Archive pour le Tag 'déstabiliser'

Politique- Déstabiliser les deux Etats voyous que sont la Russie et la Chine

Politique- Déstabiliser les deux Etats voyous que sont  la Russie et la Chine

Non contents d’imposer un régime de fer particulièrement antidémocratique, la Russie et la Chine ne cessent de développer leur influence au plan international par des méthodes de voyous (ingérence, corruption, conflits, assassinats, guerre etc.). Certes, il n’est pas dans la tradition des démocraties occidentales de s’immiscer dans le fonctionnement interne des dictatures. Pour autant, on ne peut rester sans réagir face aux actions de déstabilisation de la Russie et de la Chine. Le pire, c’est que l’intoxication parvient à renforcer l’esprit munichois qui gagne des élites occidentales résignées, usées et parfois complices.

Les démocraties occidentales n’ont sans doute pas répondre par des actions armées et des provocations sournoises. Par contre, elles peuvent saper le développement économique de ces deux pays criminels pour lesquels la vie n’a aucune valeur (des centaines de milliers de morts à leur actif parmi leurs populations);  sans parler des victimes étrangères bien entendu.

Il se trouve que les économies de ces deux pays sont sous la coupe de  clans qui paralysent  une partie du dynamisme économique et se répartissent les richesses du pays. Il est temps  les combattre en réduisant le plus possible nos relations commerciales. Par exemple au lieu de taxer à 15 % des importations chinoises on peut imposer un taux allant jusqu’à 100 % vis-à-vis des voitures électriques en particulier. Et de la même manière, il faut réduire et réduire encore les échanges avec la Russie. Il serait temps que les pays occidentaux sortent de leur posture de bisounours vis-à-vis de ces deux Etats criminels qui déstabilisent l’ensemble de la planète et au surplus veulent imposer leur conception totalitaire  et criminelle à l’ensemble du monde

Politique-Il faut déstabiliser les deux Etats voyous que sont la Russie et la Chine

Politique-Il faut déstabiliser les deux Etats voyous que sont  la Russie et la Chine

Non contents d’imposer un régime de fer particulièrement antidémocratique, la Russie mais aussi la Chine ne cessent de développer leur influence au plan international par des méthodes de voyous (ingérence, corruption, conflits, assassinats, guerre etc.). Certes, il n’est pas dans la tradition des démocraties occidentales de s’immiscer dans le fonctionnement interne des dictatures. Pour autant, on ne peut rester sans réagir face aux actions de déstabilisation de la Russie et de la Chine. Le pire, c’est que l’intoxication parvient à renforcer l’esprit munichois qui gagne des élites occidentales résignées, usées et parfois complices.

Les démocraties occidentales n’ont sans doute pas répondre par des actions armées et des provocations sournoises. Par contre, elles peuvent saper le développement économique de ces deux pays criminels pour lesquels la vie n’a aucune valeur (des centaines de milliers de morts à leur actif parmi leurs populations);  sans parler des victimes étrangères bien entendu.

Il se trouve que les économies de ces deux pays sont sous la coupe de  clans qui paralysent  une partie du dynamisme économique et se répartissent les richesses du pays. Il est temps  les combattre en réduisant le plus possible nos relations commerciales. Par exemple au lieu de taxer à 15 % des importations chinoises on peut imposer un taux allant jusqu’à 100 % vis-à-vis des voitures électriques en particulier. Et de la même manière, il faut réduire et réduire encore les échanges avec la Russie. Il serait temps que les pays occidentaux sortent de leur posture de bisounours vis-à-vis de ces deux Etats criminels qui déstabilisent l’ensemble de la planète et au surplus veulent imposer leur conception totalitaire  et criminelle à l’ensemble du monde

Il faut déstabiliser les deux Etats voyous que sont la Russie et la Chine

Il faut déstabiliser les deux Etats voyous que sont  la Russie et la Chine

Non contents d’imposer un régime de fer particulièrement antidémocratique, la Russie mais aussi la Chine ne cessent de développer leur influence au plan international par des méthodes de voyous (ingérence, corruption, conflits, assassinats, guerre etc.). Certes, il n’est pas dans la tradition des démocraties occidentales de s’immiscer dans le fonctionnement interne des dictatures. Pour autant, on ne peut rester sans réagir face aux actions de déstabilisation de la Russie et de la Chine. Le pire, c’est que l’intoxication parvient à renforcer l’esprit munichois qui gagnent des élites occidentales résignées, usées et parfois complices.

