consommation intérieure.- Le rythme de croissance de l’économie française devrait ralentir au deuxième trimestre après son début d’année très dynamique même si les industriels maintiennent leurs prévisions de nette hausse des investissements cette année, selon une série de données publiées mardi. La Banque de France dit tabler sur une hausse de 0,3% du PIB pour la période avril-juin dans sa première estimation fondée sur son enquête mensuelle de conjoncture d’avril, en retrait par rapport à celle de 0,5% du premier trimestre. Les chefs d’entreprise interrogés par l’Insee voient pour leur part une hausse de 7% de leurs investissements cette année, un niveau inchangé par rapport à leurs anticipations de l’hiver. Mais l’institut a fait état aussi d’un recul de 0,3% de la production industrielle en mars, là où les économistes attendaient une hausse de 0,5%, ce qui pourrait selon eux se traduire par une révision à la baisse du PIB des trois premiers mois de l’année. « Il n’est pas impossible que la croissance du premier trimestre soit légèrement revue en baisse à la lumière des chiffres de la production industrielle », estime Hélène Bauchon (BNP Paribas). François Cabau (Barclays) juge pour sa part que les chiffres publiés laissent présager une croissance du premier trimestre qui serait ramenée à 0,4%. La baisse de la production industrielle en mars a touché la quasi-totalité des secteurs à l’exception de celui de l’énergie et la ramène à son plus bas niveau depuis juillet dernier. L’acquis de croissance de cet indicateur pour le deuxième trimestre est aujourd’hui négatif de 0,6%. « On s’attend à un contrecoup sur la croissance au deuxième trimestre après les bons chiffres de début d’année qui ont été dopés par une forte hausse de la consommation des ménages. Les prévisions de la Banque de France vont dans ce sens », estime Hélène Baudchon. « On ne voit pas de décélération au-delà de ce contrecoup mais pas d’accélération non plus », ajoute-t-elle. Elle souligne sur ce point que l’indicateur du climat des affaires de l’Insee est relativement stable, juste au-dessus de sa moyenne de long terme depuis le début de l’année, dans une zone cohérente avec une croissance de 0,3% à 0,4% par trimestre. Dans ce contexte, les prévisions sur l’investissement dans l’industrie, maintenues à +7%, sont positives. Alors que le commerce extérieur de la France est toujours à la peine, « ils montrent que, avec la consommation, l’investissement des entreprises devrait rester le principal moteur de la croissance cette année », dit l’économiste de BNP Paribas.

(Avec Reuters)

Luxembourg : un deuxième militaire envoyé au Mali !!!

Luxembourg : un deuxième militaire envoyé au Mali !!!

D’après l’Express le Luxembourg s’apprête à faire un effort sans précédent pour lutter contre le terrorisme en envoyant un deuxième militaire au Mali, ce qui double sa contribution puisqu’ un militaire luxembourgeois participe déjà à la coalition contre le terrorisme. Cette décision du Luxembourg a été prise en vertu de la « clause de solidarité » européenne invoquée par la France au lendemain du 13 novembre. Cet engagement supplémentaire du Luxembourg témoigne bien de l’absence de politique étrangère commune de l’Europe et encore davantage de l’absence de politique de défense. Avec ce geste, le Luxembourg illustre bien la caricature d’union quest l’Europe. Une Europe qui se limite à une simple zone de libre échange, bref une Europe business sans projet politique global et sans dessein. Pourtant le Luxembourg a  montré son dynamisme lorsqu’il s’agit d’attirer le siège des entreprises notamment des multinationales avec des accommodements fiscaux très sulfureux. En clair grâce à des arrangements fiscaux, le Luxembourg autorise nombre d’entreprises à se délocaliser  dans le pays. Une simple boîte aux lettres suffit à légitimer le transfert d’un siège social au Luxembourg. Le pire dans cette affaire c’est que l’Europe  a choisi un président de commission qui est un ancien premier ministre du Luxembourg. Dès lors  il n’est pas étonnant que l’union européenne se désintéresse autant de la lutte contre le terrorisme à l’extérieur des frontières. Cette indigence coupable contribue malheureusement à la venue massive de migrants en Europe. Une contradiction qui ne semble pas affoler les responsables européens et qui constitue un facteur explicatif supplémentaire de la montée du populisme et du nationalisme en Europe. Une Europe-pourtant nécessaire- mais   qui n’a pas montré son efficacité pour relancer la croissance et l’emploi, par ailleurs absente sur le terrain des grands enjeux politiques et sociétaux. L’Europe est aussi victime de la posture de neutralité de l’Allemagne qui elle aussi n’apporte qu’ une contribution ridicule à l’alliance internationale contre le terrorisme. Pour le Luxembourg, pour l’Allemagne,  l’Europe se résume à une zone de business. Le Grand-duché va donc dépêcher ce militaire supplémentaire au sein de la mission de formation de l’UE au Mali, au début de l’année 2016. Il sera conseiller auprès des forces armées maliennes. Ce personnel additionnel « double la présence militaire luxembourgeoise sur place », est-il précisé dans un communiqué ! Sans rire !

