Archive pour le Tag 'Deutsche'

Deutsche Bank impliqué le système frauduleux de Ponzie

Deutsche Bank impliqué le système frauduleux de Ponzie  

Selon l’agence Bloomberg, la plus grande banque d’Allemagne est accusée d’avoir contribué au développement du système frauduleux de Ponzie

Ce sont les liquidateurs judiciaires de deux fonds basés aux Îles Caïmans, désormais en faillite, qui ont poursuivi l’établissement aux tribunaux de New York, ainsi qu’en Floride. Les dossiers judiciaires déposés par les liquidateurs accusent la banque allemande d’avoir permis un « vol à grande échelle », provoquant des millions de dollars de pertes.

L’une des deux plaintes a été déposée en 2020 par les liquidateurs judiciaires de Madison Asset LLC (basés aux Îles Caïmans) . La deuxième a été déposée au début du mois de juillet par les liquidateurs d’un groupement d’entreprises nommé Biscayne, qui a investi dans l’immobilier en Floride.

Quel est à leurs yeux le tort de Deutsche Bank ? D’après la plainte, avoir protégé les comptes de certaines entités impliquées dans un système de Ponzi  ( système les actionnaires anceins sont rémunérés par les nouveaux entrants jusqu’au jour ces derniers deviennent insuffisants créant  une crise financière) .

Concrètement, Madison Asset et Biscayne auraient utilisé des sociétés écrans ainsi que des comptes affiliés à la Deutsche Bank dans le but de camoufler d’importantes dettes. Ces manipulations auraient permis de lever des financements auprès des investisseurs pour renflouer des entreprises réputées insolvables. L’argent frais ainsi collecté aurait également servi à rembourser les dettes et les investisseurs précédents. Les fonds auraient aussi profité aux instigateurs du montage financier eux-mêmes.

Deutsche Bank lâche Trump

Deutsche Bank lâche Trump

En raison notamment des événements du Capitole et de la mise en cause de la démocratie américaine parTtrump, , la banque allemande a décidé d’une certaine manière de couper les ponts avec le milliardaire américain. Des raisons politiques mais aussi sans doute des raisons financières car après le départ de trump comme président, les affaires du milliardaire pourraient connaître des suites judiciaires très préjudiciables.( Business américain mais aussi business international).

 

Deutsche Bank, qui est le plus grand créancier de la Trump Organization, le conglomérat du président, actuellement dirigé par ses deux fils, ne devrait toutefois pas complètement couper les ponts avec le locataire de la Maison Blanche, puisqu’il lui doit encore environ 340 millions de dollars (279,67 millions d’euros) de prêts en cours accordés. Ces prêts concerneraient un terrain de golf à Miami et des hôtels à Washington et Chicago.

Deutsche Bank a une histoire compliquée avec le président en exercice. L’établissement allemand est l’une des seules grandes banques occidentales à avoir continué à prêter de l’argent à l’empire de Donald Trump après la mise en faillite de plusieurs de ses casinos dans les années 1990. Ce rôle lui vaut d’être au centre de nombreuses enquêtes aux États-Unis. La banque a notamment été sollicitée à plusieurs reprises pour fournir des documents, dans le cadre de l’enquête sur les soupçons de collusion entre la campagne du milliardaire américain et la Russie par exemple, ou sur des prêts liés à l’entreprise immobilière de la famille de Jared Kushner.

 

La banque américaine Signature Bank, où siégeait autrefois la fille de Donald Trump, Ivanka, prend elle aussi ses distances. D’après les confidences d’un porte-parole de l’établissement au New York Times, deux des comptes personnels de Donald Trump devraient bientôt être fermés. Ces comptes représentent un montant d’environ 5,3 millions de dollars, selon une porte-parole.

 

Signature Bank s’est aussi engagée «à ne plus collaborer à l’avenir avec aucun des membres du Congrès ayant voté contre» la certification de l’élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis le 6 janvier, a ajouté la porte-parole.

Il faut augmenter les taux d’intérêt (Deutsche Bank)

Un peu gonflé le patron de la Deutsche Bank qui avait tripoté- avec d’autres- sur les taux de change et qui réclame maintenant une hausse des taux de pour améliorer la rentabilité des banques Le patron de Deutsche Bank, John Cryan, a appelé, mercredi, la Banque centrale européenne (BCE) à mettre fin à l’ère de l’argent très bon marché qui conduit à la création de bulles et handicape les banques européennes. La politique des taux d’intérêt au plus bas a un autre effet indésirable, en ayant « contribué à une baisse de l’activité des banques européennes » de 23% par rapport à avant la crise, selon le banquier. Un processus qui se poursuit car des prêts contractés dans le passé à des taux plus élevés viennent chaque jour à échéance. Ceci étant, on  voit mal pourquoi la BCE remonterait  ses taux puisque l’inflation est encore très loin de son objectif de 2 % et que par ailleurs la reprise de la croissance en Europe est encore relativement fragile. Enfin un relèvement des taux serait susceptible de faire encore remonter l’euro. Finalement ce discours de certaines banques allemandes est assez contradictoire.

 

Deutsche Bank : crainte exagérée ?

Deutsche Bank : crainte exagérée ?