Les démocraties occidentales n’ont sans doute pas répondre par des actions armées et des provocations sournoises. Par contre, elles peuvent saper le développement économique de ces deux pays criminels pour lesquels la vie n’a aucune valeur (des centaines de milliers de morts à leur actif parmi leurs populations);  sans parler des victimes étrangères bien entendu.

Il se trouve que les économies de ces deux pays sont sous la coupe de  clans qui paralysent  une partie du dynamisme économique et se répartissent les richesses du pays. Il est temps  les combattre en réduisant le plus possible nos relations commerciales. Par exemple au lieu de taxer à 15 % des importations chinoises on peut imposer un taux allant jusqu’à 100 % vis-à-vis des voitures électriques en particulier. Et de la même manière, il faut réduire et réduire encore les échanges avec la Russie. Il serait temps que les pays occidentaux sortent de leur posture de bisounours vis-à-vis de ces deux Etats criminels qui déstabilisent l’ensemble de la planète et au surplus veulent imposer leur conception totalitaire  et criminelle à l’ensemble du monde

Chantage de Poutine qui veut livrer des armes pour déstabiliser l’Occident

Chantage de Poutine qui veut livrer des armes pour déstabiliser l’Occident

 

De toute évidence constate une certaine nervosité chez Poutine qui affirme que la Russie a déjà tué de nombreux conseillers militaires étrangers en Ukraine alors qu’en réalité pour l’instant ils sont  relativement peu nombreux même si effectivement la décision a été prise d’en renforcer le contingent notamment de la part de la France. Maintenant il promet de donner des armes à des pays tiers pour déstabiliser les intérêts de l’Occident. Bref les les actions d’intoxication et de déstabilisation de la part de la Russie continuent à l’échelle de la planète. Cela démontre quand même l’inquiétude du Kremlin vis-à-vis des nouvelles armes de longue portée qui seront bientôt à disposition de l’Ukraine pour frapper directement en Russie d’où partent les assauts d’artillerie contre l’Ukraine

 

Oubliant qu’il est l’agresseur contre l’Ukraine Poutine a déclaré «Si quelqu’un considère possible de fournir de telles armes dans la zone de combats pour frapper notre territoire (…), pourquoi n’aurions-nous pas le droit de fournir nos armes du même type dans des régions du monde où seront frappées les installations sensibles des pays qui agissent ainsi contre la Russie?»

Le président russe a aussi réaffirmé que des instructeurs militaires occidentaux «se trouvent déjà en Ukraine, et y subissent des pertes» qu’ils gardent secrètes. !«Ils sont présents sur le territoire de l’Ukraine et, malheureusement pour eux, ils subissent des pertes. Les États-Unis et les États européens préfèrent garder le silence», a-t-il affirmé lors de cette rencontre organisée en marge du Forum économique de Saint-Pétersbourg (nord-ouest de la Russie).

 

Politique-Déstabiliser les deux Etats voyous: la Russie et la Chine

 

Politique-Déstabiliser les deux Etats voyous: la Russie et la Chine

Non contents d’imposer un régime de fer particulièrement antidémocratique, la Russie mais aussi la Chine ne cessent de développer leur influence au plan international par des méthodes de voyous (ingérence, corruption, conflits, guerre etc.). Certes, il n’est pas dans la tradition des démocraties occidentales de s’immiscer dans le fonctionnement interne des dictatures. Pour autant, on ne peut rester sans réagir face aux actions de déstabilisation de la Russie et de la Chine. Le pire c’est que l’intoxication parvient à renforcer l’esprit munichois qui gagnent des élites occidentales usées et parfois complices.

Les démocraties occidentales n’ont sans doute pas répondre par des actions armées et des provocations sournoises. Par contre, elles peuvent saper le développement économique de ces deux pays criminels pour lesquels la vie n’a aucune valeur (des centaines de milliers de morts à leur actif parmi leurs populations);  sans parler des victimes étrangères bien entendu.