Immobilier neuf : la France deuxième pays le plus cher d’Europe

Immobilier neuf : la France  deuxième pays le plus cher d’Europe

Une étude de Deloitte permet de comparer les prix dans de nombreux pays européens: c’est au Royaume-Uni que l’on trouve les prix les plus chers, suivi de la France, et de la Suède.  . Ainsi, en 2014, il fallait ainsi compter 14.089 €/m² en moyenne dans le centre de Londres, contre 10.266 euros/m² à Paris. De l’autre côté du tableau, c’est à Porto, au Portugal, que l’on trouve les tarifs les moins chers du marché : 860 euros par m² ! Mais les plus fortes évolutions de prix dans l’immobilier résidentiel neuf sont enregistrées en Irlande (+31,7 % en 2014 par rapport à 2013), et au Royaume-Uni (+21,6 %), selon Deloitte. Dans quel pays peut-on accéder à la propriété le plus aisément sur le Vieux continent ? En Belgique, selon Deloitte, où il faut compter 3,2 années de salaire brut pour acquérir un logement de… 70 m². Pour la même surface, il faudra entre 6 et 8 ans en Italie, en Pologne et en France pour y parvenir.

Chômage : stable au deuxième trimestre (INSEE)

Chômage : stable au deuxième trimestre (INSEE)

Contrairement à ce qu’a indiqué le gouvernement le chômage ne s’est pas amélioré au deuxième trimestre d’après l’INSEE. On aurait en effet été surpris du contraire puisque la croissance a été nulle. Seul un bricolage méthodologique de Pôle emploi fait apparaître une amélioration.  Le taux de chômage au sens du Bureau international du travail (BIT) est resté stable en moyenne au deuxième trimestre en France métropolitaine, à 10%, soit une hausse de 0,3 point sur un an, selon les chiffres de l’Insee publiés jeudi 3 septembre. En incluant les départements d’Outre-mer, le taux est également stable, à 10,3%. Calculé selon la méthode BIT, qui permet les comparaisons internationales, le nombre de chômeurs atteignait 2,852 millions en France métropolitaine fin juin, soit 1.000 de moins que fin mars, mais 62.000 de plus qu’au deuxième trimestre 2014. Ce total se compare avec celui du nombre d’inscrits à Pôle emploi de catégorie A, qui s’élevait à 3.553.500 fin juin. Au deuxième trimestre, le taux de chômage des personnes âgées de 15 à 24 ans a baissé de 0,6 point, à 23,4%, celui des 25-49 ans a reculé de 0,2 point, à 9,3%, et celui des 50 ans et plus a augmenté de 0,6 point, à 7%. Le taux d’emploi des 15-64 ans est resté stable au deuxième trimestre, à 64,2%, en baisse de 0,1 point sur un an. L’institut compte d’autre part 1,5 million de personnes souhaitant un emploi qui ne sont pas comptées dans la population au chômage au sens du BIT. Ce nombre, qualifié de « halo » autour du chômage, a baissé de 12.000 sur le trimestre et augmenté de 126.000 sur un an.

