Archive pour le Tag 'destitution'

Destitution de Macron : les députés PS contre

Destitution de Macron : les députés PS contre

Nouvelle ambiguïté des socialistes qui au bureau de l’assemblée voteront pour pour l’examen de la procédure de destitution de Macron mais s’y opposeront lors du vote de l’assemblée. Et de tenter de s’expliquer «les socialistes n’ont pas changé de point de vue sur le fond». «Nous sommes résolument opposés à cette procédure, héritière de la procédure d’exception pour “haute trahison”», .

Ces députés PS et apparentés n’étant pas à l’initiative de la procédure, ils «s’opposeront unanimement» dans un second temps, à son examen en Commission des lois et en séance publique. Pourquoi ? Ils considèrent que l’opération, «vouée à l’échec», pourrait donner une sorte de «légitimité» au président de la République. Et le «remettre au centre du débat politique»«Nous ne voulons donner aucune victoire à Emmanuel Macron. Le pouvoir n’est plus à l’Élysée, il est au Parlement», affirment les élus. Qui entendent «mettre toutes leurs forces» pour censurer le gouvernement.

Si le texte, signé par 81 députés après le refus du président de nommer Lucie Castets à Matignon, passera normalement la première étape, son adoption définitive semble très  improbable au vu des rapports de force.

Les « Insoumis » s’agitent toujours en demandant la destitution de Macron

Les « Insoumis » s’agitent toujours en demandant la destitution de Macron

Les « insoumis » toujours à la pointe révolutionnaire renouvellent leur volonté de destituer Macron. Une hypothèse qui n’a aucune chance d’être retenue compte tenu de la procédure mais qui a l’avantage de faire le buzz. Ce n’est sans doute pas sur le terrain juridique se posera la question du départ de Macron mais plutôt sur le terrain politique. En effet en multipliant les contradictions et en retardant la nomination d’un premier ministre, Macron a surtout commis une nouvelle faute politique dont il risque de payer le prix. Le prix surtout de la dissolution qui a enfoncé le pays dans l’immobilisme. Une fois les gouvernements provisoires épuisés après avoir été renversés se posera effectivement non  pas la destitution mais le départ volontaire de Macron ou à défaut sa paralysie complète.. Ce qui est évoqué d’ailleurs très malicieusement Édouard Philippe qui n’exclut plus une élection présidentielle avant 2027.

 

Mathilde Panot a annoncé le dépôt de la proposition de résolution visant à destituer le chef de l’État. Elle affirme que le texte sera signé par d’autres parlementaires que ceux de La France insoumise.

 

Avec cette proposition de résolution, La France insoumise (LFI) entend apporter «une réponse politique à la hauteur du coup de force antidémocratique qu’est en train de faire le président de la République». Mathilde Panot affirme que le nombre de signataires du texte «ira au-delà des rangs insoumis» (72 députés). Elle évoque notamment des «députés ultramarins» du groupe communiste et la parlementaire écologiste Sandrine Rousseau, elle aussi toujours à la pointe du combat extrémiste.

 

Écolo : Sandrine Rousseau toujours en pointe de l’extrémisme pour la destitution de Macron

Écolo : Sandrine Rousseau toujours en pointe de l’extrémisme pour la destitution de Macron

 

Toujours en pointe de l’extrémisme et de plus en plus proche des insoumis, Sandrine Rousseau rejoint finalement Macon et son parti pour demander la destitution du président de la république. Et de s’associer aussi aux manifestations « massives » réclamées par LFI et des organisations gauchistes. Bref, pour Sandrine Rousseau la révolution est aussi en marche en tout cas celle du bavardage, de l’excès et de l’exhibitionnisme.

Sandrine Rousseau estime que la gauche doit «adopter une motion de censure contre tout gouvernement non issu du NFP.» Et «appeler à des manifestations massives». Manière de rejoindre la mobilisation organisée par LFI et plusieurs organisations syndicales lycéennes et étudiantes à Paris le 7 septembre prochain.

«Le NFP a été élu sur un mandat et un programme. Peut-être que certains responsables de gauche ou écologistes sont tentés de s’allier au centre ou à la droite, mais ce serait trahir les électeurs que de céder à cette demande d’Emmanuel Macron», prévient-elle. Avant d’être catégorique : «Le président ne peut pas casser le NFP.»

Destitution de Macron : Le PS ne soutient pas les « Insoumis »

 Destitution de Macron  : Le PS ne soutient pas les « Insoumis »

Le Parti socialiste (PS)  s’est désolidarisé de ses alliés « Insoumis » qui ont menacé dans un texte publié dans La Tribune Dimanche d’engager une procédure de destitution contre Emmanuel Macron, faisant disparaître toute chance de voir cette procédure aboutir.