Il se trouve que les économies de ces deux pays sont sous la coupe de  clans qui paralysent  une partie du dynamisme économique et se répartissent les richesses du pays. Il est temps  les combattre en réduisant le plus possible nos relations commerciales. Par exemple au lieu de taxer à 15 % des importations chinoises on peut imposer un taux allant jusqu’à 100 % vis-à-vis des voitures électriques en particulier. Et de la même manière, il faut réduire et réduire encore les échanges avec la Russie. Il serait temps que les pays occidentaux sortent de leur posture de bisounours vis-à-vis de ces deux Etats criminels qui déstabilisent l’ensemble de la planète et au surplus veulent imposer leur conception totalitaire  et criminelle à l’ensemble du monde

Déstabiliser les deux Etats voyous: la Russie et la Chine

Déstabiliser les deux Etats voyous: la Russie et la Chine

Non contents d’imposer un régime de fer particulièrement antidémocratique, la Russie mais aussi la Chine ne cessent de développer leur influence au plan international par des méthodes de voyous (ingérence, corruption, conflits, guerre etc.). Certes, il n’est pas dans la tradition des démocraties occidentales de s’immiscer dans le fonctionnement interne des dictatures. Pour autant, on ne peut rester sans réagir face aux actions de déstabilisation de la Russie et de la Chine. Le pire c’est que l’intoxication parvient à renforcer l’esprit munichois qui gagnent des élites occidentales usées et parfois complices.

Les démocraties occidentales n’ont sans doute pas répondre par des actions armées et des provocations sournoises. Par contre, elles peuvent saper le développement économique de ces deux pays criminels pour lesquels la vie n’a aucune valeur (des centaines de milliers de morts à leur actif parmi leurs populations);  sans parler des victimes étrangères bien entendu.

Il se trouve que les économies de ces deux pays sont sous la coupe de  clans qui paralysent  une partie du dynamisme économique et se répartissent les richesses du pays. Il est temps  les combattre en réduisant le plus possible nos relations commerciales. Par exemple au lieu de taxer à 15 % des importations chinoises on peut imposer un taux allant jusqu’à 100 % vis-à-vis des voitures électriques en particulier. Et de la même manière, il faut réduire et réduire encore les échanges avec la Russie. Il serait temps que les pays occidentaux sortent de leur posture de bisounours vis-à-vis de ces deux Etats criminels qui déstabilisent l’ensemble de la planète et au surplus veulent imposer leur conception totalitaire  et criminelle à l’ensemble du monde

 

Crise Nouvelle-Calédonie : Chine, Russie et Azerbaïdjan à la manœuvre pour déstabiliser l’archipel

Crise Nouvelle-Calédonie :  Chine, Russie et Azerbaïdjan à la manœuvre pour déstabiliser l’archipel 

 

D’après un papier des Échos, l’Azerbaïdjan, la Russie et la Chine sont clairement la manœuvre pour déstabiliser la Nouvelle-Calédonie. Darmanin a notamment assuré ce jeudi matin sur France 2 que l’implication de ce pays du Caucase à Nouméa n’était pas un « fantasme mais une réalité ». Ajoutant qu’« une partie des indépendantistes calédoniens a fait un deal avec l’Azerbaïdjan », sans donner davantage de précisions. La diplomatie azerbaïdjanaise dénonce des accusations « infondées ».

Un papier intéressant mais qui aurait pu parler aussi de pays comme l’Australie ou la Nouvelle-Zélande qui se réjouissent aussi de la perte d’influence de la France dans cette zone stratégique. NDLR

L’Azerbaïdjan a en effet pris fait et cause pour le mouvement indépendantiste kanak via le Groupe d’initiative de Bakou (GIB) qui a été créé le 6 juillet 2023. Ce groupe de réflexion et d’influence affiche, parmi ses objectifs principaux, de « soutenir le combat contre le colonialisme et le néocolonialisme français ». Le GIB se rend depuis plusieurs semaines dans les manifestations contre le dégel du corps électoral et de nombreux manifestants portent fièrement des drapeaux azéris quand d’autres portent des t-shirts avec le logo du GIB.

