Archive pour le Tag 'dessus'

Sondage endettement France : 60% des Français jugent que la France vit au-dessus de ses moyens

Sondage endettement France : Six Français sur dix jugent que la France vit au-dessus de ses moyens

Comme les agences de notation, les Français considèrent que la France vie au-dessus de ses moyens. L’agence S&P Global doit d’ailleurs noter la France vendredi, lui accorder la note «AA » avec une perspective négative, signifiant un risque d’abaissement d’au moins un cran à « AA- ».Avec un endettement de plus de 3000 milliards la situation française est particulièrement préoccupante et elle génère 50 milliards de charges par an ! Une situation qui va perdurer par exemple avec le nouveau déficit budgétaire de près de 6 % du PIB ( la norme européenne est de 3 % !. »

Ainsi, selon le dernier sondage Odoxa – Backbone Consulting – Le Figaro, une majorité de Français (52%) pensent que la France doit lutter contre les déficits, quitte à ralentir l’économie. Dans ce contexte, la baisse du déficit public sous la barre des 3% du PIB et le ratio d’endettement à 108,3% du PIB d’ici 2027 sont vus comme des objectifs importants à tenir (62%) plutôt que des contraintes qui étouffent l’économie (37%).

Alors que Fitch a abaissé fin avril la note de la France, et que le pays attend le verdict de Standard and Poor’s ce vendredi, plus des deux tiers des Français (67%) estiment qu’une nouvelle dégradation serait «grave» pour l’économie hexagonale. Et ce, même s’ils estiment à 58% qu’elle n’aurait pas directement d’impact sur leur situation personnelle. Ils sont aussi nombreux à s’inquiéter «qu’ils l’étaient en 2012 lors de la perte du triple A de la France qui fut un événement extrêmement marquant pour les esprits», observe Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa.

Les Français tiennent l’exécutif pour responsable de cette situation: près de 6 sondés sur 10 trouvent que le gouvernement augmente trop la dépense publique. 21% jugent, au contraire, qu’ils pourraient ouvrir plus largement les cordons de la bourse quand 19% pensent que ce qui est fait est « juste ce qu’il faut». Bien sûr, ces jugements ne sont pas homogènes. «On est ‘pro dépense’ jusqu’à 34 ans, puis on devient ‘pro baisse’ ensuite», observe Céline Bracq. «Les clivages politiques classiques persistent aussi». Ainsi, la gauche défend le soutien de l’économie avant tout (58%) quand la droite (extrême droite comprise) est sur une position strictement inverse (58% des sympathisants veulent une baisse des déficits et de la dépense). «Les sympathisants de Renaissance – qui rejoignent souvent ceux de la droite sur les questions économiques — ne sont sur ce sujet pas sur la même ligne : 58% préfèrent que la France soutienne l’activité économique quitte à augmenter la dépense publique et les déficits», analyse Céline Bracq.

Pour baisser la dépense publique, les Français ont en revanche des avis tranchés. Ils sont prêts à couper dans les aides sociales (à 60%) mais aussi à baisser le nombre de fonctionnaires (53%). «Les chiffres évoqués par Gabriel Attal en annonçant ses propositions contre la fraude sociale y sont probablement pour quelque chose», estime Cécile Bracq. En revanche, ils refusent de réduire les aides aux entreprises (53%), et surtout de baisser les dotations aux collectivités (68%).

Sondage Argent magique : Six Français sur dix jugent que la France vit au-dessus de ses moyens

Sondage Argent magique : Six Français sur dix jugent que la France vit au-dessus de ses moyens

Comme les agences de notation, les Français considèrent que la France vie au-dessus de ses moyens. L’agence S&P Global doit d’ailleurs noter la France vendredi, lui accorder la note «AA » avec une perspective négative, signifiant un risque d’abaissement d’au moins un cran à « AA- ».

Ainsi, selon le dernier sondage Odoxa – Backbone Consulting – Le Figaro, une majorité de Français (52%) pensent que la France doit lutter contre les déficits, quitte à ralentir l’économie. Dans ce contexte, la baisse du déficit public sous la barre des 3% du PIB et le ratio d’endettement à 108,3% du PIB d’ici 2027 sont vus comme des objectifs importants à tenir (62%) plutôt que des contraintes qui étouffent l’économie (37%).