 

FMI : « oui à un deuxième mandat, la place est bonne » ( Christine Lagarde )

FMI : « oui à un deuxième mandat, la place est bonne » ( Christine Lagarde )

 

C’est en substance ce que dit Christine Lagarde. Tu m’étonnes pas besoin de compétences économiques , un salaire de 100 000 euros exemptés de tout impôt et une  armée d’experts pour faire le boulot.  En faiat Christine Lagarde est aussi incompétence que lorsqu’elle était ministre des fiances en France mais comme dit Alain Minc «  elle lisait tellement bien les communiqués de Bercy » ; Cette fois elle lit les communiqués du FMI ;  son atout :  son accent anglais impeccable, pas trop difficile en vérité quand on compare à  l’accent anglais de Sarko ou  Hollande,  niveau CP2.  Elle ne connait rien à l’économie ( diplômée en droit et politique), elle parle bien anglais , est  droite comme un « i «  et sait dire avec une  grande solennité  les plus grandes banalités de sorte quelle n’a pas d’aspérité. Oui bien sûr elle a autorisé le versement de 400 millions à Tapie mais c’est anecdotique , c’est son directeur cabinet qui va porter le chapeau si l’affaire n’est pas enterrée.  La directrice générale du FMI Christine Lagarde indique donc   »considérer » un deuxième mandat si les membres du FMI « souhaitent que je continue à servir », dans un entretien au magazine Challenges à paraître jeudi.  « Tout dépendra de la volonté des membres du FMI », souligne-t-elle dans cette interview réalisée le 18 juin dernier. S’ils « souhaitent que je continue à servir, c’est certainement quelque chose que je considérerai », Son mandat à la tête de l’institution de Washington, qu’elle qualifie de « belle maison », s’achève en juillet 2016.  La directrice générale du FMI, ancienne ministre des Finances de Nicolas Sarkozy, était jusqu’ici toujours restée très évasive sur ses intentions. Sa forte popularité dans les sondages a pu nourrir des spéculations sur un possible retour en politique en France.  A la tête du FMI, elle est critiquée depuis plusieurs semaines par la Grèce, asphyxiée financièrement et qui lui reproche d’adopter une ligne trop dure vis-à-vis d’elle. Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a déjà reproché au FMI sa « responsabilité criminelle » dans l’échec jusqu’ici des négociations entre Athènes et ses créanciers. Il l’a encore accusé mercredi de bloquer les discussions, alors que se tiennent des réunions cruciales à Bruxelles.  Le FMI, qui a participé aux plans de sauvetage du pays, négocie aux côtés de la BCE et de la Commission européenne avec Athènes. La Grèce doit faire valider par ces trois institutions un programme d’efforts budgétaires avant de toucher une aide de quelque 7 milliards d’euros. Sans cette aide, la Grèce ne pourra notamment pas rembourser le 30 juin une somme de 1,5 milliard d’euros qu’elle doit au FMI.

 

Réforme collège : une deuxième langue vivante dès la 5 ème, pourquoi pas le français ?

Réforme collège :  une deuxième langue vivante dès la 5 ème, pourquoi pas le français ?

 

Et une  réforme,  une de plus. Avec notamment une deuxième langue vivante dès la 5ème.  Une suggestion, pourquoi pas le français ? Apprendre les langues étrangères est évidemment une  bonne chose avec la mondialisation économique, sociale et culturelle, pour autant maîtriser sa propre langue n’est pas inutile. Ne serait-ce que pour la compréhension des autres matières. Or si on en juge pas les évaluations , la maîtrise du français est une  véritable catastrophe ( on donne des cours d’orthographe dans certains écoles d’ingénieurs et des dictées dans certaines universités) !  La  deuxième langue vivante sera enseignée dès la classe de 5ème. En revanche, les classes européennes sont amenées à disparaître comme certaines classes bilingues, qui n’ont, pour le ministère, « plus de raison d’être » ( !!).   Najat Vallaud-Belkacem présente donc ce mercredi matin en Conseil des ministres la réforme du collège. Objectif : casser les barrières entre les matières et donner plus de souplesse aux collèges. 4.000 postes devraient être créés.  La ministre de l’Education veut casser les habitudes, et notamment les barrières entre les disciplines. Désormais, les élèves de collège auront chaque semaine des « enseignements pratiques interdisciplinaires » animés par des professeurs de plusieurs matières, dès la classe de 5ème. Ceux-ci travailleront ensemble dans huit domaines aussi variés que le développement durable, les sciences, le monde économique ou la citoyenneté. Il ne s’agit pas d’un « supplément d’âme » pour Najat Vallaud-Belkacem, qui précise que ces projets thématiques « seront évalués ». Les emplois du temps devrait donc changer et auront vocation à devenir plus souples : les élèves auront une vingtaine d’heures de cours classiques avec des nouveaux programmes, ainsi que 3 à 4 heures interdisciplinaires par semaine au choix des établissements. A noter également, des heures de suivi pour tous les élèves de collège,  alors qu’aujourd’hui cet accompagnement est réservé aux élèves de 6èmes.  Le gouvernement veut casser les barrières entre les matières et donner plus de souplesse aux collèges. Certains le font déjà, par exemple au collège Jean Campin de La-Ferté-Gaucher en Seine-et-Marne, près de Paris :