C’est aussi sur les réseaux sociaux que ce pays du Caucase mène son combat anti-français, comme sur X où le GIB a publié un communiqué pour exprimer « sa pleine solidarité au peuple kanak ». Surtout, il fait porter la responsabilité des violences dans l’archipel à l’Etat français, le « soi-disant pays des droits de l’homme » qui « refuse le doit à l’autodétermination des peuples maintenus sous sa tutelle ».

Un pas supplémentaire a été franchi le 18 avril dernier. Une élue du Congrès de Nouvelle-Calédonie (le parlement local), Omayra Naisseline, s’est rendue à Bakou à la tête d’une délégation pour signer un mémorandum établissant des relations bilatérales entre l’archipel et le Parlement azéri. Gérald Darmanin avait déjà fait part de son irritation, dénonçant devant la commission des Lois de l’Assemblée nationale « une ingérence extrêmement néfaste ».

Le pays pro-russe n’est pas le seul à scruter la Nouvelle-Calédonie et à profiter des tensions actuelles pour gagner en influence dans l’archipel. « Des régimes autoritaires comme la Russie, l’Azerbaïdjan, mais aussi la Chine saisissent la moindre faille dans nos sociétés pour polariser le débat public et pour créer le chaos », a dénoncé à cet égard l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, qui a présidé une commission du Parlement européen sur les ingérences étrangères, sur Public Sénat.

 

 

Crise Nouvelle-Calédonie : Chine, Russie et Azerbaïdjan à la manœuvre pour déstabiliser l’archipel

Crise Nouvelle-Calédonie :  Chine, Russie et Azerbaïdjan à la manœuvre pour déstabiliser l’archipel 

 

D’après un papier des Échos, l’Azerbaïdjan, la Russie et la Chine sont clairement la manœuvre pour déstabiliser la Nouvelle-Calédonie. Darmanin a notamment assuré ce jeudi matin sur France 2 que l’implication de ce pays du Caucase à Nouméa n’était pas un « fantasme mais une réalité ». Ajoutant qu’« une partie des indépendantistes calédoniens a fait un deal avec l’Azerbaïdjan », sans donner davantage de précisions. La diplomatie azerbaïdjanaise dénonce des accusations « infondées ».

L’Azerbaïdjan a en effet pris fait et cause pour le mouvement indépendantiste kanak via le Groupe d’initiative de Bakou (GIB) qui a été créé le 6 juillet 2023. Ce groupe de réflexion et d’influence affiche, parmi ses objectifs principaux, de « soutenir le combat contre le colonialisme et le néocolonialisme français ». Le GIB se rend depuis plusieurs semaines dans les manifestations contre le dégel du corps électoral et de nombreux manifestants portent fièrement des drapeaux azéris quand d’autres portent des t-shirts avec le logo du GIB.

C’est aussi sur les réseaux sociaux que ce pays du Caucase mène son combat anti-français, comme sur X où le GIB a publié un communiqué pour exprimer « sa pleine solidarité au peuple kanak ». Surtout, il fait porter la responsabilité des violences dans l’archipel à l’Etat français, le « soi-disant pays des droits de l’homme » qui « refuse le doit à l’autodétermination des peuples maintenus sous sa tutelle ».

Un pas supplémentaire a été franchi le 18 avril dernier. Une élue du Congrès de Nouvelle-Calédonie (le parlement local), Omayra Naisseline, s’est rendue à Bakou à la tête d’une délégation pour signer un mémorandum établissant des relations bilatérales entre l’archipel et le Parlement azéri. Gérald Darmanin avait déjà fait part de son irritation, dénonçant devant la commission des Lois de l’Assemblée nationale « une ingérence extrêmement néfaste ».

Le pays pro-russe n’est pas le seul à scruter la Nouvelle-Calédonie et à profiter des tensions actuelles pour gagner en influence dans l’archipel. « Des régimes autoritaires comme la Russie, l’Azerbaïdjan, mais aussi la Chine saisissent la moindre faille dans nos sociétés pour polariser le débat public et pour créer le chaos », a dénoncé à cet égard l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, qui a présidé une commission du Parlement européen sur les ingérences étrangères, sur Public Sénat.