«Cette tribune n’est signée que par les dirigeants de LFI, a souligné Olivier Faure sur X. Elle n’engage que leur mouvement. La réponse à une nomination d’un PM qui ne serait pas conforme à la tradition républicaine, est la censure.»

 

Même s’il avait été soutenu par tout le NFP, cet «avertissement solennel» des Insoumis aurait été complexe à mettre en place: une procédure de destitution nécessite en effet de convaincre Assemblée et Sénat de se constituer en «Haute cour». Ce qui nécessite, notamment, une majorité des deux tiers dans chaque hémicycle, puis lors du vote de tous les parlementaires.

D’autres membres du PS se sont désolidarisés de la proposition de LFI, comme l’opposant interne à Olivier Faure, Nicolas Mayer-Rossignol. «Discutée ? Non. Approuvée ? Non. Engageant le NFP ? Non. Cette tribune – ni fait ni à faire – n’engage que ses auteurs», a écrit sur X le maire de Rouen

 

Pétition en cours pour la destitution de Macron

Pétition en cours pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Politique- Pétition pour la destitution de Macron

Politique- Pétition pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Politique- Pétition pour la destitution de Macron

Politique- Pétition pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Politique: pétition en cours pour la destitution de Macron

Politique: pétition en cours pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement démis .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Politique-Une pétition en cours pour la destitution de Macron

Politique-Une pétition en cours pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Une pétition en cours pour la destitution de Macron

Une pétition en cours pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Trump: le procès en destitution engagé

Trump: le procès en destitution engagé

 

Le vote à la Chambre contrôlée par les démocrates ( de 232 voix contre 197) est engagé à la suite de l’assaut meurtrier contre la démocratie américaine ; ceci étant,  il semble peu probable que la destitution rapide conduise à l’éviction de Trump avant la fin de son mandat . Par contre ce processus judiciaire pourrait interdire à Trump toute perspective de réélection.

Mais même s’il a quitté la Maison Blanche, une condamnation au Sénat de Trump pourrait conduire à un vote sur l’interdiction de lui de se présenter à nouveau.

La Chambre a adopté un seul article de destitution – une accusation formelle – accusant Trump d ‘«incitation à l’insurrection», axé sur un discours incendiaire qu’il avait prononcé une semaine plus tôt devant des milliers de partisans peu de temps avant que la foule pro-Trump ne se déchaîne dans le Capitole.

Au cours de son discours, Trump a répété de fausses déclarations selon lesquelles l’élection était frauduleuse et a exhorté les partisans à marcher sur le Capitole, leur disant «d’arrêter le vol», «montrer leur force», «lutter beaucoup plus fort» et utiliser «des règles très différentes».

«Le président des États-Unis a incité à cette insurrection, cette rébellion armée contre notre pays commun», a déclaré la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, une démocrate, à la Chambre avant le vote.  »Il doit partir. Il représente un danger clair et présent pour la nation que nous aimons tous.

Trump : nouveau procès en destitution

Trump : nouveau procès en destitution

 

Le processus est maintenant lancé même si la procédure demandera du temps. L’objectif est de destituer Trump mais surtout de lui interdire de se représenter à nouveau en 2024. La chambre des représentants (députés) a voté cette procédure avec 232 voix contre 197

La Chambre a adopté un seul article de destitution – une accusation formelle – accusant Trump d ‘«incitation à l’insurrection», axé sur un discours incendiaire qu’il avait prononcé une semaine plus tôt devant des milliers de partisans peu de temps avant que la foule pro-Trump ne se déchaîne dans le Capitole.

La mise en accusation devra passer aussi devant le Sénat où désormais grâce à la voix du président, les démocrates disposent aussi de la majorité. Le procès en destitution pourra donc se tenir.

La foule a perturbé la certification officielle de la victoire de Biden sur Trump lors des élections du 3 novembre, a envoyé les législateurs dans la clandestinité et laissé cinq personnes mortes, dont un policier.

Au cours de son discours, Trump a répété de fausses déclarations selon lesquelles l’élection était frauduleuse et a exhorté les partisans à marcher sur le Capitole, leur disant «d’arrêter le vol», «montrer leur force», «lutter beaucoup plus fort» et utiliser «des règles très différentes».

Aucun président américain n’a jamais été démis de ses fonctions par mise en accusation. Trois – Trump en 2019, Bill Clinton en 1998 et Andrew Johnson en 1868 – avaient auparavant été destitués par la Chambre mais acquittés par le Sénat.