Alors que Fitch a abaissé fin avril la note de la France, et que le pays attend le verdict de Standard and Poor’s ce vendredi, plus des deux tiers des Français (67%) estiment qu’une nouvelle dégradation serait «grave» pour l’économie hexagonale. Et ce, même s’ils estiment à 58% qu’elle n’aurait pas directement d’impact sur leur situation personnelle. Ils sont aussi nombreux à s’inquiéter «qu’ils l’étaient en 2012 lors de la perte du triple A de la France qui fut un événement extrêmement marquant pour les esprits», observe Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa.

Les Français tiennent l’exécutif pour responsable de cette situation: près de 6 sondés sur 10 trouvent que le gouvernement augmente trop la dépense publique. 21% jugent, au contraire, qu’ils pourraient ouvrir plus largement les cordons de la bourse quand 19% pensent que ce qui est fait est « juste ce qu’il faut». Bien sûr, ces jugements ne sont pas homogènes. «On est ‘pro dépense’ jusqu’à 34 ans, puis on devient ‘pro baisse’ ensuite», observe Céline Bracq. «Les clivages politiques classiques persistent aussi». Ainsi, la gauche défend le soutien de l’économie avant tout (58%) quand la droite (extrême droite comprise) est sur une position strictement inverse (58% des sympathisants veulent une baisse des déficits et de la dépense). «Les sympathisants de Renaissance – qui rejoignent souvent ceux de la droite sur les questions économiques — ne sont sur ce sujet pas sur la même ligne : 58% préfèrent que la France soutienne l’activité économique quitte à augmenter la dépense publique et les déficits», analyse Céline Bracq.

Pour baisser la dépense publique, les Français ont en revanche des avis tranchés. Ils sont prêts à couper dans les aides sociales (à 60%) mais aussi à baisser le nombre de fonctionnaires (53%). «Les chiffres évoqués par Gabriel Attal en annonçant ses propositions contre la fraude sociale y sont probablement pour quelque chose», estime Cécile Bracq. En revanche, ils refusent de réduire les aides aux entreprises (53%), et surtout de baisser les dotations aux collectivités (68%).

Le coût du travail dans l’UE: La France au-dessus de la moyenne

Le coût du travail dans l’UE: La France au-dessus de la moyenne

Le coût du travail en France comparé à ceux de l’union européenne se situe parmi les plus élevés. Un coût du travail surtout affecté par un manque de productivité (effet 35 heures Et faible rapport actifs-salariés) et par le poids des charges (Environ 30 % du salaire)

Les différences sont importantes dans l’UE, s’échelonnant de 6,5 euros en Bulgarie à 47 euros au Luxembourg. La France (38,70 euros) est au-dessus de la moyenne européenne qui se situe à 28,20 euros.
Article rédigé par

Le coût moyen de la main-d’œuvre en France était en 2020 de 38,70 euros par heure travaillée, figurant au 5e rang des plus élevés de l’Union européenne, selon une enquête européenne réalisée tous les quatre ans et publiée mercredi 4 janvier par l’Insee. Le coût horaire s’élève même à 39,20 euros dans les sociétés de dix salariés ou plus du secteur marchand non agricole (hors services aux ménages).

Ce coût du travail s’avère très hétérogène dans l’UE, s’échelonnant de 6,50 euros en Bulgarie à 47 euros au Luxembourg. Dans l’UE de 2020, la moyenne est de 28,20 euros de l’heure travaillée. La France est derrière Le Luxembourg, le Danemark, la Suède et la Belgique, mais devant l’Allemagne (37,2 euros).

La part des salaires dans le coût de la main-d’œuvre varie sensiblement selon les pays en fonction du mode de financement de la protection sociale. Ainsi, les cotisations sociales et autres charges ne représentent que 12,5% du coût du travail au Danemark du fait d’un financement de la protection sociale par l’impôt. A l’inverse, elles représentent 26,7% du coût du travail en Espagne, 28,4% en Italie et 30,6% en France, un des niveaux les plus forts en Europe après la Suède.