 

 

Politique-Nouvelle-Calédonie : Chine, Russie et Azerbaïdjan à la manœuvre pour déstabiliser l’archipel

Politique-Nouvelle-Calédonie :  Chine, Russie et Azerbaïdjan à la manœuvre pour déstabiliser l’archipel

 

D’après un papier des Échos, l’Azerbaïdjan, la Russie et la Chine sont clairement la manœuvre pour déstabiliser la Nouvelle-Calédonie. Darmanin a notamment assuré ce jeudi matin sur France 2 que l’implication de ce pays du Caucase à Nouméa n’était pas un « fantasme mais une réalité ». Ajoutant qu’« une partie des indépendantistes calédoniens a fait un deal avec l’Azerbaïdjan », sans donner davantage de précisions. La diplomatie azerbaïdjanaise dénonce des accusations « infondées ».

L’Azerbaïdjan a en effet pris fait et cause pour le mouvement indépendantiste kanak via le Groupe d’initiative de Bakou (GIB) qui a été créé le 6 juillet 2023. Ce groupe de réflexion et d’influence affiche, parmi ses objectifs principaux, de « soutenir le combat contre le colonialisme et le néocolonialisme français ». Le GIB se rend depuis plusieurs semaines dans les manifestations contre le dégel du corps électoral et de nombreux manifestants portent fièrement des drapeaux azéris quand d’autres portent des t-shirts avec le logo du GIB.

C’est aussi sur les réseaux sociaux que ce pays du Caucase mène son combat anti-français, comme sur X où le GIB a publié un communiqué pour exprimer « sa pleine solidarité au peuple kanak ». Surtout, il fait porter la responsabilité des violences dans l’archipel à l’Etat français, le « soi-disant pays des droits de l’homme » qui « refuse le doit à l’autodétermination des peuples maintenus sous sa tutelle ».

Un pas supplémentaire a été franchi le 18 avril dernier. Une élue du Congrès de Nouvelle-Calédonie (le parlement local), Omayra Naisseline, s’est rendue à Bakou à la tête d’une délégation pour signer un mémorandum établissant des relations bilatérales entre l’archipel et le Parlement azéri. Gérald Darmanin avait déjà fait part de son irritation, dénonçant devant la commission des Lois de l’Assemblée nationale « une ingérence extrêmement néfaste ».

Le pays pro-russe n’est pas le seul à scruter la Nouvelle-Calédonie et à profiter des tensions actuelles pour gagner en influence dans l’archipel. « Des régimes autoritaires comme la Russie, l’Azerbaïdjan, mais aussi la Chine saisissent la moindre faille dans nos sociétés pour polariser le débat public et pour créer le chaos », a dénoncé à cet égard l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, qui a présidé une commission du Parlement européen sur les ingérences étrangères, sur Public Sénat.

Nouvelle-Calédonie : Chine, Russie et Azerbaïdjan à la manœuvre pour déstabiliser l’archipel

Nouvelle-Calédonie :  Chine, Russie et Azerbaïdjan à la manœuvre pour déstabiliser l’archipel

 

D’après un papier des Échos, l’Azerbaïdjan, la Russie et la Chine sont clairement la manœuvre pour déstabiliser la Nouvelle-Calédonie. Darmanin a notamment assuré ce jeudi matin sur France 2 que l’implication de ce pays du Caucase à Nouméa n’était pas un « fantasme mais une réalité ». Ajoutant qu’« une partie des indépendantistes calédoniens a fait un deal avec l’Azerbaïdjan », sans donner davantage de précisions. La diplomatie azerbaïdjanaise dénonce des accusations « infondées ».

L’Azerbaïdjan a en effet pris fait et cause pour le mouvement indépendantiste kanak via le Groupe d’initiative de Bakou (GIB) qui a été créé le 6 juillet 2023. Ce groupe de réflexion et d’influence affiche, parmi ses objectifs principaux, de « soutenir le combat contre le colonialisme et le néocolonialisme français ». Le GIB se rend depuis plusieurs semaines dans les manifestations contre le dégel du corps électoral et de nombreux manifestants portent fièrement des drapeaux azéris quand d’autres portent des t-shirts avec le logo du GIB.

C’est aussi sur les réseaux sociaux que ce pays du Caucase mène son combat anti-français, comme sur X où le GIB a publié un communiqué pour exprimer « sa pleine solidarité au peuple kanak ». Surtout, il fait porter la responsabilité des violences dans l’archipel à l’Etat français, le « soi-disant pays des droits de l’homme » qui « refuse le doit à l’autodétermination des peuples maintenus sous sa tutelle ».