Dix républicains ont voté pour la destitution, dont Liz Cheney, la troisième républicaine de la Chambre.

Trump : destitution avant ou après la fin de son mandat

Trump : destitution avant ou après la fin de son mandat

il ne reste que neuf jours avant la fin du mandat de Trump. Un délai sans doute trop court pour obtenir une destitution par le Parlement. Reste que la procédure engagée pourrait se poursuivre après le départ de Trump. L’objectif n’est pas tellement de l’éjecter de Maison-Blanche mais surtout d’empêcher une éventuelle candidature en 2024

Mais il est peu probable qu’une censure satisfasse les démocrates furieux. La présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, a déclaré lundi aux députés démocrates lors d’une conférence téléphonique qu’elle refusait une simple censure à l’égard de Trump et qu’elle souhaitait une véritable destitution au motif de tentative d’insurrection.

Des milliers de partisans de Trump ont pris d’assaut le siège du Congrès mercredi dernier, forçant les législateurs qui certifiaient la victoire électorale du président démocrate élu Joe Biden à se cacher dans un assaut déchirant contre le cœur de la démocratie américaine qui a fait cinq morts.

La violence s’est produite peu de temps après que Trump a exhorté ses partisans à marcher sur le Capitole lors d’un rassemblement où il a répété de fausses déclarations selon lesquelles les élections du 3 novembre avaient été «truquées» contre lui.

Les démocrates ont officiellement introduit lundi une accusation de destitution, accusant Trump d ‘«incitation à l’insurrection».

Les démocrates de la Chambre ont destitué Trump en décembre 2019 pour avoir fait pression sur l’Ukraine pour qu’elle enquête sur Biden, mais le Sénat contrôlé par les républicains a voté pour ne pas le condamner.

Même si la Chambre destituait à nouveau Trump, le Sénat ne devrait pas retourner à Washington avant le 19 janvier.

Le chef démocrate du Sénat, Chuck Schumer, a exploré des moyens de rappeler la chambre à une session d’urgence, a déclaré un assistant démocrate principal, bien que le chef de la majorité républicaine, Mitch McConnell, devrait y consentir.

Une condamnation pour destitution nécessite une majorité des deux tiers, ce qui nécessiterait au moins 17 votes républicains. Jusqu’à présent, seule une poignée de législateurs républicains ont déclaré publiquement qu’ils envisageraient de voter pour la destitution.

Les démocrates prendront le contrôle du Sénat une fois que les vainqueurs du récent second tour des élections en Géorgie seront assis, ce qui créera un partage 50-50 avec la vice-présidente élue Kamala Harris qui tiendra le vote décisif après son entrée en fonction avec Biden.

Trump : la destitution, la prison ou l’asile

 

On sait que les États-Unis ont toujours entretenu des relations sulfureuses avec la cour pénale internationale. Du coup on voit mal les États-Unis accepter  que Trump paraisse devant cette juridiction. Mais il n’est pas interdit par contre que l’ONU  émette l’idée d’un tribunal international pour  juger de l’action de Trump dans beaucoup de domaines. Le choix de Trump est désormais assez limité. Il peut démissionner rapidement ce qui lui éviterait la perspective d’une destitution plus infamante lui interdisant par ailleurs la perspective d’une nouvelle candidature en 2024. Mais psychologiquement très dérangé, trump pourrait utilement être soigné dans un asile psychiatrique. L’intéressé est dangereusement narcissique et prêt à tout pour satisfaire son orgueil et sa fantaisie. Ce type est un idiot notoire et un malade mental qui devrait interroger les États-Unis sur l’état de leur  démocratie. Comment un tel individu a-t-il pu se présenter et être élu. Pire, il n’a subi que des critiques assez marginales au cours de quatre ans d’excès de toutes sortes promettant par exemple de construire un mur pour arrêter l’immigration et le virus !

Même les avocats célèbres refusent de défendre trame. Il a eu du mal à attirer des talents juridiques de premier ordre depuis l’enquête de l’ancien conseiller spécial Robert Mueller sur l’ingérence russe dans l’élection présidentielle de 2016, et la condamnation généralisée de la violence au Capitole peut décourager d’autres personnes de s’inscrire.

L’avocat de la Maison Blanche, Pat Cipollone, a aidé à diriger l’équipe de la défense lors d’un procès de destitution l’année dernière, lorsque Trump a été accusé d’abuser de son pouvoir en demandant au gouvernement ukrainien d’annoncer des enquêtes pour discréditer Biden, son rival politique démocrate.