En France, le coût horaire varie significativement selon le secteur d’activité, l’implantation géographique ou encore la taille de la société. Il est le plus élevé dans le secteur des activités financières et de l’assurance (60,30 euros) et le moins élevé dans l’hébergement-restauration (23,80 euros). Il s’élève à 42,50 euros dans les sociétés de plus de 1 000 salariés, soit 10,50 euros de plus que dans celles employant 10 à 49 salariés. Cet écart est très marqué dans l’industrie (21,50 euros de différence). Ce coût moyen est aussi nettement supérieur en Ile-de-France à 48,30 euros contre 35,60 euros sur le reste du territoire.

Carburant : à nouveau au-dessus de deux euros

Carburant : à nouveau au-dessus de deux euros

 

 

La hausse du carburant reprend et les perspectives sont mauvaises pour l’avenir. D’après les experts on peut s’attendre au caractère durable de ce véritable choc pétrolier. Le prix du litre de gazole comme celui du litre de sans-plomb 95 E10 ont bondi la semaine dernière, avec une hausse de plus de 13 centimes. Le SP95-E10 repasse la barre des 2 euros le litre en moyenne, malgré la ristourne gouvernementale.

Le prix du litre de gazole, le carburant le plus consommé en France, a bondi de 13,3 centimes la semaine dernière en France, selon les dernières données publiées ce mardi par le ministère de la Transition écologique.

Le litre de sans-plomb 95 E10 grimpe aussi très fortement : +13,7 centimes par litre. Ce qui amène le litre de sans-plomb 95-E10 à repasser la barre symbolique des 2 euros le litre. Et ce, malgré la ristourne de 18 centimes par litre mise en place par le gouvernement.

Le litre de SP95-E10 bat ainsi son record depuis le mois janvier. S’il avait déjà dépassé les 2 euros le 11 mars, à 2,0286 euros le litre, il était resté depuis contenu sous la barre des 2 euros.

Le gouvernement a choisi de maintenir la réduction de 15 à 18 centimes jusqu’à la fin de l’été .

Covid-19 France : le taux d’incidence au-repasse au dessus de 100 !

Covid-19  France : le taux d’incidence au-repasse au dessus de 100 !

En moyenne le nombre de contaminés quotidiens est repassé à 10 000, c’est-à-dire avant près le double d’il y a quelques semaines. Par ailleurs Le taux d’incidence, lui, est désormais établi à 100,2 cas pour 100.000 habitants sur les sept derniers jours, selon Santé publique France. C’est une première depuis le mois de septembre. À titre de comparaison, le 15 octobre, ce taux était de 48,8. Le 30 octobre, il était de 61,2. La circulation virale a donc doublé en un mois.

 

L’épidémie s’aggrave de nouveau en France, où 70 personnes sont mortes du Covid-19 ces dernières 24 heures, selon le bilan du jour de Santé publique France. 7361 malades sont actuellement hospitalisés, dont 631 depuis la veille. Ils étaient 7111 dimanche. 1257 patients sont soignés dans les services de soins critiques, dont 144 admis ce lundi. Ils étaient 1210 dimanche. 3241 nouveaux cas ont été détectés.

Coronavirus: la contagion repasse au-dessus de un

Coronavirus: la contagion repasse au-dessus de un

Dans ces cinq régions françaises, dont trois de métropole, le taux de reproduction «R effectif», qui correspond au nombre moyen de personnes infectées par un cas de Covid-19, est repassé au-dessus de 1. Un indicateur important pour le suivi de l’épidémie: «Une valeur supérieure à 1 est en faveur d’une tendance à l’augmentation du nombre de cas», met en garde Santé publique France (SpF) dans son dernier bulletin épidémiologique publié jeudi 18 juin.