Un pas supplémentaire a été franchi le 18 avril dernier. Une élue du Congrès de Nouvelle-Calédonie (le parlement local), Omayra Naisseline, s’est rendue à Bakou à la tête d’une délégation pour signer un mémorandum établissant des relations bilatérales entre l’archipel et le Parlement azéri. Gérald Darmanin avait déjà fait part de son irritation, dénonçant devant la commission des Lois de l’Assemblée nationale « une ingérence extrêmement néfaste ».

Le pays pro-russe n’est pas le seul à scruter la Nouvelle-Calédonie et à profiter des tensions actuelles pour gagner en influence dans l’archipel. « Des régimes autoritaires comme la Russie, l’Azerbaïdjan, mais aussi la Chine saisissent la moindre faille dans nos sociétés pour polariser le débat public et pour créer le chaos », a dénoncé à cet égard l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, qui a présidé une commission du Parlement européen sur les ingérences étrangères, sur Public Sénat.

Politique et Conseil présidentiel de la science : Encore un gadget pour déstabiliser les institutions du régime

Politique et Conseil présidentiel de la science : Encore un gadget pour déstabiliser les institutions du régime

Pour anodine que puisse paraître la mise en place d’un groupe de scientifiques destiné à éclairer le chef de l’Etat, cette initiative augmente le nombre des intermédiaires dans la prise de décision, en marge de la Constitution, relève, dans une tribune au « Monde », le juriste Thibaud Mulier.

Ce jeudi 7 décembre, le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé la création d’un conseil présidentiel de la science composé de douze membres qui ont été installés en dehors de la logique collégiale de nomination par les pairs caractéristique des milieux scientifiques. Un de plus. Conseil présidentiel pour l’Afrique, des villes, du développement… et pour finir, de la science. Il faut dire que le chef de l’Etat apprécie ces instances ad hoc à l’appareil gouvernemental, déclinées à l’envi et créées ex nihilo, pour l’« aider dans l’orientation, l’alerte et le suivi des décisions prises ».

Un autre choix aurait pu être fait pour gouverner avec les savoirs existants, comme celui de créer une autorité administrative indépendante en la matière, ou bien de nommer un conseiller scientifique auprès du gouvernement. Pour autant, quiconque s’intéresse à ces questions ne s’étonnera pas vraiment de ce choix. Depuis longtemps, nous sommes habitués à l’interventionnisme présidentiel tous azimuts. Les déclinaisons des conseils de défense écologique, sanitaire ou énergétique le rappellent sans ambages.

Pour le chercheur, ce choix nourrit, au mieux, un certain scepticisme devant une telle marque d’intérêt pour son activité, alors que le conseil stratégique de la recherche (créé en 2013 et placé auprès du premier ministre) n’a pas été réuni une seule fois depuis l’accession au pouvoir du président Macron ; au pire, de l’indifférence, tant la souffrance du milieu de l’enseignement supérieur et de la recherche est documentée de longue date. Pour le constitutionnaliste, en revanche, la création de cet énième conseil présidentiel a de quoi interpeller, pour ne pas dire inquiéter.

Elle interpelle dans la mesure où le président Macron poursuit la pratique du « gouvernement par conseil » qui s’inscrit dans le temps long de l’histoire. Sous la monarchie, il était question de polysynodie, souvent attachée à la période de régence, mais qui constituait aussi un système de gouvernement par conseil, la plupart du temps intermittent, doté d’attributions diverses en fonction de sa déclinaison. La politiste Delphine Dulong a mis en évidence que la pratique des « conseils restreints » a été privilégiée pendant les premières décennies de la Ve République, afin de faciliter, justement, l’immixtion du président de la République dans le travail gouvernemental.

Conseil présidentiel de la science : Encore un gadget pour déstabiliser les institutions du régime

Conseil présidentiel de la science : Encore un gadget pour déstabiliser les institutions du régime

Pour anodine que puisse paraître la mise en place d’un groupe de scientifiques destiné à éclairer le chef de l’Etat, cette initiative augmente le nombre des intermédiaires dans la prise de décision, en marge de la Constitution, relève, dans une tribune au « Monde », le juriste Thibaud Mulier.

