Archive pour le Tag 'détriment'

Audience des syndicats-A EDF, La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

Audience des syndicats-A EDF, La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

La CFE-CGC devient le premier syndicat des cadres à EDF à la place de la CGT. La CGC est passée de 25% des voix en 2016 à 29% en 2019 et finalement 33% cette année. Dans le même temps, la CGT dégringolait de 35% à 30%. Derrière, les positions restent inchangées avec la CFDT en troisième position et léger recul à 17% et FO quatrième, stable à 15%. La perte de la majorité de la CGT à EDF constitue un événement social historique. EDF constitue en effet un des derniers fiefs de l’organisation. Globalement la CGT n’a cessé de reculer ainsi alors qu’elle représentait dans les années 1945 autour de 60 % des salariés, elle n’en représente aujourd’hui qu’à peine 23 %. La première place au plan confédéral lui a été ravie par la CFDT qui représente 27 % des suffrages. En cause, la trop grande dépendance pendant longtemps de la CGT vis-à-vis du parti communiste et maintenant le glissement très dangereux vers le gauchisme et le corporatisme. Une évolution de l’audience syndicale également due aussi à la transformation sociologique de salariés dont le niveau d’éducation et de formation a considérablement progressé

La représentativité aujourd’hui: la Confédération française démocratique du travail (CFDT) avec 26,77% des suffrages ; la Confédération générale du travail (CGT) 22,96% ; Force ouvrière (FO) 15,24% ; la Confédération générale des cadres (CFE-CGC) 11,92%

La présidence du très stratégique CSE central n’est pas totalement tout à fait assurée pour autant à la CGC. . Une élection entre les délégués doit encore avoir lieu et si la CFE-CGC a pris la première place, elle n’a pas eu la majorité des voix. Tout dépendra du jeu des alliances syndicales.

Cette perte d’influence de la CGT est sans doute lié à sa politique très corporatiste mais aussi à des évolutions sociologiques internes d’une entreprise qui recrute de plus en plus de cadres et de techniciens.

Syndicats-EDF: La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

Syndicats-EDF: La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

La CFE-CGC devient le premier syndicat des cadres à EDF à la place de la CGT. La CGC est passée de 25% des voix en 2016 à 29% en 2019 et finalement 33% cette année. Dans le même temps, la CGT dégringolait de 35% à 30%. Derrière, les positions restent inchangées avec la CFDT en troisième position et léger recul à 17% et FO quatrième, stable à 15%. La perte de la majorité de la CGT à EDF constitue un événement social historique. EDF constitue en effet un des derniers fiefs de l’organisation. Globalement la CGT n’a cessé de reculer ainsi alors qu’elle représentait dans les années 1945 autour de 60 % des salariés, elle n’en représente aujourd’hui qu’à peine 23 %. La première place au plan confédéral lui a été ravie par la CFDT qui représente 27 % des suffrages. En cause, la trop grande dépendance pendant longtemps de la CGT vis-à-vis du parti communiste et maintenant le glissement très dangereux vers le gauchisme et le corporatisme. Une évolution de l’audience syndicale également due aussi à la transformation sociologique de salariés dont le niveau d’éducation et de formation a considérablement progressé

La représentativité aujourd’hui: la Confédération française démocratique du travail (CFDT) avec 26,77% des suffrages ; la Confédération générale du travail (CGT) 22,96% ; Force ouvrière (FO) 15,24% ; la Confédération générale des cadres (CFE-CGC) 11,92%

La présidence du très stratégique CSE central n’est pas totalement tout à fait assurée pour autant à la CGC. . Une élection entre les délégués doit encore avoir lieu et si la CFE-CGC a pris la première place, elle n’a pas eu la majorité des voix. Tout dépendra du jeu des alliances syndicales.

Cette perte d’influence de la CGT est sans doute lié à sa politique très corporatiste mais aussi à des évolutions sociologiques internes d’une entreprise qui recrute de plus en plus de cadres et de techniciens.

EDF: La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

EDF: La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

La CFE-CGC Devient le premier syndicat des cadres à UDF à la place de la CGT. La CGC est passée de 25% des voix en 2016 à 29% en 2019 et finalement 33% cette année. Dans le même temps, la CGT dégringolait de 35% à 30%. Derrière, les positions restent inchangées avec la CFDT en troisième position et léger recul à 17% et FO quatrième, stable à 15%.

La présidence du très stratégique CSE central ne lui est pas tout à fait assurée. Une élection entre les délégués doit encore avoir lieu et si la CFE-CGC a pris la première place, elle n’a pas eu la majorité des voix. Tout dépendra du jeu des alliances syndicales.

Cette perte d’influence de la CGT est sans doute lié à sa politique très corporatiste mais aussi à des évolutions sociologiques internes d’une entreprise qui recrute de plus en plus de cadres et de techniciens.

SFR: Vivendi pour Numericable au détriment de Bouygues…et de Montebourg !

SFR: Vivendi pour  Numericable au détriment de Bouygues…et de Montebourg !

Vivendi a finalement tranché « à l’unanimité » en faveur d’Altice/Numericable qui propose 13,5 milliards d’euros à la réalisation de l’opération ainsi qu’un complément éventuel de prix de 750 millions d’euros, et une participation de 20% pour Vivendi dans le nouvel ensemble, qu’il pourra céder ultérieurement.   »L’ensemble devrait représenter une valeur totale supérieure à 17 milliards d’euros », indique Vivendi.  Cette offre « correspond au projet industriel le plus porteur de croissance, le plus créateur de valeur pour les clients, les salariés et les actionnaires », et répond ainsi « le mieux à (ses) objectifs », a fait valoir le groupe pour justifier son choix. Dans la soirée, le groupe Bouygues a réagi en prenant simplement « acte » de cette décision et soulignant que son offre présentait « les garanties les plus sérieuses tant du point de vue industriel que de l’emploi ».  Cette décision va à contre-courant de ce qu’attendait le gouvernement qui s’est ému ces dernières semaines de voir passer le deuxième opérateur français aux mains d’Altice, un groupe luxembourgeois coté à Amsterdam et dont le patron, Patrick Drahi, est un milliardaire franco-israélien qui vit à Genève depuis 15 ans.   »Il va falloir que M. Drahi rapatrie l’ensemble de ses possessions et biens à Paris, en France, et donc nous avons des questions fiscales à lui poser », avait déclaré Arnaud Montebourg, alors ministre du Redressement productif, devenu depuis ministre de l’Economie.  Ce à quoi Altice a toujours répondu que le nouvel ensemble SFR/Numericable serait une entreprise de droit français cotée à Paris.  Arnaud Montebourg qui n’a jamais caché son soutien à Bouygues, a demandé samedi aux vainqueurs de « faire preuve de patriotisme économique pour le choix de ses fournisseurs ».  Il a également assuré qu’il entendait « redoubler de vigilance » sur les engagements pris le groupe de « ne supprimer aucun emploi postérieurement à la fusion, sous quelque forme que ce soit ». Car, l’emploi est un des défis majeurs pour le nouveau groupe.   »Le projet industriel d’Altice/Numericable est celui qui garantit pleinement le développement de l’emploi dans la durée, notamment par les investissements qu’il implique », assure pour sa part Vivendi.