 

La direction de la banque tente de minimiser les risques financiers pesant sur sa société. D’une certaine façon,  les patrons de la banque ont à la fois raison et tort. C’est vrai que le chiffre de 55 000 milliards d’expositions à travers des produits dérivés paraît considérable mais il est à mettre en lien avec les 700 000 milliards de produits dérivés détenus par toutes les banques au monde. La Deutsche  bank notamment depuis les années 2000 à opéreé une mutation de son objet social pour passer du financement de l’économie a une  activité spéculative comme nombre  de banques ;  ce qui est d’ailleurs provoqué la crise financière de 2007 2009 . d’une façon générale, les institutions tentent de minimiser les risques de la Deutsche  bank car la faillite d’une telle société ne serait pas sens conséquence sur le système bancaire international. D’où d’ailleurs les propos rassurants du gouverneur de la Banque de France hier concernant la solidité des banques européennes. Deutsche Bank continue de réduire la taille de son portefeuille de produits dérivés, qui n’est pas aussi risqué que certains investisseurs pourraient croire, déclare le directeur des risques de la banque allemande, Stuart Lewis, dans un entretien publié par le journal Welt am Sonntag. « Les risques dans notre portefeuille de dérivés sont massivement surestimés », a-t-il dit. L’exposition de 46.000 milliards d’euros paraît importante mais reflète la valeur notionnelle des contrats, alors que l’exposition nette est bien inférieure et se situe à environ 41 milliards d’euros. « Ce chiffre de 46.000 milliards (certains avancent le chiffre de 55 milliards NDLR) paraît gigantesque mais est complètement trompeur. Le vrai risque est bien inférieur », a ajouté Stuart Lewis, en notant que le niveau de risque de Deutsche Bank était comparable à celui d’autres banques d’investissement. « On s’efforce de simplifier nos opérations et on réduit notre portefeuille de dérivés. Une partie a été transférée au sein d’une unité non stratégique il y a déjà quelques années », a-t-il encore indiqué. De nouvelles réglementations imposées après la crise financière de 2009 découragent les prises de risque des banques sur les marchés et ont contraint Deutsche Bank à réduire drastiquement son exposition aux produits dérivés. La principale banque allemande est également fragilisée par la perspective d’une amende pouvant atteindre 14 milliards de dollars (12,5 milliards d’euros) aux Etats-Unis pour régler un litige portant sur la vente de titres adossés à des actifs immobiliers avant la crise des « subprimes ». Présent à Washington pour l’assemblée générale du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a affirmé qu’on avait « trop parlé » des difficultés de Deutsche Bank ces dernières semaines.

(Avec Reuters)

Deutsche Bahn :suppression de milliers de postes

Deutsche Bahn :suppression de  milliers de postes

Le groupe allemand de transport ferroviaire Deutsche Bahn qui dégage pourtant un bénéfice des cotations envisage de réduire sérieusement ses effectifs. En réalité la compagnie comme toutes les autres sociétés de chemin de fer subit les conséquences de la libéralisation quasi totale en matière de fret et doit affronter parallèlement les nouvelles modalités de mobilité assurée par les autres modes de transport. Une problématique qui ne concerne pas seulement la compagnie allemande.La Deutsche Bahn   Envisage donc de mettre en oeuvre un vaste plan d’économies qui inclurait la suppression de plusieurs milliers de postes, notamment dans le fret, a-t-on appris jeudi de sources proches du projet.  Selon celui-ci, environ 5.000 emplois seraient menacés dans la seule division de fret.  Le groupe public travaille avec le cabinet de conseil McKinsey sur ce projet, qui doit être bouclé d’ici décembre et validé par le conseil de surveillance.  Deutsche Bahn s’est refusé à confirmer l’existence du projet.   »Il y a des idées qui sont à l’étude et qui n’ont en aucune manière été validées par le conseil, donc nous ne ferons aucun commentaire », a dit un porte-parole. Deutsche Bahn a réalisé en 2014 un bénéfice d’exploitation en baisse de près de 6% à 2,1 milliards d’euros.

Ferroviaire : pas de privatisation de Deutsche Bahn

Ferroviaire : pas de privatisation de  la Deutsche Bahn

La Deutsche Bahn  a échappé à une privatisation grâce  participation du SPD au gouvernement. Le gouvernement allemand a en effet discrètement renoncé à une privatisation partielle de Deutsche Bahn, une semaine après la publication par Reuters d’une dépêche évoquant ce projet, ce qui avait mécontenté les partenaires sociaux-démocrates d’Angela Merkel au gouvernement. Sous la pression du SPD, qui a toujours été réticent à l’idée de vendre l’une des plus grandes entreprises d’Allemagne, la coalition gouvernementale a modifié la formulation d’un rapport sur les participations de l’Etat fédéral. Une précédente version de ce rapport qualifiait une privatisation de Deutsche Bahn d’ »option » pour l’avenir. Dans la version amendée adoptée mercredi par le gouvernement, il est écrit : « Les conditions d’une privatisation partielle des divisions transport et logistique (de Deutsche Bahn) ne sont actuellement pas réunies. » Le ministère de l’Economie, dirigé par le social-démocrate Sigmar Gabriel, a insisté pour obtenir cette modification, écrit le vice-ministre des Finances, Johannes Geismann, dans une lettre adressée à d’autres ministères, que Reuters a aussi pu consulter.

 




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