Ce jeudi 7 décembre, le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé la création d’un conseil présidentiel de la science composé de douze membres qui ont été installés en dehors de la logique collégiale de nomination par les pairs caractéristique des milieux scientifiques. Un de plus. Conseil présidentiel pour l’Afrique, des villes, du développement… et pour finir, de la science. Il faut dire que le chef de l’Etat apprécie ces instances ad hoc à l’appareil gouvernemental, déclinées à l’envi et créées ex nihilo, pour l’« aider dans l’orientation, l’alerte et le suivi des décisions prises ».

Un autre choix aurait pu être fait pour gouverner avec les savoirs existants, comme celui de créer une autorité administrative indépendante en la matière, ou bien de nommer un conseiller scientifique auprès du gouvernement. Pour autant, quiconque s’intéresse à ces questions ne s’étonnera pas vraiment de ce choix. Depuis longtemps, nous sommes habitués à l’interventionnisme présidentiel tous azimuts. Les déclinaisons des conseils de défense écologique, sanitaire ou énergétique le rappellent sans ambages.

Pour le chercheur, ce choix nourrit, au mieux, un certain scepticisme devant une telle marque d’intérêt pour son activité, alors que le conseil stratégique de la recherche (créé en 2013 et placé auprès du premier ministre) n’a pas été réuni une seule fois depuis l’accession au pouvoir du président Macron ; au pire, de l’indifférence, tant la souffrance du milieu de l’enseignement supérieur et de la recherche est documentée de longue date. Pour le constitutionnaliste, en revanche, la création de cet énième conseil présidentiel a de quoi interpeller, pour ne pas dire inquiéter.

Elle interpelle dans la mesure où le président Macron poursuit la pratique du « gouvernement par conseil » qui s’inscrit dans le temps long de l’histoire. Sous la monarchie, il était question de polysynodie, souvent attachée à la période de régence, mais qui constituait aussi un système de gouvernement par conseil, la plupart du temps intermittent, doté d’attributions diverses en fonction de sa déclinaison. La politiste Delphine Dulong a mis en évidence que la pratique des « conseils restreints » a été privilégiée pendant les premières décennies de la Ve République, afin de faciliter, justement, l’immixtion du président de la République dans le travail gouvernemental.

Iran et Hamas : déstabiliser le Moyen-Orient et les démocraties en Occident

Iran et Hamas : déstabiliser le Moyen-Orient et les démocraties en Occident

Les pays occidentaux, les observateurs et les médias ont souvent des pudeurs de gazelle pour qualifier les responsables d’un événement tragique comme n Israël. Un manque de lucidité sans doute tout autant qu’un manque de courage.

Comment en effet comprendre la politique suicidaire du Hamas vis-à-vis des palestiniens sans mettre en cause la responsabilité première de l’Iran. Ce pays était d’ailleurs présent lors de la réunion stratégique tenue à Beyrouth pour décider l’opération. D’une certaine manière, les palestiniens du Hamas jouent les idiots utiles et les martyrs en même temps d’une opération qui les dépasse. En effet la barbarie de l’attaque du Hamas sur des civils ne pouvait que provoquer la dure réaction d’Israël. De la même manière ,cette réaction guerrière sur Gaza va provoquer l’indignation et la colère de la rue au Proche-Orient. L’objectif pour l’Iran et aussi de déstabiliser les pouvoirs des pays visés pour leur substituer des républiques islamiques. Mais l’Iran a aussi des objectifs en Occident pour susciter aussi la colère de musulmans extrémistes voire pour les inciter indirectement à commettre des actes de sauvagerie.

L’Iran se conduit à l’extérieur comme à l’intérieur de ses frontières; En dictature sanglante notamment vis-à-vis des femmes et de toutes les oppositions. La grande différence avec l’Occident ,c’est que au nom d’une pseudo religion, la vie ne compte pas en Iran. La vie ne compte pas à l’intérieur des frontières et pas davantage à l’extérieur.

D’une certaine manière, l’Iran a repris le rôle de daesh souvent avec le soutien implicite d’autres dictatures comme la Russie voire la complicité de la Chine. Deux pays qui ne considèrent pas le Hamas comme une organisation terroriste.