« Avoir deux profs, c’est

La croissance à plat pour le deuxième trimestre

La croissance à plat pour le deuxième trimestre

 

Finalemenet le fameux retournement de Hollande n’aura pas lieu en 2014, la France aura même du mal à atteindre 0.8% de progression du PIB. Après une croissance qui a été nulle au premier trimestre, l’économie française se dirige encore vers une période de vaches maigres. Les indicateurs de conjoncture publiés ce jeudi 22 mai le confirment un peu plus. Le premier d’entre eux est l’indice PMI composite publié par la société Markit pour le mois de mai. A 49,3 points il accuse une baisse de près de 1 point par rapport au mois d’avril (50,6 point). Surtout ce chiffre passe sous la barre des 50 points, censée marquer la limite entre l’expansion et la contraction de l’économie. Dans le même temps, la zone euro dans son ensemble continue à se montrer dynamique, avec un chiffre de 53,9 points en mai, presque stable (54 points). « Après la stagnation du PIB observée sur le premier trimestre, les performances de l’économie française devraient continuer de décevoir au deuxième trimestre », anticipe Jack Kennedy, économiste de Markit. De son côté l’Insee a, ce même jeudi, publié le climat des affaires dans l’industrie pour le mois de mai. Le verdict est moins douloureux puisque cet indicateur s’inscrit en très légère baisse, à 99 points, contre 100 points en avril. Au final que retenir de ces chiffres? « Ce n’est pas forcément une bonne nouvelle mais ce n’est pas non plus inattendu », commente Jean-Christophe Caffet, économiste chez Natixis. « Ces indicateurs confirment ce que nous pensons depuis un moment c’est-à-dire que la France va sous-performer la zone euro ». Pour expliquer ce phénomène, l’économiste souligne l’impact des réformes structurelles et des « ajustements macroéconomiques qui ne font que commencer. Ils créent de la croissance potentielle à long terme mais ce n’est pas sans sacrifice à court terme ». « C’est pour cela que tout le discours autour du retournement économique est contre-productif », ajoute-t-il. Mais Jean-Christophe Caffet souligne bien que la France ne va pas « retomber en récession » mais bien « connaître encore pour un moment une croissance molle

Loi Florange : un deuxième enterrement

Loi Florange : un deuxième enterrement

 