Loi Taubira : Sarkozy ne reviendra pas dessus pour 73% des Français

Loi Taubira : Sarkozy ne reviendra pas dessus pour 73% des Français

 

« L’abrogation si ça vous fait plaisir » ce qu’avait déclaré Sarkozy mais les Français n’y croient ( d’autant que juridiquement c’set impossible). Après avoir assuré pendant l’été qu’il « se foutait » du mariage homosexuel, qu’il avait toujours plaidé pour une union civile entre les personnes de même sexe, Nicolas Sarkozy est resté flou sur cette question lorsqu’il a fait son retour dans l’arène politique. Jusqu’au 15 novembre dernier, lors un meeting de Sens commun, l’association qui fait le pont entre la Manif pour tous et l’UMP. L’ancien président de la République s’est prononcé en faveur de l’abrogation de la loi Taubira. Mais d’après un sondage Odoxa pour i>Télé et Le Parisien 73% des Français ne pensent pas que « Nicolas Sarkozy abrogera la loi sur le mariage pour tous comme il l’a affirmé », s’il est président de la République. Un chiffre en légère baisse chez les sympathisants UMP, qui sont tout même 63% à penser qu’il ne tiendra pas son engagement. Auprès de l’ensemble des Français, Bruno Le Maire dépasse largement  Nicolas Sarkozy : 48% contre 34%, tandis que 12% préfèrent Hervé Mariton (6% sans opinion).

 

Athlétisme Europe : Lavillenie au dessus du lot

Athlétisme  Europe : Lavillenie au dessus du lot

 

Bonne performance d’ensemble de l’équipe de France notamment avec le titre du marathon féminin , de l’ heptathlon féminin et  celui du 50 kms marche masculin  mais Renaud Lavillenie a dominé ces championnat avec son troisième titre. Le français Renaud a décroché ce samedi la médaille d’or du concours de saut à la perche aux championnats d’Europe d’athlétisme à Zurich, en suisse. Kévin Menaldo prend le bronze.  Lavillenie a eu besoin de franchir seulement deux barres, à 5,65 m puis à 5,80 m à chaque fois au premier essai, pour rester seul en compétition.  Il a continué le concours pour franchir 5,90 m, au deuxième essai, avant d’échouer par trois fois à 6,01 m, qui auraient constitué un nouveau record des championnats d’Europe. Le Polonais Pawel Wojciechowski lui, décroche l’argent avec 5,70 m, devançant aux essais l’autre Français Kévin Ménaldo (5,70 m) et le Tchèque Jan Kudlicka, tous deux médailles de bronze. Lavillenie devient le deuxième perchiste de l’histoire à décrocher trois titres européens consécutifs, après l’Allemand Wolfgang Nordwig, en 1966, 1969 et 1971. Lavillenie et Ménaldo apportent à la France ses 16e et 17e médailles depuis le début de la compétition. 

 

La dette bientôt au dessus de 100% du PIB (Carrez)

La dette bientôt au dessus de 100% du PIB (Carrez)

, le président  UMP de la commission des finances de l’Assemblée nationale, Gilles Carrez,  juge « probable » que l’endettement de la France dépasse les 100% du PIB d’ici à 2015. Il se dit convaincu que « la vigilance est altérée » à cause de « taux d’intérêts toujours très bas » et parce qu’ »une partie de la majorité (qui) prétend que la dette n’est pas un sujet ». Lundi 30 juin, l’Insee avait déjà quelque peu tiré la sonnette d’alarme. Selon l’institut de conjoncture, la dette française au sens de Maastricht a nettement grossi au premier trimestre 2014 atteignant 93,6% du PIB sur les trois premiers mois de l’année, soit 1,8% de plus qu’au dernier trimestre de 2013. En termes de montants, ce ne sont pas moins de 45,5 milliards d’euros qui viennent gonfler le passif de la France, qui s’élève désormais à 1985,9 milliards d’euros.  L’Insee précisait que cette hausse provient pour l’essentiel d’une augmentation de l’Etat, sa contribution à la dette ayant augmenté de 43,3 milliards d’euros au premier trimestre 2014. La contribution de la Sécurité sociale a elle augmenté de 4,6 milliards d’euros tandis que celle des administrations publiques locales a baissé de 2,1 milliards d’euros. Le programme de stabilité transmis en mai dernier à la Commission européenne prévoit une hausse de la dette publique qui atteindrait 95,6% en 2014 avant de stabiliser en 2015, puis de refluer à 94,2% en 2016 puis 91,9% en 2017.

 




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