Les avocats personnels de longue date de Trump, tels que Jay Sekulow, ne devraient pas défendre le président, ont déclaré des sources proches du dossier, bien que Sekulow ait été impliqué dans tout, de l’enquête Mueller à la destitution de l’Ukraine en passant par la lutte contre une assignation à comparaître pour les déclarations de revenus de Trump.

Alan Dershowitz, le professeur émérite de droit de Harvard qui a plaidé dans le cadre de la défense dans le procès de destitution de Trump l’année dernière, a déclaré à Reuters vendredi qu’il serait honoré d’aider à défendre Trump compte tenu des problèmes du premier amendement, si on lui demandait.

Mais dimanche, il a déclaré qu’il n’avait pas pris de décision. Il a également déclaré qu’il ne pensait pas qu’il y aurait un rôle significatif pour un avocat cette fois-ci, avec une mise en accusation rapide à la Chambre et un procès improbable au Sénat.

Reste seulement l’autre fou, l’avocat Giuliani , un fervent partisan de Trump depuis sa première candidature à la présidence. Il est devenu un avocat personnel pour lui lors de l’enquête Mueller, qui a révélé que Trump avait entravé l’enquête mais s’est arrêté avant de conclure qu’il avait commis un crime.

La propre pression de Giuliani sur l’Ukraine a contribué au procès de destitution de Trump l’année dernière et il a également joué un rôle dans les événements ayant conduit à la violence au Capitole, qui a entraîné la mort de cinq personnes, dont un policier.

Lors d’un rassemblement avant l’émeute, Trump a répété sa fausse affirmation selon laquelle il avait remporté l’élection et a dit à ses partisans de marcher vers le Capitole et «d’arrêter le vol». Giuliani a également prononcé un discours lors du rassemblement, disant: «Faisons un procès par le combat.»

Certains législateurs ont déclaré que Giuliani devrait être radié. Bref il ne reste pas grand monde pour défendre un aliéné, narcissique et pervers. L’envahissement de l’acropole initiée par trame aura fait cinq morts qui peut-être ne justifieront même pas d’un procès tellement la démocratie américaine est malade.

Les démocrates pour la destitution de Trump

Les démocrates pour la destitution de Trump

 

Dernière humiliation pour Trump, la demande par les démocrates de sa destitution pour incompétence.

La démarche n’est peut-être pas tellement de le destituer à quelques jours de la fin de son mandat mais de le discréditer juridiquement pour qu’il ne puisse pas se représenter en 2024

 

Trump a exhorté des milliers de partisans à marcher sur le Capitole alors que le Congrès se réunissait pour certifier sa défaite face au démocrate Joe Biden, provoquant le chaos dans lequel des foules ont pénétré dans le bâtiment, forcé l’évacuation des deux chambres et laissé un policier et quatre autres morts dans leur sillage.

«Après un examen attentif des récents Tweets du compte @realDonaldTrump et du contexte qui les entoure, nous avons suspendu définitivement le compte en raison du risque d’incitation à la violence», a déclaré Twitter.

Les plans de futures manifestations armées proliféraient sur et en dehors de Twitter, a ajouté la société, y compris une proposition d’attaque secondaire contre le Capitole le 17 janvier.

La présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, a déclaré vendredi que si Trump ne démissionnait pas, elle avait chargé le comité du règlement de la Chambre de procéder à une motion de destitution et à une législation sur le 25e amendement de la Constitution américaine, qui prévoit la destitution d’un président incapable .

Un sondage Reuters / Ipsos mené jeudi et vendredi a révélé que 57% des Américains souhaitent que Trump soit démis de ses fonctions immédiatement après les violences de mercredi. Près de 70% ont également désapprouvé les actions de Trump à la veille du déchaînement du Capitole.

 

La sénatrice républicaine Lisa Murkowski a déclaré que Trump devrait démissionner immédiatement et que si le parti ne peut pas se séparer de lui, elle n’est pas certaine d’avoir un avenir avec lui.

«Je veux qu’il démissionne. Je veux qu’il sorte. Il a causé suffisamment de dégâts », a déclaré le sénateur de l’Alaska au Anchorage Daily News.

Des articles de mise en accusation, qui sont des accusations formelles de faute, ont été rédigés par les représentants démocrates David Cicilline, Ted Lieu et Jamie Raskin.

Une copie circulant parmi les membres du Congrès accuse Trump d ‘«incitation à la violence contre le gouvernement des États-Unis» dans le but d’annuler sa défaite face à Biden lors de l’élection présidentielle de 2020.

Les articles citent également l’appel téléphonique d’une heure de Trump la semaine dernière avec le secrétaire d’État géorgien Brad Raffensperger, dans lequel Trump a demandé au responsable de «trouver» suffisamment de votes pour annuler la victoire de Biden dans cet État.

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