Deuxième enterrement pour la loi Florange ; déjà pratiquement idée de son contenu (elle ne contraignait une entreprise qu’à rechercher –mais pas à trouver) un repreneur-, la loi a été censurée par le conseil constitutionnel. En effet Le Conseil constitutionnel a censuré jeudi la « loi Florange » qui ouvrait la voie à des pénalités pour les entreprises fermant un site rentable, infligeant ainsi un camouflet au gouvernement à trois jours du deuxième tour des élections municipales. Il estime dans un communiqué que les dispositions sur le refus de céder un établissement en cas d’offre de reprise et les sanctions prévues dans ce cas, sont « contraires à la liberté d’entreprendre et au droit de propriété ». Les « Sages » censurent aussi les dispositions prévoyant des pénalités en cas de non respect de l’obligation de recherche d’un repreneur et vide de sa substance cette loi hautement symbolique, promesse de campagne de François Hollande. Le Medef, qui juge ces dispositions « inapplicables et dangereuses », a salué la « décision réaliste » du Conseil. Dans un communiqué, la principale organisation patronale française invite le gouvernement à faire montre du même réalisme lors de la présentation au Parlement, en avril, du pacte de responsabilité proposé par François Hollande aux entreprises. « La confiance est indispensable à la réussite du pacte de responsabilité. Elle passera par des actes cohérents de la part du gouvernement et des parlementaires », écrit-elle. Mais le porte-parole du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, Thierry Mandon, a déclaré à Reuters que les députés de la majorité allaient présenter un nouveau texte sur « le point difficile » des sanctions mais les motivations de la décision du Conseil constitutionnel laissent peu de marges de manœuvre. La « loi Florange », un texte d’origine parlementaire dont les dispositions mécontentaient à la fois patronat et syndicats, devait être initialement adopté avant fin 2012 mais n’a finalement été voté que le 24 février 2014. Les groupes UMP de l’Assemblée et du Sénat ont alors saisi le Conseil sur cette loi jugée par le patronat en contradiction avec la main tendue par le gouvernement aux entreprises. Le texte obligeait un dirigeant d’entreprise appartenant à un groupe de plus de 1.000 salariés et souhaitant fermer un de ses établissements à rechercher pendant trois mois un repreneur, sous peine de devoir verser une pénalité pouvant atteindre 20 smic mensuels – soit 28.000 euros – par emploi supprimé, dans une limite de 2% de son chiffre d’affaires.  Le texte comporte également des mesures en faveur de l’actionnariat à long terme et encadre les OPA hostiles, qui n’ont pas été censurée par le Conseil. Ainsi, afin d’éviter des prises de contrôle rampantes, les salariés pourront détenir jusqu’à 30% du capital social de l’entreprise.  De plus, les collectivités locales ayant accordé des aides publiques pourront réclamer à ces entreprises n’ayant pas joué le jeu de les rembourser si elles ont été accordées durant les deux dernières années.  Mais pour les « Sages », l’obligation d’accepter une offre de reprise « sérieuse » et la compétence confiée au tribunal de commerce pour en juger « font peser sur les choix économiques de l’entreprise (…) des contraintes portant atteinte au droit de propriété et à la liberté d’entreprendre.  Il estime par ailleurs que la pénalité prévue pour le non respect de l’obligation de recherche d’un repreneur est « hors de proportion avec la gravité des manquements réprimés ». Il juge en revanche conforme à la Constitution le dispositif donnant aux repreneurs potentiels l’accès aux informations « utiles » sur l’établissement dont la fermeture est envisagée, de même que les dispositions relatives à l’information du comité d’entreprise en cas d’offre publique d’acquisition. Ce texte était une promesse faite par le chef de l’Etat en février 2012, pendant la campagne présidentielle, lors d’une visite sur le site sidérurgique ArcelorMittal de Florange. Le 30 novembre 2012, le gouvernement et ArcelorMittal avaient cependant signé un accord entérinant l’arrêt des deux hauts-fourneaux de Florange et la disparition de 629 emplois. Accord alors qualifié de trahison par les syndicats. En outre, ce n’est pas le gouvernement mais le groupe PS à l’Assemblée qui a déposé la proposition de loi votée en février dernier après un parcours parlementaire chaotique.  L’Assemblée a notamment dû procéder à une nouvelle lecture définitive après que le Sénat, où la gauche dispose d’une faible majorité, a rejeté le texte du fait de l’abstention du Front de gauche qui le jugeait insuffisamment contraignant.

 

Hollande : deuxième réunion du machin « conseil stratégique de la dépense »

 

 

Hollande : deuxième réunion du machin «  conseil stratégique de la dépense »

 

C’est la deuxième réunion du machin, la grande annonce de Hollande «  le conseil stratégique de la dépense ». En fait une réunion d’un conseil des ministres réduit !  Tous les mois, les membres du Conseil se réuniront ; outre Jean-Marc Ayrault, y participent ses ministres de l’Economie (Pierre Moscovici), du Budget (Bernard Cazeneuve), des Affaires sociales (Marisol Touraine), du Travail (Michel Sapin) et de la Réforme de l’Etat (Marylise Lebranchu). « D’autres ministres peuvent être appelés à siéger (ainsi que) des représentants des organismes ayant à connaître de la dépense publique (ou) toute personnalité qualifiée », précise le décret. Il n’était nul besoin de sortir un décret pour une réunion de ce conseil finalemenet très ordinaire mais qui cependant pose l’interrogation du rôle du ministre des fi,ances et de celui du budget. A noter aussi l’enflure sémantique « conseil stratégique de la dépense » sans doute pour compenser l’incapacité qu’il y aura à trouver 50 milliards d’ici 2017. Une trouvaille sémantique du même style que l’inversion du chômage et qui connaitra le même succès. Il est clair que l’annonce d’une réunion sur le budget médiatiquement serait moins sexy ! On rêve aussi d’un conseil stratégique de la recette dont visiblement on se préoccupe moins, or sans croissance pas de recettes : une équation encore mal maitrisée par Hollande.  Le président de la République réunit donc autour de lui ce samedi matin une partie de son gouvernement pour le deuxième conseil stratégique de la dépense. Objectif : trouver 50 milliards d’euros sur trois ans. Le Premier ministre, et les principaux ministres en charge des questions économiques seront présents : Pierre Moscovici, Bernard Cazeneuve, mais aussi Marisol Touraine, puisque son portefeuille des affaires sociales représente 60% de la dépense publique. Marylise Lebranchu sera présente pour la fonction publique, ainsi que Michel Sapin, le ministre du Travail.  Ce conseil est, comme son nom l’indique « stratégique ». Ce comité de pilotage est une nouvelle façon d’élaborer le budget, bien en amont et au sommet de l’État. Le président n’est plus l’ultime recours des ministres en quête d’un arbitrage favorable, puisque les directives sont discutées collégialement. Le ministre du Budget, lui, a déjà commencé à recevoir ses collègues, pour examiner avec eux les sources d’économie possibles dans leur domaine.  Et début avril, le Premier ministre adressera à chaque membre du gouvernement les lettres de cadrage individuelles, avec deux mois d’avance sur la pratique habituelle. Officiellement il n’y a pas d’ordre du jour ce samedi. Mais l’idée du gel provisoire de l’avancement des fonctionnaires, avancée ces derniers jours, n’est pas formellement écartée en haut lieu. C’est d’ailleurs l’une des pistes préconisées par la Cour des comptes dans son rapport de juin dernier.

