Archive pour le Tag 'détient'

Grande distribution : E.Leclerc détient 25 % du marché

Grande distribution : E.Leclerc détient 25 % du marché

En parts de marché, E.Leclerc serait plus que jamais l’enseigne préférée des Français. Près d’un quart des achats de produits de grande consommation se ferait en effet dans un magasin du groupe.

Sur la période mi-avril/mi-mai, E.Leclerc obtient 23,9% des parts du marché, selon Kantar. Avec une augmentation de +1,1 point, le groupe creuse l’écart avec son poursuivant, Carrefour. L’attractivité de ce dernier reste néanmoins stable, le groupement captant toujours 18,8 % des achats de produit de grande consommation. La troisième marche est occupée par Les Mousquetaires et ses 16,4% de parts du marché. Viennent ensuite Système U (11,6%), Auchan Retail (8,3%), Lidl (8,2%) et Casino (6,1%).

En période d’inflation, les discounters attirent également davantage de clients. Lidl enregistre une hausse du même acabit, avec +0,5 pt. Aldi observe une progression encourageante, avec 0,2 point en plus.

La BCE détient 1.000 milliards de fausse monnaie

La BCE détient  1.000 milliards de fausse monnaie

 

 

D’une certaine manière la BCE détient de l’ordre de 1000 milliards de fausses monnaies correspondant  pour l’essentiel à des emprunts d’État rachetés et qui seront remboursés un jour dans 5ans, 10 ans ou 20 ans voir plus tard ou même pas du tout. De toute manière très dévalorisée lors de leur éventuel remboursement compte tenu de l’inflation inévitable. Bref on fait tourner la planche à billets. Comme bien d’autres banques centrales mais du coup les effets s’annulent. Une sorte de monnaie de singe sans doute nécessaire pour redonner un peu d’oxygène  budgétaire au service de la croissance qui  pourtant demeure très molle Le montant des actifs détenus par la Banque centrale européenne (BCE) a atteint la semaine dernière le seuil symbolique des 1.000 milliards d’euros après 18 mois de rachats de dette souveraine des pays de la zone euro. La BCE a racheté pour 11,14 milliards d’euros d’obligations d’Etat lors de la semaine au 2 septembre, sur un total de 13,75 milliards d’euros de titres acquis. Un an et demi après le lancement de ce programme d’assouplissement quantitatif (QE), destiné à relancer l’activité et à redresser l’inflation dans la zone euro, les résultats sont au mieux mitigés. Le crédit bancaire est certes reparti mais il reste peu dynamique et l’inflation demeure éloignée de l’objectif de la BCE d’une hausse des prix légèrement inférieure à 2%. Dresser un bilan est toutefois risqué car il est impossible de savoir quel serait l’état économique de la zone euro sans cette initiative de la BCE. Ce programme, qui consiste à racheter 80 milliards d’euros d’actifs chaque mois, est censé expirer en mars prochain. Le président de la BCE, Mario Draghi, ne devrait rien annoncer de spectaculaire à l’issue de la réunion du conseil des gouverneurs qui se tiendra jeudi mais il pourrait évoquer une prolongation ou une modification de ce QE.

 

(Avec Reuters)

 

1% de la population détient la moitié de la richesse mondiale.

1% de la population détient la moitié de la richesse mondiale.

 

Accroissement de la richesse mondiale mais surtout des inégalités. : es riches sont encore plus nombreux mais encore plus riches. Les écarts ne cessent de s’agrandir même si effectivement l’extrême pauvreté recule dans le monde.  Le nombre de personnes dans le monde vivant sous le seuil d’extrême pauvreté (1,90 dollar par jour et par personne)  a diminué d’un peu plus d’un milliard en trente ans, passant de 2 milliards en 1981 à 900 millions en 2012 Une évolution d’autant plus positive que, dans le même temps, la population mondiale est passée de 4,5 à 7 milliards d’individus. Du coup, le taux d’extrême pauvreté a été divisé par 3,5 : 12,8 % de la population des pays en voie de développement ou émergents vit aujourd’hui avec moins de 1,90 dollar par jour, contre 44,3 % il y a 30 ans.