Les palestiniens seront les premières victimes de cette stratégie mortifère et les Israéliens ensuite. À moins que l’Occident se réveille enfin pour comprendre les facteurs explicatifs de la politique iranienne et au-delà pour affaiblir d’abord ce régime et contribuer à l’abattre.

Guerre Hamas–Israël -objectif de l’Iran: déstabiliser le Moyen-Orient et les démocraties en Occident

Guerre Hamas–Israël -objectif de l’Iran: déstabiliser le Moyen-Orient et les démocraties en Occident

Les pays occidentaux, les observateurs et les médias ont souvent des pudeurs de gazelle pour qualifier les responsables d’un événement tragique comme n Israël. Un manque de lucidité sans doute tout autant qu’un manque de courage.

Comment en effet comprendre la politique suicidaire du Hamas vis-à-vis des palestiniens sans mettre en cause la responsabilité première de l’Iran. Ce pays était d’ailleurs présent lors de la réunion stratégique tenue à Beyrouth pour décider l’opération. D’une certaine manière, les palestiniens du Hamas jouent les idiots utiles et les martyrs en même temps d’une opération qui les dépasse. En effet la barbarie de l’attaque du Hamas sur des civils ne pouvait que provoquer la dure réaction d’Israël. De la même manière ,cette réaction guerrière sur Gaza va provoquer l’indignation et la colère de la rue au Proche-Orient. L’objectif pour l’Iran et aussi de déstabiliser les pouvoirs des pays visés pour leur substituer des républiques islamiques. Mais l’Iran a aussi des objectifs en Occident pour susciter aussi la colère de musulmans extrémistes voire pour les inciter indirectement à commettre des actes de sauvagerie.

L’Iran se conduit à l’extérieur comme à l’intérieur de ses frontières; En dictature sanglante notamment vis-à-vis des femmes et de toutes les oppositions. La grande différence avec l’Occident ,c’est que au nom d’une pseudo religion, la vie ne compte pas en Iran. La vie ne compte pas à l’intérieur des frontières et pas davantage à l’extérieur.

D’une certaine manière, l’Iran a repris le rôle de daesh souvent avec le soutien implicite d’autres dictatures comme la Russie voire la complicité de la Chine. Deux pays qui ne considèrent pas le Hamas comme une organisation terroriste.

Les palestiniens seront les premières victimes de cette stratégie mortifère et les Israéliens ensuite. À moins que l’Occident se réveille enfin pour comprendre les facteurs explicatifs de la politique iranienne et au-delà pour affaiblir d’abord ce régime et contribuer à l’abattre.

Une OPA de Vivendi sur Lagardère pour déstabiliser ?

Une OPA de Vivendi sur Lagardère pour déstabiliser ?

 

 

Une nouvelle fois Bolloré ne prend pas des pincettes en matière de capitalisme. C’est comme pour ses affaires, à coups de pied au cul qu’il conduit sa barque dans l’affaire Lagardère dont il veut prendre le contrôle. En tout cas il va au moins réussir à déstabiliser Lagardère.

Bolloré propose tout simplement de racheter la participation du fonds Ambert capital. Premier actionnaire de Lagardère à hauteur de 26,7%, le géant des médias contrôlé par Vincent Bolloré a indiqué vendredi, dans un courrier à l’Autorité des marchés financiers (AMF), qu’il comptait encore grimper au capital. Surtout, Vivendi déclare qu’il est « en mesure » de s’offrir les actions de son allié, le fonds Amber Capital, qui possède 19,93% du groupe d’édition, de travel retail et de médias. Dans cette hypothèse, Vivendi franchirait le seuil des 30% du capital et serait contraint de lancer une OPA sur Lagardère.

Si Bolloré devait mettre la main sur Lagardère et notamment les médias   il y aurait sans doute lieu de s’interroger encore davantage sur la ligne éditoriale si l’on en juge par la façon dont Bolloré a muselé Canal+. Notons qu’en ce moment les patrons français sont plus forts pour déstabiliser les entreprises françaises que pour renforcer leur dimension internationale. Pas sûr que les médias aient  besoins d’être secoués par cette tentative capitalistique à un moment où ils  se trouvent dans une situation particulièrement délicate du fait de la crise sanitaire ( baisse d’audience et baisse de recettes publicitaires)

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