Pour un statut de « deuxième dame », (Juppé)

Pour  un statut de « deuxième dame », (Juppé)

Juppé, le très sérieux (parfois ennuyeux) à maire de Bordeaux cette fois fait dans humour en suggérant un statut de deuxième dame. Il a raison car la situation actuelle est assez vaudevillesque. D’abord il faut préciser qu’il n’existe aucun statut de Première dame ; avec Hollande se pose en plus la question de savoir qui l’occuperait si ce statut existait. Une définition ne réglerait d’ailleurs pas la question car il faudrait sans doute prévoir aussi un statut de deuxième Dame voire de troisième ou plus ; Finalement comme  sous  l’ancien régime  dont notre monarchie républicaine demeure encore si proche par ses rituels et  pompes désuets.  Un seul exemple l’ensemble des membres du gouvernement alignés comme des courtisans ou des sardines lors de l’allocution présidentielles et priant pour que le Président mentionne au moins leurs noms (alors qu’en Allemane ou aux Etats-Unis le chef de l’Etat est seul). . Quatre jours après les révélations du magazine Closer, le débat glisse maintenant sur le rôle de la Première dame en France et son éventuel statut. Il faut rappeler que la conjointe ou le conjoint du président de la République n’a pas de statut particulier dans les institutions.  Pourtant, un bureau à l’Elysée et des moyens en personnel lui sont attribués pour tenir son rôle.  Pour clarifier la situation de la vie privée du président, faut-il établir un statut à la Première dame ? Mardi matin, plusieurs personnalités de gauche et de droite répondaient la même chose : il faut en finir avec le statut de Première dame. Un point de vue résumé avec ironie par Alain Juppé lors de ses voeux : « En France, on adore les statuts. On peut faire un statut  de la première dame et de la deuxième dame aussi, peut-être? »   François Rebsamen, un proche du chef de l’Etat, va encore un peu plus loin : il souhaite la disparition de la  »Première dame » de France, pratique « surannée » qui doit « être bannie ». Sur RTL, le sénateur-maire de Dijon a jugé que l’épisode Gayet-Closer-Trierweiler dont il a déploré « la violence » et qui l’a « choqué » devait faire repenser ce rôle.  « Il y a une réflexion que doit avoir le président de la République sur le rôle et la place de la personne avec laquelle il vit, ce qu’on appelle, parce c’est le cas, la Première dame de France ». « Je pense qu’il n’y a pas de Première dame en France. Ce sont des pratiques surannées, désuètes, et qui devraient être bannies ».   »On élit une personne et puis après tout, cette personne, elle vit seule, elle est célibataire, elle peut vivre avec un autre homme, une femme. Ca n’intéresse pas, ça ne doit pas interférer » ?. « Ca veut dire qu’il ne doit pas y avoir de première dame, c’est fini », a-t-il insisté. Donc disparition du bureau, du secrétariat du conjoint ? « Bien sûr », « ce serait une avancée de la démocratie ».

 

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