La richesse dans le monde a encore progressé l’an dernier, mais à un rythme moins soutenu qu’en 2014 (5,2 % au lieu de 7,5 %), selon le dernier rapport du Boston Consulting Group. Le ralentissement de la croissance mondiale et la forte baisse des rendements des actifs financiers n’ont pas permis aux ménages de s’enrichir aussi vite que l’année précédente.

C’est dans les pays développés que le coup de frein est le plus marqué. Si les États-Unis demeurent le pays le plus riche du monde, le patrimoine (hors résidence principale) des habitants d’Amérique du Nord n’a par exemple augmenté que de 2 % en 2015, trois fois moins vite qu’un an plus tôt. Il dépasse désormais 60.000 milliards de dollars mais reste très concentré dans les mains des plus aisés: les millionnaires en détiennent 62%.

En Europe de l’Ouest, le ralentissement est plus modeste. La richesse des ménages a même finalement augmenté plus vite qu’outre-Atlantique en 2015. Elle s’est arrondie de 4 % en un an (contre 6 % en 2014), grâce à des marchés financiers assez cléments dans certains pays. En dépit de sa faible croissance économique, la France a bien tiré son épingle du jeu. La richesse y a progressé de plus de 5 % l’an dernier, selon le BCG, un des taux les plus élevés du Vieux Continent. Si les détenteurs d’un patrimoine inférieur à 1 million de dollars n’ont en moyenne vu leurs actifs s’arrondir que de 2 %, ceux qui détiennent entre 1 et 20 millions ont vu le leur bondir de plus de 10 %. «Il est prévu que ce segment reste très dynamique cette année», indique Benoît Macé, directeur associé du Boston Consulting Group. Malgré la baisse des cours du pétrole, des matières premières et la crise ukrainienne, l’Europe de l’Est s’est bien défendu, avec des actifs en hausse de 6 % l’an dernier. C’est quand même presque moitié moins qu’en 2014 (11%). Mais, sans surprise, c’est en Asie-Pacifique que l’année a été la plus florissante. Le Japon est le seul pays où la richesse a progressé plus vite en 2015 qu’en 2014 (4 % au lieu de 3 %), grâce à la bonne tenue de la Bourse nipponne. Mais le reste de la région a été bien plus dynamique que l’Archipel, puisque le patrimoine des foyers y a bondi de 13 %, pour atteindre 37 000 milliards de dollars, grâce surtout à la hausse des revenus des individus, puisque les marchés financiers locaux n’ont guère été porteurs.  À ce rythme, prédit le BCG, les cartes risquent d’être très vite rebattues. L’Europe pourrait perdre son statut de deuxième région la plus riche du monde dès 2017 et l’Amérique du Nord se voir ravir par l’Asie à son tour sa place de numéro un après 2020. À cette date, les millionnaires, qui détiennent aujourd’hui dans le monde 47 % des richesses, en posséderont plus de la moitié (52 % selon le BCG). Car leurs fortunes continuent de prospérer plus vite que la moyenne. C’est le segment des plus riches d’entre eux - ceux qui sont à la tête de plus de 100 millions de dollars - qui a vu son patrimoine s’envoler le plus vite l’an dernier, au rythme de 7 % en moyenne. Dans la région Asie-Pacifique, ces très grandes fortunes ont même enregistré une croissance de 21 % en un an. De plus, le cercle des millionnaires dans le monde continue de s’élargir. Leur nombre a augmenté de 6 % en un an, grâce notamment à la Chine et l’Inde, grands pourvoyeurs de nouvelles fortunes. Mais c’est toujours en Suisse et au Liechtenstein que se trouve la plus forte densité de millionnaires.

 

(Avec le Figaro)




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